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économie et finance - Page 475

  • Guerre civile et islamisme : Les millionnaires quittent la France en masse

  • Qui veut investir en France, avec les impôts les plus forts de l’OCDE ?

    De Mylène Troszczynski, député européen du groupe ENL, sur Boulevard Voltaire:

    "[...] Le ressort de l’économie française est-il cassé ? Trop d’impôts, de charges et de normes. Qui veut investir en France, avec les impôts les plus forts de l’OCDE ? L’ardeur au travail des classes moyennes s’émousse avec l’alourdissement de leurs impôts. Après l’effondrement de notre industrie, c’est au tour de notre agriculture. Le gouvernement a proposé des avances de trésorerie, quand il aurait fallu des baisses de charges et de normes. La FNSEA s’en est contentée. Nos agriculteurs trahis par leurs représentants verront, selon le ministère, 25.000 exploitations fermer d’ici la fin de l’année.

    Sans producteurs de richesses, qui financera nos logements sociaux, nos chômeurs, nos retraités, nos fonctionnaires, nos hôpitaux, nos écoles ? Qui paiera pour tous les réfugiés, pauvres, qui affluent « par millions » selon Donald Tusk, président du Conseil européen. Personne, au sein de nos « élites », ne se pose la question. Notre État survit en accumulant des dettes : 2.100 milliards d’euros. Avec toujours plus de dépenses et toujours moins de créations de richesses. Est-ce viable ?"

    Michel Janva

  • C’est George Soros qui a financé les « Panama Papers » !

    Ce qui m’a fait dresser l’oreille sont les « unes » de ces journaux…

    D’abord, je n’y prête qu’une oreille distraite. Lorsque j’entends que l’affaire commence par un « lanceur anonyme d’alertes », ma première réflexion est : « Que c’est bizarre. Généralement, les lanceurs d’alertes ne cachent jamais leurs noms. » Puis, cris et chuchotements, indignations globalisées, les cris d’orfraies sont de sortie ! C’est à la Süddeutsche Zeitung que « l’anonyme » s’est adressé. Je souligne que ce quotidien fait partie d’un mastodonte médiatique allemand, Süddeutscher Verlag, dont les tentacules s’étendent à la Suisse, en passant par l’Autriche, pour se déployer dans toute l’Europe centrale et de l’Est… Il n’y a pas de hasard.

    Les documents dévoilés sont en provenance d’une firme panaméenne, Mossack Fonseca, et dénoncent un grand nombre de personnalités célèbres comme fraudeurs fiscaux. On nous raconte que des centaines de journalistes de tous les pays auraient collaboré à l’étude de ces documents, tout cela sous l’égide d’une association américaine « bien propre sur elle », la ICIJ – The International Consortium of Investigative Journalists. Et pour nous faire gober l’importance de l’histoire, on nous chante qu’il faudrait trente ans pour « éplucher » tous ces documents…

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  • Toujours plus de pauvres en France !

    Le site L'Or et l'Argent a publié l'étude suivante, intéressante à lire. «Tout ça pour ça ? » avons-nous souvent répété depuis la création de ce site. La situation ici décrite n'est en effet à l'honneur ni de la République, ni de ses supposées valeurs, ni du capitalisme moderne. « Liberté, égalité, fraternité » avez-vous dit ? Ce n'étaient que des mots, des slogans et, aujourd'hui, de la moraline. D'où le désenchantement du politique, le mépris dans lequel les Français tiennent très majoritairement le Système. Et Changer de paradigme deviendra au bout du compte un besoin impératif.  En attendant, la nouvelle génération d'Action française nous paraît avoir raison de penser aux pauvres de France [illustration en titre]. « Aidons la nation, pas l'immigration » : ainsi se reforment - au moins - les solidarités naturelles. C'est à dire historiques. LFAR

     En dépit de l’optimisme (discret) des pouvoirs publics relayés par l’Insee, et après des décennies de baisse régulière, le nombre de pauvres en France ne cesse de progresser depuis une dizaine d’années. Ainsi, la France compte désormais 8,6 millions de pauvres, principalement sous l’effet de la progression du chômage, dont 2 millions vivent avec moins de 667 euros par mois. Cependant, les demandeurs d’emploi ne sont pas les seuls concernés, loin de là, et de plus en plus de personnes vivent sous le seuil de pauvreté en étant pourtant salariés, retraités… voire chefs d’entreprise !

