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économie et finance - Page 722

  • Famille : le pire est à venir

    ENTRETIEN - La ministre de la Famille, Dominique Bertinotti, ne veut pas rester « figée sur un modèle unique ». L’enfant sera au cœur de sa future loi. [ce qui est contradictoire avec la promotion d’anti-modèles ! NDLR]

    Un entretien très, très complaisant du Figaro...

    Lundi prochain, la ministre Dominique Bertinotti présentera les quatre groupes de réflexion qui prépareront la future loi sur la famille qui devrait être examinée en Conseil des ministres en janvier prochain. Elle nous livre les premières pistes, s’explique sur la PMA et la GPA et s’interroge sur les desseins de la Manif pour tous.

    LE FIGARO. - De nombreuses familles, et de plus en plus de classes moyennes, ont le sentiment d’être ciblées par les mesures fiscales du gouvernement. Pouvez-vous vous engager à ne plus toucher à la politique familiale jusqu’à la fin du quinquennat ?

    Dominique BERTINOTTI. - La mesure essentielle concerne l’abaissement du plafond du quotient familial. Cela touche de 12 à 13 % des familles, les plus aisées. En clair, un couple avec deux enfants ayant jusqu’à 5800 euros nets mensuels n’est pas concerné : c’est le cas de 87 à 88 % des familles ! Dans le même temps, cela nous permet d’avoir une politique très dynamique en la matière de développement des services aux familles. En particulier, de créer 275.000 places d’accueil pour les 0-3 ans sur cinq ans, ce qui concerne, là, tous les milieux sociaux. Il faut nuancer énormément ce que l’on appelle le « matraquage des familles » : après impôt, il vaut mieux être un enfant dans une famille aisée que dans une famille modeste ! Le but est d’avoir une politique familiale plus juste, qui corresponde aux nouvelles attentes des familles. [...]

    La suite dans Le Figaro

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Famille-le-pire-est-a-venir

  • Les Français sacrifient leur santé

    PARIS (NOVOpress) –  Les Français qui renoncent à se faire soigner pour des raisons économiques sont de plus en plus nombreux. Ils sont 33 % à renoncé à des soins en 2013, contre 27 % en 2012, selon le 7e Baromètre de la santé en Europe réalisé par l’institut CSA pour Europ Assistance. Ils étaient seulement 11 % en 2009 à sacrifier leur santé en raison de difficultés financières. Pour 25 % des sondés, les coupes budgétaires portent sur les soins dentaires. Pour 17 %, il s’agit des soins d’optique et pour 12 % les soins dits courants, comme la consultation d’un généraliste. Les soins lourds (opérations chirurgicales, examens…) représentent 7 % de ces renoncements.

     

    Selon le Baromètre, 41 % des Françaises se sont passé de certains soins en 2013, contre 23 % des hommes. La proportion est également plus importante chez les actifs (36 %) que chez les inactifs (27 %). La tranche d’âge la plus touchée par cette régression se situe entre 18 et 39 ans. Autre indicateur fort : la progression en France est la plus forte dans l’Union européenne, avec 6 points en une année. Avec 33 % des personnes interrogées qui disent avoir fait une croix sur des soins en 2013, la France est bien au-dessus de la moyenne européenne, située à 18 %. Les Français économisent sur leur santé, mais parallèlement il y a une pression fiscale de plus en plus lourde , l’avortement est remboursé à 100 % et l’Etat, qu’il soit dirigé par la gauche ou la droite, engloutit une fortune pour favoriser l’immigration de masse en France.
    http://fr.novopress.info/142204/les-francais-sacrifient-leur-sante/#more-142204

  • Olivier Delamarche / Nicolas Cheron: Analyse Technique ou Fondamentale pour les Marchés actuels? 5/5

  • Olivier Delamarche / Nicolas Cheron: Analyse Technique ou Fondamentale pour les Marchés actuels? 4/5

  • Olivier Delamarche / Nicolas Cheron: Analyse Technique ou Fondamentale pour les Marchés actuels? 3/5

  • Olivier Delamarche / Nicolas Cheron: Analyse Technique ou Fondamentale pour les Marchés actuels? 2

  • USA, vers un défaut de paiement ce soir à minuit ?

