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#MIDTERMS 2018 : UNE IMMENSE VICTOIRE POUR TRUMP ?
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«Arrogant», «superficiel» : selon un nouveau sondage, la cote de popularité de Macron baisse encore
Selon un dernier sondage, la cote de popularité du président français Emmanuel Macron chute encore, creusant l’écart avec le Premier ministre Edouard Philippe. Les sondés estiment en outre que le chef de l’Etat est «arrogant» et «superficiel».
Après l’affaire Benalla, les démissions en série au gouvernement (Nicolas Hugot, Gérard Collomb…) et un remaniement jugé peu convaincant, la cote de popularité d’Emmanuel Macron n’en finit pas de baisser. Le dernier baromètre BVA en partenariat avec Orange, RTL et La Tribune, publié ce 26 octobre, affiche une popularité au plus bas pour le président français depuis son entrée en fonction en mai 2017, recueillant seulement 29% de bonnes opinions des sondés, contre 62% au moment de son élection.
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Errements mémoriels, lucidité nationale
Les grands médias et les spécialistes de la politique américaine se sont peu ou prou accordés pour le dire, Donald Trump et le camp républicain ont plutôt bien tiré leur épingle du jeu lors des Midterms, les élections de mi-mandats dont les résultats sont tombés hier. Certes, cela était attendu, les Démocrates regagnent la majorité des sièges à la chambre des représentants, ce qui peut laisse craindre au camp Trump le blocage de mesures phares -baisses des impôts pour les classes moyennes, tour de vis dans le domaine de l’accueil de l’immigration, mur anti-migrants... - voire la réactivation de la menace d’empeachment, de la procédure de destitution du président américain. Mais ladite procédure nécessiterait pour aboutir un vote du Sénat avec 60% des voix; or le Sénat est resté hier majoritairement aux mains des Républicains. Le nombre des gouverneurs pro-Trump est lui aussi toujours le plus important. Comme en 2016, le locataire de la Maison Blanche a pu compter principalement sur l’Amérique populaire blanche, rurale, des petites agglomérations; les démocrates se sont eux appuyés sur les minorités et les populations des grosses villes. La différence s’est faite dans les banlieues aisées où les bourgeois ont largement voté contre le parti de l’actuel président américain…
Mais le camp démocrate enregistre des défaites très symboliques de ses vedettes médiatiques. En Floride par exemple , Andrew Gillum, candidat au poste de gouverneur, a mordu la poussière face au républicain Ron De Santis. Au Texas, le sénateur Ted Cruz (ex candidat à la primaire présidentielle républicaine), soutenu ici personnellement par Donald Trump, l’a emporté face à Beto O’Rourke. Le site pro Trump (et pro Likoud) Dreuzinfo ne cache pas sa joie de voir qu’ « Obama a encore perdu »(« quatre des quatre candidats qu’il a soutenus ont perdu l’élection»), mais qu’ «en revanche, les candidats directement soutenus par Trump sont réélus. » Il est rappelé que « la chambre des représentants n’est restée que deux fois dans l’histoire récente du côté du président aux élections de mi-mandat » et qu’ « il n’y a eu que 5 fois au cours des 105 dernières années qu’un président a remporté des sièges au Sénat lors des élections de mi-mandat. » Or, « souvenons-nous que par comparaison, Obama a plus perdu en 2014 que Trump en 2018 : Obama avait perdu les deux chambres. » Bref, Donald Trump resterait plus que jamais un candidat sérieux et bien placé pour sa propre réélection en 2020…
Une échéance qui trotte bien évidemment déjà dans la tête d‘Emmanuel Macron, lequel sait bien que sur sa route les élections européennes de mai prochain seront une étape importante, voire décisive. Son projet européiste n’est-il pas la colonne vertébrale de son action politique comme il n’a cessé de le dire? Ses communicants pour se faire lui ont suggéré de mener une campagne anxyogène visant à pourfendre les méchants populistes-nationalistes. Le couteau entre les dents, ces derniers s’apprêteraient à renverser notre édifice démocratique… celui-là même qui a donné en juin dernier à 45% des électeurs, 4 % des députés à l’ Assemblée nationale... On apprenait ainsi mardi, quel hasard!, que les services antiterroristes avaient de nouveau procédé à six interpellations dans la mouvance de l’ultra-droite, « dans le cadre d’une enquête sur un projet d’action violente aux contours imprécis visant le président Emmanuel Macron», rapporte l’AFP.