    Comment mesure-t-on la pauvreté ?

    D’après l’Insee, un individu (ou un ménage) est considéré comme pauvre lorsque ses revenus sont inférieur au seuil de pauvreté. Dans l’Union Européenne, on estime que ce seuil correspond à 60% du salaire médian (salaire théorique tel que 50% de la population gagne moins et 50% gagne plus). En France, il est donc d’environ 1000 euros par mois et par personne.

    En 2005, les Français dont les revenus se situaient en-dessous du seuil de pauvreté représentaient 12% de la population. Depuis, ce pourcentage n’a cessé d’augmenter pour atteindre 14.3% en 2014. Et aujourd’hui, la pauvreté touche un grand nombre de catégories sociales, avec ou sans emploi.

    Les exclus du monde du travail

    Avec plus de 14 mois d’indemnisation en moyenne (418 jours) selon les derniers chiffres Insee publiés au début de l’année, les chômeurs de longue durée formeront bientôt la majorité des demandeurs d’emploi (ils sont aujourd’hui près de 45%). Or on le sait, au-delà d’une certaine durée de chômage, l’employabilité des individus diminue et, bien souvent, les demandeurs d’emploi qui ne trouvent pas de travail au bout de quelques mois multiplie leurs risques d’épuiser tous leurs droits à indemnisation avant de sortir du système classique. Pour la plupart d’entre eux, ils deviennent alors éligibles au revenu de solidarité active (RSA) qui correspond à un peu moins de 500 euros par mois pour une personne seule. Aujourd’hui, la France compte 2 millions de bénéficiaires du RSA.

    Davantage de retraités pauvres

    En 2015, le nombre de retraités pauvres a franchi le seuil du million de personnes, en progression de près de 4% par rapport à l’année précédente. Elle semble loin l’époque où les seniors étaient la génération dorée, cible de tous les marketeurs, car aujourd’hui de plus en plus de retraités perçoivent les minimas sociaux. Quant aux autres, le système de retraite par répartition ayant atteint ses limites, les pensions ont de plus en plus souvent tendance à être gelées tout en se voyant désormais ponctionnées de prélèvements sociaux qui les épargnaient jusqu’alors.

    Un nombre croissant de travailleurs pauvres

    L’Observatoire des inégalités est formel : avoir un emploi ne protège plus de la pauvreté et les travailleurs dont le niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté sont plus nombreux chaque année. En 2015, près de 2 millions de personnes exerçant un emploi disposaient ainsi d’un revenu net inférieur au seuil de pauvreté.

    Même les entrepreneurs peuvent être pauvres

    Dans l’inconscient collectif, un chef d’entreprise ne peut pas être pauvre. Et pourtant, sur les 3 millions de TPE et de microentreprises comptabilisées par l’Insee, une majorité est constituée d’entreprises dont l’effectif se limite au seul responsable et un grand nombre d’entre eux ne parviennent pas à vivre de leur activité. Ainsi, sur 1 million d’auto-entrepreneurs, plus de 80% gagnent entre 0 et 1000 euros par mois. Certes, beaucoup exercent à titre secondaire tout en ayant un emploi principal par ailleurs, mais pour tous ceux qui travaillent à temps plein dans leur micro-entreprise, les fins de mois sont particulièrement difficiles. Quant aux autres TPE (EURL, SASU, professions libérales…) plus de la moitié n’ont pas la possibilité de financer l’équivalent d’un salaire à temps plein à leur responsable, même au SMIC, et 20% des travailleurs indépendants sont désormais sous le seuil de pauvreté. Voire n’ont pas de revenu du tout.

