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économie et finance - Page 434

  • Marine Le Pen appelle à souscrire à un « emprunt patriotique » à 3 %

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    Emprunt patriotique : tel est le nom de l’appel au peuple militant que lance Marine Le Pen pour, dit-elle, financer les campagnes des candidats FN aux élections législatives. Dans une vidéo mise en ligne ce matin, Marine Le Pen s’en prend au « système », qui ne permettrait au FN d’avoir les moyens financiers de ses ambitions électorales et déclare notamment :

    « Votre épargne est une armée qui dort. En la mobilisant au service des candidats du Front national et du Rassemblement Bleu Marine, ce sont vos idées que vous mènerez à la victoire. […] En prêtant au Front national, vous obtiendrez 3 % d’intérêts, une rémunération exceptionnelle pour un placement sans risques. »

    Un site dédié, empruntpatriotique.fr est en ligne, dont le nom avait été réservé dès le 22 mars 2017 par une société connue pour être un prestataire habituel du Front national.

    A noter que si le Front national emprunte au taux « exceptionnel » de 3 %, les candidats FN aux législatives se voient eux proposer la possibilité de financer leur campagne en souscrivant un prêt au taux de 5 %.

  • Marine Le Pen appelle à souscrire à un « emprunt patriotique » à 3 %

    Emprunt-patriotique-600x295.jpg

    Emprunt patriotique : tel est le nom de l’appel au peuple militant que lance Marine Le Pen pour, dit-elle, financer les campagnes des candidats FN aux élections législatives. Dans une vidéo mise en ligne ce matin, Marine Le Pen s’en prend au « système », qui ne permettrait au FN d’avoir les moyens financiers de ses ambitions électorales et déclare notamment :

    « Votre épargne est une armée qui dort. En la mobilisant au service des candidats du Front national et du Rassemblement Bleu Marine, ce sont vos idées que vous mènerez à la victoire. […] En prêtant au Front national, vous obtiendrez 3 % d’intérêts, une rémunération exceptionnelle pour un placement sans risques. »

    Un site dédié, empruntpatriotique.fr est en ligne, dont le nom avait été réservé dès le 22 mars 2017 par une société connue pour être un prestataire habituel du Front national.

    A noter que si le Front national emprunte au taux « exceptionnel » de 3 %, les candidats FN aux législatives se voient eux proposer la possibilité de financer leur campagne en souscrivant un prêt au taux de 5 %.

  • Le prochain krach économique pourrait bien venir de Chine !

    Marc Rousset

    Seuls l’or, l’argent et les biens réels dans une moindre mesure, survivront un jour dans la tempête inimaginable, l’effondrement mondial généralisé à venir…

    Méfions-nous de l’eau qui dort avec l’apparition soudaine d’un cygne noir. Il y a quelques jours, ce fut le sauvetage in extremis d’une importante banque de l’immobilier sous-capitalisée en Ontario, grâce à l’argent des braves retraités d’une caisse de retraite. Les médias en ont très peu parlé, mais la faillite du Kreditanstalt à Vienne en 1929 n’avait pas commencé autrement…

    Aujourd’hui, ce n’est pas l’Italie, la Grèce, la Deutsche Bank, les produits dérivés ou la dette publique américaine qui font de nouveau parler d’eux, mais la Chine, avec un taux d’endettement de 256 % de son PIB. Alors que l’endettement public est estimé à seulement 46 % du PIB, celui des ménages à 47 %, l’endettement des entreprises non financières privées et publiques est estimé à 163 %.

    Comme en Italie, les banques chinoises détiennent donc des créances douteuses de plus en plus dangereuses et importantes.

    C’est la raison pour laquelle Moody’s a dégradé la note de la dette souveraine de l’empire du Milieu de AA3 à A1, tout comme l’avait déjà fait Standard & Poor’s. La croissance de la Chine ralentit, sa population vieillit et son endettement augmente.

    La dette publique des États-Unis, de 20.000 milliards de dollars, soit environ 10 fois celle de la France, atteindra 117,4 % du PIB en 2022. La dette du monde est de 152.000 milliards de dollars, soit 225 % du PIB mondial. Nous vivons à l’ère de la folie de l’hyper-endettement généralisé tous azimuts, urbi et orbi, ne faisant que repousser la date de l’inéluctable catastrophe à venir en l’aggravant.

    La France, avec 1 % de la population mondiale et 3,5 % de la production mondiale, assume 15 % des transferts sociaux de la planète et une invasion migratoire dont le coût astronomique a été estimé par Yves Marie-Laulan, de l’Institut géopolitique des populations, à 70 milliards d’euros par an !

