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économie et finance - Page 646

  • Quelle est la différence entre la bonne et la mauvaise finance ?

    François Hollande et Michel Sapin nous ont joué un remake du célèbre sketch des Inconnus sur les chasseurs :

    "« Môa Président », lorsqu’il était candidat, avait prononcé cette phrase choc qui marqua l’un des tournants de la campagne électorale et qui ne fut sans doute pas pour rien dans l’élection d’Hollande face à Sarkozy :

    « Mon véritable adversaire, il n’a pas de nom, pas de visage, pas de parti. Il ne présentera jamais sa candidature. Il ne sera donc pas élu et pourtant il gouverne. Cet adversaire, c’est le monde de la finance. »"

    Et Michel Sapin vient de déclarer :

    « Nous avons à répondre à une très belle question : y a-t-il une finance heureuse, au service d’investissements heureux ? Je l’exprimerai autrement et vous verrez ma part de provocation. Notre amie c’est la finance : la bonne finance. »

    Le problème c’est que Michel Sapin, qui prend grand soin de se couvrir des critiques à venir qu’il sait nombreuse en précisant qu’il va parler avec un brin de « provocation », n’explique pas du tout ce qu’est la bonne finance. [...]

    Je pense qu’il faut retenir que la mauvaise finance, c’est simple. Le trader de la banque, il voit une action, un État en mauvais état, une matière première agricole qui va venir à manquer, il spécule.

    La bonne finance, ce n’est pas pareil. Le trader de la banque, il voit une action… un État en mauvais état, une matière première agricole qui va venir à manquer, il spécule mais ce n’est pas pareil, c’est de la bonne finance.

    Et pourquoi c’est de la bonne finance ? Uniquement parce que nos amis du gouvernement ont besoin de le dire puisqu’ils n’ont jamais vraiment voulu se mettre les financiers à dos, surtout que comme le disait « Môa Président », c’est eux qui dirigent vu qu’ils ont le pognon et vu qu’on en a encore plus besoin de pognon qu’il y a deux ans, eh bien les ennemis supposés d’hier sont rapidement devenus les amis d’aujourd’hui. [...]

    Alors la finance est-elle notre ennemi ? La réponse, en réalité, est assez simple. La finance n’a ni ami ni ennemi, la finance n’a en tête que ses propres intérêts et son intérêt est des plus simples à comprendre : faire encore plus d’argent comme seul et unique objectif à sa raison d’être.

    En face, de la même façon, un État n’a pas d’ennemi ni d’ami au sens étymologique du terme, il a des intérêts stratégiques.[...]

    La véritable question à se poser n’est donc pas de savoir si le système financier mondialisé et globalisé est méchant. Évidemment qu’il est, méchant, immoral, sans foi, ni loi. La véritable question est de savoir si ce système financier menace aujourd’hui la France et le peuple de France et donc nos intérêts stratégiques. Pour le moment, la réponse est objectivement non. Ce qui ne veut pas dire que cela va durer.

    Enfin, car je crois qu’il est essentiel de comprendre cela, la seule façon de lutter contre la finance sans visage et très méchante est de ne pas en avoir besoin. L’indépendance nationale à un prix et un coût. Ce coût c’est notre bonne et notre saine gestion. Si nous vivons au-dessus de nos moyens, eh bien chaque jour nos fins de mois seront assurées par des usuriers mais c’est nous les responsables de notre découvert. [...]"

    Michel Janva

  • La dérive du foot business

    Sans doute une bonne partie d’entre vous, amis lecteurs, en avez assez du mondial de foot jusqu’à l’overdose que les médias nous servent chaque jour. Comment ne pas voir cette hyper médiatisation, en période de crise, comme un dérivatif aux problèmes de l’heure, un peu comme on distrayait les foules de la Rome antique avec les jeux du cirque ? Le sport a été victime de son succès : sa médiatisation l’a malheureusement conduit à obéir à la même logique que celle des médias : l’audimat et l’argent comme finalité ! 

    C’est d’autant plus triste que le sport est une magnifique école de vie qui apprend la discipline, le sens de l’effort, la maîtrise de soi, le fair-play, l’altruisme… Cela continue sans doute d’être vrai pour nombre de jeunes qui le pratiquent en amateur dans un cadre scolaire ou universitaire, mais le sport professionnel donne de plus en plus une image opposée aux valeurs fondamentales qu’il est censé transmettre et cela fournit un exemple détestable à une jeunesse influencée par les « stars » des jeux, guère à la hauteur de leur responsabilité comme le sont celles du show-biz : souvenons-nous, par exemple, de l’attitude lamentable des footballeurs français, lors de la coupe du monde de 2010 en Afrique du Sud !

