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économie et finance - Page 432

  • T. de la Tocnaye : « Marine Le Pen baissera fortement la fiscalité des TPE/PME et des ETI » #05

  • T. de la Tocnaye : « Pour la baisse de la fiscalité des TPE/PME et des ETI » #05 I Marine 2017

  • Vous en voulez, des économies pour payer les retraites ?

    Le prélèvement obligatoire de la CSG des pensions de nos petits retraités est passée, au 1er janvier 2015, de 3,8 à 6,6 % !

    Une retraite pleine à 60 ans avec 40 annuités ? Pour le vice-président du Front national, c’est tout à fait possible : il suffit de stopper la honteuse gabegie de l’État. Et de s’en expliquer sur le plateau de CNews, le 27 mars.

    Primo, « réduire le coût de l’asile ». En effet, en 2015, Le Monde évoquait le signal d’alarme déclenché par la Cour des comptes : « La politique d’asile est devenue la principale source d’arrivée de clandestins en France », chacun coûtant aux contribuables 13.724 euros par an pour un total de plus de 2 milliards.

    Quant aux 99 % des déboutés qui « restent en situation irrégulière en France », ils coûtent 1 milliard, soit 5.528 euros chacun par an.

    Et tandis que des étrangers de plus de 65 ans détenteurs depuis 10 ans d’un titre de séjour et justifiant de seulement 9.500 euros de revenus par an s’installent définitivement sans même avoir jamais cotisé en France, le prélèvement obligatoire de la CSG des pensions de nos petits retraités est passée, au 1er janvier 2015, de 3,8 à 6,6 % !

    Secundo, la France versant à l’Union européenne – 21,5 milliards en 2016, soit 800 millions de plus qu’en 2015 – plus qu’elle n’en reçoit, elle récupérerait 9 milliards d’euros, soit la moitié du financement de la retraite à 60 ans estimée par le FN à 17 milliards.

    Tertio, le manque à gagner fiscal, voire les fraudes fiscale et sociale. Ainsi, Florian Philippot s’insurge contre certains grands groupes qui, tout en ne payant pas d’impôts, bénéficient pourtant de marchés de l’État. En 2016, capital.fr annonçait une fraude fiscale entre 60 et 100 milliards d’euros et Le Monde, en 2011, confirmait les privilèges des sociétés du CAC 40 – taxées à 8 % – et ceux des entreprises de plus de 2.000 salariés – taxées à 13 % contre 33 % pour les PME. Depuis, le combat claironné par Flanby contre la finance n’est pas passé par là.

    Concernant la fraude sociale, un rapport parlementaire, en 2011, l’évaluait à 20 milliards d’euros par an, « soit 44 fois plus que la fraude actuellement détectée » : 458 millions la même année et… 700 millions en 2015, lit-on dans Le Monde.

    Et quid de la suppression de l’Aide médicale d’État pour clandestins préconisée par Marine Le Pen ? 1,1 milliard d’euros en 2016, 815 millions en 2015, selon la commission des finances du Sénat, contre 744 en 2013 et 587 millions en 2012 ? 

    Pendant ce temps-là, quatre Français sur dix, pour des raisons de budget et de trop longs délais, renoncent à se soigner.

    Et quid, encore, de la suppression des subventions à toutes les officines et autres associations autoproclamées antiracistes, véritables bras armé de l’État ? De l’exonération sur les plus-values immobilières aimablement accordée en 2009 par Sarkozy à ses amis qataris ? De la suppression pour de vrai du cumul des mandats ? D’une réglementation stricte sur l’embauche des assistants parlementaires par les députés pour que des gamines de 15 ans ne palpent plus 55.000 euros grâce à 24 CDD ?

    Et la liste des économies, petites et grandes, n’est pas finie…

    La journaliste de CNews ridiculise la retraite à 60 ans expliquée par Philippot ? C’était pourtant « une grande avancée » de François Mitterrand, disait François Hollande en 2010, taclant Nicolas Sarkozy.

    Mais quand c’est le FN qui la propose, ce n’est pas bien. Évidemment !

    http://www.bvoltaire.fr/voulez-economies-payer-retraites/

  • La famille vache à lait du socialisme

    Voilà deux siècles que le pouvoir civil assène des coups mortifères à la famille française Ce ne sont pas le funeste épisode du mariage inverti et les lancinants débats sur la GPA qui sauraient nous le faire oublier !

    Mais la morale n'est pas seule en cause, les coups sont d'abord économiques.