Sur le même mode, le clip de campagne pour les européennes du camp macroniste est un modèle du genre, assez sidérant, qui coche toutes les cases de la grossière, primaire et binaire publicité euromondialiste…mais depuis quand la propagande visant les masses s’embarrasse-t-elle de finesse? Ici le message est clair: ce sera moi Jupiter, moi et mes amis éclairés, en marche vers la prospérité promise, la sécurité, la paix progressiste, écologiquement et climatiquement régulée, de l‘Europe de Bruxelles; ou alors ce sera le déluge, les cyclones, la guerre, le chaos généralisé, Salvini, Orban, Le Pen…
Certes, quand Emmanuel Macron entend sortir du manichéisme, s’affranchir des réflexes pavloviens, faire appel à l’intelligence, introduire des nuances, il se fait rabrouer non seulement par l’extrême gauche mais aussi par ses soutiens. Sa semaine de déplacement dans le cadre des commémorations de la fin de la Grande guerre en a apporté un exemple assez frappant. Ce n’est pas à Verdun mardi, - où il a été vivement invectivé par des Français manifestant leur ras-le-bol - ni dans le village des Eparges que le président a choqué. Il y a dit son souhait de voir entrer au Panthéon le normalien, Académicien, homme de lettres et lieutenant pendant la Grande Guerre Maurice Genevoix. » «Mais aussi, à titre collectif rapportait Le Figaro ceux de 14: les Français civils et militaires engagés dans la Grande Guerre, qui ont donné son titre au recueil emblématique de l’écrivain. »
Voilà au moins un grand écrivain, voyageur et poète, qui mérite d’être honoré , non seulement pour ses écrits de guerre – Sous Verdun, Les Eparges, Nuits de guerre…- qui en font un peu le Ersnt Jünger Français, mais aussi pour ses magnifiques romans. Il faut que les jeunes générations lisent des chef-d’oeuvres comme Raboliot, La dernière harde, La Forêt perdue, enracinés dans notre terroir, portant nos mythes fondateurs et faisant appel à notre longue mémoire…
Non, ce qui a valu au Président Macron une avalanche de récriminations c’est son souhait de ne pas occulter Philippe Pétain des commémorations samedi aux Invalides. Le locataire de l’Elysée souhait ici très prosaïquement se placer dans la filiation des propos du Général De Gaulle à l’occasion du soixantième anniversaire de la bataille de Verdun en 1966, voire des autres présidents qui jusqu’à Jacques Chirac firent fleurir sa tombe
Ses propos quels sont-ils? M. Macron a déclaré ces derniers jours que « le Maréchal Pétain a été aussi, pendant la Première Guerre mondiale, un grand soldat » mais qui a « conduit à des choix funestes» pendant la Seconde Guerre mondiale. « J’ai toujours regardé l’histoire de notre pays en face. (…) Je n’occulte aucune page de l’histoire. » Du Crif de Françis Kalifat à Jean-Luc Mélenchon, de LFI aux différentes chapelles de ce qui reste du PS, les représentants peuple de gauche, mais aussi un Meyer Habib, un Roger Karoutchi, et même un Florian Philippot n’ont pas manqué de crier au scandale révisionniste
Résultat indiquait Le Figaro, l’Élysée a fait volte-face en indiquant que « seuls les maréchaux présents aux Invalides – Foch, Lyautey, Franchet d’Esperey, Maunoury et Fayolle – seront honorés samedi. Exit, donc, l’hommage à Philippe Pétain, que le chef de l’État avait pourtant défendu précédemment. » Le phare de la pensée Marlène Schiappa, secrétaire d’État à l’égalité femmes-hommes et à la lutte contre les discriminations a fait part de son soulagement: « le Maréchal Pétain, traître à la patrie, a été condamné à l’indignité nationale. Le Président de la République ne va PAS le célébrer. » En plein rétropédalage Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement, a indiqué lui aussi qu’ «aucun hommage ne sera rendu à Pétain samedi. Il n’en a jamais été question » (sic). «Les maréchaux dont l’honneur n’a pas été entaché, ceux-là, et ceux-là seuls, recevront l’hommage de la République(…) Pas Pétain, qui a été frappé d’indignité nationale pour avoir collaboré avec la barbarie nazie de façon odieuse et criminelle. »
Et Le Figaro de citer encore Michel Goya, historien et ancien colonel des troupes de marine: « Cette polémique me paraissait prévisible, mais, par ses propos, Emmanuel Macron ne fait que rappeler l’histoire. Évoquer le général Pétain en parlant de la Première Guerre mondiale me paraît incontournable. Le Pétain de Vichy n’aurait jamais existé sans celui de 1918. Pétain est le général qui a le mieux compris les enjeux de la guerre moderne, ce n’est pas pour rien qu’on lui a confié la bataille de Verdun en 1916, puis le commandement de l’armée française à partir de mai 1917.»
Mais peut-encore dire dans ce climat négationniste que le général Pétain fut aussi un chef humain, dont l’action épargna la vie de centaines de milliers de poilus, un chef de guerre prudent, économe de la vie des hommes (ce qui explique que Clémenceau l’écarta du commandement des troupes alliés en 1918…) dont le rôle fut en effet décisif à Verdun en 1916 et en 1917? Est-il possible, comme l’ont fait un Henri Amouroux, un Dominique Venner, un Eric Zemmour de sortir du portrait à charge? Est-il encore permis d’exprimer les nuances apportées sur l’action du chef de l’Etat français par d’authentiques résistants, de rappeler notamment les tentatives pour protéger nos compatriotes de confession juive, là ou des ânes bâtés paraît-il insoumis comparent Pétain à Hitler?
Les propos mesurés de Bruno Gollnisch sur la place de ce Maréchal de France dans l’Histoire de notre pays restent d’actualité. Il ne s’agit pas de rouvrir un débat qui est l’affaire des historiens. Mais le courage consiste aussi à ne pas accepter le travestissement du passé à la lumière des obsessions, des haines, des lâchetés, des maquillages de certains, ce que M. Macron, disant tout et son contraire , a très timidement esquissé avant de se faire taper sur les doigts et de courber l’échine. D’ailleurs, comment aurait-il pu en être autrement? Il faut être un national pour refuser aussi l’omniprésente propagande de repentance et de culpabilisation des Français, laquelle ne fait que croître au fur et à mesure que cette page sombre de la défaite de 40 et de l’occupation s’éloigne dans le temps.
« (Philippe Pétain) doit avoir la place que mérite la vérité avait déclaré Bruno Gollnisch. La vérité d’un régime corrompu et incapable de dirigeants élus par le Front populaire, qui, dans la catastrophe à laquelle ils ont été incapables de faire face, se sont lamentablement débinés et ont refilé à ce vieillard l’ardoise de leurs erreurs (…). Je dis simplement ceci: il y a des gens de bonne foi qui ont suivi Pétain, il y a des gens de bonne foi qui ont suivi De Gaulle, qu’on arrête de nous emmerder avec toute cette histoire! ».
« Ce dont je suis sûr c’est que les dirigeants actuels sont 100 fois plus coupables, si tant est qu’il l’ait été, que le Maréchal Pétain. Il avait au moins une excuse, celle d’une armée victorieuse et implacable qui campait sur le territoire national. Tandis que les traîtres qui sont aujourd’hui au pouvoir, c’est en toute connaissance de cause qu’ils bradent la France, qu’ils livrent son économie, qu’ils livrent son identité à l’étranger, portant atteinte à la sûreté intérieure et extérieure de l’Etat, pour le seul profit de leurs intérêts abjects. » Aux errements mémoriels des uns, aux indignations sélectives des autres, continuons d’opposer notre regard lucide, sur le passé comme sur le présent. C’est cette ludicité-là qui fait que l’opposition nationale est légitime pour conduire demain les destinées du pays et qui fait qu’elle assume toute l’Histoire de France, ses pages sombres comme ses pages lumineuses.
https://gollnisch.com/2018/11/08/errements-memoriels-lucidite-nationale/
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Trump, la stratégie gagnante ou la défaite des médias
Les élections américaines de mi-mandat se soldent en fait par un succès pour Trump. Et les médias ne s'en remettent pas.
