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élections - Page 232

  • La Nouvelle-Calédonie restera française

    La Nouvelle-Calédonie restera française

    En toute logique :

    “Selon des résultats partiels donnés par les médias locaux, le “non” à l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie l’emporterait avec 59,5% des voix. Un référendum était organisé ce dimanche dans l’archipel”.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-nouvelle-caledonie-restera-francaise/

  • Bistro Libertés avec Damien Lempereur (DLF)

    Martial Bild et Franck Tanguy reçoivent le porte-parole de Debout la France, Damien Lempereur. Ils débattent de la vague nationale-populiste planétaire et de la présence des forces de l’ordre dans les établissements scolaires pour lutter contre la violence.

  • Élections européennes : bourrage de crâne et lavage de cerveau au programme

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    Emmanuel Macron, en mettant en garde les Français contre un retour aux années 30, sombre dans le ridicule. Non seulement il ne connaît rien à l’Histoire – Luc Ferry lui a fait remarquer que « la comparaison est franchement absurde […]. Marine Le Pen et Matteo Salvini ne sont pas nazis » –, mais il ne se grandit pas en jouant à son petit propagandiste, ce qui, pour le coup, nous ramène aux années 30, années durant lesquelles la propagande avait ses orfèvres…

    Surtout que sa propagande se situe au ras des pâquerettes. Tenez ! Dans une infographie intitulée « Les élections européennes, quand et comment ? », le gouvernement affirme qu’il faut être français pour pouvoir voter. Le hic, c’est que, pour ces élections, tous les ressortissants de l’Union européenne résidant en France peuvent voter. L’auteur de ces informations semble ignorer, également, que les eurodéputés siègent par groupes politiques : apparemment, il n’a jamais mis les pieds au Parlement, fût-ce par l’intermédiaire de la télévision.

    Contacté par Le Journal du dimanche, le Service d’information du gouvernement, à l’origine de cette campagne, a expliqué que « ces imprécisions » étaient dues à une « volonté de vulgarisation ». C’est bien connu, on peut raconter n’importe quoi au peuple, il n’a pas besoin de connaître la vérité et se contente d’approximations. C’est, précisément, le propre de la propagande d’utiliser tous les moyens, même les plus malhonnêtes, pour influencer l’opinion : une caractéristique des États totalitaires.

    La propagande, notre gouvernement ne s’en prive pas. C’est souvent si lourd que ça lui retombe sur le nez. Voyez ce clip qui appelle les Français à voter pour les élections européennes, un clip officiel, réalisé aux frais des contribuables. On s’attendrait à un clip objectif, se limitant à inciter les électeurs à voter. Mais il est orienté – c’est le moins que l’on puisse dire. Quatre questions sont successivement posées : « Immigration : maîtriser ou subir ? », « Climat : agir ou ignorer ? », « Europe : union ou division ? » et « Emploi : partenaires ou concurrents ?  »
    Pour illustrer ces questions, des images suggestives (un texte écrit ou oral serait sans doute trop compliqué pour la majorité des Français) : migrants secourus en mer, mères portant leurs enfants, catastrophes naturelles et, pour épouvantails, un Salvini et un Orbán haranguant les foules. Le tout accompagné d’une musique tragique, qui vous empêche de réfléchir.

    À droite comme à gauche, on dénonce l’instrumentalisation de l’Europe à des fins politiciennes. Jean-Frédéric Poisson, le président du Parti chrétien-démocrate, a même écrit au président de la Commission des comptes de campagne et appelle à signer une pétition pour « imputer les frais de création et de diffusion de cette vidéo aux dépenses de propagande électorale ». Il n’y a que les élus LREM qui ne trouvent rien à redire à ce clip : il est vrai qu’ils ne sont que des marionnettes, qui obéissent à leur maître au doigt et à l’œil.

    Le problème, pour notre Président, c’est que sa communication est si caricaturale qu’elle en souligne les défauts. Il ne se pose même pas la question de la pertinence de ses positions. Serait-il, comme le commente Luc Ferry, « en train d’anticiper une défaite cuisante » ? C’est bien possible, ce qui expliquerait son burn out et ses erreurs de communication. Hier après-midi, à Honfleur, il a répété aux passants : « Je ne lâche rien », « je ne change pas », « je vais toujours au même rythme ». Il va même plus vite que le temps : à deux reprises, il a confondu le 1er novembre et le 1er de l’An.

    Décidément, il n’est plus maître des horloges, il n’est plus maître de rien. Non seulement il perd la confiance des Français, mais il est près de perdre confiance en lui-même. D’ici qu’il perde la boule !

