Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

économie et finance - Page 478

  • La Russie refuse le dollar lors de la vente de son pétrole

    La Russie s’apprête à lancer son propre contrat à terme s’agissant de son principal produit d’exportation, le pétrole Urals, afin d’augmenter ses profits et de mettre fin au calcul des prix du brut en dollar.
    Une plateforme à terme est en train d’être formée auprès de la Bourse internationale de Saint-Pétersbourg qui mène à l’heure actuelle des pourparlers avec des entreprises de trading étrangères, indique Bloomberg.
    L’objectif consiste à créer un système où le pétrole est évalué et vendu d’une manière juste et ouverte, a déclaré le président de la bourse Alexeï Rybnikov.
    La création de son propre marché à terme permettra à Moscou d’améliorer le mécanisme de formations des prix du pétrole Urals et aux compagnies nationales d’obtenir des profits supplémentaires.
    Aujourd’hui, le pétrole Urals de la catégorie inférieure se vend avec une décote par rapport au pétrole Brent.
    Au cours des deux premiers mois de 2016, le coût du pétrole Urals a été estimé à 29,69 dollars le baril, ce qui est 1,7 fois moins qu’à la même période l’année passée. A l’époque, l’Urals se vendait 51,81 dollars.
    Le pétrole Urals est une sorte de brut extrait en Russie et destiné à l’export. Les gisements se trouvent dans la région de la Volga, dans l’Oural, dans les districts autonomes des Khantys-Mansis — Iougra et de Iamalo-Nénétsie. Les revenus provenant des ventes du pétrole à l’étranger occupent environ 40% du budget russe.

     

    al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuykEpZEVVhujnnKem.shtml

  • Limiter les dépassements d’honoraires… Résultat : le patient paiera !

    Le pire est encore à venir.

    « Les contrats responsables (appellation de type publicitaire, des plus floues) sont des contrats collectifs de complémentaire santé dont les garanties répondent à certaines prescriptions réglementaires destinées à modérer les dépenses de santé. » Ils auraient été créés pour mieux maîtriser les dépenses de santé, éternelle question évoquée depuis plus de 30 ans !

    On sait ce qu’il en est des frais dentaires. Récemment, la focale a été mise sur la question des lunettes et des frais d’optique.

    Dans l’esprit du ministre en charge de ces affaires, les médecins dépasseraient les « tarifs Sécu », étant donné que les patients sont couverts en tout état de cause par des assurances complémentaires. Dans sa logique de premier degré, elle a donc la conviction qu’en plafonnant les remboursements, elle limitera les dépassements.

    Cette approche du problème n’est malheureusement étayée par aucune étude sérieuse. On peut même soutenir le contraire que beaucoup de Français accepteront de payer de leur poche pour consulter le plus grand spécialiste censé améliorer leur durée de vie ou sauver leur enfant d’une maladie rare ; le montant du remboursement de la Sécurité sociale n’y changeant rien.

    Autrement dit, la conviction de Marisol Touraine est d’abord fondée sur une posture idéologique, qui est aussi celle des députés qui défendent son projet.

    Lire la suite

     

  • De Jean Monnet à Barack Obama, le rêve fou de l’État mondial

    Actualité relativement encombrée au sommet du Babel bruxellois, tout à sa dérive idéologiquement mortifère pour les peuples et les nations d’Europe.

    Tout d’abord, ce 26 avril, la Commission européenne exposait sa « nouvelle » vision stratégique concernant la façon dont son action extérieure contribuerait à « aider les migrants à devenir plus autonomes (…) avec un accès à l’éducation et aux moyens de subsistance », selon les mots du Commissaire européen à l’aide humanitaire et à la gestion de crise, Christos Stylianides.

    Dans le même temps, se tient, à New-York, le treizième cycle de négociations sur le TTIP, du 25 au 29 avril 2016, la présence de Barack Obama sur le continent européen n’étant donc pas tout à fait fortuite si l’on en juge par ses récentes prises de position, à Londres comme à Berlin, tant à l’encontre du « Brexit » qu’en faveur du TAFTA (« Trans-Atlantic Free Trade Agreement », également connu sous l’acronyme de TTIP, « Transatlantic Trade and Investment Partnership » ou Partenariat Transatlantique de Commerce et d’Investissement).