    Dormez bien, braves gens, au milieu des bombes islamiques, de la bulle financière de Wall Street et du CAC 40 avec des taux d’intérêt ridiculement bas ; écoutez les litanies affairistes tranquillisantes du banquier Macron et des médias, et achetez du papier financier, des actions, des obligations avant d’être un jour complètement ruinés !

    Seuls l’or, l’argent et les biens réels dans une moindre mesure, et même pas les bitcoins, survivront un jour dans la tempête inimaginable, l’effondrement mondial généralisé à venir…

    Source cliquez là

  • Politique & éco n°133, la tribune des économistes N° 3 - La vérité sur l’Euro : un faux problème

  • Objectif : se serrer la ceinture

    « Les Français dépensent trop ! » C’est le message que, dès le lendemain de son élection à la présidence de la République française, Emmanuel Macron a reçu  du président de la commission européenne Jean-Claude juncker.

    Nous sommes confrontés avec la France à un problème particulier, les Français dépensent trop d'argent et ils dépensent au mauvais endroit », a déclaré, depuis Berlin où il était en visite, le patron de la Commission européenne. Avant de préciser « Les Français consacrent entre 53 % et 57 % de leur Produit intérieur brut à leurs budgets publics ; compte tenu du niveau relativement élevé de la dette, cela ne peut pas fonctionner dans la durée. » Jean-Claude Juncker a donc invité le nouveau président français à faire un geste, en engageant les réformes nécessaires.

    Le propos d'un des hommes les plus influents de Bruxelles prouve très clairement que le bilan du quinquennat qui se termine, et dont François Hollande paraît si satisfait, est bien mauvais. Mais surtout il signifie que nous allons continuer dans la voie de l'austérité.

    Certes, à Bruxelles, on est plutôt heureux de l'élection d'Emmanuel Macron, et pas seulement parce qu'il a battu Marine Le Pen. Le nouveau président a surtout pour lui d'être un bon petit soldat de l'Union européenne - et tant pis si cela nous a valu de sa part quelques propos tout à la fois incohérents et mensongers.

    Son programme électoral prévoit ainsi une réduction des dépenses publiques de 60 milliards d'euros en cinq ans, par le biais notable de la suppression de 120 000 postes de fonctionnaires. On comprend que d'aucuns, la fièvre du dimanche soir passée, commencent à faire la grimace...

    Il en fait même un peu trop, au point que Jean-Claude Juncker s'est dit réservé sur son souhait de voir instituer un ministre des Finances de la zone euro. « Cela annonce une gestation très difficile, car tous les États de la zone euro ne sont pas d'accord pour que quelqu'un soit assis à Bruxelles ou ailleurs et décide, au-dessus des Parlements nationaux, de la manière dont les budgets doivent être faits », a commenté le président de la Commission européenne. En France, il y aura donc d'autant moins d'état de grâce - l'expression paraît d'ailleurs renvoyer désormais à Mathusalem... - que le commissaire européen spécialement en charge de cette question, un certain Pierre Moscovici, français et socialiste, a renchéri le lendemain, en appelant Emmanuel Macron à sortir son pays de la procédure de déficit excessif lancée à son encontre par l'Union européenne.

    Bruxelles avant la France

    « Nous avons, a-t-il assuré sur un ton apparemment aimable, toutes les raisons de penser que l'objectif de passer en dessous de 3%, de respecter les critères, est tout à fait tenable », expliquant que, pour cela, « la France a un effort très minime à faire ».

    Bref ! Pierre Moscovici se veut bienveillant « Mon message n'est pas un message de pression, en aucun cas un message de sanction, c'est un message de confiance et de bienvenue. »

    Bienvenue dans la dictature européenne, en quelque sorte ! Une dictature chère, qui plus est, car, comme tout le monde le sait, nous payons désormais plus de 44 milliards d'euros d'intérêts sur notre dette. Un système bien trop juteux, en définitive, pour l'abandonner.

    On comprend que, à ce rythme, notre déficit ne fasse que se creuser (29,6 milliards fin mars), aggravant ainsi régulièrement une dette que le commun de nos concitoyens est incapable de lire du premier coup.

    Berlin entend néanmoins soutenir Emmanuel Macron à son arrivée à l’Élysée. Dès le lendemain de son investiture, le nouveau président français devait d'ailleurs rendre visite à Angela Merkel.

    Et le tout-puissant ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, ne cesse, depuis le 7 mai, de souligner les points de convergence de l'Allemagne avec le successeur de François Hollande, notamment sur les questions d'intégration. Reprenant une proposition du programme d'En Marche !, il a ainsi souligné la volonté allemande de créer « un Parlement de la zone euro », afin d'approfondir l'intégration européenne.

    Sur ce point, l'exécutif allemand ne rencontre guère d'opposition. Martin Schulz, l'ancien président du Parlement européen, qui se présente en septembre contre Angela Merkel, se déclare, lui aussi, favorable à un projet de budget commun des pays de la zone euro.

    Et même les agences de notation Moody's, Standard and Poor's et Fitch Ratings ont souligné l'aspect positif du programme du nouveau président - tout en appelant à se méfier de la capacité d'Emmanuel Macron à dégager une véritable majorité lors des élections législatives de juin, afin de dépasser le peu de crédit réel qu'il possède aujourd'hui au sein de ses propres concitoyens.

    En clair, Emmanuel Macron, à défaut de relever la France, pourrait apparaître comme le sauveur d'une Union européenne en décapilotade, notamment par le manque de volonté politique de son prédécesseur.

    Hugues Dalric monde&vie 18 mai 2017

  • Le nombre de banquiers millionnaires en nette hausse en France

    Les quatre grandes banques françaises comptent 102 banquiers gagnant plus de 1 million d’euros dans l’Hexagone. Un chiffre en hausse de 24 % par rapport à l’année 2015. 
    En 2016, les grandes banques françaises se sont révélées beaucoup plus généreuses envers leurs banquiers millionnaires... installés en France. Dans l'Hexagone, 102 collaborateurs de BNP Paribas, de Société Générale, du Crédit Agricole et de Natixis se sont vu attribuer plus de 1 million d'euros chacun l'an dernier. Un chiffre en hausse de 24 % par rapport à 2015. Des quatre grands groupes, la banque de la Défense est celle qui en compte le plus sur le territoire (42 banquiers millionnaires).
    Partout ailleurs en revanche, le cercle de ces bénéficiaires s'est restreint, en particulier en Grande-Bretagne, où se concentre le gros de ces troupes. A la Société Générale, la part des banquiers millionnaires à l'étranger est passée de 72 % à 52 % entre 2015 et 2016. Chez Natixis, celle-ci a reculé de 62 % à 52 %, après avoir grimpé de 20 points entre 2014 et 2015. 
    Chez BNP Paribas, on note également une légère baisse en Asie (avec 39 banquiers millionnaires en 2016, contre 44 l'année précédente) et au Royaume-Uni (68 contre 71). Ainsi, à l'échelle des quatre groupes bancaires, ce sont au final quelque 40 financiers à l'étranger qui ont perdu le statut de banquier millionnaire. 
    Une raison inattendue 
    Les raisons de ce recentrage sur l'Hexagone sont multiples. « Cette augmentation s'explique notamment par le fort développement de nos activités de banque de grande clientèle », indique Natixis, évoquant ses résultats en banque d'affaires. Un autre établissement souligne aussi un net redressement de ses performances dans certains métiers en France, comme les taux. 
    Avec le déclenchement du Brexit , les grands groupes français ont aussi pu vouloir relâcher leurs efforts de rémunération en Grande-Bretagne, la visibilité manquant et la concurrence des talents se relâchant. Leur priorité était d'organiser d'éventuels transferts. Une banque explique d'ailleurs la hausse du nombre de ses banquiers millionnaires en France par le retour d'expatriés de l'étranger. Cette tendance pourrait se confirmer en 2017. Les banques du continent européen commencent en effet à menacer de quitter la City, car Londres veut renchérir leurs coûts d'exercice . 
    Un dernier facteur, plus inattendu, tend cependant à montrer que cet excès apparent de générosité des banques françaises vis-à-vis de leurs financiers de l'Hexagone pourrait ne pas durer, car il tient aussi à... des réductions d'effectifs en France . « Ces chiffres tiennent compte des indemnités de départ, souligne une banque. et nous avons enregistré plus de départs en 2016 qu'en 2015. » Dans ces situations, un salarié peut ainsi voir subitement son salaire doubler et acquérir très momentanément le statut de millionnaire dans les statistiques de la banque... 
    Source

  • Sortir de l'économisme et porter le combat sur le terrain civilisationnel, spécificité de la (vraie) droite

    6a00d83451619c69e201bb099e5cab970d.pngPour Minute, les législatives sont déjà gagnées pour Emmanuel Macron :

    "[...] Face à la nouvelle donne politique qui découle de l’élection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République, il y a, du moins il y aura, après les législatives, deux façons de s’opposer : l’une consiste à dénoncer à corps et à cris le triomphe de l’ultra-libéralisme et de la mondialisation sauvage ; l’autre consiste à porter le combat sur le terrain civilisationnel, qui est la spécificité de la droite, ce qui fait sa raison d’être, et passe nécessairement par une vision européenne de l’avenir des pays liés par un destin commun.

