
On en a eu la gorge chaude jusqu’à l’angine de poitrine ces temps-ci du rapport sur les frangins muslims.
Les rieurs clament qu’il vaut mieux avoir la gorge chaude que la gorge profonde concernant nos politiciens, moi je dis que l’un n’empêche pas l’autre et que certains dont on taira les noms arrivent à être suffisamment chauds-profonds pour la sucette à l’anis-babouche qui cultivent l’en même temps comme d’autres cultivent leur cannabis sur leur balcon.







