Au cœur d’un printemps encore hésitant, une enquête signée Ifop-Fiducial pour Le Figaro et Sud Radio vient jeter sur la scène politique un clair-obscur révélateur, comme on en voit parfois au théâtre, quand les projecteurs se déplacent non pas au gré des mérites, mais des angles de vue. Il ne s’agit pas ici de sondages d’intention de vote – art déjà périlleux –, mais de l’exercice, plus brumeux encore, du pronostic populaire : qui, parmi la cohorte bigarrée des prétendants, « fera » candidature à la présidentielle de 2027 ?
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Présidentielle 2027 : Le crépuscule des icônes et l’ombre portée des écrans
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Roumanie : Valérie Hayer veut faire battre le candidat nationaliste !
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Larcher et Braun-Pivet préparent en douce un accord Macronie-LR pour 2026…
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Roumanie : l'électrochoc George Simion qui met l'Union européenne en panique - Régis le Sommier
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Raz-de-marée natio en Roumanie : finalement, ce n’était pas dû à l’ingérence russe…

George Simion, aux portes du pouvoir
Les choses se suivent et se ressemblent. Le 4 mai 2025, George Simion, leader de l’Alliance pour l’unité des Roumains (AUR), a balayé ses adversaires lors du premier tour de l’élection présidentielle roumaine, obtenant 40 % des voix. Călin Georgescu, l’autre figure de la droite roumaine, n’avait réalisé « que » 23 % lors des élections de novembre 2024, élections annulées par le Conseil constitutionnel qui avait argué de possibles ingérences russes via le réseau chinois TikTok, ingérences jamais prouvées. La candidature de Georgescu aux présidentielles de 2025 avait été invalidée pour les mêmes raisons. Écœurés par ces pratiques dignes de l’époque Ceaucescu, les Roumains ont voté en masse pour Simion qui a par ailleurs dit pendant la campagne qu’au cas où il serait élu, il nommerait Georgescu Premier ministre.
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Déroute des européistes en Roumanie

George Simion, chef du parti de droite souverainiste Alliance pour l’unité des Roumains (AUR), est arrivé, dimanche 4 mai, largement en tête du premier tour de l’élection présidentielle en Roumanie avec plus de 40 % des voix. Il sera opposé au second tour, le 18 mai, au maire de Bucarest, le centriste et pro-européen Nicusor Dan, arrivé deuxième avec 21 % des voix.
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Roumanie : leçon française d’une insurrection électorale

Dans son obsession à faire taire le peuple, l’oligarchie européiste creuse sa tombe. Les Roumains, en portant hier soir George Simion spectaculairement en tête du premier tour de la présidentielle (plus de 40% des voix), ont refusé les intimidations morales d’une Union européenne supranationale. Sous son influence la Cour constitutionnelle roumaine avait invalidé discrétionnairement, le 6 décembre, la victoire au premier tour (23%) du souverainiste Calin Georgescu, qualifié d’extrême droite et de pro-Poutine par les censeurs. Simion a fait campagne en refusant de participer aux débats du système médiatique. Cette insurrection électorale reste à confirmer le 18 mai. Cependant, elle intervient alors qu’en Allemagne le renseignement intérieur a, vendredi, qualifié Atlernative für Deutschland (afD), deuxième parti politique du pays, de mouvement « extrémiste de droite confirmé ». Il lui est reproché son opposition à l’immigration musulmane.
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Roumanie : la vengeance des peuples contre les euro-mondialistes ? - JT du lundi 5 mai 2025

Pour commencer cette édition, nous partirons en Roumanie où les euro-mondialistes ont reçu une gifle monumentale lors de la nouvelle élection présidentielle. Le candidat soutenu par Calin Georgescu, George Simion, est arrivé en tête au premier tour avec 40% des suffrages.
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Roumanie : le candidat nationaliste arrive en tête ! Vers un nouveau coup d’État des juges ?

Le candidat nationaliste George Simion est arrivé en tête du premier tour de l’élection présidentielle roumaine avec plus de 30 % des voix, tandis que les scores des deux candidats de la coalition pro-occidentale, Crin Antonescu et l’indépendant Nicușor Dan, tous deux légèrement au-dessus de 20 %, sont encore trop serrés pour désigner le second à l’heure où nous écrivons ces lignes. Simion fait mieux que Calin Georgescu qui avait réalisé 23 % des suffrages en novembre 2024 et était donné favori pour le second tour.
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Royaume-Uni. Nigel Farage et Reform UK bouleversent le paysage politique lors des élections locales
Les élections locales britanniques de mai 2025 ont marqué un tournant majeur dans la politique anglaise : le parti Reform UK, dirigé par Nigel Farage, a réalisé une percée spectaculaire, bousculant l’équilibre historique entre travaillistes et conservateurs.