    Renforcement de la porosité des « frontières » extérieures européennes, d’un côté, abaissement – sinon disparition pure et simple – des barrières tarifaires et non tarifaires, de l’autre. Deux mouvements convergents qui, dans une unité de temps remarquable, résument à eux-seuls le grand projet mondialiste de gouvernance mondiale.

    Unité méthodologique aussi. Naguère appelée Communauté économique européenne, l’UE dut passer, stratégiquement, par l’étape sectorielle de la CECA (Communauté européenne du charbon et de l’acier), selon un plan imaginé par son principal instigateur, Jean Monnet. Ce dernier considérait, en effet, que « la construction économique devait essentiellement être une étape vers une construction politique (…), notre préoccupation principale [étant] d’arriver à la disparition des souverainetés nationales absolues ». Évacuation du politique, primat de l’économique, logique intégrative, irréversibilité, institutionnalisation, tels sont les piliers aujourd’hui empruntés au « Père » de l’Europe pour bâtir la nouvelle union euro-atlantique, dernière étape avant le grand saut vers le gouvernement mondial. Dès lors, dans cette optique, a-t-on commencé par ouvrir la circulation des personnes (ici celle des immigrants), puis celle des marchandises et des capitaux (le fameux accès aux « marchés publics » américains).

    Ainsi, la Commission européenne œuvre pour que « l’Europe reste une destination attrayante pour les migrants dans un contexte de déclin démographique », tout en souhaitant « éliminer [les] droits ainsi que d’autres obstacles au commerce, dont les contrôles administratifs trop longs (…) augmentent les coûts des échanges de marchandises ».

    Les rôles semblent d’ailleurs rigoureusement distribués ; à l’UE la gestion des flux migratoires, aux États-Unis, la mise en place d’un marché économique transatlantique intégré. En outre, si la première peut compter sur l’afflux régulier de populations allogènes sur ses côtes, pour rendre impossible toute « ré-émigration » massive éventuelle, les seconds ont pris soin d’emmailler le processus euro-atlantiste dans une série de traités préalables dont l’ignorance du grand public est proportionnelle à son inéluctabilité.

    Or, excepté les habituels initiés, qui a entendu parler du CETA (« Comprehensive Economic and Trade Agreement »), cet accord commercial (actuellement rediscuté sur ses marges, notamment sur le recours à l’arbitrage privé) entre l’Union européenne et le Canada conclut le 26 septembre 2014 à Ottawa entre le Premier ministre canadien Stephen Harper et le président de la Commission européenne de l’époque, José Manuel Barroso ? Et qui sait, finalement, que le TISA ou Accord sur le commerce des services (« Trade in Services Agreement »), en discussion depuis 2014, a pour objectif de libéraliser l’intégralité du marché des services, à commencer par ceux faisant l’objet d’un monopole public, soit les services publics ?

    Et, dans le plus grand silence médiatique, le traité transpacifique (TPP), a été officiellement signé, le 4 février dernier, à Auckland (Nouvelle-Zélande) entre les États-Unis, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, le Canada, le Mexique, le Pérou, le Chili, le Japon, la Malaisie, le Vietnam, le Singapour et Brunei…

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2016/04/30/de-jean-monnet-a-barack-obama-le-reve-fou-de-l-etat-mondial.html

  • 10 subventions ahurissantes de la Ville de Paris (la 5e est incroyable)

    Alors que le revêtement des rues est par endroits dans un état catastrophique…

    Vu chez Contribuables associés :

    «  Fin mars, le Conseil de Paris s’est réuni en séance plénière. Au programme : vote d’aménagements urbains, règlements locaux, autorisations d’urbanisme, travaux dans des écoles … Mais, surtout distribution de subventions aux associations. Flop 10 de ces pratiques clientélistes qui voient l’argent des contribuables être jetté par les fenêtres.