    Demain matin à 4h00 heure française soit à minuit GMT, si le plafond de leur dette, actuellement de 16 700 milliards de dollars, n’est pas réévalué d’ici là, les États-Unis d’Amérique seront dans la situation inédite et historique du défaut de paiement.

    Le Trésor ne pourra plus emprunter sur les marchés financiers ou émettre d’obligations. L’administration américaine ne pourra  alors compter que sur ses ressources internes de 30 milliards de dollars qui  dans les faits, selon les estimations,  lui permettraient de faire face à ses créanciers jusque vers le 25-30 octobre.

    Un « shutdown » sur fond « d’Obamacare »

    Depuis le 1er octobre le gouvernement américain est en état de « Shutdown » ou « fermeture ». Conséquence: l’administration américaine fonctionne au ralenti du fait de la mise en disponibilité forcée d’un grand nombre de fonctionnaires.

    Cet état de fait est le résultat d’une impasse au Congrès sur le budget, que les élus républicains refusent de voter en l’état actuel des choses. Ces élus souhaitent des réductions des dépenses publiques. Ils souhaitent également marquer fermement leur opposition à ce qu’on appelle communément « l’Obamacare »,  c’est à dire la réforme de la santé extrêmement onéreuse et contestée de Barack Obama .

    On se rappelle, il y a quelques temps, la mobilisation courageuse des catholiques américains contre cette réforme. « L’Obamacare » étant présenté uniquement  comme un « progrès social » et  un projet de sécurité sociale, alors qu’il est en réalité question du financement public et obligatoire de la contraception et du génocide de l’avortement ainsi que d’un certain nombre d’autres mesures totalement opposées au bon sens et à l’objection de conscience. Les évêques américains continuent de s’y opposer farouchement. L’administration américaine ne s’y est pas trompée puisqu’elle a farouchement interdit aux aumôniers militaires de dire gratuitement des messes sous peine de sanctions disciplinaires. Elle prend ainsi en otage l’Eglise catholique. Les Républicains comme les évêques n’ont pas dit leur dernier mot sur l’Obamacare. C’est sûr que quand on voit le déficit de la sécurité sociale française, il y a de quoi faire rêver les Américains….

      La suite ici => http://medias-presse.info/?p=1197

  • Thomas Joly : « L’Europe est à vendre…le Qatar achète »

     

    Autoc-16-novembre-248x300.jpgThomas Joly est secrétaire général du Parti de la France. Nous l’avons interrogé sur deux événements importants du parti ainsi que sur la loi Taubira. Il nous répond avec franchise et sans détour…

    1) Le 11 novembre, il y a la 7ème journée nationale et identitaire sur le thème : Face à la répression socialiste : défendons la liberté. Qui organise cette journée et quelle en sera le programme ?

    Chaque année, à l’initiative de la revue Synthèse Nationale, dont le directeur est Roland Hélie, se déroule une journée nationale et identitaire où se tiennent des tables rondes thématiques, où différents stands politiques, culturels, associatifs sont à la disposition des participants, et où plusieurs orateurs de la mouvance nationale se succèdent à la tribune. Le Parti de la France y est invité depuis sa création ; cette année encore nous y tiendrons un stand et Carl Lang, président du PdF, prendra la parole. Le programme de cette journée sera très bientôt dévoilé par les organisateurs. Le thème de cet événement est tout à fait d’actualité puisque, ces derniers mois, la répression socialiste a été particulièrement féroce à l’égard des nationalistes (arrestations, dissolutions, etc) et des défenseurs de la famille traditionnelle (gazage de femmes et d’enfants, répression judiciaire délirante, etc). Face aux commissaires politiques du gouvernement socialistes, à des médias aux ordres et à un certain nombre de magistrats d’extrême-gauche qui se comportent en Cerbères de la pensée unique, il existe encore des Français qui se dressent et défendent la liberté d’expression.