    Au début du mois de mars 2016, l’Insee annonçait que la pauvreté avait légèrement reculé en France, passant de 14.3 à 14% de la population. Néanmoins, il reste toujours 3,8 millions de mal-logés et 3,9 millions de bénéficiaires de l’aide alimentaire... 

    Anthony Alberti

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2016/04/05/toujours-plus-de-pauvres-en-france.html

  • Dix mille millionnaires auraient quitté la France en raison de la montée des tensions

    Le fait que les plus riches abandonnent le navire est inquiétant et le gouvernement devrait se poser les bonnes questions :

    "La montée des tensions, notamment après les attentats islamistes à Paris en 2015, a contribué à l’accélération de l’exode des personnes les plus aisées du pays, selon une rapport récent. (...)

    La France arrive en tête de classement avec 10 000 millionnaires ayant quitté le pays en un an, soit 3% du nombre total vivant dans l’Hexagone. Parmi les villes impactées par ces départs, Paris arrive en tête avec 7 000 millionnaires qui ont sont partis pour s’installer au Royaume-Uni, aux USA, au Canada, en Australie ou en Israël.

    “L’énorme émigration des millionnaires depuis la France est notable, la France étant lourdement impactée par l’accroissement des tensions entre chrétiens et musulmans, surtout dans les zones urbaines. Nous estimons que l’émigration des millionnaires depuis la France va s’accélérer durant la prochaine décennie à mesure que les tensions vont continuer d’augmenter“ avertit le rapport.

    Bien entendu, Le Monde et le gouvernement n'apprécient pas cette étude du cabinet d’analyse sud-africain New World Wealth, relayée notamment par le site d'information International Business Times sans doute à cause de la façon dont ces journalistes "étrangers" perçoivent la situation, pourtant dramatique, en France :

    "Insuffisant donc pour évaluer la fiabilité des chiffres donnés dans l’enquête, ainsi que pour savoir dans quelle mesure l’apparition de « tensions religieuses » est apparue pour justifier des départs (...) Le problème, c’est que, jusqu’ici, les études sur les départs de personnalités fortunées ne mettent pas en évidence des motivations religieuses (...)

    Si c’était avéré, ce serait un élément nouveau et inquiétant, nous précise Hélène Conway-Mouret (PS), ex-ministre déléguée des Français de l’étranger et actuellement sénatrice des Français établis hors de France.Mais jusqu’ici, je n’ai jamais rencontré une seule personne dans ce cas, y compris après les attentats de 2015. En général, les gens ne fuient pas la France parce que ce serait devenu un pays invivable. Quand je rencontre des Français, ils me disent plutôt partir pour des opportunités économiques. "

    La ministre n'a jamais rencontré une personne dans ce cas. Comme si les millionnaires allaient s'épancher auprès des socialistes ! Tout va donc très bien, madame la Marquise.... On ne change rien.

    Je trouve, au contraire, que cette étude reste tout à fait crédible. Il n'est pas rare d'entendre des familles dire qu'elles envisagent de quitter la France pour préserver leur avenir. Et il ne s'agit pas forcément de millionnaires. Cela avait même été médiatiquement mise en avant début 2015 à propos des nombreux départs de juifs vers Israël. Mais il est vrai que vouloir se mettre à l'abris des attentats terroristes ou des tensions dues à la montée du communautarisme n'est pas une "motivation religieuse".

    Philippe Carhon

  • Il existe bien un suicide économique de notre pays qui n’est pas imputable à l’euro

    Extraits d'un entretien donné par Jacques Bompard, maire d’Orange et député de Vaucluse, président de la Ligue du Sud, au Rouge & Le Noir :

    "[...] La défense de la vie et de la famille est la condition à tout politique vertueuse. Ainsi, l’explosion des familles, notamment par le divorce de masse, a largement endommagé la société ! La négation constante de la différence des sexes complète une visée cosmopolite de l’indifférenciation. L’avortement érigé en principe organisateur de la cité, l’instrumentalisation des actions de la recherche scientifique par le transhumanisme condamnent, de facto, notre société au chaos. En somme, la défense de l’anthropologie chrétienne n’est pas un combat identitaire, elle est la seule fondation possible pour une action politique juste.L’évangélisation relève d’un autre charisme que je respecte assez pour ne pas y introduire des mandats. Reste à espérer que les clercs fassent de même. [...]

