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économie et finance - Page 444

  • Péages autoroutiers : la scandaleuse arnaque des Valls, Macron et Royal !

    La Cour des comptes a publié récemment « un rapport au vitriol pour dénoncer l’extraordinaire profitabilité de ces monopoles privés »

    En juillet dernier, à la veille de l’attentat de Nice, le tribunal administratif ordonnait à Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, de rendre publics les avenants au contrat signé le 9 avril 2015 avec les sociétés autoroutières. On se souvient, en effet, que le poète Villepin leur avait offert, en 2006, sur un plateau le pactole des concessions contre « l’engagement » du maintien des tarifs et l’entretien et le développement du réseau.

    Le respect des engagements étant au niveau des promesses politiques, la bronca commença à monter… Coups de menton de Manuel Valls, promesses de Ségolène Royal (ministre des Transports), on nous assura que non non non, l’usager ne serait pas plumé. D’où ce nouveau contrat du printemps 2015, arraché au terme « d’âpres négociations », comme dit la formule. Mais quant à savoir ce qu’il contenait… Mystère. Dans le principe, « en échange de la prolongation des concessions, le gel du tarif des péages en 2015 et une relance de l’investissement dans l’amélioration des axes autoroutiers ». Mais dans la réalité ? Mystère. Raison pour laquelle Raymond Avrillier, un ancien élu écologiste de la ville de Grenoble, avait saisi le tribunal. Comme la loi le permet, cet homme « réclamait depuis plus d’un an au ministre de l’Économie Emmanuel Macron l’accès à ces documents ». En vain.

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  • Sur le prétendu modèle social français

    L'un des points forts du dernier débat de la primaire de droite, le 24 novembre, fut l'échange pendant 4 minutes à partir de 21 h 28, entre Alain Juppé et François Fillon sur le prétendu modèle social français. Rappelons-en ici la teneur :

    Interrogé sur la rénovation du modèle social français, le futur vainqueur du débat s'en était pris à cette référence que l'on a coutume de situer, faussement mais non innocemment, en l'an 1945. "De quel modèle social parlez-vous ? Vous parlez d'un modèle social qui génère six millions de chômeurs, deux millions de jeunes sans formation, un modèle qui se traduit par le déclassement des classes moyennes, qui n'arrive pas endiguer l'explosion de la pauvreté (...), ce modèle social français n'existe plus dans la manière dont il est décrit".

    "Ce modèle social français n’existe plus. On n’est plus en 1945. On est dans un monde ouvert, et on a besoin de changer ce modèle pour qu’il soit plus juste, qui puisse venir en aide aux plus défavorisés", a-t-il ajouté, observant que ce modèle "prend l'eau de partout".

    "La meilleure politique sociale, c'est l’emploi", a-t-il souligné en conclusion.

    Au contraire, Juppé déclarait souhaiter "consolider" le modèle social français : "La principale menace sur le modèle social français, considérait-il, c'est la politique menée depuis 5 ans et l'incapacité à maîtriser le chômage."

    "Le modèle social français existe, déclarait alors Alain Juppé et j'ai l’intention de le consolider. Il faut le conforter et pas le casser, le consolider en y introduisant un principe de responsabilité".

    L'ex-premier ministre proposait à ce titre de "décaler l'âge de départ à la retraite progressivement à 65 ans", "d'aider tous ceux qui sont dans une situation difficile : veufs, veuves, retraités agricoles" et "d'attacher une importance particulière aux chômeurs de longue durée avec un pacte de retour à l'emploi."

    Une fois déclinée cette liste de cautères sur des jambes de bois, Alain Juppé a tenu à bien marquer son désaccord avec son rival François Fillon. "Je ne toucherai pas au taux de remboursement dont bénéficient les Français", a-t-il ajouté. Le maire de Bordeaux imagine plutôt possible "d'agir sur la gestion des caisses d'assurance-maladie, de lutter contre la fraude et de recadrer l'aide médicale d'État".

    Volant immédiatement au secours de Juppé, une Christiane Taubira n'a pas manqué de qualifier le projet de Fillon comme un "cocktail ultralibéralisme-régression sociale".