    Pendant longtemps, la famille a été beaucoup plus qu'une simple unité biologique. C'était aussi une unité de production et une unité sociale assurant naturellement la survie et la sécurité de ses membres. Elle est apparue spontanément comme devant prendre en charge ses éléments les plus faibles les enfants, les vieillards ou les malades. Chacun bénéficiait de la protection et de l'entraide familiale en même temps qu'il contribuait aux activités économiques de cette même famille. Les liens sociaux y étaient donc très forts. Certes, une famille ne pouvait pas toujours faire face aux charges qui lui incombaient mais elle pouvait alors bénéficier du soutien d'autres communautés naturelles plus larges des institutions confessionnelles, des corporations, des compagnonnages ou, encore, des sociétés de secours mutuels. L'État, pour sa part, n'intervenait qu'à titre subsidiaire. Il n'était ni médecin, ni assureur, ni père de famille ou nourrice. Ses missions étaient avant tout régaliennes. Il veillait au maintien de l'ordre et à la collaboration efficace des différents corps intermédiaires. Ce schéma de société était considéré comme le fruit de la loi naturelle, volonté de la Providence, il avait d'ailleurs été éprouvé par une expérience multi-séculaire.

    Dans ce contexte, les liens financiers entre l'État et la famille étaient encore très limités à la fin du XIXe siècle. La fiscalité était douce puisque la dépense publique dépassait à peine 10 % du PIB (contre 55 % aujourd'hui) et l'État - sauf exception - ne versait pas de prestations sociales aux familles, la sécurité sociale dans sa forme moderne n'existait pas. La famille, les corps intermédiaires et l'État semblaient être à leur place. La famille était la cellule-mère de la société et non l'inverse. Pourtant, rapidement, le rôle et l'autonomie de la famille se sont affaiblis, les corps intermédiaires se sont effacés au profit d'un État devenu Providence de plus en plus tutélaire et de plus en plus tentaculaire. Trois événements majeurs ont provoqué ce bouleversement

    - les révolutions politiques qui ont condamné toutes formes de groupements considérés comme autant d'obstacles à la liberté de l'individu;

    - la révolution industrielle qui a établi une coupure entre la vie de travail et la vie familiale, notamment en provoquant l'exode rural et en développant le salariat;

    - les deux Guerres mondiales, car les familles y ont payé un très lourd tribut et que le chaos des guerres a justifié une tutelle très renforcée de l'État sur toutes les activités et de nouveaux prélèvements obligatoires importants. Or, par la suite, cette tutelle et ces prélèvements ont été maintenus et même accrus.

    Il n'en demeure pas moins, que les corps intermédiaires ont eu la vitalité exceptionnelle de s'adapter aux évolutions et à ces bouleversements, grâce à des initiatives d'entrepreneurs issus du monde catholique. Au début de l'année 1932, la France comptait ainsi un nombre considérable de caisses d'allocations familiales (240) qui avaient été créées par des initiatives privées, sans aucune intervention des pouvoirs publics. Ces caisses mutualisées permettaient aux employeurs de verser des compléments de salaire à leurs employés en fonction du nombre d'enfants dont ils avaient la responsabilité. Mais ces initiatives n’ont pas résisté à l’État émergeant avec lequel elles entraient en concurrence. La loi Landry (radical-socialiste) du 11 mars 1932 a placé ces caisses sous la tutelle de l’État et a rendu l'affiliation des entreprises obligatoire. Puis, en 1945, toutes les caisses existantes ont été absorbées au sein de la Sécurité sociale où, désormais, la famille et la maternité sont gérées comme des « risques » (horreur !) au même titre que les accidents du travail, la vieillesse et la maladie.

    Un milliard d'impôts supplémentaires

    Si le pouvoir civil intervient tant dans le champ familial, il semble alors légitime de s'interroger le bien commun de la famille qui est le plus précieux de tous les biens, est-t-il compatible avec l'intérêt de l'État contemporain ? À l'évidence pas toujours, surtout, lorsque cet État est le fruit des révolutions politiques qui ont tant battu en brèche l’institution familiale.

    En effet, dans ses rapports avec la famille, l’État-percepteur devient volontiers prédateur. Autrement dit, les pouvoirs publics rétrocèdent peu d'allocations aux familles avant de les avoir lourdement taxées. Depuis des décennies la France est placée en tête du palmarès des pays champions de la fiscalité, avec les effets que l'on connaît : découragement de l'initiative, recul de l'esprit d'entreprise et chômage endémique. Autant de perspectives qui ne sont pas favorables à la création et à l'épanouissement des familles. Entre les prélèvements sociaux et les impôts, un cadre travaille près des deux tiers de sa carrière pour payer des prélèvements obligatoires. Certes, il existe le « quotient familial » qui réduit l'imposition des foyers en fonction du nombre d’enfants, mais l'impôt sur le revenu ne représente que 7 % de l'ensemble des prélèvements et la plupart des autres impôts frappent les familles sans discernement. Au surplus, le quotient familial est remis en cause. Déjà en 1982, il a été plafonné ses bénéfices ont donc été réduits pour de nombreuses familles. Puis sous l'actuel gouvernement, ce plafond a été abaissé deux fois consécutivement en 2013 et en 2014 passant de 2 334 euros à 2 000 euros ; puis de 2 000 euros à 1500 euros. Au bout du compte, l'exonération fiscale ne peut donc plus excéder 1 500 euros par enfant. L'État prélève ainsi près d'1 milliard d'euros d'impôt supplémentaire sur les familles.