    La première victime de la Ve République c’est l’agriculture. La mécanisation outrancière, le mépris affiché pour les savoir-faire ancestraux, la rupture avec les lignées paysannes ont entrainé une rupture dans les tissus économiques et géographiques de notre pays. Que veulent réellement les paysans ? Vivre de leur travail. Or les exploitations agricoles sont aujourd’hui victimes : du racket fiscal, des distorsions normatives, de la mondialisation malheureuse.

    Une affaire récente l’a d’ailleurs parfaitement incarné : du vin chilien sera vendu sur le tour de France. Le localisme est une des conditions sine qua non du rétablissement d’une partie du monde paysan. Les circuits courts, les identités locales, la rationalisation de la consommation sont autant d’éléments primordiaux que nous devons mettre en avant ! Perico Legasse l’exprime d’ailleurs avec brio dans son récent ouvrage : A table citoyens !

    Les Français restent majoritairement attachés à l’euro. Le vice-président du Front national, Florian Philippot, a récemment réaffirmé que “tout le monde au Front national est pour la fin de l’euro” et que la France aurait “une monnaie nationale” au bout de six mois au maximum s’il arrivait au pouvoir. Quelle est votre position sur ce sujet ?

    Florian Philippot confond la confrontation au réel, c’est-à-dire la politique, avec les jeux vidéo. Comme l’une des figurines qu’il doit apprécier, le numéro deux du Front National poursuit des totems. Or, la question économique réclame mieux que quelques imprécations monétaires parsemées de résumés pseudo-savants d’Alternatives Économiques.

    D’ailleurs, la droite nationale ne l’a pas attendu pour rappeler que l’Union Européenne ne serait jamais une zone monétaire optimale, que la concurrence du dollar passait par un projet de puissance de tous les corps sociaux, que l’Europe allemande ne valait finalement pas beaucoup mieux que l’Europe américaine.

    Mais les faits sont là et l’Europe existe, pénalisant pour partie notre économie. En faire toutefois la cause unique de nos déboires économiques, c’est oublier une grande partie des errements provoqués par la cohorte d’énarques et de dirigeants cooptés : le marché du travail est étouffé par une réglementation excessive, les ménages sont harcelés par le racket fiscal, les indépendants subissent des inventions législatives toujours plus obséquieuses.

    Il existe donc bien un suicide économique de notre pays qui n’est pas imputable à l’euro. Promettre aux Français le plein emploi et l’abondance une fois sorti des débats de Frankfort et Bruxelles, c’est mentir, c’est tromper, et c’est avouer son incompétence.

    Par ailleurs, le retour à une monnaie nationale en six mois est absolument irréaliste : les parités monétaires, les coûts d’étiquette, les libellés de compte devraient être modifiés pour une plus longue période.

    Alors recouvrer notre souveraineté monétaire un jour, oui ! Fantasmer et manipuler, non, en tout cas pas à droite. [...]"

    Michel Janva

  • Bernard Monot présente le Bulletin économique du Front National - 01/04/2016

  • Politique et éco N°84 : La guerre perdue contre l'islam radical

  • Résistance fiscale

    Le journal « Sud-Ouest » relate une anecdote pas banale: un agriculteur du Lot-et-Garonne, échaudé de devoir payer des impôts alors que sa profession subit de plein fouet les effets désastreux de la politique bruxelloise, se rend fin 2015 à Marmande pour s’acquitter de ses taxes, accompagné des animaux de sa ferme. Malheureusement, ces-derniers n’étant pas profilés pour le centre-ville, laissent dans le Centre des Impôts des traces de leur passage, traces pour lesquelles notre récalcitrant s’est vu infliger dernièrement une amende de quelque 230 euros pour dégradation de biens publics. Le paysan, à qui on ne la fait pas, riposte en s’acquittant de sa dette avec 23.000 pièces de 1 centime ! Affaire à suivre, ce paiement en minces espèces n’ayant pas été accepté par le Trésor Public…

    http://www.contre-info.com/

  • Qui profite du trafic de pétrole de Daech?