    Dans la pratique, les électeurs de droite n'ont pas hésité le 27 novembre en plébiscitant François Fillon et son projet.

    Dès les déclarations du président "normal" dans le cadre de son discours de renoncement du 1er décembre, confirmées par les intox de ses partisans on a pu comprendre la gauche imagine possible de sauver sa propre unité de façade en se battant sur ce terrain.

    1. Juppé est sorti de course. Nous ne le regretterons pas. Ses propositions de nouvelle "consolidation" de la sécurité sociale iront aux poubelles de l'Histoire, du moins sous la forme qu'il suggérait le 24 novembre.

    Dans le contexte actuel la seule "consolidation" qui s'impose sera celle des propositions de la droite, en commençant par une meilleure information sur ce que son candidat désigné par la primaire peut envisager s'il entend vraiment "désétatiser la protection sociale" et "donner la liberté à la liberté". On a entendu ces heureuses formules dans son grand discours du 18 novembre au Palais des Congrès. Il va devenir nécessaire de les préciser, de les documenter et de les confirmer.

    JG Malliarakis http://www.insolent.fr/

  • Journal du Mercredi 07 Décembre 2016 : Santé / La dictature des vaccins

  • Airbus, Axa, Ing, Caterpillar, Marks & Spencer : le mondialisme passe et l’emploi trépasse…

    Pieter Kerstens

    Et cela n’en finit plus ! Semaines après semaines, les usines ferment et les sociétés baissent le rideau. Douwe Egberts, MS Mode, Crelan, KBC, ajoutent leurs plans de restructuration aux licenciements collectifs ou aux mises à la retraite anticipée. Décidément, l’image de « plus d’Europe, encore plus d’Europe » chère à Jacques Delors, Manuel Baroso et Jean-Claude Juncker se trouve pour le moins très dégradée.

    Souvenons-nous : en mars 1997, la fermeture brutale de l’usine Renault à Vilvoorde en Belgique avait vu se profiler le consensus politique du lobby mondialiste. Depuis, Général Motors, Ford, Peugeot-Citroën ou Renault ont multiplié les fermetures de sites de fabrication et ce n’est pas terminé. Pour les élites politiques, il ne s’agit pas de vilipender la fermeture d’une usine, mais bien de stigmatiser hypocritement la manière inélégante des patrons de l’automobile ou de grandes sociétés, lors de décisions économicos-financières.

    N’oublions pas que depuis de très nombreuses années, les chefs d’Etat ou de gouvernement, les Chirac, Dehaene, Prodi, Zapatero, Kohl, leurs copains de la Commission Européenne et leurs successeurs, ont été les complices d’une politique d’ensemble qui s’est traduite par de larges et drastiques suppressions d’emplois, ainsi que par une atomisation des marchés nationaux au sein d’une conjoncture mondiale toujours plus contraignante. Mais ce que ces valets du Nouvel Ordre Mondial ont réussi à nous cacher pendant des décennies, éclate au nez et à la figure des peuples européens depuis que la Crise affecte profondément les familles et les structures de nos économies : le village mondial est une chimère et l’Organisation Mondiale du Commerce (ex-Gatt) n’est que l’instrument du bradage de produits de mauvaise qualité vendus à vil prix…dont le résultat est le chômage en Europe ! Et ne parlons pas du CETA en cours de signature, ni du TAFTA toujours en négociation.

    Cela fait des années que les travailleurs se rendent compte que « l’Europe du bien-être et de la prospérité », vantée par les charlatans qui nous gouvernent depuis plus de 40 ans, n’est qu’un vaste leurre et bien évidemment, notre avenir et celui de nos enfants (et petits-enfants) sera loin d’être rose. Au contraire, ces imbéciles aux commandes s’obstinent à gaspiller les deniers publics dans de fumeuses politiques « sociétales », de « solidarité » et du « vivr’ensemble » afin de capter le vote de clients/électeurs qui seraient redevables de ces prébendes, pour les maintenir plus tard dans leurs fonctions rémunératrices.