Ils avaient cru – et affirmé - son élection impossible. Lorsqu'il fut élu, ils ont parié sur son échec, assuré qu'il ne pourrait pas gouverner, espéré et prédit sa destitution, etc. Ces dernières semaines, ils attendaient encore de l'opinion américaine une sanction envers Trump, un grand rejet, une vague bleue démocrate. Elle n'est pas venue. Les Républicains ont conforté leur majorité au Sénat. Les Démocrates n'auront gagné à la Chambre des Représentants qu'une majorité de vingt-six sièges. Au lendemain du scrutin, Le Figaro titre : « Trump en position de force pour 2020 ».
C'est la défaite des médias. Dès hier matin, ils sont passés illico à autre chose.
L'action politique de Trump, c'est, en un sens, la stratégie Buisson à la sauce américaine : aller au peuple enraciné contre les bobos mondialisés. Trump et Buisson pensent l’un et l’autre que lorsqu’il a un leader qui parle en son nom, qui parle pour lui, le peuple est gagnant. Et son champion, en même temps …
C'est la stratégie gagnante un peu partout dans le monde en ce moment. Et c'est, assez exactement, l'inverse de la stratégie Macron, dont il ne se rend pas compte qu'elle le coule …
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En deux mots, réflexion sur l'actualité
La une du Figaro d'aujourd'hui ...
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L’Europe de Macron n’est pas celle de la paix, mais celle de la guerre qui vient
Emmanuel Macron veut faire campagne sur une intox :
L’Europe ou le « populisme » ! L’Europe ou la guerre. Voilà la cage dans laquelle Macron souhaite enfermer le débat de ces prochains mois. La méthode n’est pas de lui. Elle a l’âge de la construction européenne. Robert Schuman, un de ses « pères », déclarait alors : « Nous avons eu la guerre car nous n’avions pas fait l’Europe. » Quelques décennies plus tard, François Mitterrand ne disait pas autre chose que le jeune Macron ou le vieux Schuman lorsqu’il accusait les « nationalismes » de porter la guerre comme la nuée porte l’orage.
Pourtant, à bien y réfléchir, rien n’est plus faux que ces axiomes de bazar intellectuel. Ce n’est pas l’Europe et sa « construction » qui ont chassé la guerre, ce sont les guerres civiles européennes qui, ayant épuisé biologiquement l’Europe, l’ont amenée à être incapable d’en mener d’autres. Ce n’est pas l’Union européenne qui a permis que le continent vive en paix mais, dans un premier temps, l’équilibre entre la force américaine et la force soviétique, puis la sujétion de l’Europe à la pax americana. On peut s’en féliciter ou le déplorer, mais tels sont les faits.
Autre point fondamental : de quelle Europe parle Emmanuel Macron ? Dans son discours de la Sorbonne du 27 septembre 2017, il le dit clairement : « L’Europe est une idée. » Laquelle ? Celle d’un « équilibre de valeur, (d’un) rapport à la liberté, aux Droits de l’Homme, à la justice (qui) est inédit sur la planète. (Un) attachement à une économie de marché et à la justice sociale. » Il s’agit donc d’une conception clairement de gauche qui vient de loin, au moins du XVIIIe siècle. Les « populistes », quant à eux, voient et entendent défendre des choses concrètes, construites, définissables, bref, des déterminismes.
A ces réalités, Emmanuel Macron, comme la gauche, oppose « une idée », c’est-à-dire la capacité à masquer le réel et à inverser le rapport des êtres avec celui-ci. La question identitaire en est la première victime. Fonder l’Europe sur une « idée », celle de la prospérité grâce à un grand marché mondial, c’est méconnaître les fondements de la vie des nations et des hommes, c’est, refusant le réel, livrer les Européens pieds et poings liés aux appétits des peuples du sud ou d’Orient.
L’Europe de Macron n’est donc pas celle de la paix, mais celle de la guerre qui vient et dont les tensions ethniques actuelles ne sont que les premières secousses. L’Europe de Macron est l’exact contraire de ce qu’a été l’Europe en 40 000 ans d’histoire. Cette Europe macronienne se caractérise par son refus de l’élan vital, par sa perte de substance biologique. C’est une Europe du grand suicide. Voilà donc l’enjeu de l’élection de mai 2019. Savoir quelle conception de l’Europe va (temporairement) gagner. Celle du réel, celle des peuples, ou bien celle du mondialisme affairiste et de l’utopie de gauche ?
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Edition Spéciale : Trump à mi-mandat – Journal du mercredi 7 novembre 2018
Midterms : Pas de vague démocrate
L’épreuve de force est passée pour Donald Trump. Si les Républicains perdent comme prévu la majorité à la chambre des représentants, ils se renforcent au Sénat. Un scrutin tristement banal loin de l’échec cuisant envisagé par les médias pour Donald TrumpMidterms : Trump met le cap sur 2020
A l’approche des midterms, Donald Trump avait déjà l’oeil sur l’échéance suivante : la prochaine élection présidentielle où il compte bien se représenter, peu importe la perte de la chambre des représentants.Caravanes de clandestins : l’afflux continue
L’actualité en bref
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Elections MidTerms : les Américains n’ont pas rejeté Donald Trump
Alors que nos médias annonçaient une “vague démocrate” à l’issue des élections de mi-mandat aux États-Unis, le parti d’opposition à Donald Trump a seulement réussi à retrouver la majorité à la Chambre des représentants.
Donald Trump sort renforcé de cette élection, car non seulement les Républicains conservent le Sénat, mais ils y accroissent leur nombre de sièges. Et c’est la chambre qui a le plus de pouvoir politique.
Les résultats ne sont pas encore définitifs.
A noter qu’en Virginie, le seul sénateur Démocrate qui a voté pour la confirmation du juge Kavanaugh à la Cour suprême a été réélu avec 52%, dans un État qui avait placé Trump largement en tête.
Ces élections de mi-mandat sont généralement compliquées pour les partis au pouvoir. A titre d’exemple :
- Clinton 1994:
- Chambre -54
- Sénat -8
- Bush 2006
- Chambre -30
- Sénat -6
- Obama 2010
- Chambre -63
- Sénat -6
- Trump 2018
- Chambre -30 (estimation)
- Sénat +4 or +5
Corentin Sellin estime sur BFMTV :
«Trump a surtout fait campagne pour le Sénat qui est le plus important, et force est de constater qu’il a très bien réussi. Il a eu le scalp de tous les Démocrates qu’il est allé chercher. En Floride, alors que tous les sondages disaient l’inverse, les Républicains remportent une double-victoire Gouverneur/Sénateur. Trump peut dire : “C’est moi qui vous ai fait gagné”. Il en sort renforcé personnellement. C’est surprenant que la majorité Républicaine soit autant renforcée au Sénat, notamment le siège en Floride détenu depuis 2000 par les Démocrates. Trump pourra beaucoup plus facilement peupler les cours de justice de juges conservateurs.
On parlait des deux futures “grandes stars Démocrates”, Beto O’Rourke au Texas, et Andrew Gillum en Floride. Les deux ont perdu car Trump est allé faire campagne contre eux (…) Rourke ne s’est pas pris une raclée mais il a mis 38M$ dans sa campagne et perd de 4 points. Alors d’accord c’est une belle défaite, mais à un moment donné, les Démocrates devraient arrêter les championnats du monde des matches amicaux. A un moment donné, il faut gagner des élections.»
Et surtout il n’y a plus d’opposition républicaine à Donald Trump. Le parti sait ce qu’il doit à Donald Trump et ce sont des trumpistes qui ont été élus. Contrairement à ce que la gauche pensait il y a 2 ans, l’élection de Donald Trump n’est pas un accident (par défaut) mais une tendance lourde de l’électorat de droite.
François Durpaire sur BFMTV :
«Donald Trump s’est impliqué au grand dam des Républicains qui lui ont dit de faire jouer l’économie, de ne pas parler d’immigration, thème assez clivant. Trump sort renforcé. Les Républicains ont voté très clairement sur l’immigration.C’est une victoire idéologique.»
Si vous allumez la radio, vous entendrez nos médias se réjouir de l’élection d’un gouverneur homosexuel dans le Colorado et de deux élues musulmanes… C’est typique du communautarisme de gauche. Kate McKenna (Membre des Républicains Overseas France) déclare :
«Les Démocrates très à gauche, voire socialistes montent les communautés les unes contre les autres en divisant les Américains en Noirs, Latinos, Homosexuels, etc. C’est monté sous Obama sur les questions de races. Les tensions datent d’avant Trump.»
https://www.lesalonbeige.fr/elections-midterms-les-americains-nont-pas-rejete-donald-trump/
- Clinton 1994:
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Européennes 2019 : Macron en marche arrière
La question n’était pas « si » mais « quand ». Nous y sommes : le sondage de La Lettre de l’Expansion rendue publique via tweeter aujourd’hui montre pour la première fois le Rassemblement National passer devant LREM dans les intentions de votes.
Extrême gauche : 15 %
– Lutte Ouvrière / Nouveau Parti Anticapitaliste : 2 %
– Parti communiste « français » : 2 %
– France Insoumise : 11 %
Gauche : 17 %
– Génération.s : 2,5 %
– Parti socialiste : 7,5 %
– Les Verts : 7 %
Centre : 22 %
– La République En Marche : 19 %
– Agir : 3 %
Droite : 13 %
– Les Républicains : 13 %
Droite eurosceptique : 29 %
– Debout la France : 7 %
– Les Patriotes : 1 %
– Rassemblement National : 21 %
Divers : 4 %
– Union Populaire Républicaine : 1 %
– Autres candidats : 3 %
Tendance :
– A la hausse : Parti socialiste, Agir, Debout la France, Rassemblement National, Union Populaire Républicaine
– Stable : Lutte Ouvrière / Nouveau Parti Anticapitaliste, Parti communiste « français », Les Patriotes
– A la baisse : France Insoumise, Génération.s, Les Verts, La République En Marche, Les Républicains.
Hristo XIEP
https://www.medias-presse.info/europeennes-2019-macron-en-marche-arriere/100497/
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Élections Européennes : Le Rassemblement national en tête d’un sondage
Le dimanche 4 novembre un sondage IFOP indique que le parti de Marine Le Pen est en tête des intentions de vote pour les élections de mai.
Le Rassemblement national recueille 21% des estimations (soit 4 point de plus par rapport à la précédente enquête) et devance La République en marche avec 19%.
De leurs cotés, Les Républicains et La France insoumise perdent du terrain. Cependant, le parti de Nicolas Dupont-Aignan Debout la France marque une progression, s’élevant dans les sondages à 7%. N’en déplaise aux autorités, le Rassemblement national est bien parti pour arriver en tête des élections européennes en France.
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Carburants : les contre-feux d’Emmanuel Macron – Journal du mardi 6 novembre 2018
Politique / Carburants : les contre-feux d’Emmanuel Macron
Alors que la grogne des automobilistes se fait de plus en plus ressentir, Emmanuel Macron a enfilé son costume de pompier. Pour tenter d’éteindre l’incendie, le chef de l’Etat a mis en avant deux mesures loin de convaincre les réfractaires.International / Trump : des midterms en forme de référendum
C’est une étape cruciale pour Donald Trump. Les Américains sont appelés aux urnes pour les élections de mi mandat. Un scrutin qui s’est transformé en référendum sur le président… et dont les résultats pourraient surprendre.Politique / Islam : vers la fin de la loi de 1905 ?
Le président de la république envisage de réformer la loi de séparation de l’église et de l’Etat afin de restructurer l’islam en France.
Des amendements qui témoignent d’un certain malaise vis à vis de la religion musulmane et ses liens avec plusieurs puissances étrangères.Société / Commerce : la dictature des applications de notation
Serveur TVL
Lien dailymotion
https://www.tvlibertes.com/2018/11/06/26656/carburants-contre-feux-demmanuel-macron-journal-mardi-6-novembre-2018