    2) Comment le parti a-t-il pris part à ce formidable mouvement de mobilisation contre la loi Taubira où la jeunesse avait une grande place ?
    Le Parti de la France a été de toutes les manifestations et de toutes les actions contre l’infâme loi autorisant les parodies de mariages entre invertis. A l’inverse du néo-FN où les nombreux homosexuels de sa direction nationale semblent avoir une puissante influence, le Parti de la France ne transige pas, au nom d’une prétendue modernité ou d’une démagogie électoraliste, avec cette atteinte à la famille et à l’institution sacrée du mariage. Ouvrant les portes à toutes les dérives (adoption d’enfants par les couples homosexuels et demain gestation pour autrui et légalisation de la polygamie), cette mesure socialiste est un nouveau coup porté à nos valeurs de civilisation, au respect de l’enfant et à la dignité de la personne humaine. L’abrogation de la loi Taubira est tout à fait possible et ceux qui prétendent l’inverse sont tout simplement des menteurs et des lâches soumis au lobby homosexuel. Le Parti de la France s’engage à abroger cette dénaturation du mariage. Aucune argutie juridique ne tiendra face à une consultation par référendum du peuple français où il sera proposé d’inscrire dans la Constitution que le mariage est l’union d’un homme et une femme.

    3) Le 16 novembre, vous organisez un grand rassemblement contre l’islamisation et la politique migratoire à Amiens, pourquoi avoir choisi cette ville au lieu de Paris ?

    Le Parti de la France organise en effet samedi 16 novembre à 10h30 un grand rassemblement à Amiens afin de dire non à l’islamisation et à la colonisation migratoire. Cette manifestation se tiendra symboliquement dans le quartier colonisé d’Amiens-Nord – tristement célèbre pour ses émeutes ethniques chroniques – à l’endroit-même où doit prochainement s’ériger une gigantesque mosquée. Carl Lang et moi-même prendrons tous les deux la parole. Les manifestations politiques ne doivent pas se cantonner à Paris, les problèmes de la capitale sont les mêmes dans les villes de province.

    Face à la submersion migratoire et à l’islamisation de notre société qui en découle, méthodiquement organisées par nos gouvernants et différents groupes de pression depuis des décennies, les patriotes français ont le devoir de se mobiliser pour affirmer notre droit à rester maîtres chez nous. Nous avons encore le droit de ne pas vouloir vivre dans une France africanisée et islamisée. Amiens, et en particulier ses quartiers nords, sont tout à fait symboliques de cette France envahie que nous voulons libérer. La politique ne se fait pas que sur les plateaux télés ou derrière un clavier d’ordinateur, il faut aller aussi dans ces zones lâchement abandonnées par les pouvoirs publics, où les Français qui restent doivent raser les murs et se soumettre à la loi des caïds.

    Également, ce même jour, se déroulera un déjeuner-débat présidé par Carl Lang. La participation aux frais est de 24 € par personne. Pour réserver : thomasjoly60@yahoo.fr ou 06.09.96.44.37

    4) N’avez-vous pas peur qu’on vous taxe d’islamophobe en organisant un tel rassemblement ?

    L’islamisation est un facteur aggravant de la colonisation migratoire mise en place par toute une engeance mondialiste destructrice des peuples et des Nations. Il y a 10 ans, Carl Lang faisait campagne sur le thème : « vous avez aimé l’immigration ? Vous allez adorer l’islamisation ! »Et bien nous y sommes.

    L’Islam conquérant est à la manœuvre avec les milliards de l’argent du pétrole du Qatar et de l’Arabie Saoudite. Puisque l’Europe est à vendre, ils l’achètent, et puisque la France est trahie par ses dirigeants et maîtres, ils l’occupent et l’islamisent. Et les mêmes qui sont les les tenants d’un laïcisme de combat contre l’Église catholique sont devenus, face à l’Islam, des laïcistes de collaboration. Le mythe de la laïcité et des soi-disant valeurs de la République comme protection face à l’Islam est balayé par la réalité et par les faits. La laïcité républicaine n’est rien d’autre que le cheval de Troie de l’islamisation.

    Nous le disons sans détour : les règles de l’Islam ne sont pas compatibles avec nos valeurs européennes et chrétiennes de civilisation et elles menacent notre sécurité, notre identité et nos libertés. Soyons clair, la France n’est pas terre d’Islam et nous devons refuser de voir la France des terroirs et des clochers transformée en République des banlieues et des mosquées.