    Et encore 760 millions

    Quant à l'État-providence - qui a la haute main sur la Sécurité sociale -, il mute et se fait Léviathan lorsque sa politique consiste à dénaturer et même à détourner les finances familiales. En effet, à l'origine, les allocations familiales étaient strictement universelles, elles étaient servies à toutes les familles et leur montant dépendait du nombre d'enfants. Mais, à partir des années 1970, cette politique de l'universalité a reculé au profit d'une logique de « socialisation ». Les mécanismes de soutien à la famille se sont endettés et sont progressivement devenus des instruments de réduction des inégalités sociales. Ils intéressent désormais principalement les familles dont les parents n'ont pas d'emploi et les familles monoparentales. Un glissement s'est donc opéré d'une politique qui vise à favoriser le renouvellement des générations et à maintenir le niveau de vie des familles, vers une politique ciblée de redistribution verticale des revenus. Le gouvernement actuel a très nettement inscrit sa politique dans cette logique en modulant les allocations familiales stricto sensu. Ainsi, depuis le 1er juillet 2015, le montant des allocations a été divisé par deux - voire même par quatre - pour 13 million de familles issues des classes moyennes. Par cette seule mesure, ces familles sont désormais sevrées de 760 millions d'euros par an. La modulation des allocations familiales a également une autre cause encore moins avouable la branche famille de la Sécurité sociale - pendant longtemps excédentaire -est très régulièrement siphonnée pour financer les autres branches déficitaires de la Sécurité sociale ou plus généralement la politique

    'sociale de l'État-Providence. La petite cagnotte des familles n'a évidemment pas manqué d'ouvrir les appétits, et l'imagination des pouvoirs publics pour s'en saisir n'a jamais connu de limite. Par exemple, durant de nombreuses années, la branche famille était mise à contribution pour financer au moins partiellement l'aide au logement (APL). Aujourd'hui encore, c'est elle qui doit financer la retraite des parents au foyer coût 4,8 milliards d'euros par an. Et il en va de même pour les majorations de pension accordées aux retraités qui ont eu trois enfants coût 4,7 milliards d'euros par an. En tout, donc, près de 10 milliards d'euros sont transférés chaque année de la branche famille à la branche retraite de la Sécurité sociale. Dans ces conditions, il n'est donc pas étonnant que cette branche de la Sécurité sociale - pourtant la seule dont les dépenses sont en baisse (42 milliards d'euros) - soit devenue elle-même déficitaire (depuis 2008) et qu'il faille procéder à des réductions budgétaires. Évidemment, ces sinistres tours de passe-passe sont l'affaire de quelques initiés de la haute-administration et s'opèrent loin du regard des profanes. Le Président Hollande n'aura pas à répondre de ces pratiques puisqu'il ne se représente pas. En revanche, son ancien ministre des Finances, Emmanuel Macron, ne semble pas manquer d'ambition.

    Pierre Brionne monde&vie du 16 mars 2017

  • Libéralisme sociétal, européiste et mondialiste contre souveraineté nationale et identité française ?

    Analyse de Laurent Bouvet, professeur de Science politique à l'Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines et auteur de La Gauche zombie, chronique d'une malédiction politique :

    "Normalement, le barrage contre le FN s'érige au second tour de l'élection. La «gauche castor» désignant cette gauche qui ne s'intéresse au «danger lepéniste» qu'une fois le premier tour passé et la surprise d'un bon résultat frontiste avérée. Là, nous sommes dans une toute autre configuration: le danger de la «peste blonde» saisit tout le monde dès avant le premier tour puisqu'il y a une très forte probabilité pour que Marine Le Pen soit présente au second tour, et même qu'elle se qualifie pour celui-ci avec un score élevé au premier tour. (...)

    Le second tour de la présidentielle se déroule bien entre Macron et Le Pen, on verra s'installer à la fois un nouveau clivage structurant de la vie politique : entre un libéralisme aussi bien économique que culturel et «sociétal» assumé pro-européen et pro-mondialisation d'un côté et un antilibéralisme tout aussi assumé appuyé sur un retour à la souveraineté dans les frontières nationales et une définition culturaliste et organique de l'identité française. Ce nouveau clivage recoupant très largement une division à la fois sociale, territoriale et culturelle du pays.

    Dans un tel cas, le FN apparaîtrait en effet comme le pôle d'alternance majeur - dans l'opposition à une vaste coalition regroupée derrière Macron - pour les 5 prochaines années, attirant à lui à la fois des élus (issus de LR en particulier) et des électeurs. Une telle opposition justifierait alors pleinement le discours tenu de longue date par le FN représentant celui-ci comme un parti «anti-système». Une telle perspective posant la question du point d'arrivée en 2022 d'un tel système politique restructuré, au moins en partie, autour de ce clivage.

    Les forces classiques de la gauche et de la droite étant désormais sommées de se prononcer dans le cadre de ce clivage, soit pour l'accepter et rallier un des deux pôles (sous des formes qui peuvent être variables), soit pour le refuser et se retrouver en marge des débats politiques qui en résulteraient (...)