    1. 3 500 euros pour le « Festival international du film lesbien ». L’an dernier, cette cérémonie proposait notamment un « tutoriel Crash Pad’s Guide to Fisting », présenté comme une « rencontre entre le porno queer et l’éducation sexuelle dans ce premier « guide filmé » du fist ». 

    2. 30 000 euros à l’UNEF(Union Nationale des Étudiants de France). A savoir : Bruno Julliard, premier adjoint du Maire de Paris, avait été président de ce mouvement se définissant comme « ancré à gauche » et « internationaliste » de 2005 à 2007.

    3. 13 000 euros pour l’association « Les Ami-e-s du Mage » pour des colloques et débats sur les « questions de genre et du travail ».

    4. 4 000 euros à SOS Racisme pour « lancer des campagnes de mobilisation des Parisien-ne-s ainsi que des actions de proximité ou de terrain pour enclencher des dynamiques citoyennes autour du combat pour l’égalité ».

    Contribuables Associés dénonce depuis des années les subventions de cette association politique, largement bénéficiaire de la réserve parlementaire et vivant sous perfusion d’argent public malgré son faible nombre d’adhérents.

    5. 10 000 euros à l’association KI PRODUCTION pour le projet « AQUA FOOT », afin de réaliser un « film subaquatique s’inspirant des plus beaux gestes et passes de football ». La maire de Paris s’agite à donner des coups de pieds dans l’eau… avec notre argent !

    6. 20 000 euros à l’association « Les dégommeuses » pour faire participer « 15 joueur-se-s et activistes LGBT » à des tournois de foots. ( LGBT = Lesbiens Gays Bisexuels et Transexuels).

    7. 44 500 euros à l’association Hip-Hop citoyens pour le « développement de la citoyenneté dans le mouvement Hip-Hop »

    8. 5 000 euros pour « Les amis des combattants en Espagne républicaine », rappelons que les grands-parents d’Anne Hidalgo sont des exilés républicains de la guerre civile espagnole.

    9. 5 000 euros à l’association Pèlerinage en décalage pour l’organisation d’un « festival artistique israélo-palestinien ».

    10. 10 000 euros pour l’organisation du « Festival Sarajevo-sur-Seine » à Paris par l’association « European Grassroots Antiracist Movement ».

    Source : Compte rendu du conseil municipal des 29-30 et 31 mars 2016.

    En période de matraquage fiscal, la distribution de cette centaine de milliers d’euros de subventions est proprement scandaleuse. Chaque euro d’argent public devrait être dépensé dans l’intérêt de tous les habitants, et non pour satisfaire une communauté ou les associations des copains. Le Conseil de Paris dépense sans compter l’argent des citoyens : cela n’est pas admissible !

    La Maire de Paris, Anne Hidalgo, a récemment réagi contre la baisse des dotations de l’Etat à sa ville : on ne peut que l’inviter à rechercher des pistes d’économies en arrêtant de jeter ainsi l’argent public à la poubelle. »

    http://www.contre-info.com/10-subventions-ahurissantes-de-la-ville-de-paris-la-5e-est-incroyable#more-41690

  • Intervention de Marion Maréchal-Le Pen sur la levée des sanctions contre la Russie

  • Pierre Jovanovic : « Les jeunes devraient manifester devant Goldman Sachs » !

    Dédicaces du livre « 666 » de Pierre Jovanovic, à Reims

    Source: E&R

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • L'économie britannique sortirait gagnante d'un départ de l'Union européenne

    C'est ce que pense un groupe de huit économistes dans un rapport publié jeudi. Roger Bootle, le président du cabinet d'études Capital Economics, explique :

    "Sur les 20 dernières années, le bilan économique de l'UE a été très faible comparé à d'autres pays développés, et ce pas seulement en raison de l'euro mais aussi d'une série de mauvaises décisions". "Le fardeau réglementaire, la mauvaise utilisation des fonds de l'UE et la focalisation de l'attention politique sur les questions de réforme de l'UE ont contribué à cette mauvaise performance économique".

    Il fait partie d'un groupe de huit économistes indépendants regroupés sous la bannière "Economists for Brexit", dont Gerard Lyons, ancien économiste en chef de la banque Standard Chartered et aujourd'hui conseiller du maire conservateur de Londres Boris Johnson.

