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JT du Mardi 2 février 2016 : International / Lancement de la présidentielle américaine
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Philippe de Villiers soutient la Fondation Jérôme Lejeune – Savoureux extrait de son interview
La fondation Espérance du Grand Parc Français du Puy-du-Fou a offert un chèque de 50 000 euros à la fondation Jérôme Lejeune. Une fois de plus Philippe de Villiers manifeste sa fidélité à ses objectifs de transmission des valeurs chrétiennes de la France, parmi lesquelles la vie est la plus attaquée actuellement. Philippe de Villiers a donné un entretien à cette occasion à Jeanne Smits, dont voici un large extrait particulièrement savoureux:
— Le Puy-du-Fou, qui est un lieu d’enracinement et même de réenracinement dans l’Histoire, est-il naturellement à sa place dans ce réenracinement de l’amour paternel, maternel, de l’amour des enfants ? Faites-vous un lien, là aussi ?
— Oui, bien sûr ! C’est le dernier texte que j’ai écrit : « Peut être les enfants sauront ils deviner dans les humeurs du jour, et portée par le vent, de collines en collines, la voix d’autres enfants qui chantent et se souviennent. »
Le Puy-du-Fou est fondé sur l’idée de la transmission, l’idée de la génération, dans une société saccagée par le mondialisme qui prépare un être désaffilié, désinstitué. Toute la respiration du Puy-du-Fou se fait à travers l’idée de génération, l’idée de transmission, l’idée d’héritage et donc de réenracinement. C’est normal que l’enfant y ait la première place.
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La vie des Royalistes
Les Royalistes ont-ils une vie ? Une vie à part ? Une vie tout court ? Une vie différente de celles des autres ?
Il faut bien reconnaître que la vie du Royaliste ne diffère en rien, en apparence, de celles du commun des mortels. L’Égalité « ayant coupé toutes les têtes qui dépassent » et surtout confisqué tous ses biens, le Royaliste est soumis au quotidien de tout un chacun : travail et imposition lourde. Comme le peuple, il connait les épreuves du commun des mortels ; chômage, souci de santé, rupture ou deuil. Il convient de préciser que le Royaliste n’appartient pas nécessairement à la noblesse. Déchéance ou grâce ? Le Royaliste partage de fait l’humble condition du peuple qui le servait et qu’il servait dans une solidarité très intime.
Toutefois, la vie du Royaliste semble s’émailler d’un nombre certains de commémorations et de pèlerinages : Soirée en hommage à Sa Majesté le Roi Louis XIV à l’Aéroclub le 23 novembre ; Commémoration place Louis XV et Messe en mémoire de la mort du Roi Louis XVI en la Basilique Royale de Saint-Denys, le 21 janvier ; Messe à la Chapelle Expiatoire à la mémoire du roi Louis XVI pour le 223ème anniversaire de son assassinat le 24 janvier. Passéisme fétide et poussiéreux ? Non, le Royaliste est fidèle. Il n’oublie rien de l’Histoire de cette France qu’il aime. Nostalgie vaine d’un passé révolu ? Non. D’une fidélité absolue, il garde la Foi envers et contre tout, envers toutes les vicissitudes de son époque. Sa Foi repose dans le sang de ses martyrs. Aucun sacrifice d’innocent n’est perdu et la France refleurira. Sous l’autorité bienveillante de Monseigneur Louis de Bourbon, qui incarne notre Espérance, c’est un avenir pour la France que nous voulons construire.
Par ailleurs, la vie du Royaliste semble s’émailler de quelques événements mondains. Superficialité festive, reste d’un éclat indécent, dans un monde qui s’effondre ?
Le samedi 23 janvier, nous réunissions aussi autour de La galette des Rois de Vexilla Galliae à l’église Sainte Rita, devenue depuis peu catholique, menacée par l’appétit vorace des promoteurs immobiliers. Scène surréaliste où les Royalistes passaient un à un la barricade taguée pour rejoindre une église glacée et vidée de tous ces ornements, rejoints sans faillir par le Prince Charles Emmanuel de Bourbon Parme. Scène baroque où les royalistes et les zadites partageaient non seulement la Galette des Rois mais aussi la défense de l’église Sainte Rita, sous le portait de Monseigneur Louis de Bourbon, Chef de la Maison de France. « Lui, Louis de Bourbon, représente au moins un espoir pour le peuple ».
Le 18 mars aura lieu la 3ème soirée du Bourbon Club. Jamais la main de l’autorité, si puissante soit-elle, ne peut établir ces groupes harmonieux formés autour d’un centre et d’une pensée commune… et ni même les détruire ! Il convient donc de cultiver ses précieux liens sociaux. Cette soirée sera unique puisque le 18 mars est un vendredi de Carême. Les bénéfices du cocktail, dont le menu sera « cathocompatible » seront versés au profit de l’Ordre de Malte et nous mettrons en valeur « les talents » que Dieu donne.
Ainsi, même si la vie sociale du Royaliste est riche d'événements il partage la même noble et humble condition du peuple de France. Mais, elle se différencie spécifiquement. Dans un monde qui s’effondre, notre joie est profonde. Notre joie est profonde car ultimement, nous n’appartenons pas à ce monde. Nous appartenons à Dieu et au Roi.
A Dieu. Au Roi.