    Le football est à cet égard particulièrement symptomatique de cette dérive du sport professionnel. Le capitalisme financier, qui s’impose sans guère d’obstacle sur toute la planète, en arrive à plier à ses lois la plupart des activités humaines. Il eut donc été étonnant que le football, en tant que l’un des sports les plus populaires et donc les plus médiatiques, échappe à « ce processus de vampirisation », comme l’écrit Jean-Claude Michéa (1). Il est devenu la première industrie mondiale du divertissement, brassant des sommes colossales : droits télévisés, publicités… c’est l’impératif de la rentabilité qui prédomine désormais et qui oblige au résultat : gagner est devenu une nécessité sous peine de pertes financières importantes (par exemple, arriver quatrième au lieu de troisième au championnat de Ligue 1, c’est perdre 10 millions d’euros en raison de la non-participation à une coupe d’Europe). Cela a totalement changé l’esprit de ce sport dont la dimension de plaisir et de gratuité a largement été estompée.

    Mais cette logique de l’argent a aussi modifié le jeu lui-même, ainsi que Jean-Claude Michéa, en amateur éclairé, le démontre dans son merveilleux petit livre qui ravira tous les amateurs de ballon rond : la beauté du jeu offensif a laissé place à des systèmes défensifs jugés plus « réalistes », l’équipe étant désormais organisée de façon à n’encaisser aucun but et à marquer sur contre ou sur coups de pied arrêtés, offrant ainsi un spectacle le plus souvent ennuyeux – les équipes à culture offensive comme le « Barça » (Barcelone) étant devenues l’exception. Cette obligation d’efficacité, au détriment des anciennes conceptions basées sur l’attaque et le fair play, a entraîné d’autres conséquences comme le jeu dur, la simulation (pour obtenir coups francs ou penalties), sans parler du « supportérisme » parfois violent et sectaire contraire à l’esprit originel du sport ; le patriotisme a été partout tellement ridiculisé et brimé, qu’il se manifeste comme un exutoire dans le seul lieu où il est encore toléré et même encouragé par une élite « boboïsée » qui se moque bien du foot mais qui se veut ainsi près du « peuple ».

    Christophe Geffroy

    La suite sur le blog de la Nef

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-derive-du-foot-business

  • Les agences de mères porteuses utilisent la circulaire Taubira pour 'louer des ventres'

    Ce site de location d'utérus pour conception d'enfants donne toutes les indications pour violer la loi française et écrit notamment :

    "Nos mères porteuses accouchent toutes à la maternité d'État. Après elles font le document-déclaration chez le notaire (elles refusent ses droits parentaux en honneur des parents biologiques légitimes, selon l’article 123 du Code de famille), (au-dessus vous trouverez la formule en Français). Puis, l’état civil ukrainien prend leur certificat de maternité, (Extrait de la maison de naissance), aussi que la déclaration-renonciation chez le notaire, plus vos passeports et votre acte de mariage apostillé, pour finalement délivrer aux parents l’acte de naissance. Donc la mère porteuse ne figure plus en acte, seulement les parents de l’enfant. Voila comment l’enfant se déclare à votre nom."

    "Puis on vous traduit l’acte de naissance en francais, et on fait l apostille aupres de Ministere des affaires etrangérès à Kiev. Puis vous fixez le rendez-vous a l’ambassade de France a Kiev, et vous y reclamez un laisser-passer pour l enfant. Actuellement, vu l apparition du circulaire de Taubira, l’ambassade donne ce document vite (2-3 semaines maximum entre la date d’accouchement, et votre retour en France).Attention, le laisser-passer est un document qui vous permettra de rentrer légalement en France avec votre bebe, c’est a dire passer la frontiere. Ce n’est pas un document qui vous donne le droit de nationalité francaise. Au cas de necessite, on present les documents supplementaires a l’ambassade, au cas s ils le demanderont."

    Michel Janva

  • Richard Wilkinson : “Comment les inégalités économiques nuisent aux sociétés” (Rediff.)

    Nous ressentons instinctivement que les sociétés qui ont des écarts de revenus énormes vont mal dans un sens. Richard Wilkinson met en graphiques des données concrètes sur l’inégalité économique, et montre ce qui peut empirer quand les riches et les pauvres sont trop éloignés : les effets réels sur la santé, la durée de vie, même des valeurs fondamentales comme la confiance.