    Contrairement aux obsédés de la dédiabolisation et de la normalisation politique, nous entendons dire la vérité aux Français sans nous soucier des anathèmes que peuvent nous lancer nos adversaires politiques ou les islamo-collabos.

    5) Alors que ces derniers temps se multiplient des attaques contre le christianisme, le parti participera-t-il à la grande marche du 20 octobre contre l’antichristianisme, organisée à l’initiative de l’Institut Civitas avec le soutien de nombreuses autres associations ?

    Le Parti de la France soutient naturellement toute action visant à dénoncer la haine anti-chrétienne hélas orchestrée par nos gouvernants acquis ou soumis à l’idéologie franc-maçonne. Nous plaçons la France au-dessus de la République, la nationalité au-dessus de la citoyenneté et nous préférons la France fille ainée de l’Église à la République citoyenne fille ainée du Grand Orient. C’est pourquoi, nous invitons nos militants, nos adhérents et nos sympathisants à se joindre à cette marche organisée par l’Institut Civitas.

    http://medias-presse.info/?p=1187

  • Socialisme : le FMI veut confisquer nos biens

     

    De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités :

     

    F"Quelques rares médias français, tout spécialement le magazine « Challenges », se sont fait l’écho d’un récent rapport du FMI intitulé « Fiscal Monitor » d’octobre 2013. Ce rapport [...] contient à la page 49 une véritable bombe. Le FMI « propose », en effet, pour rendre les dettes souveraines occidentales supportables (elles devraient, cette année, atteindre les 110 % du PIB, soit 35 points de plus qu’en 2007…), de taxer les capitaux privés à hauteur de 10 %. Il est bien évident que nous sommes d’accord avec le FMI sur le fait que les dettes publiques sont devenues dramatiquement insupportables et qu’elles sont désormais le principal frein à la reprise de la croissance – et donc de l’investissement et de l’emploi. Mais c’est là le seul accord que nous pouvons avoir avec cette officine de propagande socialiste.

    Je dis bien : de propagande socialiste. Je n’ignore évidemment pas qu’en France, la quasi-totalité des médias et des politiciens prennent le FMI pour une agence « ultra-libérale ». La réalité, c’est que l’internationalisme défendu par le FMI est parfaitement compatible avec le socialisme le plus doctrinaire. Et, surtout, le FMI partage avec le socialisme le plus doctrinaire une haine du droit de propriété, que nous voyons aujourd’hui s’étaler cyniquement au grand jour. De même que le gouvernement envisage tranquillement de taxer les « revenus fictifs » que constitue, pour les propriétaires, le fait de ne pas payer de loyer, le FMI envisage de saisir purement et simplement 10 % des capitaux privés pour payer les folles dépenses de l’État-providence démagogique.

    Oh, bien sûr, il est question d’une taxe « exceptionnelle ». Mais on sait ce que vaut ce genre de promesse ! Se souvient-on encore que l’impôt sur le revenu n’a pu être accepté, après bien des rejets, qu’en 1914, à titre exceptionnel ? Comment avoir encore confiance ? J’ai d’autant moins confiance que la mesure, en elle-même, révèle une idéologie avec laquelle nous ne pouvons pas discuter : s’il est possible de prendre « exceptionnellement » 10 % des capitaux des ménages et des entreprises, on voit mal quel principe empêcherait que cela soit durable, et que cela dépasse 50 ou 80 %. [...] La « mesure » du FMI serait pire encore que ce qui avait été envisagé à Chypre. À l’époque, ce n’était « que » les dépôts bancaires des épargnants qui étaient visés. Cela renvoyait déjà à l’opinion publique le message qu’il n’y avait plus aucun droit de propriété et que tout appartenait, en principe, à l’État. Mais, là, ce serait pire encore : il faudrait faire évaluer l’ensemble des biens et, sans doute, pour une bonne partie de la classe moyenne, vendre sa maison pour payer la taxe…

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/10/socialisme-le-fmi-veut-confisquer-nos-biens.html