    Etudier, de près, les évolutions gagnantes des partis conservateurs – et libéraux ! – des autres pays d’Europe, plutôt que de se contenter de les regarder avec une lecture hexagonale bloquée sur les « valeurs de la République » et les « ordonnances de 1945 », serait un premier pas pour appréhender la réalité. Il n’y aurait rien de plus mortifère que de rester figé sur les scléroses françaises."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Avant de partir, Hollande et Myriam El Khomri ont vidé les caisses de l'Etat

    Mauvaise surprise pour Muriel Pénicaud :

    "L’enveloppe annuelle allouée aux contrats aidés, ces postes pour lesquels l’employeur public ou privé bénéficie d’aides et de subventions, a déjà été en très grande partie consommée par le gouvernement sortant, laissant très peu de latitude à la nouvelle équipe pour finir l’année. Selon une note adressée à Manuel Bougeard, directeur de cabinet de Myriam El Khomri, ancienne ministre de l’emploi, que Le Monde s’est procurée, les équipes précédentes anticipent une baisse de l’ordre de 120 000 contrats aidés sur les six derniers mois de l’année.

    Un phénomène qui aurait pour impact, entre autres, l’arrivée de 62 000 nouveaux demandeurs d’emploi sur le marché. Car, si une bonne partie des bénéficiaires sont embauchés pour de bon ou renouvelés à l’issue du dispositif, certains ne le sont pas forcément.

    Soucieuses de terminer sur le bilan le plus positif qui soit, les équipes de la ministre sortante ont, selon nos informations, consommé plus de 60 % de l’enveloppe qui était allouée à ce dispositif pour 2017. Elles ont donc engrangé nombre de nouveaux contrats aidés et ont renouvelé le stock de ceux qui arrivaient à échéance avant le 1er juillet."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Marine Le Pen et un possible départ de Florian Philippot

    La question de la monnaie unique divise le Front National. La déclaration, il y a quelques jours, de Florian Philippot de quitter le parti si la sortie de l’Euro était abandonnée suscite des remous au sein du mouvement frontiste.

    Tandis que le numéro trois du parti, Nicolas Bay, parle de « chantage », Marine Le Pen, interrogée ce matin dans l’émission de 8 h 30 de France Info, estime quant à elle que son bras droit «exprime une conviction qui est une conviction forte et après tout, il ira au bout de ses convictions ». « Si, demain, les adhérents du FN décidaient qu’on doit abandonner cette partie-là, il ne se sentirait plus en accord avec ses convictions, je trouve que c’est tout à son honneur », a déclaré la dirigeante frontiste qui a renvoyé le débat au prochain congrès du FN.

    Marine Le Pen refuse de parler à l’antenne de ce sujet qui sème la discorde entre les cadres et les élus du FN.

    « C’est un chantier que nous ouvrirons après les législatives car ce n’est pas un sujet législatif, c’est un sujet présidentiel », a répété l’eurodéputée aux journalistes qui insistaient pour qu’elle se prononce sur la sortie ou non de l’Euro. Le congrès du FN, prévu fin 2017 début 2018, a-t-elle ajouté « est le moment où on discute de tout cela. (…) Il n’y a pas de tabou au FN, tout le monde pourra s’exprimer, dire ce qu’il a à dire, et ce sont les adhérents du FN qui effectuent les grands choix politiques et stratégiques dans notre pays » concernant le programme frontiste. « Il faut faire de la pédagogie et expliquer aux Français en quoi la souveraineté de la France est un élément essentiel à la maîtrise de notre économie », selon Marine Le Pen.

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/marine-le-pen-et-un-possible-depart-de-florian-philippot/74349/

  • Comment gagner 13 millions d’euros en un temps record ?

    Emmanuel Macron a la recette magique :

    "Pour financer sa campagne, Emmanuel Macron a réussi à mobiliser près de 13 millions d’euros de dons en un temps record. Loin de l’image cultivée par En Marche! d’une campagne aussi spontanée que populaire, un puissant réseau de banquiers d’affaires a discrètement ouvert ses carnets d’adresses au nouveau président. Révélations.

    Mail du 13 février 2017 : « Comme vous l’observez, notre start-up continue de tracer son sillon ! Alors que nous allons entrer dans le “dur” dans les prochains jours, nous avons plus que jamais besoin de soutien. » La start-up en question n’est pas une entreprise comme les autres. Et l’homme derrière son clavier n’a rien d’un banal VRP. Christian Dargnat n’est autre que l’ancien directeur général de BNP-Paribas Asset Management, branche du groupe bancaire chargée de la gestion d’actifs. « Marcheur » de la première heure, il a tout lâché en avril 2016 pour organiser « à titre bénévole » le financement de la campagne de son ami Emmanuel Macron. Dargnat, c'est l'homme du coffre-fort. Pendant des mois, il a multiplié les rendez-vous discrets, les dîners confidentiels et les mails de relance pour les riches donateurs, en plein accord avec l'actuel locataire de l'Élysée."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html