    «Nouveaux visages, nouveaux usages» dit Emmanuel Macron. Que vous inspirent les ralliements (de gauche ou de droite) des figures politiques chevronnées à En Marche?

    Il y a là, à la fois, quelque chose de très classique où l'on voit que certaines personnalités changent de trottoir assez aisément sans jamais changer de métier, cherchant à être du côté du futur pouvoir, et quelque chose d'assez nouveau: la mise en place avec une bonne probabilité de succès (contrairement aux tentatives précédentes) d'une force centrale sinon centriste dans la vie politique française."

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Macron a menti sur sa déclaration de patrimoine : 500 000 euros oubliés !

    Questionné par le journal La Croix du 12 mars 2017 sur la faiblesse de ce patrimoine après avoir gagné tant d’argent, l’ancien ministre répond : « Comme banquier d’affaires, j’avais le statut d’indépendant. J’ai donc payé, sur le montant brut de ma rémunération, des cotisations sociales patronales, salariales, puis l’impôt sur le revenu. Ces cotisations ont augmenté et frappé mon dernier revenu de référence, au point que je ne gagnais plus assez pour payer mes impôts ». Il signe là un double aveu :

    • de mensonge d’abord car le revenu indiqué n’est pas un revenu brut, avant cotisations, mais un revenu net imposable. Il n’a donc pas eu à imputer le revenu indiqué de cotisations qui en ont déjà été soustraites pour déclarer son revenu imposable ;

    • de faiblesse ensuite car s’il ne sait pas prévoir le paiement de ses impôts, comment peut-on lui confier la direction de la France ? Et s’il ne parvient pas à vivre sans emprunter alors qu’il se situe dans le 0,1% des Français qui ont les plus hauts revenus, quelle impéritie dans sa gestion personnelle !

    « Par ailleurs, ajoute-t-il encore en réponse au journal La Croix, j’ai procédé à des travaux dans la maison de famille de mon épouse, partiellement financés par des emprunts bancaires qui ont tous été déclarés, en 2011 et 2012. » Lesdits travaux auraient donc représenté des montants de l’ordre, selon les informations délivrées par ailleurs, d’au moins 500 000€. Il y a donc là une omission grave dans la déclaration de Monsieur Macron, tant d’ailleurs dans celle du 24 octobre 2014 que dans celle déposée le 16 mars 2017 ès qualités de candidat à l’élection présidentielle.

    En effet, si Monsieur Macron a réalisé des travaux dans la maison de sa femme, soit il a été convenu avec celle-ci qu’il devenait copropriétaire de ladite maison, soit il est resté propriétaire des améliorations apportées à celle-ci, soit encore il a conservé une créance sur son épouse à due concurrence. Cette dernière hypothèse est la plus probable, mais dans tous les cas il aurait dû déclarer le montant des travaux payés par lui dans son patrimoine.

    Il a pu encore donner cette somme à sa femme, mais non seulement ce n’est pas ce qu’il a déclaré, mais en sus, contrairement aux successions, les donations entre époux sont assujetties aux droits d’enregistrement au-delà d’un abattement de 80 724€. L’ancien ministre de l’économie devait savoir ça et il n’a pas payé de droits de donation.

    La loi est pourtant très claire. Elle dresse la liste des biens devant figurer dans la déclaration : immeubles bâtis et non bâtis, valeurs mobilières, assurances-vie, comptes bancaires courants ou d’épargne, livrets et autres produits d’épargne, biens mobiliers divers d’une valeur supérieure à un montant fixé par voie réglementaire, véhicules terrestres à moteur, bateaux et avions, fonds de commerce ou clientèles, charges et offices, biens mobiliers, immobiliers, comptes détenus à l’étranger, passif. La loi prévoit que « d’autres biens » devront être inclus dans la déclaration de patrimoine, c’est-à-dire tous les éléments du patrimoine d’une valeur substantielle.

    Source : ndf.fr

    http://www.altermedia.info/france-belgique/nouvelles-de-france/macron-a-menti-sur-sa-declaration-de-patrimoine-500-000-euros-oublies_181309.html#more-181309

  • François Hollande, champion toutes catégories de l’emploi fictif

    Grâce à des astuces et une petite faille dans la loi, François Hollande, l’homme qui affirmait haut et fort “Je n’aime pas les riches”, pourrait toucher près de 30 000 euros mensuels de retraite. 
    C’est désormais l’affaire de quelques jours. Les masques vont tomber lorsque François Hollande et ses amis soutiendront très officiellement Emmanuel Macron et lâcheront le pauvre Benoît Hamon, encalminé depuis des semaines à 14 % des intentions de vote. François Hollande, l’homme qui affirmait haut et fort “Je n’aime pas les riches” et qui a même fait campagne, on s’en souvient, contre “l’ennemi qui n’a pas de visage”. Mais si, il a un visage, plutôt avenant d’ailleurs : Emmanuel Macron, dont on ne retrouve pas, dans la déclaration de patrimoine, les millions d’euros gagnés chez Rothschild. Un nouvel oubli sans doute, après celui de son ISF. 
    Je rappelle l’excellente enquête de Marianne sur le “président normal”, qui s’est bien moqué des Français durant cinq ans et n’a rien à envier de ce point de vue à son prédécesseur, Nicolas Sarkozy. François Hollande pourrait en effet toucher au total près de 30 000 euros mensuels de retraite. Oui, vous avez bien lu ! Il toucherait ainsi en un mois ce qu’a touché l’épouse de François Fillon en six ! Comment est-ce possible ? Grâce à des astuces et une petite faille dans la loi, dans lesquelles François Hollande s’est glissé en catimini durant des décennies. 
    Détaché d’un poste quasiment jamais occupé 
    Au lieu de se mettre en disponibilité de la Cour des comptes, le conseiller référendaire Hollande s’est opportunément placé en détachement et son compteur a donc continué à engranger les annuités, pour un poste qu’il n’a pour ainsi dire jamais occupé ! Ainsi, grâce à ses différents mandats au cours de sa (très) longue carrière, pour moitié fictive, sa retraite finale pourrait atteindre cette somme faramineuse ! Notons que ledit compteur, pour ce qui concerne la fonction publique, s’est arrêté pour lui en 2012… mais qu’il pourrait bien tourner de nouveau, comme nous le verrons plus loin. 
    Telle est “la situation du fonctionnaire assurant les fonctions de président de la République”, avait indiqué la Cour des comptes à nos confrères, il y a deux ans. Pourtant, après le scandale Cahuzac, les fonctionnaires élus ou membres du gouvernement devaient normalement, depuis le 1er octobre 2014, se mettre en disponibilité – et non plus en détachement – comme leurs collègues désireux d’exercer dans le privé. Tout est dans le “normalement”… Ceux-ci avaient par ailleurs la faculté de se mettre en disponibilité de façon spontanée et “morale”, puisque cette dernière épithète nous est servie à l’envi par les amis de M. Hollande depuis “l’affaire Fillon”. 
    La situation du président “n’est expressément prévue par aucun texte, c’est donc le droit commun qui s’applique”, précisait-on à la Cour des comptes. En juin 2013, Alain Vidalies, alors ministre chargé des relations avec le Parlement, assurait toutefois que “le président de la République […] se mettra[it] en disponibilité”. Encore une promesse non tenue et une erreur de la banque… en sa faveur ! Il faut dire que François Hollande n’avait rien laissé au hasard et échafaudé son plan de carrière dans les moindres détails, au moins dès 1989. On le voit ainsi plein de morgue, dans une vidéo, se vanter d’être payé à ne rien faire et savourer son statut de “privilégié”, selon ses propres mots. 
    Il est utile de rappeler ici que François Hollande n’a pas été très assidu à la Cour des comptes : trois ans en début de carrière, en 1980… et quelques mois en 1993 ! Le conseiller référendaire a toujours été “détaché” comme élu, avec une seule courte “mise en disponibilité” entre 1993 et 1995 ! Par conséquent, il a pu ainsi accumuler trente-deux ans de droits ! 
    15 114 euros s’il tient parole 
    Suite à ces révélations explosives qui ne cadraient pas avec le personnage sobre et rigoureux qu’il souhaitait se forger au début de son mandat à l’Élysée (rappelons qu’il venait d’annoncer avec force publicité la baisse de son salaire de président de 30 % !), François Hollande avait rétropédalé et assuré qu’il ne souhaitait pas siéger “automatiquement” parmi les Sages du Conseil constitutionnel, alors qu’il avait déjà promis en 2012 la suppression de ce dispositif – nécessitant une révision de la Constitution. 
    En réalité, si en 2013 l’exécutif avait bien envisagé de proposer cette réforme au Parlement, il avait finalement une nouvelle fois reculé, craignant de ne pas réunir la majorité des 3/5 des parlementaires réunis en Congrès. Rien n’oblige donc François Hollande à respecter ses engagements oraux, hormis son sens de l’honneur… 
    Ainsi, en net, à ce jour, le futur ex-président est déjà assuré de toucher 15 114 euros mensuels de retraite, dès qu’il fera valoir ses droits. Acceptera-t-il de s’asseoir sur les 12 000 euros du Conseil constitutionnel en ne s’asseyant pas dans les fauteuils douillets de la rue Montpensier ? Sa trajectoire politique calamiteuse – comme sa carrière largement fictive dans la fonction publique – plaiderait plutôt pour le contraire, mais le pire n’est jamais sûr. En tout cas, avec François Hollande, le réel dépasse souvent le fictif : sans visage, sans vergogne… mais jamais sans ressources ! En Marche !

  • Traité de Rome, triste anniversaire !

    8830-20170329.jpgTout le gratin européen a donc célébré le 60e anniversaire du traité de Rome… à Rome. Les dirigeants européens étaient entre eux, se félicitant du traité d’hier et de l’Europe d’aujourd’hui. Les peuples n’étaient pas là, ni hier ni aujourd’hui. Triste anniversaire ! Quand, en 1957, les six pays fondateurs décidèrent, selon les termes du traité, « la création d’une union sans cesse plus étroite entre les peuples d’Europe », ils omirent simplement de demander leur avis aux peuples en question. Ils savaient déjà mieux que lui ce qui convient pour leur vie et leur avenir, les consulter n’avait donc aucun sens. La formule « sans cesse plus étroite » n’envisageait aucun retour en arrière, mais seulement une marche irréversible vers une union fédérale qui était l’idéal avoué des pères fondateurs. Leurs continuateurs n’ont rien changé. Ils veulent aller toujours plus loin. La réalité résiste-t-elle à l’utopie européiste ? C’est la réalité qui a tort et eux qui ont raison.

    Et pourtant, cette union-là n’a pas tenu ses promesses, ce dont les populations se rendent cruellement compte. Le traité affirmait que le but essentiel de ce qui s’appelait alors la Communauté européenne était « l’amélioration constante des conditions de vie et d’emploi de leurs peuples ». Or on constate une dégradation constante des conditions de vie et d’emploi après que les effets de « trente glorieuses » – qui ne devaient rien à l’Europe – se furent dissipés. Aujourd’hui, l’Union européenne est la lanterne rouge en matière de croissance dans le monde. Certes, il y a quelque oasis de prospérité dans le désert de l’austérité, notamment dans les pays du Nord, en Allemagne notamment. Ce n’était pas non plus cette évolution divergente en Europe que prévoyait le traité mais, au contraire, le « développement harmonieux, en réduisant l’écart entre les différentes régions et le retard des moins favorisées ».

    Quand l’échec est patent, que l’écart entre les promesses et la réalité est aussi flagrante, la sagesse voudrait que l’on renonce à ce qui fut un projet chimérique qui s’est mué, à cause de cet échec, en ce que Jacques Delors a appelé « un despotisme éclairé et doux ». Mais non ! Certes, n’étant ni aveugles, ni sourds, nos eurocrates voient bien la révolte des peuples européens contre ce despotisme de moins en moins éclairé. Mais ils l’attribuent non point à trop d’Europe mais à pas assez. Le chef du gouvernement italien, à Rome, a été chaudement applaudi par ses pairs quand il a déclaré, après avoir rappelé que l’union devait être toujours « plus étroite » : « Mais nous nous sommes arrêtés et cela a provoqué dans l’opinion publique une crise de rejet, cela a fait refleurir les nationalismes qu’on pensait relégués aux oubliettes. » En conséquence, il faut aller encore plus avant et à marche forcée. Jean-Claude Junker, président de la Commission européenne, pour exorciser le spectre d’une dislocation de l’Union, a annoncé qu’elle célébrerait aussi son centenaire. Mais là encore, comme toujours, il ne tient pas compte de l’instinct vital des nations qui ne veulent pas mourir, l’Union mourra avant elles.

    OGuy Rouvrais

    Article publié dans Présent daté du 28 mars 2017

    https://fr.novopress.info/204611/traite-de-rome-triste-anniversaire/

  • LES MYSTÉRIEUX FINANCEMENTS DE M. MACRON

    400 000 euros pour le meeting de campagne à Lyon, 20 000 euros par mois pour le QG parisien, 50 salariés à temps plein, un baryton de l'opéra de Paris pour travailler la voix du candidat, des contrats passés avec l'agence de stratégie électorale Liegey Muller Pons, des déplacements en cascade y compris à l'étranger...

    Une campagne, ça coûte cher, très cher. Emmanuel Macron le sait, lui qui pourrait se voir opposer une plainte pour avoir dépensé des fonds publics à son profit quand il était ministre de l'Économie : selon les journalistes Frédéric Says et Marion L'Hour (Dans l'enfer de Bercy, éd. JC Lattes), l'homme a employé à lui seul et en huit mois seulement 80% des frais annuels de représentation du ministère afin de préparer sa campagne présidentielle. Il s'est aussi appuyé à temps plein sur trois collaborateurs parlementaires censés n'être détachés qu'à mi-temps. Une paille, par rapport aux dépenses actuelles.

    Qui finance En Marche ? Longtemps discrète sur l'origine de ses fonds, l'équipe de communication tente aujourd'hui de déminer le terrain. Le mouvement serait ainsi rémunéré par 18 000 donateurs, affirme son secrétaire général. Mais seuls 3% d'entre eux assureraient l'essentiel des dons avec des apports supérieurs à 4 000 euros. Le discours officiel du mouvement d'Emmanuel Macron est simple : c'est un parti politique à part entière qui ne peut recevoir plus de 7 500 euros par personne. Contactée par Politique magazine, la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques a confirmé l'existence d'un parti dénommé « En Marche ». « Une association loi 1901 a été inscrite à la Commission et elle répond aux critères pour financer ce que l'on définit comme un parti politique », nous explique-t-on. Le président de cette association est Emmanuel Macron, et la structure a été inscrite auprès de la Commission le 20 février 2016, quand l'homme était encore ministre de l'Économie...Les rumeurs courent à son sujet. Lors de sa création, ladite association était domiciliée à l'adresse personnelle de Laurent Bigorgne, le directeur de l'Institut Montaigne. Or, ce lobby libéral favorable à l'Union européenne et à l'immigration est directement financé par les plus grandes multinationales européennes et américaines et certaines banques de Wall Street.  

    Politique magazine mars 2017 -  Consulter ... S'abonner ...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Oui, la France peut s’en sortir…avec le programme économique de Marine

    Par Bertrand Verny, Bureau de Bruno Gollnisch – Bruxelles – 

    Les experts,  ou les qualifiés de tels par le Système, seraient unanimes. Le programme économique de Marine Le Pen constituerait une réelle menace pour la France. Et même pour  l’Europe. Et même pour l’économie mondiale. Faut-il s’étonner que les tenants du Système, se sentant menacés, attaquent ? Non. D’autant plus qu’ils ont beaucoup à cacher. Car si les Français savaient réellement dans quel état ils ont laissés notre économie ils n’hésiteraient plus du tout. Jugeant avec les nombreux économistes qui entourent la Présidente du FN que son programme est de loin le meilleur et le plus cohérent.

    Pour les « experts », n’importe qui sauf Marine.

    Les experts sont d’accords au moins sur un point. N’importe quel candidat sauf  Marine!  Sous-entendu, on ne critique plus les autres points du programme, on a compris que les Français ne nous écoutent plus. Mais on concentre les attaques sur les questions économiques. Et pour cela on fait feu de tout bois. Journaux, télévisions  vont relayer tel avertissement d’une agence de notation, américaine, selon lequel la note de la France serait dégradée en cas de victoire du Front à l’ élection présidentielle. Ou bien un article du Wall Street Journal, ou une étude d’une banque quelconque. Et plus les prédictions sont effrayantes, plus le gras des titres est épais.

    Le Figaro s’est encore une fois distingué le lundi 20 mars. En une, sur l’édition papier, « la bataille des programmes, le choc des débats ». Avec  les cinq  photos des candidats invités par TF1. Celle de Fillon placée au centre. Et dans le sous-titre on découvre « Croissance, emploi, dette… selon l’iFrap, Fillon a le programme le plus efficace ». Et comme sur la toile on n’a pas le temps de s’arrêter aux détails,  le même jour en une du site, on retrouve le même titre choc, avec une magnifique photo du candidat Fillon posant entre une photo de De Gaulle à droite, et une de Seguin à gauche. Certains disent que si, contrairement à celui qu’ils encadrent, leurs costumes semblent de mauvaise coupe,  c’est parce qu’ils se retournent trop dans leur tombe à cause de l’utilisation que l’on fait de leurs idées. Que veut nous apprendre cette étude ? Croissance, dette, chômage, dépenses, prélèvements obligatoires : dans tous ces domaines, Fillon est le meilleur. Et devinez quel programme se révélera le pire pour la France ? Celui du Front  National. C’est le seul invariant de ces « études ». Pour le reste, cela  change selon le candidat soutenu.

    Le Système se défend, c’est normal.

    Et le Système utilise tous les moyens à sa disposition, ils sont nombreux et puissants, car il sait que s’il n’empêche pas le FN d’accéder au pouvoir il va tout perdre. Car, plus encore que le programme économique de Marine, ce qui menace les parasites c’est sa volonté de mettre le pouvoir politique au service du peuple français. La fin du rêve. Car aujourd’hui c’est le contraire. Par exemple, quand il y a des profits, c’est privé. Et quand il y a des dettes d’entreprises privées, par exemple des banques, l’État mutualise les pertes, et les fait supporter aux Français. Ça représente beaucoup d’argent, de pouvoir. On comprend que le Système ne veut pas perdre cela. Ni la sacro-sainte circulation des marchandises, des capitaux et des hommes.

    On connait le refrain. Encore plus d’échanges, ce serait plus de croissance, moins de chômage, plus de bien-être. C’est un dogme. Ça ne se discute pas. Et ce dogme est doublé d’un autre qui lui est semblable : Le protectionnisme, quel qu’il soit, c’est le mal. C’est un péché mortel. Maurice Allais, prix Nobel d’économie, avait montré que la libéralisation mondialiste du commerce profite exclusivement aux Multinationales. Il n’était pas contre les échanges bien sûr. Mais organisés.

    D’autant plus qu’il devra répondre de sa gestion catastrophique.

    Les tenants du Système cherchent non seulement à protéger leurs intérêts, ce qui est somme toute normal, mais en plus ils savent que si le pouvoir est exercé par quel qu’un qu’ils ne dominent pas, ils devront répondre de choix qui laissent le monde, l’Europe, la France dans une situation économique effroyable.