    (Merci à Boreas)

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Crédit Lyonnais vs Laudate : nombreuses réactions

    Suite à la révélation de la christianophobie du Crédit Lyonnais par Le Salon Beige, les réactions se multiplient auprès de la banque :

    "« Depuis, j’ai reçu un grand nombre d’appels téléphoniques de soutien et de courriels », confie Vianney d’Alançon. Excédés par l’attitude du Crédit Lyonnais, plusieurs clients se sont ainsi rendus dans leur agence locale pour demander la fermeture de tous leurs comptes. « Plusieurs fois, on a confirmé à ces clients l’existence de cette charte déontologique et son incompatibilité avec une entreprise catholique », poursuit le directeur de Laudate. Le mouvement a pris une telle ampleur que plusieurs congrégations religieuses, et même l’économe d’un diocèse, ont décidé, eux aussi, de clore leurs comptes en banque

    Au Crédit Lyonnais, la tournure des événements commence à être prise au sérieux. Car en cette période de crise financière, les institutions religieuses s’avèrent être des clients précieux, du fait de leur stabilité et de leur fidélité. Vianney d’Alançon espère obtenir de plus amples informations lundi 7 juillet. Affaire à suivre."

    Michel Janva

  • Serge Ayoub contre le Traité transatlantique !

    https://twitter.com/SergeAyoub
    https://www.facebook.com/solidariste

  • Les grandes écoles militaires en sursis ?

    La Loi de Programmation Militaire 2014-2019 prévoit la suppression de 33 500 postes supplémentaires au sein des armées, ce qui représente une diminution des effectifs de 25 % en 10 ans, portant le nombre de personnels militaires à 82 000. Ceci au coeur de la crise économique, ce qui pose le problème de la reconversion des militaires en pleine récession du marché de l'emploi. 

    La politique actuelle incite les gens à quitter l'institution, mais en amont, il semble que la gestion soit de l'ordre de l'amateurisme, et qu'on supprime des postes "au doigt mouillé", sans anticipation suffisante. Le contrôleur général des armées (CGA) Jacques Feytis, directeur des ressources humaines du ministère de la Défense (DRH-MD), lors d’une audition devant les députés de la commission « Défense » de l’Assemblée nationale s'en explique :

    «Notre organisation actuelle ne nous permettra pas de trouver les 34 000 postes à supprimer. Cette transformation des organisations doit être préparée par les employeurs et doit précéder la déflation des effectifs, au risque de générer des vacances de postes. L’atteinte de la cible est réalisable, soit avec les départs, soit en baissant le recrutement mais, si nous ne transformons pas notre organisation actuelle, si nous n’identifions pas maintenant les postes à supprimer, nous aboutirons, au terme de la déflation, à ce qui est qualifié d’échenillage, avec des services en difficulté de fonctionnement »

    "Il s’agit d’éviter à nouveau un dérapage de la masse salariale (comme cela fut constaté lors de la LPM 2009-2014) en « dépyramidant », c’est à dire en supprimant des postes de cadres.Ainsi, jusqu’en 2019, 5.800 postes occupés par des officiers devront disparaître, avec le défi de maintenir certaines compétences qui seront très difficiles à retrouver si jamais elles venaient à s’éteindre.[...]"

    La suppression tous azimuts d'un maximum de postes d'officiers encadrants (1000 postes maximum par an pour que ce soit cohérent), aura pour effet de diminuer de façon drastique le recrutement des élèves dans les écoles militaires, dont les promotions (à l'ESM de St Cyr Coëtquidan) ont vu le nombre de leur élèves divisé quasiment par deux en 20 ans. 

    Le CGA Feytis pense que

    "[...] la diminution des recrutements d’officiers est assez proportionnelle à la réduction des effectifs globaux. (…) Toutefois si nous voulons préserver ces écoles, il ne faut pas diminuer les recrutements à l’excès. En deçà d’un seuil critique, se poserait la question de l’existence même de ces écoles, ce qui serait gravissime. Nous devons préserver nos grandes écoles militaires », a affirmé le CGA Feytis."

    Se pose donc la question de la survie des écoles militaires. La solution préconisée par le président de la commission Défense, Mme Patricia Adam: « Il faut les ouvrir ». Les ouvrir à des étudiants qui seront "heureux de faire Saint-Cyr, l’École navale ou l’École de l’air, même s’ils n’envisagent pas d’être officiers" (CGA Feytis, qui se montre en accord avec cette idée d'ouverture), ce qui voudra dire les "adapter à la marge sans les dénaturer [...]"

    "Et d’ajouter : « Je pense qu’un jeune diplômé ingénieur de l’École navale ou de l’École de l’air ou de Saint-Cyr présentera un profil intéressant. Nos officiers ne sont pas forcément recherchés pour leurs compétences techniques militaires (..) Je suis persuadé que beaucoup de personnes seront ravies de suivre une formation dans une grande école militaire dans le cadre d’un double cursus ou d’un double master. Il est ainsi possible d’envisager un parcours de trois ans dans l’une des trois écoles militaires évoquées, complété par un an en école de commerce ou d’ingénieur avant de se lancer dans la carrière d’un cadre du secteur privé »."