    Ils réfutent les arguments du Trésor britannique et du chancelier de l'Échiquier George Osborne, qui ont estimé qu'une sortie de l'UE aurait de graves conséquences économiques et amputerait chaque foyer britannique d'environ 4300 livres (5540 euros) de revenus par an.

    Ils développent les bénéfices qu'un Brexit apporterait du point de vue de la régulation, de l'emploi, de l'immigration ou encore de la place de la City de Londres en Europe. Ils défendent la simple application des règles de base de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) dans les rapports entre le Royaume-Uni et les pays de l'UE, sans négocier de nouvel accord :

    "Quitter l'UE, sans négocier un nouvel accord avec l'UE et sans élever de nouvelles barrières commerciales, apporterait un gain d'environ 4% au PIB" sur 10 ans.

    Source : une dépêche de l'AFP que seul L'Orient Le Jour a publié en ligne...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le coût de l’immigration irrégulière en France en 2015 supérieur au budget 2016 de la Santé

    Le coût de l’immigration irrégulière en France représenterait 1,38 milliards d’euros selon Jean-Paul Gourevitch, spécialiste des migrations à qui l’association Contribuables Associés a confié la rédaction d’un rapport. Cemontant est supérieur au budget alloué en 2016 par l’État au ministère de la Santé (1,251 milliard) . C’est le double du budget consacré au sport et à la vie associative ( 617 millions d’euros).

    Ce rapport cinglant (disponible ici en intégralité), qui épingle la gestion de l’immigration par la France, est la 34ème étude de l’association ; une étude qui dresse un panorama complet de l’évolution des flux migratoires en 2015 en Europe.

    Source Breizh-info

    http://www.contre-info.com/le-cout-de-limmigration-irreguliere-en-france-en-2015-superieur-au-budget-2016-de-la-sante

  • AGIR AU SERVICE DU BIEN COMMUN

    L’Action Française subit depuis ce début d’année 2016, un grand nombre de violences provenant de l’Etat, des partis et du système : procés, gardes à vue, agressions physiques, brutalités. Le Centre Royaliste d’Action Française, plus que jamais à besoin de vous et fait appel à votre générosité. 

    Dégradations subies

    Dans la nuit du 16 au 17 avril, notre local marseillais a été pris pour cible et saccagé en toute impunité, par des militants d’extrême-gauche. La lâcheté de ces actes nous amène désormais à faire face à de lourdes réparations. Afin de réhabiliter nos locaux, nous comptons sur vous, nous avons besoin dès à présent de 5000 euros !

    J’aide l’Action Française à maintenir son implantation locale.

    Procès A Bordeaux, quatre militants ont été condamnés pour de simples tags et ont écopé de travaux d’intérêts généraux ainsi que d’une lourde amende. A Marseille, la demande officielle de dissolution de notre mouvement par le député Ciot a engendré de multiples articles de La Provence au Huffington Post. Face aux articles diffamatoires, nous ripostons par voie judiciaire A Angers, pour avoir déraciné un arbre de la liberté, nos militants écopent d’une amende d’une centaine d’euros. Ce n’est pas moins de 15 000 euros de coût de suivis judiciaires, amendes auquel nous devons faire face.

    Je soutiens les actions en justice de l’Action Française.

    L’AF, toujours en première ligne Depuis 2011, l’Action Française ne cesse d’accroître sa visibilité médiatique et son socle militant. L’AF c’est une école de formation regroupant 80 sections et fédérations, organisant plus de 500 cercles de formations et colloques par an avec une université d’été regroupant 150 lycéens et étudiants sur une semaine.

    Je permets à l’Action Française de poursuivre son dévelopement.

    Fidèle à la formule d’Anatole France " La République gouverne mal mais se défend bien", la justice républicaine nous accable et vos dons nous sont nécessaires pour financer nos actions, notre cause....votre cause ! Votre générosité prépare activement la restauration du Politique en France.

    Merci pour votre aide !

    Don déductible de 66 % dans la limite de 20% de votre revenu imposable.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?AGIR-AU-SERVICE-DU-BIEN-COMMUN