    Aujourd'hui, la tâche d'Ankara est de déterminer les acteurs concrets impliqués dans le trafic de pétrole entre Daech et la Turquie. Pour l'Etat, le profit du trafic est modique, mais pour les individus et les entreprises, cette activité pourrait être relativement rentable, explique l'ex-député du Parti républicain du peuple Mehmet Şeker à Sputnik.
    Les documents portant sur les relations Turquie-Daech à propos du pétrole, dévoilées dans un documentaire de la chaîne de télévision RT, font toujours partie de l'ordre du jour en Turquie. Maintenant, la question est soulevée au parlement turc.
    Le député de la province d'Ankara du Parti républicain du peuple (CHP), parti d'opposition, Murat Emir a présenté une demande devant le premier ministre Ahmet Davutoglu pour qu'il fournisse des informations sur les documents présentés dans le film.
    Entre-temps, l'ex-député du CHP de la province de Gaziantep Mehmet Şeker a commenté la situation dans un entretien accordé à Sputnik.
    "Malheureusement, nous ne disposons pas d'informations fiables sur les directions où est acheminé le pétrole vendu par Daech en Syrie et quels pays en achètent. Mais nous savons que la plupart de ce pétrole se dirige vers le Kurdistan irakien où il est traité pour être vendu plus loin", signale l'ancien député.
    Toutefois, ce qui se passe ensuite est très difficile à déterminer: à qui reviennent les profits et à qui et comment le pétrole est vendu. Cependant, nous savons que le brut, dont le prix s'élève à 40 dollars le baril sur le marché international, est bradé par Daech pour entre 17 et 18 dollars le baril.
    En cela, Mehmet Şeker ne croit pas que ce processus se déroule directement au niveau gouvernemental. Les chiffres ne sont pas si élevés, et les Etats n'entendent pas y participer, qu'il s'agisse des Etats-Unis, du Royaume-Uni, de la Turquie ou de n'importe quel autre pays.
    "Les sommes sont modiques, rapportées à la moyenne étatique. Alors que des individus ou des sociétés peuvent entreprendre cette activité car les profits dans ce cas sont considérables. Si, par exemple, le pétrole se vend à 250 millions de dollars par an, la moitié de cette somme devient un revenu net. Ainsi, il est plus probable que le niveau personnel soit impliqué dans ce processus", estime M. Şeker.
    Cet argent est utilisé pour financer le terrorisme. Les djihadistes le dépensent pour acheter des armes, des explosifs, des munitions dont ils se servent pour perpétrer des attentats en Turquie et en Europe.
    Il est donc important qu'on dévoile les acteurs impliqués dans ce processus. Ces gens doivent en être tenus responsables au niveau international, fustige M. Şeker. Oui, le trafic de pétrole est réalisé par des personnes concrètes alors que des Etats entiers ferment les yeux sur ce problème.
    "Si les pays développés ne vendaient pas d'armes sauf aux armées officielles, il n'existerait pas le terme de +terrorisme+. Et si le pétrole n'était acheté que par les pays-producteurs, les groupes terroristes comme Daech ne disposeraient pas d'une telle source inépuisable de revenu", résume-t-il.
    Malheureusement, ce processus a déjà lieu, et en Turquie il existe des gens impliqués. Mais on n'a pas pour le moment de preuves concrètes qui le confirment, résume l'interlocuteur de Sputnik.

    Sputnik :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuVAkFFAAuPXPuesFW.shtml