Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élections - Page 228

  • IL PRÉTEND S'OPPOSER AU SYSTEME : MÉLENCHON N'EST QUE SON CHIEN DE GARDE

    Diapositive1 copie 4.jpg

    LISEZ LA REVUE

    SYNTHÈSE NATIONALE CLIQUEZ ICI

    Diapositive1.jpg

  • Discours de Marine Le Pen pour le lancement de la campagne pour les élections européennes 2019.

  • Emmanuel Macron et son « sens de l’effort » : le fait-il exprès ? La réponse est oui

    IMG_6291-845x475.jpg

    Ce n’est pas possible ! Ce n’est pas possible que tout ce gigantesque bazar ne soit pas voulu ni orchestré de « quelque part », ou alors c’est encore pire… Comment un président de la République réputé brillant et intelligent peut-il proférer de telles paroles à la veille même d’un samedi de manifestations ?

    Les nunuches et les clones de service nous débitent à longueur d’antenne qu’il ne s’adressait qu’à la corporation des boulangers, métier ô combien méritoire par ce qu’il comporte d’efforts et de sacrifices. Mais plus personne n’y croit. Même les journalistes des chaînes de propagande n’y croient plus…

    Une première hypothèse consiste à penser que Macron est un idiot du village qui ne mesure pas la portée de ses paroles ni de ses actes.

    Je ne crois pas un instant à cette hypothèse.

    Je pense, au contraire, que tout cela est délibéré pour parachever l’œuvre de destruction systématique et méthodique de la maison France qu’il a initiée dès le début de son mandat.

    Il est manifeste que « plus rien ne marche » dans ce pays : après la destruction de l’industrie, de l’économie, de l’éducation, de la santé, de l’armée, de la justice, de l’administration, etc., il fallait s’occuper de l’anéantissement de la société. Si les revendications des gilets jaunes sont jugées si disparates, alors qu’elles ne sont que le cri d’un peuple en désarroi, c’est bien la preuve que « le navire France prend l’eau de partout ».

    Quelle belle occasion que celle du mouvement des gilets jaunes ! Il est évident que « plus ça dure et mieux c’est », car le mouvement va bien finir par se fracturer de lui-même, tant il provoquera de mécontentement et de « ras-le-bol ».

    Et c’est exactement ce qui se produit : les Français commencent à se diviser, surtout quand on leur sert la sempiternelle ritournelle des dégâts économiques causés par le mouvement. Et le « tout répressif » permet de vanter et vanter encore les mérites de nos forces de l’ordre face à cette « foule haineuse » et tous ces casseurs finalement bien utiles pour discréditer le mouvement.

    Un mouvement qui, au passage, ferait une grave erreur en présentant une liste aux européennes. En siphonnant un bon nombre de voix au Rassemblement national, alors qu’un boulevard s’ouvre à ce parti, les gilets jaunes feraient finalement le jeu de Macron ! Ce calcul cynique est tout à fait plausible quand on connaît maintenant mieux l’ex-banquier d’affaires et ses sbires !

    Cela expliquerait aussi pourquoi le pouvoir fait durer le mouvement en soufflant sans cesse sur les braises, encore une fois, d’une façon trop grossière pour ne pas être voulue.

    À moins, aussi, qu’il ne s’agisse de quelque chose de beaucoup plus inquiétant pour le monde occidental : sa destruction programmée.

    Patrick Robert

    http://www.bvoltaire.fr/emmanuel-macron-et-son-sens-de-leffort-le-fait-il-expres-la-reponse-est-oui/

  • RN/LFI : un scénario à l’italienne est-il possible en France ?

    rassemblement-national-alpes-1-37572-600x337.png

    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le sondage IFOP Paris-Match en date du 8 janvier dernier donne le Rassemblement national en tête de tous les partis.

    Porté par le mouvement des Gilets jaunes, le parti présidé par Marine Le Pen se positionne ainsi comme le premier parti d’opposition au système Macron. Sur les derniers mois, la progression est spectaculaire : de septembre 2018 à janvier 2019, le RN passe en effet de 22 à 35% de soutien dans l’opinion publique, alors que dans le même temps, la France Insoumise s’effondre de 42 à 30%. Explication : d’un côté, le grand-guignolesque épisode des perquisitions de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions dans les locaux de la France Insoumise ; et de l’autre, le subtil jeu d’intelligence politique de Marine Le Pen lors des diverses « actes » de la crise des Gilets jaunes, à l’opposé des gros sabots mélenchoniens.

    Forte de sa position dominante, Marine Le Pen semble davantage capable de mettre en œuvre une stratégie de convergence que ne pouvait l’être un Jean-Luc Mélenchon

    Ce dernier est de plus en plus fragilisé au sein même de son parti. Fin novembre, le comité électoral de LFI décidait ainsi de renvoyer de la liste des européennes deux « orateurs nationaux» du mouvement : Djordje Kuzmanovic et François Cocq. De son côté, dans Valeurs actuelles de ce mercredi, la présidente du Rassemblement national a souverainement estimé qu’à l’occasion de la crise des Gilets jaunes, « certaines convergences » étaient apparues entre son parti et celui de Jean-Luc Mélenchon : l’Europe, les traités de libre-échange, l’euro, les retraites, la renationalisation des autoroutes, le protectionnisme, etc. Une ligne rouge rédhibitoire cependant : l’immigration. Pour Marine Le Pen, « Jean-Luc Mélenchon n’a pas le courage d’effectuer la rupture politique qui serait nécessaire […] La tentation de rompre avec cette idéologie immigrationniste ultraradicale lui a traversé l’esprit, mais il est coincé » ironise la présidente du RN, qui brocarde les « gauchistes, communautaristes et indigénistes » qui constituent, selon elle, l’ossature du mélenchonisme en acte. De fait, le 18 novembre dernier, à l’occasion d’un déplacement à Épinay-sur-Seine, Jean-Luc Mélenchon a déclaré, « Je sais quelles sont les populations qui sont là dans ces quartiers. Eh bien moi je veux les nommer. Je n’ai pas peur, je n’ai pas honte de le dire. Ceux que vous voyez là, c’est la nouvelle France ».

    Une profession de foi qui rend illusoire tout scénario à l’italienne, Lega/5*, entre RN et LFI…

    Compte tenu du logiciel profondément cosmopolite de M. Mélenchon, autant promouvoir le mariage de la carpe et du lapin. Mais Mélenchon n’est pas éternel et sa stratégie Terra Nova a montré ses limites : la conscience politique et la capacité d’auto-organisation dont font preuve les Gilets jaunes est sans commune mesure avec celles dont semblent être capables les « quartiers populaires ». La politique de la main tendue de Marine Le Pen avec la gauche semble néanmoins vouée à l’échec. Le RN est condamné à siphonner les Républicains…

    https://fr.novopress.info/213214/rn-lfi-un-scenario-a-litalienne-est-il-possible-en-france/

  • Pour Alain Duhamel, Marine Le Pen est “plus forte que jamais”

    marine-salvini_9214-une-600x428.jpg

    Dans une interview à l’hebdomadaire Valeurs Actuelles, Marine Le Pen déborde d’optimisme quant à ses perspectives politiques. Cela se voit à travers la séquence des “gilets jaunes” où elle est particulièrement à l’aise. On voit bien que beaucoup des thèmes qui affleurent vont dans son sens et que son électorat est le plus proche des “gilets jaunes”.

    Pour Alain Duhamel, l’optimisme de Marine Le Pen est notamment dû au “mouvement populiste mondial”. Les populistes aujourd’hui sont au pouvoir aux États-Unis et au Brésil et progressent en Europe. Ce qui sont les adversaires de Marine Le Pen, sont aujourd’hui en mauvais état. C’est le cas d’Emmanuel Macron, qui n’a jamais été dans une situation aussi difficile, mais aussi Laurent Wauquiez qui visiblement est un des vaincus de l’affaire.

    Enfin, Marine Le Pen a également changé sa stratégie à propos de l’Europe. Elle se dit en situation de changer des choses de l’intérieur. Elle espère même que les populistes forment le premier groupe au prochain Parlement européen.

  • Le référendum d'initiative citoyenne (#RIC), pourquoi ça bloque en République ?

  • LA POLOGNE ET L’ITALIE TOMBENT D’ACCORD POUR RENFORCER LES FRONTIÈRES DE L’UE

    1026969783.jpg

    z24345050IHMatteo-Salvini-i-Joachim-Brudzinski-na-wspolnej-ko.jpgLa Pologne et l’Italie se sont mis d’accord pour renforcer la frontière extérieure de l’Union européenne, a annoncé le ministre polonais des Affaires étrangères Joachim Brudzinski à l’issue des négociations avec le Premier ministre italien Matteo Salvini.

    Ce dernier a pour sa part souligné que Rome et Varsovie étaient disposés à coopérer en vue de construire une «nouvelle Europe».

    «La Pologne et l’Italie prendront part au nouveau printemps de l’Europe, à la renaissance des valeurs européennes», a affirmé M.Salvini au cours d’une conférence de presse.

    Selon lui, l’Europe d’aujourd’hui est «gouvernée par les bureaucrates», mais la situation sera différente après les élections européennes qui auront lieu en mai prochain.

    Lors de son séjour en Pologne, Matteo Salvini doit également se réunir avec le chef de file du parti au pouvoir Jaroslaw Kaczynski afin de discuter d’une nouvelle alliance eurosceptique.

    https://fr.sputniknews.com/international/201901091039572821-pologne-italie-frontieres-ue/

  • Mariani, Garraud, Juppé : la saignée des LR

    800px-Saignee_musee_de_saint-denis-800x475.jpg

    Alain Juppé n’a pas renouvelé son adhésion aux LR. Thierry Mariani et Jean-Paul Garraud ont envoyé leur démission des LR. Alain Juppé avoue, lors de ses vœux à la presse, mercredi 9 janvier à Bordeaux : « Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique. J’ai été un des tout premiers membres du RPR. C’est avec tristesse que je l’ai quitté, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l’extrême droite, et une ambiguïté sur l’Europe… Il y a des moments où je me demande qui j’entends à la radio ? Un membre de LR ou de RN ? »

    Thierry Mariani présente tout autant qu’Alain Juppé des lettres de noblesse de haut lignage RPR puisqu’il adhéra à ce parti, autrefois gaulliste, en 1976, alors qu’il était âgé de 18 ans : 42 ans dans la même formation, ce n’est pas rien ! Il justifie ainsi son ralliement à Marine Le Pen : « Je vais là où sont réellement mes idées, où j’ai des chances de les faire aboutir. » Une démarche de cohérence, en somme. De son côté, le haut magistrat Jean-Paul Garraud, ancien député UMP, et qui, lui aussi, figurera sur la liste du Rassemblement national aux élections européennes, explique sa décision en déclarant que « finalement pour moi les valeurs du RPR d’hier sont celles du RN d’aujourd’hui ».

    On se demande alors qui a dérivé dans ses thèses. Thierry Mariani et Jean-Paul Garraud, qui ont toujours été sur une ligne souverainiste et, pour faire court, identitaire ? Ou Alain Juppé ? Alain Juppé, déjà hiérarque du RPR dans les années 90, quand ce mouvement, alors dans l’opposition à Mitterrand, prônait la fermeture des frontières, la suspension de l’immigration, la réservation de certaines prestations sociales aux nationaux, et soulignait l’incompatibilité entre l’islam et nos lois. Marion Maréchal-Le Pen n’avait, d’ailleurs, pas manqué de rappeler tout cela à Alain Juppé le 2 octobre 2014 lors de l’émission « Des paroles et des actes ». « Bravo, vous avez marqué un point… super », avait reconnu, un brin gêné, l’ancien Premier ministre. « Rétrospectivement, je pense que c’était une erreur », expliqua le maire de Bordeaux pour justifier son évolution idéologique, pour ne pas dire revirement. Évolution, revirement ou dérive ? Tout est une question de point de vue.

    Mais ce n’est évidemment pas Thierry Mariani et Jean-Paul Garraud qu’Alain Juppé visait en évoquant ces membres de LR qu’on croirait membres du RN lorsqu’ils s’expriment à la radio, d’autant que ces deux-là avaient pris leurs distances depuis quelque temps avec le mouvement. Il visait ceux qui restent à bord du navire LR et tentent de convaincre de la possibilité d’une « troisième voie ». Mais le parti de Laurent Wauquiez semble subir à son tour le supplice du casse-noix que connut le Parti socialiste en 2017, si cruellement décrit par Mélenchon à l’époque : « Il faut que ça serre des deux bords : Macron et Mélenchon… Et au milieu, ça fait de l’huile. » »

    Alain Juppé évoque « une ambiguïté sur l’Europe » dans le discours des LR. Sur ce point, il n’a pas tort. Il a même raison ! Et il semblerait qu’aujourd’hui, le parti de Laurent Wauquiez est en train de faire mentir le cardinal de Retz puisque son excès d’ambiguïté opère pour l’instant à son détriment.

    Georges Michel

    http://www.bvoltaire.fr/mariani-garraud-juppe-la-saignee-des-lr/

  • La défiance des Français envers la classe politique atteint des sommets

    « Méfiance » et « dégoût » sont les premiers mots qui viennent à l’esprit des Français lorsqu’ils pensent à la politique. Selon le baromètre annuel Cevipof-OpinionWay, la confiance des Français dans les institutions politiques et leurs dirigeants n’a jamais été aussi basse.

    Jamais les Français n’avaient exprimé une telle défiance envers les institutions politiques et leurs représentants. Selon le baromètre du Cevipof publié vendredi 11 janvier dans Le Figaro, seuls les maires tirent leur épingle du jeu, alors que la crise des « gilets jaunes » secoue le pays depuis près de deux mois. 58 % des personnes interrogées leur font confiance ( + 3 points).

    Arrivent ensuite les conseillers départementaux, les conseillers régionaux, les députés, le Premier ministre, le président et les députés européens. Tous ont vu leur score baisser. La confiance dans le président Emmanuel Macron est à son plus bas niveau (23 %), soit 13 points de moins que l’an passé, ainsi que celle du Premier ministre Edouard Philippe (25 %) qui perd 11 points, selon le baromètre.

    […]

    La confiance dans les syndicats (27 %), les médias (23 %) ou les partis politiques (9 %) stagne également à des niveaux très bas, alors qu’en revanche les hôpitaux (78 %), les PME (78 %), l’armée (74 %), la police (74 %) ou l’école (69 %) restent très majoritairement appréciés. Seuls 27 % des sondés estiment que la démocratie fonctionne bien en France (moins 9 points en un an) et à peine 14 % (moins 2 points) jugent que les responsables politiques se préoccupent de ce que les « gens comme vous » pensent.

    […]

    Boursorama

    http://www.fdesouche.com/1139613-la-defiance-des-francais-envers-la-classe-politique-atteint-des-sommets

  • Gilets Jaunes : un débat national qui tourne au fiasco – Journal du jeudi 10 janvier 2019

     

    Social / Gilets Jaunes : un débat national qui tourne au fiasco

    Le débat national voulu par Emmanuel Macron pour apaiser la colère des Gilets Jaunes tourne au fiasco avant même d’avoir débuté. Outre la démission de Chantal Jouanno de l’équipe d’organisation des échanges… c’est la défiance des français qui pourrait rendre le dialogue impossible.

    Politique / Debout la France met le cap sur Bruxelles

    Mercredi, Nicolas Dupont-Aignan a présenté son QG de campagne pour les élections européennes de mai prochain. L’occasion d’expliquer son programme de reconquête de la souveraineté en pleine crise des Gilets Jaunes.

    Environnement / La biodiversité en danger de mort

    L’actualité en bref