    Pour ces saltimbanques de la gestion à courte vue, l’austérité ou la rigueur sont des anathèmes, des « provocations » et des « insultes » aux travailleurs, bref en d’autres termes, inadéquats et impensables pour redresser la barre des finances publiques mises à mal par leur faute. Pourtant, ce sont quand même ces pourriticards et les socialauds-humanistes qui ont conduit nos économies au fond du gouffre financier où nous sommes aujourd’hui. Ils ont cependant, et ont toujours eu, la faculté d’imposer à temps des mesures drastiques et certes impopulaires, mais indispensables au redressement des entreprises nationales ou européennes.

    Il n’est pas encore trop tard pour tenir un langage de vérité, ni de sauver l’essentiel des structures sociales dans les pays européens, encore faudra-t-il trouver un certain courage politique pour éviter une catastrophe.

    En effet peut-on refuser maintenant, au point où on en est, la rigueur pour favoriser un laisser-aller illusoire ?

    En 1860, Abraham Lincoln déclarait devant le Congrès américain : «  Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l’employeur. Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche. Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez. » Ceux qui rêvent de prendre le Pouvoir dans le futur (en Autriche, en Hollande ou en France) feraient bien d’en tenir compte pour assainir les finances publiques !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’origine de la dette de la France : la loi Pompidou-Giscard-Rothschild de 1973

    Archives – Etienne Chouard, professeur d’économie, rappelle l’origine de l’endettement de la France : la loi Pompidou-Giscard-Rothschild de 1973.

  • Mangez français ! L’appel de Manon, jeune héroïne de la paysannerie française

    mangez-francais

    Manon Kernoa est une jolie adolescente de 16 ans, fille d’un producteur de lait à Landudec (Finistère). Elle est devenue l’héroïne de la paysannerie française depuis la publication, le 11 novembre 2016, d’une lettre ouverte intitulée « Mon père, ce héros »,  superbe hommage aux agriculteurs français qui fait un buzz extraordinaire et mérite de continuer à être largement diffusé.  

    manon-kernoa

    « Mon père, ce héros » :

    « Mon père, 53 ans, est agriculteur dans une petite ville de Bretagne.
    Certes, il y en a beaucoup dans ce cas, même si ce nombre ne cesse de baisser.
    Certes, il y a d’autres métiers plus difficiles que celui-là, plus physiques, qui touchent à la santé, à la protection.
    Mais j’ai peur pour l’avenir.

    Et oui, à 16 ans, j’ai peur pour l’avenir. Quelle idée ! J’ai peur de ce que les petites fermes de campagne vont devenir.
    Elles sont ancrées dans nos paysages, ont hérité de nos parents, de nos grands-parents, voire de nos arrières grands-parents.
    Elles font partie de notre patrimoine !

    Que va devenir mon père, quand il n’y aura plus que des fermes de 1 000 vaches, des usines de poudre à lait, ou encore des steaks totalement chimiques ?

    De plus, l’État, ainsi que l’Europe, leur donnent de moins en moins d’aides.
    Que penser, quand nous entendons tous les jours, à la télévision ou à la radio, que le prix du lait ne cesse de baisser, passant sous la barre des 30 centimes au litre ?
    Connaissez-vous beaucoup de personnes, qui après une semaine de travail déjà difficile, sacrifieraient leurs week-ends en amoureux, leurs vacances en famille, pour nourrir des individus qui n’ont aucune considération de leur travail, qui cherchent toujours à trouver le prix le plus faible pour manger, en ignorant leur provenance, quitte à endetter les agriculteurs français ?

    Seriez-vous prêt à vous installer dans une exploitation, lorsque tout votre entourage ne vous le conseille pas ?
    Seriez-vous prêt à vous engager dans une nouvelle vie, avec ses avantages et ses inconvénients ?
    Seriez-vous prêt à suivre votre vocation, alors que l’avenir ne semble pas être à votre avantage ?
    Et oui, à 16 ans, j’ai peur pour l’avenir.
    Sauvez les agriculteurs français, mangez français ! »

    http://www.medias-presse.info/mangez-francais-lappel-de-manon-jeune-heroine-de-la-paysannerie-francaise/65322/

  • Intervention de Marion Maréchal-Le Pen sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale.