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économie et finance - Page 730

  • Près de 50 radars détruits en Bretagne

    Sans compter ceux qui ont été détruits dans d'autres régions.

  • La révolte fiscale : une tradition française

    Lu ici :

    "Le refus de l'impôt est la pire menace qui puisse atteindre un gouvernement. Elle le frappe d'illégitimité et à cela, il ne peut répondre que par la répression ou la démission.

    Pendant la guerre de Cent Ans, une taxe de trop provoque à Paris la révolte des Maillotins. Un peu plus tard, la révolte des Cabochiens conduit le roi Charles VI à coiffer le capuchon des insurgés avant qu'il ne se retourne contre eux et leur protecteur, le duc de Bourgogne.

    Au XVIIe siècle, après les guerres de religion, tandis que Richelieu et Mazarin renforcent l'autorité du roi, les révoltes fiscales se multiplient sur fond de misère sociale et d'inégalités croissantes : Croquants du Périgord ou encore Nu-pieds de Normandie.

    Ainsi que l'indique le nom donné à ces révoltés, leur mouvement est considéré avec le plus grand mépris par les nantis, bourgeois et aristocrates. Le pouvoir monarchique, assuré de sa force et de sa légitimité, réprime sans pitié excessive ces révoltes fiscales. L'ultime révolte fiscale du siècle est la révolte des Bonnets rouges à laquelle font référence les actuels rebelles de Carhaix et Quimper. Elle est tout aussi durement réprimée que les précédentes.

    Beaucoup plus tard, sous le règne de Louis XVI, il en va bien autrement. La monarchie est faible, tiraillée entre les factions de la Cour. Elle s'est aussi placée sous la dépendance des grands financiers qui gèrent eux-mêmes la collecte de l'impôt à travers ce qu'on appelle la Ferme générale.

    La fermeté n'est plus de mise. Quand le contrôleur général des finances Turgot se résout à faire exécuter deux jeunes meneurs lors de la guerre des farines, il est disqualifié aux yeux de l'opinion libérale et du roi lui-même et doit remiser ses réformes.

    Après la Révolution, c'en est fini des révoltes fiscales. La principale raison en est que le gouvernement français, tant sous la République que sous la monarchie ou l'Empire, bénéficie d'une légitimité au moins partielle, issue des élections et des plébiscites.

    Notons tout de même un appel à la grève de l'impôt sous la IVe République, à l'appel d'un papetier de Saint-Céré (Lot), Pierre Poujade. Il s'agit d'une révolte contre le zèle excessif des contrôleurs du fisc qui, par commodité, concentrent leurs actions contre les petits commerçants. Ce mouvement va déboucher sur la formation d'un nouveau groupe parlementaire à l'Assemblée nationale et déstabiliser un peu plus les institutions de la IVe République.

    Le retour de la Ferme générale

     

    Le mouvement breton de 2013 contre les portiques d'écotaxe s'apparente bien plus aux révoltes d'Ancien Régime qu'au poujadisme. Il traduit l'exaspération populaire face à des gouvernements qui, tels ceux de Charles VI ou de Louis XVI, ne savent plus comment résoudre l'équation budgétaire. [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Collusion porno-lesbienne étudiante

    La mutuelle étudiante LMDE (ex-MNEF, ayant du changer de nom après des scandales financiers en lien avec le PS), a proposé par courriel à ses adhérents deux places gratuites pour aller voir le film lamentable d’Abdellatif Kechiche, La Vie d’Adèle, afin de le sauver du naufrage.

    Dans le même temps, la LMDE a augmenté ses cotisations de 3,5 % en 2012-2013 et se dit « contrainte » pour 2013-2014 à une augmentation de 7 %.

    http://www.contre-info.com/

  • L’Etat va emprunter 4,5 milliards d’euros pour régler l’ardoise du Crédit Lyonnais

    Vingt ans après le naufrage du Crédit Lyonnais, l’Etat n’a pas fini de payer l’ardoise de la banque publique. Le ministère du Budget a annoncé dimanche 10 novembre que l’Etat allait emprunter en décembre 4,5 milliards d’euros pour rembourser cette opération.

    Cet emprunt, révélé par Le Parisien puis confirmé par le ministère, sera l’un des articles du projet de loi de finances rectificative qui doit être présenté mercredi au conseil des ministres puis débattu au Parlement.

    L’Etat doit honorer avant le 31 décembre 2014 une dernière traite. “On anticipe d’un an sur l’échéance car les conditions de financement sont favorables”, a expliqué le porte-parole du ministère, affirmant qu’il s’agissait d’”une solution conforme à l’intérêt des finances publiques”. Au total, le sauvetage de l’ancienne banque publique aura coûté 14,7 milliards d’euros aux contribuables.

    France Tv info

    http://fortune.fdesouche.com/332649-letat-va-emprunter-45-milliards-deuros-pour-regler-lardoise-du-credit-lyonnais
  • [Vidéo] AF en soutien aux bonnets rouges

    L’AF lance les bonnets rouges à Paris... et marche sur la colonne de la Bastille !!!!


    L'AF en soutien aux bonnets rouges par actuclip

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?AF-en-soutien-aux-bonnets-rouges

  • Ariège : un village médiéval rasé pour installer… des éoliennes

    butre_eolienne_def_05-s.jpgSur les hauteurs de la commune de Bouriège, des archéologues dénoncent la destruction partielle d’un ancien village médiéval pour y ériger six éoliennes (voir à ce sujet le livre L’imposture : pourquoi l’éolien est un danger pour la France, de Jean-Louis Butré).

    La ligne de crête est parfaitement dégagée, la vue magnifique sur le Madres, le puech de Bugarach, le Saint-Barthélemy et le village de Bouriège en contrebas. Entre quelques chênes verts et des bouquets de genêts, se dressent plusieurs murs, vestiges d’une ancienne église romane datant certainement des XIe et XIIe siècles. Et puis, à une dizaine de mètres de là, dans un vaste carré, un amas de pierres dispersées s’étale sur le sol.

    À cet endroit, il y a quelques semaines encore, on trouvait ce que l’archéologue Dominique Baudreu appelle « un véritable village médiéval fossilisé, avec des microreliefs qui marquaient les emplacements des rues et des maisons ». Mais ça, c’était avant que ne passe un bulldozer. Connu depuis le XIIe siècle, le village médiéval de Saint-Pierre-le-Clair, perché à 579 mètres d’altitude, a été en partie rasé à la suite de travaux de nivellement. A sa place, juste à côté des ruines de l’église, se dresseront en effet
    six éoliennes de six mètres de haut (le permis de construire a été accordé), juste en face de celles de Roquetaillade. « Sous prétexte de débroussaillage, on a rasé au trois-quarts le village. Le résultat est catastrophique, les maisons et les enclos ont été rasés, les puits comblés et le cimetière éventré », s’indigne Christian Raynaud, professeur d’histoire et archéologue amateur. « Ca fait mal au cœur, l’intérêt scientifique du site est réel, mais aujourd’hui, il est fortement amoindri du fait des destructions », ajoute Dominique Baudreu, du Centre d’archéologie médiéval du Languedoc.

    Source  http://www.contre-info.com/ariege-un-village-medieval-rase-pour-installer-des-eoliennes#more-30060

  • Comment la France s’est ruinée en Algérie : Hommage à Daniel Lefeuvre

    La mort de Daniel Lefeuvre est une perte immense pour la minuscule phalange des africanistes libres, eux qui, dans les Thermopyles de la pensée, ont décidé de combattre jusqu’au bout les masses du bas clergé universitaire porteuses du politiquement correct.

    Né le 11 août 1951 et mort le 4 novembre 2013, le brillant universitaire qu’était Daniel Lefeuvre avait suivi la voie ouverte par Jacques Marseille qui fut son directeur de thèse. Après que ce dernier eut magistralement prouvé que, loin de les avoir pillées, la France s’était appauvrie dans ses colonies[1], Daniel Lefeuvre, alors professeur à l’université de Paris VIII, démontra dans un livre fondateur[2] que l’Algérie fut un insupportable fardeau pour la France et que, loin de l’avoir pillée, la France s’y ruina.

    Une telle remise en cause de la doxa marxisto-tiers-mondiste venant d’un ancien communiste[3] provoqua un véritable déchaînement de haine chez les « bien-pensants ».

    La thèse de Daniel Lefeuvre renversait les dogmes et les idées-recues. Que l’on en juge : en 1959, toutes dépenses confondues, la « Chère Algérie » engloutissait à elle seule 20% du budget de l’Etat français, soit davantage que les budgets additionnés de l’Education nationale, des Travaux publics, des Transports, de la Reconstruction et du Logement, de l’Industrie et du Commerce !

    En soulageant les misères des populations algériennes et en faisant reculer la mortalité infantile la France avait créé les conditions d’une catastrophe qu’elle s’était elle-même condamnée à gérer. Résultat du dévouement et de l’efficacité du corps médical français, à partir de 1945, chaque année 250 000 naissances nouvelles étaient comptabilisées en Algérie, soit un accroissement de 2,5 à 3% de la population d’où un doublement tous les 25 ans. Or, depuis les années 1930 les ressources locales stagnaient et depuis 1935 le territoire n’était plus en mesure de nourrir sa population. La France devait donc, et toujours aux frais du contribuable métropolitain, y importer grains, pommes de terre, viande, laitages etc., Même l’huile produite localement ne suffisait plus à la consommation.

    L’image d’Epinal de l’Algérie « grenier » de la France s’envolait ainsi sous le froid scalpel de l’historien économiste. [...]

    Bernard Lugan - La suite sur Afrique réelle

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Comment-la-France-s-est-ruinee-en

  • [Entretien] Serge Lebigot à L’AF : "Les élus qui prônent la légalisation du cannabis devraient être condamnés"

     

    Serge Lebigot, auteur du Dossier Noir du Cannabis a bien voulu accorder un entretien à L’AF 2873

    L’Action Française - Pourquoi avoir écrit ce « Dossier noir du cannabis » alors que plusieurs pays ont déjà légalisé sa consommation, comme s’il s’agissait d’une pratique somme toute anodine ?

     

    Serge Lebigot - A ce jour aucun pays n’a légalisé le cannabis. Plusieurs pays en ont dépénalisé l’usage c’est-à-dire qu’ils autorisent les consommateurs à avoir une certaine quantité sur eux (entre 2g et 5g suivant les pays). Dans ces pays, la consommation dans la rue comme dans les lieux publics est totalement interdite.

    La consommation de cannabis n’est en aucun cas anodine en particulier pour les plus fragiles c’est-à-dire les jeunes. Plus cette consommation est précoce et plus elle réduit les chances d’intégration et de réussite des jeunes.

    La consommation de cannabis entraîne d’abord une chute progressive des résultats scolaires parce qu’il y a une incapacité progressive à mémoriser et travailler en continuité.

    Le cannabis entraîne ensuite une addiction progressive et incontrôlée qui enferme les individus dans une dépendance et une incapacité à envisager une insertion durable.

    Il favorise par ailleurs une désocialisation progressive qui enferme les consommateurs dans un monde parallèle et les pousse à trouver de l’argent par tous les moyens pour satisfaire leur consommation. Il est donc vecteur de délinquance et d’insécurité.

    Enfin, le cannabis altère le jugement et la capacité à conduire et restant dans le sang beaucoup plus longtemps que l’alcool.

    La jeunesse française est particulièrement touchée : quelles en sont les raisons ?

    Effectivement la jeunesse française est la plus touchée d’Europe : la faute en revient à nos dirigeants qui depuis de nombreuses années se refusent à faire de la prévention du cannabis un enjeu. Je réclame depuis des années que la France fasse de la prévention dès le plus jeune âge (prévention primaire) comme cela se fait dans un très grand nombre de pays qui ont suivi l’exemple suédois.

    Il faut également savoir que dans ce grand pays démocratique qu’est la France les associations de parents n’ont pas le droit d’aller dans les écoles publiques, alors que dans le monde entier les associations de parents travaillent avec les gouvernements à la mise en place des programmes de prévention dans les écoles.

    En France les associations agrées sont celles qui prônent la légalisation du cannabis, la dépénalisation des drogues, les salles de shoot. On en voit le résultat.

    Votre livre s’adresse avant tout aux parents : pourquoi ?

    Il faut informer les parents pour qu’ils puissent parler du cannabis avec leurs enfants. Il n’y a pas de meilleure prévention que celle faite par les parents. Il est prouvé dans de nombreuses études que les enfants attendent de leurs parents qu’ils les préviennent des dangers des drogues. Il ne faut pas tout attendre de l’Etat.

    Déjà ministre de l’éducation nationale, Vincent Peillon se déclarait favorable à la dépénalisation du cannabis à l’automne 2012. Au nom de sa conception de la morale laïque ?

    À lire les nombreux témoignages que comporte votre livre sur les désastres opérés par le cannabis, on ne peut être qu’effrayé que Vincent Peillon ait, il y a un an, utilisé son autorité morale de ministre de l’éducation nationale auprès de la jeunesse pour réclamer la dépénalisation du cannabis...

    Voilà en particulier un des problèmes de cette consommation chez les jeunes. Lorsque vous avez des ministres comme Peillon ou Vaillant ou un parti comme Europe-Ecologie- Les Verts qui prônent la légalisation du cannabis, ils envoient un message dangereux aux jeunes. En tant qu’élus, à ce titre, ils devraient être condamnés.

    Propos recueillis par François Marcilhac - L’AF 2873

    Serge Lebigot - Le Dossier noir du cannabis, témoignages accablants - Editions Salvator, 2013, 188 pages, 16 euros.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Entretien-Serge-Lebigot-a-L-AF-Les

  • Agroalimentaire : reportage effrayant sur les poissons d’élevage

    C’est l’un des symboles du bien-manger : recommandé par les médecins et les nutritionnistes, le poisson a gardé l’image d’un produit sain et naturel. En France, sa consommation a plus que doublé en cinquante ans et elle concerne particulièrement le poisson d’élevage.

    Sa chair renferme pourtant bien des secrets, parmi les plus toxiques de l’industrie agroalimentaire : utilisation de farines animales, usage massif d’antibiotiques et de pesticides, pollution au mercure et aux PCB, défauts de traçabilité, substitutions d’espèces… Un monde secret et opaque où l’intérêt de l’industrie passe parfois avant celui des consommateurs.

    http://www.youtube.com/watch?v=27HVmJ1huJM

  • Liberté, Égalité, Sobrieté Des Français contre des Français...

    L’ANPAA, Association nationale de prévention en alcoologie et en addictologie (1 400 salariés, 70 millions d’euros de subventions, indemnité de 200 000 euros pour les dirigeants) est une association peu connue mais extrêmement influente auprès des dirigeants politiques. Récemment, cette association pilotée par une bande d’empêcheurs de tourner en rond s’est mis en tête de torpiller la deuxième source de revenu à l’export de la France et d’endommager tout un tissu économique fortement enraciné faisant vivre pas moins de 500 000 personnes.

    En effet, c’est l’ANPAA qui est à l’origine du projet gouvernemental d’un durcissement de la réglementation entourant la filière viticole. Au programme de ce projet de loi, cinq mesures sont à l’étude :
    - une taxe supplémentaire dite de « comportement » ;
    - l’interdiction de communiquer sur le vin sur tous les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, etc.) et sur l’Internet ;
    - l’interdiction de parler positivement dans les médias... ;
    - une radicalisation des avertissements sanitaires (ex. : « L’abus d’alcool est dangereux pour la santé » remplacé par « L’alcool est dangereux pour la santé » !) ;
    - le durcissement des mentions sanitaires (en plus du titre, obligation d’indiquer le nombre d’unité dites « alcooliques » sur la bouteille).

    Mais ce qui a provoqué l’indignation et la montée au créneau des principaux acteurs de la filière viticole (regroupé dans un collectif [1]) fut une une interview du directeur de l’ANPAA, Patrick Elineau, dans le Wine Spectator [2] une revue spécialisée très respectée outre Atlantique (rappelons que les États-Unis sont le premier marché à l’export de la filière française).

    Quand le journal américain évoque la difficulté technique de la censure sur l’Internet, Patrick Elineau cite l’exemple du gouvernement chinois, qui censure largement les dissidents mais aussi le gouvernement australien pour la censure de la pornographie et de la pédophilie sur l’Internet ! Ce qui selon lui serait un exemple à suivre pour le gouvernement français afin de fermer toute discussion portant sur le vin dans les forums, blogs et autres réseaux sociaux. Mieux encore, il affirme ensuite sans peur du ridicule « lorsqu’on voit ce qui a été fait avec les sites néo-nazis, on réalise qu’il y a des solutions ». On établit les comparaisons que l’on peut... Dissidents chinois, pédophiles australiens, néo-nazis ! Bigre, il en faut des arguments pour s’attaquer à la filière viticole. Ce sinistre personnage se vante de ne jamais boire. Ceci expliquant sans doute cela !

    Plus surprenant encore, le président de l’ANPAA, le Dr Alain Rigaud, un psychiatre de Reims spécialisé dans les addictions, déclare récemment, toujours dans le Wine Spectator, que toutes ces mesures ne dissuaderont pas les amateurs de Grand Crus mais seulement les consommateurs de bouteilles bon marché ! Tous cela ressemble à de la prohibition et obligera les plus modestes à se diriger vers des vins encore moins cher, moins raffinés et en définitive réellement toxiques même à petite dose. Merci à ces inquisiteurs de l’ANPAA de se soucier de santé publique. Rappelons qu’en France si la consommation a fortement chuté ces dernières décennies, la qualité sanitaire de la production est, elle, remarquable, grâce à tout le travail d’amélioration du processus de vinification. Ce qu’il y a de vraiment contradictoire avec toutes ces nouvelles restrictions, c’est qu’elles réduiront finalement la consommation raisonnable de vin en assimilant de bons produits issus du terroir à de dangereuses drogues hautement addictives.

    Avec des Français pareils, la France n’as plus besoin d’ennemis....

    Lorsque l’on parcourt les commentaires sur le site du Wine Spectator, on est frappé par les remarques des amateurs américains de vin français. Citons-en une :

    « Difficile de croire que cela puisse se produire dans une nation qui a rafiné et défini pendant au moins dix siècles ce que le vin peut et doit être. Quand les petites parcelles de Bourgogne (appelés aussi “climats”) seront nommées par l’ONU patrimoine historique mondial l’an prochain, la France déclarera-t-elle que le vin issu de ces climats est dangereux pour votre santé ? Effrayant et déprimant  [3]. »

    Suite aux pressions des syndicats de vignerons, l’interdiction de la communication sur les réseaux sociaux a été supprimée du projet de loi par le Sénat. En revanche, les autres mesures sont toujours envisagées.

    Pour se remettre de tout cela, Sanguisterrae vous suggère de glisser une quenelle viticole en soutenant un petit exploitant de Saint-Clément-sur-Valsonne, dont nous avons réservé la production de Beaujolais Nouveau « Le Béret quenelle viticole » en prévente sur notre site sanguisterrae.fr. Livraison à partit du 21 novembre. 80 € seulement les 12 bouteilles ! Frais de port offerts à partir de 36 bouteilles.

    Notes

    [1] http://www.cequivavraimentsaoulerlesfrancais.fr/

    [2] http://www.winespectator.com/webfeature/show/id/49021

    [3] « Hard to believe this could be happening in a nation which has been refining and defining what wine can and should be for at least ten centuries. When, as projected, "les climats" of Burgundy are nominated as a U.N. World Heritage Site next year, will France declare that same wine as injurious to your health ? Scary and depressing. » In http://www.winespectator.com/blogs/show/id/49100

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Liberte-Egalite-Sobriete-21194.html