    Et ce n’est pas une exagération. Dans quel état nos « experts » ont-ils mis la France ? La dette de l’État représente environ 100% du PIB. Mais si l’on inclut le « hors bilan », c’est d’après la Cour des Comptes plus du double. La balance commerciale de la France se dégrade encore. Conséquence d’un euro trop élevé et de la désindustrialisation provoquée par l’ouverture sans discernement de nos marchés du fait de la politique de l’Union européenne. Avec aussi comme conséquence un taux de chômage insupportable, supérieur aux chiffres officiels. Tout cela avec des impôts et des charges sociales eux aussi à un niveau indécent. Et, malgré cela un déficit du budget élevé. Si encore, ce déficit finançait l’avenir, on pourrait y trouver une justification. Mais non, c’est pour assurer seulement une partie des dépenses courantes.

    Car, bien que les impôts augmentent, l’État ferme des lits d’hôpitaux en zone rurale, des casernes de pompiers, les bureaux de poste. Les soins sont moins remboursés, la justice ne peut plus fonctionner correctement faute de moyens suffisants, l’armée, les forces de police n’ont pas les  dotations nécessaires pour assurer pleinement leurs missions, le réseau routier et autoroutier n’est pas, comme de nombreuses infrastructures, entretenu correctement. Devant une telle situation, on attendrait de ces experts qu’ils se fassent discrets. Car « c’est l’hôpital qui se moque de la charité. » Ce n’est pas le cas.

    Raisonner avec des économistes compétents.

    Rien ne nous interdit de réfléchir. Et il y a l’embarras du choix pour trouver des économistes qui proposent des solutions qui écartent les erreurs ayant généré cette situation insupportable.D’Emmanuel Todd qui depuis longtemps préconise un « protectionnisme raisonnable » à Bernard Monot[1], conseiller économique de Marine Le Pen qui  défend un « protectionnisme intelligent ». De Jacques Sapir à plusieurs prix Nobel d’économie qui ont souligné les méfaits de l’euro[2]. De Michel Rocard, ancien Premier Ministre[3] à Maurice Allais, pour revenir sur la loi du 3 janvier 1973, la loi dite Pompidou-Giscard,  véritable cause de notre endettement, qui a retiré à la Banque de France le pouvoir régalien de créer la monnaie. Maurice Allais encore lui, a également produit de solides analyses en faveur de l’instauration d’ un système monétaire propice à des échanges et des économies qui se développent harmonieusement. Car pour s’en sortir il faut s’attaquer aux causes et agir sur elles. Sinon, le prochain Président ne pourra pas redresser l’économie de la France.

    Le redressement de notre économie est tout à fait possible.

    Contrairement aux défaitistes, qui n’y croyant plus, ne proposent que des emplâtres à poser sur une jambe de bois, nous pensons que la France peut s’en sortir. Et arrêter de reculer dans le classement des nations. Et même remonter. À quelles conditions ? En plus d’un cadre favorable, par la mise en place du protectionnisme intelligent, un choix monétaire adapté, la restauration de notre souveraineté monétaire, et celles des libertés économiques légitimes. La simplification de la vie des entreprises. L’économiste Jacques Bichot a estimé qu’en plus de freiner le dynamisme économique la complication administrative coûte chaque année au pays 14 milliards d’euros. Le redressement passe aussi par une politique fiscale qui ne décourage ni l’effort ni l’investissement.

    Nous ne doutons pas du résultat car la France, le peuple français possède des ressources extraordinaires. Qui ne demandent qu’à s’exprimer. Jacques Bainville, dans son Histoire de France, note que « de tout temps, la France n’a eu besoin que de travail et d’ordre pour revenir à l’aisance et à la richesse. » C’est à cela justement que tend le programme de Marine Le Pen : favoriser l’ordre et le travail. 

    [1] Économiste, Député français au Parlement européen, son site donne de précieuses informations http://bernardmonot.com/

    [2] Joseph Stiglitz L’Euro: comment la monnaie unique menace l’avenir de l’Europe. Editions Les Liens qui libèrent, 2016, 462 pages. Cf. aussi : Paul Krugman, dont les critiques contre l’euro sont connues, s’y ajoutent, notamment James Mirrlees (1996), Christopher Pissarides (2010) et Thomas Sargent (2011).

    [3] https://www.youtube.com/watch?v=PH7W6ddx8V4 à partir de 2’45. Michel Rocard, parle de la loi de 1974. Alors qu’elle a bien été votée en janvier 1973. Des éléments complémentaires ici : http://leplus.nouvelobs.com/contribution/213182-dette-publique-et-loi-rothschild-le-silence-des-medias.html . Ici, Marine Le Pen qui rappelle l’escroquerie de la loi de 73, et la nécessité de restaurer le pouvoir de la Banque de France : https://www.youtube.com/watch?v=Gl70dsyrViA à regarder jusqu’au bout. Car la conclusion dit tout !

    https://gollnisch.com/2017/03/28/oui-france-sen-sortir-programme-economique-de-marine/