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/elections-europeennes-bourrage-de-crane-et-lavage-de-cerveau-au-programme/

  • Référendum en Nouvelle Calédonie : le Parti de la France appelle à voter contre l'indépendance

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    Communiqué du Parti de la France :

    Trente ans presque jour après celui de 1988 qui visait à entériner les « Accords de Matignon » voulus et négociés par Michel Rocard alors Premier ministre socialiste, le référendum organisé en Nouvelle Calédonie ce 4 novembre se veut l'ultime étape du processus d’indépendance du territoire confirmé par les Accords de Nouméa signés en 1998 par le gouvernement Jospin.

    Ultime étape si le oui à l’indépendance venait à l'emporter… Car, dans le cas contraire, les pouvoirs publics, acquis aux revendications mélanésiennes et soumis aux pressions australiennes et néo-zélandaises, ont, dans leur acharnement à brader ce sol français depuis un siècle et demi, prévu de nombreux autres scénarii permettant a une majorité qualifiée aux Congrès de revenir sur ce vote et de continuer le processus d’autodétermination canaque.

    Riche de ses ressources minières (le Nickel en particulier), la Nouvelle Calédonie constitue, pourtant, pour la France un atout important permettant une présence renforcée dans la zone pacifique et une consolidation majeure de notre espace maritime national (la zone économique exclusive, normalement fixée à 200 milles des côtes a été étendue à 350 milles en 2015 après l'avis favorable de l'ONU).

    Le Parti de la France appelle tous les sympathisants de la droite nationale et en particulier ceux faisant partie du corps électoral appelé à voter dans le territoire dimanche (tout à été fait pour en réduire le nombre et pour favoriser le vote aborigène), à se mobiliser contre le bradage de ce territoire français pour lequel se sont battus bien des nationaux et sont morts nos gendarmes dans la grotte d'Ouvéa en 1988.

    Rappelons que la Droite nationale fut en pointe pendant toute les années 80 contre les exactions commises par les activistes kanaks et les agents du séparatisme. C'est à son retour de Nouvelle Calédonie où, à la tête d'une délégation Front National, il avait mené une rude et dangereuse campagne, que notre camarade et ami Jean-Pierre Stirbois, Secrétaire général du FN trouva la mort le 5 novembre 1988 à Pontchartrain dans le département des Yvelines (NDLR SN cliquez ici).

    Deux jours plus tard, grâce à l'apathie des Français et surtout à la trahison (une fois de plus) du RPR de Jacques Chirac qui avait appelé à l'abstention, le référendum, au niveau national, entérinait à 79% le processus d'autodétermination tandis qu’en Nouvelle Calédonie, les Caldoches, sous l’influence et par l’action de Jean-Pierre Stirbois, refusant dans leur immense majorité de suivre le RPR dont beaucoup étaient pourtant adhérents, répondaient clairement non à la séparation d’avec la France.

    Faisons en sorte qu'il en soit de même dimanche.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • “Détournement d’argent public pour faire la propagande d’En Marche” ? Plainte au CSA contre le clip gouvernemental

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    Le clip gouvernemental diffusé sur YouTube en vue d’inciter les électeurs à participer aux élections européennes n’en finit pas de susciter des remous.

    Lors d’une émission télévisée sur CNEWS, Ali Rabeh (Generation.s) s’adresse à Christine Kelly (ex-membre du CSA) : «Le sujet de ce clip, c’est : Pourquoi la vision du président de la République Emmanuel Macron et de son parti En Marche est porté par un clip officiel du gouvernement français payé par l’ensemble des contribuables sans donner la parole aux autres formations politiques ? Ce n’est pas normal ! Mme Kelly, le mouvement Générations a saisi le CSA dans lequel vous avez siégé pour dénoncer ce détournement d’argent public pour faire la propagande d’En Marche. Ce n’est pas normal.»

    https://www.medias-presse.info/detournement-dargent-public-pour-faire-la-propagande-den-marche-plainte-au-csa-contre-le-clip-gouvernemental/100311/
  • Jeunesse de droite: le grand replacement

     La jeune droite intellectuelle ne rase plus les murs par Daoud Boughezala 

    L’hégémonie de la gauche dans la jeunesse française est révolue. La droite intellectuelle ne rase plus les murs et conquiert même les plateaux télévisés. Mais cette embellie doit davantage à la crise de notre société multiculturelle qu’au travail idéologique mené par quelques jeunes plumes au conservatisme parfois trop dogmatique.

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  • Angela a compris. Et Wauquiez ?

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    Elle a tenu longtemps dans cette fameuse troisième voie centriste, entre le socialisme moribond et la droite dure qui monte.

