Les « gilets jaunes » ont échoué à se structurer politiquement. Vont-ils réussir à rebondir syndicalement ? C’est tout l’enjeu du bras de fer juridique engagé par les cinq confédérations (CGT, CFDT, FO, CFE-CGC et CFTC) ainsi que l’UNSA contre la décision du ministère du Travail de leur permettre de se présenter aux prochaines élections de représentativité dans les très petites entreprises, un bras de fer qui vient de connaître une étape décisive.
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Au terme d’une lutte juridique l’opposant aux syndicats historiques, un syndicat “gilets jaunes” pourra finalement se présenter aux élections des salariés de TPE
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Pour la première fois, la droite nationale belge conquiert une ville en Flandre
Avec 47,4% des voix, Guy D’haeseleer et ses colistiers disposent d’une majorité absolue de sièges au conseil communal de Ninove, ville de 40.000 habitants à l’ouest de Bruxelles.
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Élections américaines : et si les Amish donnaient la victoire à Donald Trump ?
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Donald Trump sur les lieux du crime
Donald Trump est retourné hier, à un mois exactement de l’élection, à Butler en Pennsylvanie, où il avait été victime d’une tentative d’assassinat le 13 juillet.
Devant une foule véritablement gigantesque, à 18h11, heure exacte de l’attentat, il a demandé le silence. Quatre coups de cloche ont résonné pour chacune des victimes : le pompier tué et les trois blessés dont lui, et le ténor Christopher Macchio a entonné l’Ave Maria de Schubert.
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L’ombre politique de Jörg Haider plane à nouveau sur l’Autriche
Arrivé en tête des élections législatives autrichiennes, le FPÖ, le Parti de la liberté d’Autriche, est renvoyé par la plupart des commentateurs à de lointaines origines nazies. C’est aller un peu vite avec la politique autrichienne et oublier que les socio-démocrates, drapés dans leur pseudo-virginité politique, ne se sont jamais privés de recycler d’anciens nationaux-socialistes. Lionel Baland, qui a signé un « Jörg Haider le phénix. Histoire de la famille politique libérale et nationale en Autriche » (2012), rappelle quelques vérités dérangeantes aux donneurs de leçon.
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Autriche, une victoire historique du parti de la droite nationale et populaire
Michel Festivi
Après les très bons résultats des partis classés par les grands médias « à l’extrême droite » lors des élections européennes, que ce soit le RN en France, Vox en Espagne, Fratelli d’Italia en Italie, l’AFD en Allemagne etc.…, après les excellents résultats en chiffres du RN en juillet (11 millions d’électeurs), voilà que le FPÖ (parti de la liberté) en Autriche vient d’emporter pour la première fois de son histoire, les élections législatives qui se sont déroulées ce dimanche, 29 septembre, et est devenu le premier parti du pays.
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Autriche : en tête des sondages pour les législatives, le FPÖ défend l’idée de la « remigration » (MàJ : en hausse de 13 points, il arrive en tête avec 29,1% des voix selon les premières estimations)
29/09/2024
Le Parti autrichien de la liberté (FPO) a remporté dimanche les élections législatives, plaçant l’extrême-droite en position de force pour former une coalition pour la première fois depuis la Seconde guerre mondiale, montrent des projections de sortie des urnes, mais sans l’assurer de pouvoir trouver un partenaire de gouvernement.
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Les électeurs noirs de moins en moins démocrates
Selon Alexandre Mendel dans Conflits :
Longtemps considérés comme acquis à la gauche depuis Johnson, les Afro-Américains s’affranchissent de plus en plus de leur « dette électorale » à l’égard des démocrates. Trump, le businessman, figure de la culture hip-hop, est le républicain le plus populaire dans cette communauté depuis plus de cinquante ans. L’arrivée de Harris semble toutefois freiner cet élan.
Quand, en août, devant un parterre de reporters de l’association des journalistes noirs américains, Donald Trump s’interrogeait sur l’ethnicité de Kamala Harris, « indienne » (ce qu’elle est par sa mère) ou « noire » (son père était d’origine jamaïcaine), la presse s’étranglait. « Raciste ! », « diviseur ! », « Trump ne peut se retenir » La question avait pourtant un véritable fond politique. À quoi joue Kamala Harris quand, en meeting devant un public majoritairement noir, elle prend l’accent afro-américain qu’elle n’a jamais eu : et pour cause, elle n’est pas l’une des leurs. Pas davantage que Barack Obama qui, lui aussi, modulait ses intonations pour passer pour ce qu’il n’a jamais été : un noir américain, et non le fils, métis, d’un universitaire kenyan et d’une Américaine blanche. Que ne ferait-on pour gagner les voix de ce segment de l’électorat !
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Sondage 2027 premier tour : Marine écrase tout avec 34 à 40 %
Sondage 2027 premier tour : Marine écrase tout avec 34 à 40 % des voix
À croire que ses électeurs furieux ont été galvanisés par l’inique front républicain.
Insultés et méprisés depuis quarante ans, spoliés de leur victoire au premier tour des législatives et écartés comme des parias du Bureau de l’Assemblée, victimes éternelles des ennemis de la démocratie qui veulent à tout prix régner sans partage, alors qu’ils ont littéralement détruit la France avec leur contre-modèle de société soixante-huitard, les électeurs de Marine Le Pen ne baissent pas les bras !
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Donald Trump face à Kamala Harris : état des lieux et pronostic
Certes, pauvres de nous, nous ne votons pas aux élections présidentielles américaines. Mais celles-ci nous concernent car la France et l’Europe sont embarquées, de gré ou de force, dans le grand pandémonium occidental. Trump ou Harris, les États-Unis défendront toujours leurs intérêts de puissance impériale. Mais, Trump ou Harris, deux visions s’affronteront sur la guerre et la paix, l’ouverture ou le contrôle des frontières, le délire wokiste ou le réalisme conservateur, la censure ou la liberté d’expression. Harris part avec un avantage. Mais tout n’est pas joué.