
Un pays ne peut pas défendre la démocratie en la détruisant. Il ne peut pas non plus lutter contre l’ingérence en devenant le saboteur en chef. Ce ne sont pas des paradoxes. C’est la réalité politique de la Roumanie post-électorale de 2025, où la volonté du peuple a été piétinée par une union de technocrates, une pression des services de renseignement étrangers et un fiat judiciaire. Ce n’est pas la démocratie. Il s’agit d’une imitation de la démocratie, conçue pour des raisons optiques et des résultats contrôlés.