    Outre la question du "combien ça va coûter", on peut désormais se demander jusqu'à quand St Cyr, Navale et l'Ecole de l'Air, si elles sont "ouvertes", vont trouver aux yeux de l'Etat un intérêt suffisant pour les garder en activité, puisqu'apparemment leur spécificité militaire n'est plus primordiale. Il suffirait peut-être d'ouvrir dans n'importe quelle fac de France et de Navarre des masters spécialisés, qui permettraient aux élèves ingénieurs de n'importe quelle école de se spécialiser pour devenir officier. Cela coûterait sans doute moins cher au contribuable, et permettrait de supprimer définitivement ces viviers d'esprits un peu trop "engagés", qui font de l'ombre au pouvoir (voir l'enquête diligentée par l'Intérieur au moment des "manifs pour tous", pour connaître le nombre d'enfants d'officiers qui y participaient). 

    Marie Bethanie

  • Grèce, année zéro (Docu)

    Depuis qu’elle a été contrainte par l’Union européenne et le FMI, en 2010 et 2011, à des réformes et des économies drastiques en échange de prêts de 240 milliards d’euros, la Grèce est volontiers présentée, en France, comme une victime de l’Europe. En Allemagne, à l’inverse, on la considère largement comme responsable des tourments de la zone euro.

    Jean Quatremer et Pierre Bourgeois sont partis à la rencontre de Grecs de toutes conditions sociales, depuis les citoyens ordinaires qui, à Patmos comme à Athènes, ont souffert des mesures d’austérité, jusqu’aux responsables chargés de mettre en œuvre les réformes.

    Réalisé par Pierre Bourgeois et Jean Quatremer (France/Grèce 2014)

  • Pékin encourage la création d'un rival à la Banque mondiale

    La Chine veut doubler à 100 milliards de dollars la dotation de la banque de développement qu'elle souhaite créer avec plusieurs autres pays asiatiques et du Moyen-Orient pour concurrencer la Banque mondiale.

    La Chine souhaite accélérer la mise en place d'une institution visant à concurrencer la Banque mondiale et la Banque asiatique de développement, qu'elle juge trop influencée par les États-Unis et leurs alliés.

    Un concurrent sérieux à la Banque asiatique de développement

    C'est pourquoi, elle aurait envisagé lors de réunions avec d'autres pays de doubler à 100 milliards de dollars la dotation pour le projet, selon deux sources anonymes citées par le Financial Times.

    Ce qui représenterait pas moins des deux tiers de la surface financière de la Banque asiatique de développement (165 milliards de dollars), basée à Manille et sous la coupe de l'Organisation des nations unies.

    Construire une nouvelle Route de la Soie

    Jusque-là, 22 pays ont pris part à ce projet qui a pour ambition de créer une nouvelle Route de la Soie, la route commerciale qui reliait autrefois la Chine à l'Europe. Cette nouvelle banque devrait porter le nom d'Asian Infrastructure Investment Bank (AIIB) et devrait couvrir une zone s'étendant de la Chine au Moyen-Orient.

    La plupart des financements proviendront de la Chine et devraient servir à développer des infrastructures dans toute la région, dont une ligne de chemin de fer colossale reliant Pékin à Bagdad, selon les sources du Financial Times.

    Ambition internationale des entreprises chinoises

    Cette impatience de Pékin à mettre en place un concurrent à la Banque mondiale reflète sa frustration devant la domination des pays occidentaux dans les différentes institutions internationales, telles que le Fonds monétaire internationale ou la Banque mondiale par exemple. Les changements dans la gouvernance de ces institutions peinent en effet à suivre le rythme auquel la Chine prend de l'importance dans l'économie mondiale.

    "La Chine l'impression de ne pas réussir à faire ce qu'elle veut à la Banque mondiale et au FMI, alors elle a décidé de monter sa propre banque mondiale qu'elle peut contrôler à son gré", explique ainsi l'une des sources directement impliquée dans les discussions sur la création de l'AIIB.

    Cette accélération du mouvement par Pékin intervient aussi au moment où la Chine, selon un rapport de l'Organisation des nations unies, dont dépend la Banque mondiale, devrait voir ses investissements à l'étranger dépasser ses investissements à l'intérieur du pays. Les entreprises chinoises ont en effet de plus en plus tendance à s'implanter à l'international.

    source : http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20140625trib000836942/pekin-pousse-pour-creer-un-rival-a-la-banque-mondiale-dote-de-100-milliards-de-dollars.html

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EupuuZpkFpnsyeOZsw.shtml

  • Le lycée Gerson victime des dérives intégristes de la région Île-de-France ?

    Le lycée Gerson privé de subventions ?

    Faire intervenir Alliance Vita en cours de catéchisme peut coûter cher.

    La Région Ile-de-France a suspendu les subventions du 3e trimestre au lycée Gerson. Montant de la punition : 73 789 euros.