Stéphanie de Tournon
http://www.vexilla-galliae.fr/royaute/vie-des-royalistes/1782-la-vie-des-royalistes
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Paris zéro - Orages d'acier - 31/01/2016
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Jean Cau : "Toute décadence est féministe, féminoïde et infantile"
Le texte "Entretiens-souvenirs avec Jean Cau", reproduit ci-dessous, doit être lu.
À ma grande honte, jusqu'à aujourd'hui et la publication d'extraits de ce texte parZentropista, je ne connaissais pas cet homme et ses écrits. Ce texte et donc un choc conséquent.
Ce document est un extrait de Vouloir, n° 105/108, juillet-septembre 1993. A priori il semblerait que ce magazine soit ultra-confidentiel. Quelques informations ici :http://www.archiveseroe.eu/accueil-c18369603
Quoi qu'il en soit, cet entretien avec Jean Cau n'est disponible que sur ce support et l'on doit s'en contenter.
En préambule à cet entretien, Jacques Vanden Bemden narre ses rencontres avec cette personnalité atypique à la vie bien remplie.
Entretiens-souvenirs avec Jean Cau
J'ai connu Jean Cau par L'Express où il était grand reporter. Comme on vous envoie au front, on l'avait envoyé couvrir la dolce vita à la française. Dans un chapeau ouvrant l'enquête, L'Expressexpliquait qu'on l'avait choisi, lui plutôt qu'un autre, pour affronter les nuits d'alcool et de débauche, en raison de sa grande
santé morale. Il en fallait certes pour ne pas se perdre dans ce monde à la Fellini. Jean Cau, faut-il le dire, en sortit indemne. Plus tard, L'Express – qu'il avait quitté – ne manqua pas de lui reprocher de n'avoir pas céder au vertige de la décadence. Le magazine, pour sa part, en avait fait ses choux gras.
Plus tard, je retrouvai Jean Cau au fil du Meurtre d'un enfant [1965]. Tout homme, tôt ou tard, étrangle son enfance et l'enterre dans son jardin secret. Jean Cau aimait à y retourner et, même, à le retourner. En surgissaient les gamins et les fillettes des Culottes courtes[1988] ou, comme dans Le Meurtre…, l'image effrayante, terrible, fascinante, entrevue sur les routes de l'été 1940, de ce tankiste allemand, torse nu, bronzé, appuyé contre sa machine et coupant une miche de pain avec son poignard. Et le petit Français contemplait, stupéfait, le jeune dieu victorieux un instant apaisé. Et l'enfant Cau, à qui l'on avait dit que l'Allemand était le Mal découvrait que le Mal était beau. Fabuleuse révélation !
Plus tard encore, j'allai écouter Jean Cau aux Grandes conférences catholiques, à Bruxelles, à l'automne 68. On finissait à peine de réparer les rues du Quartier latin et les sociologues s'appliquaient à tirer des leçons de ce qu'on nommait pompeusement les "événements de mai". En attendant le conférencier, les abonnés parlaient à mi-voix de révolution sexuelle et se demandaient si, au fond, les jeunes n'avaient pas raison de vouloir faire l'amour et non la guerre. Ils faillirent tomber de leurs chaises quand Jean Cau mit en pièces ce qu'il appela ce "slogan judéo-chrétien". "Non ! s’exclamait-il. Faites la guerre ! Faites la guerre à vos lâchetés, à votre paresse, à votre inculture, à votre prétention, à votre malheur ! Faites d'abord la guerre et l'amour vous sera donné de surcroît".Lien permanent Catégories : actualité, culture et histoire, divers, entretiens et videos 0 commentaire -
JT du Lundi 1er février 2016 : TV Libertés / Cap sur une nouvelle aventure
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Hubert Marty / Christine Deviers-Joncourt -Scandale dans la république 2/2
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Gilles Lebreton : les idées du Front National sont en train de s'imposer !
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Si le FN passe, Ruquier prend ses cliques et ses claques
FN ou pas, peut-être que cela commence à le titiller, lui aussi, de mettre à l'abri ses économies...
« Si, demain, le Front national passe, je prends mes cliques et mes claques et je me tire […] »
Une variante de « Si le FN passe, j’me casse », de Yannick Noah. C’est de Laurent Ruquier, qui s’emballe tout seul, interviewé par le JDD. C’est comme ça : si les Français élisent Marine Le Pen, le démocrate Ruquier mettra les voiles. Pourquoi, pour quoi faire, où ? Mystère et boule de gomme.
Quelqu’un pourrait-il lui apprendre, au sieur Ruquier, que les 1,5 à 2 millions de Français vivant à l’étranger, selon les estimations de la Chambre de Commerce et dindustrie, n’ont pas attendu l’arrivée au pouvoir du FN pour s’expatrier ?
Jeunes diplômés, cadres supérieurs, entrepreneurs, retraités, ils sont chaque année entre 60.000 et 80.000 Français à quitter leur patrie parce que l’herbe, ailleurs, leur semble plus verte et l’atmosphère plus respirable. Occasions professionnelles plus attractives, machines administratives qui ne broient pas l’esprit d’entreprise, conditions fiscales ou de vie incitatives, mais aussi fuite de certains quartiers où règnent homophobie et antisémitisme grandissants – Laurent Ruquier ne doit pas les fréquenter -, voilà l’essentiel des raisons évoquées par ceux qui en ont ras la casquette, de la gouvernance droite-gauche depuis trop longtemps.Lien permanent Catégories : actualité, divers, élections, France et politique française, lobby 0 commentaire -
Ludovine de la Rochère - Discours place Vendôme