    Mais la diabolisation qui marchait depuis quarante ans avec l’utilisation des vocables « extrême droite », « fasciste », voire « nazi », ne parvient plus à contenir cette dernière. La chancelière allemande a décidé de passer la main au terme de son mandat, dans deux ans…

    Le vieux monde monarchique s’est écroulé entre 1789 et 1945 sous la poussée d’un socialisme multiforme. Ce monde-là s’écroule aujourd’hui.

    Ses combats sont obsolètes dans un contexte social où dominent le tertiaire, les applis, et le télétravail. Et l’effort de la gauche pour les remplacer par une lutte âpre contre la morale de papa, la consommation de viande ou l’existence de frontières étanches, non seulement n’a pas déchaîné l’enthousiasme, mais a dressé un à un les peuples contre elle.

    Comme jadis au temps des châteaux forts, les peuples cherchent aide et protection auprès de chefs décidés à mettre police et armée à leur service.

    Ces chefs sont « populistes », et alors ?

    Le peuples de l’Est et du Sud disent à la gauche, qui a constellé la planète des plus grands totalitarismes, qu’elle peut désormais garder ses leçons de morale.

    Emmanuel Macron l’a compris, et l’a dit, lors de son voyage à Bratislava en Slovaquie : « Les nationalistes sont là, ils ont déjà gagné. »

    Mais Laurent Wauquiez, interviewé le 30 octobre sur BFM TV au sujet de l’opportunité, pour lui, de changer de stratégie après toutes leurs victoires, s’est contenté de rabâcher le texte récité par tous les UMP – puis LR – depuis dix-sept ans : « C’est parce qu’on ne comprend pas le peuple qu’il vote populiste. »

    La réalité est qu’à LR, « on » comprend très bien – à bac plus 10, quand même ! -, mais « on » ne veut pas faire ce que demande la majorité des citoyens. Ce n’est pas de la bêtise, juste une immense lâcheté.

    Orbán, Salvini, Trump, Poutine se sont levés avec courage, quoi qu’il puisse leur en coûter en termes de réputation, contre la nouvelle doctrine de la gauche mondiale, cocktail de progressisme sociétal et d’écologisme intégrale.

    Fillon aussi avait pris des positions courageuses. Ce n’est pas le peuple qui l’a évincé, lui qui, au contraire, est venu, dans le vent et la pluie, lui crier son soutien au Trocadéro.

    Quand Marine Le Pen dit au JDD, le 28 octobre, que « la ligne de Marion Maréchal, c’est celle de la droite de Laurent Wauquiez » et qu’« elle doit prendre LR », elle ne le dit pas au hasard. Un récent sondage du Point donne 44 % d’opinions favorables pour Marion Maréchal auprès des sympathisants LR, et révèle qu’elle est leur troisième personnalité préférée, devant Wauquiez.

    Ce dernier n’a-t-il pas compris qu’il lui faut changer de stratégie ou disparaître ? Ou guigne-t-il, en protestant de sa vertu anti-populiste, une place auprès de Macron quand, ayant épuisé les charmes des « ralliés » de la première heure comme Philippe, il aura besoin de troupes fraîches ?

    Dans ce cas, il aura été clairement démontré que la mirobolante troisième voie qui connut tant de beaux jours sous la forme de la démocratie chrétienne ou de la social-démocratie est bien devenue une impasse.

    Catherine Rouvier

    http://www.bvoltaire.fr/angela-a-compris-et-wauquiez/

  • ÉLECTIONS DE BOLSONARO AU BRÉSIL : POURQUOI LES MÉDIAS NOUS FONT-ILS SI PEUR ?

  • Quatre Français sur dix prêts à un « pouvoir autoritaire » pour réformer le pays en profondeur, selon un sondage

    41% des personnes interrogées se disent prêtes à « alléger les mécanismes de contrôle démocratique ».

    Quatre Français sur dix seraient prêts à confier la direction du pays à un « pouvoir politique autoritaire » pour le réformer en profondeur, selon un sondage Ifop pour Ouest-France*, publié mercredi.

    Interrogés sur l’idée de confier la direction du pays, pour « le réformer en profondeur » afin d' »éviter le déclin », « à un pouvoir politique autoritaire quitte à alléger les mécanismes de contrôle démocratique », 11% des sondés sont « tout à fait d’accord » avec cette option et 30% « plutôt d’accord », soit un total de 41%.

    Ceux qui partagent cette idée affichent majoritairement une proximité partisane avec Les Républicains (55%) et le Rassemblement national (52%).

  • Marcel Campion en campagne électorale pour la mairie de Paris

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    Images de la conférence de presse de Marcel Campion, candidat à la mairie de Paris, désormais classé “homophobe” (il avait déclaré que “Paris est gouverné par les homos”), malgré ses excuses et explications.

    Marcel Campion promet par ailleurs de révéler quelques scandales politiques. On attend !