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élections - Page 392

  • Il n’y a que Marine qui peut débarrasser la France des lois liberticides

    Il est impossible de commencer un édito, ce dimanche soir, sans rendre hommage à la formidable équipe de France de handball, qui, à Bercy, dans une salle chantant « La Marseillaise » à tue-tête, vient de remporter son sixième titre de championne du monde. C’est cela la France qu’on aime.

    On se rappelle que lors du dernier procès de Christine Tasin devant la 17e Chambre, le procureur de la République, femme d’une quarantaine d’années aimable comme une porte de prison, avait accusé la présidente de Résistance républicaine, qui critiquait l’invasion migratoire et l’attitude violente des clandestins, à Calais, de délit « franco-français », avec dans sa bouche tout le mépris que ce terme pouvait lui inspirer.

    Pour en rester dans le domaine judiciaire, nos amis Pierre Cassen et Christine Tasin ont lancé un cri d’alarme, et parlé d’une justice d’exception, qui s’exerce à leur encontre. Ils ont même évoqué un cabinet noir que le régime socialiste a mis en place pour les réduire définitivement au silence.

    http://ripostelaique.com/une-justice-dexception-se-met-en-place-contre-christine-tasin-et-pierre-cassen.html

    La présidente de Résistance républicaine a décrit elle-même le harcèlement dont elle est l’objet.

    http://resistancerepublicaine.eu/2017/01/27/la-saga-judiciaire-contre-moi-et-pierre-cassen-continue-de-plus-belle/

    Et ce jour, Riposte Laïque rend public l’ensemble des procédures judiciaires dont notre site a été l’objet, depuis sa création. Le chiffre laissera abasourdi nombre de lecteurs, mais surtout de Français : depuis 2007, 43 procédures contre Riposte Laïque, et 12 contre Christine Tasin ! Et une seule sous la droite, tout le reste sous la gauche !

    http://ripostelaique.com/article-choc-on-en-est-a-43-plaintes-contre-rl-dont-42-sous-la-gauche.html

    Et comme si cela ne suffisait pas, ce régime, profitant des attentats islamiques, a durci encore la répression, mettant en place, avec le Pharos, des outils encourageant les Français à dénoncer, non pas seulement les islamistes, mais les « incitations à la haine », sur internet. Autrement dit, les socialistes osent renvoyer dos-à-dos les soldats d’Allah, qui, fidèles à leurs textes sacrés, tuent tout ce qui n’est pas musulman, avec les résistants à l’islamisation de la France qui refusent justement que la charia s’installe en France.

    Et toute cette chasse aux sorcières est coordonnée par un machin qui s’appelle la Dilcra, dirigée par un préfet socialiste proche de Manuel Valls, qui fait travailler et payer avec nos impôts des militants socialistes issus de l’antiracisme.

    Le coup est donc fort simple. Nombre d’internautes musulmans, profitant de cette nouvelle aubaine, font un signalement au Pharos et à la Dilcra, qui balance au procureur, mis en place par ce gouvernement, qui dépose plainte.

    Cela est possible parce que des idéologues de gauche, comme Clavreul, peuvent tenir impunément un discours qui ferait merveille en Corée du Nord. Ce commissaire politique en herbe, annonce la couleur, avec un langage d’une froideur technocratique effrayante : « traquer nos adversaires, et ne plus les lâcher » (voir vidéo ci-dessous, à partir de 0’40).

    C’est cet homme qui ose déposer plainte nominativement contre Pierre Cassen, estimant qu’une décision de justice n’est même pas nécessaire pour le faire condamner en tant que directeur de publication. Et c’est encore lui qui se permet de réclamer la modeste somme de 30.000 euros au moins à notre fondateur !

    C’est dans ce contexte que Georges Bensoussan, historien de la Shoah, s’est retrouvé, ce mercredi 25 janvier, durant 12 heures, devant la 17e chambre, traîné par exactement les mêmes (LDH, Mrap, Licra, Sos Racisme, CCIF) que ceux qui, en 2010, ont, les premiers, déposé plainte contre Riposte Laïque.

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  • Journal du lundi 30 janvier 2017 - Politique/ La défaite de Manuel Valls

  • La gauche et son retour vers le pseudo-futurisme

    Dans sa livraison déjà datée de février la revue "Philosophie Magazine" s'interroge : "De quoi la gauche est-elle malade" ? L'article vedette y est constitué d'un entretien par échange de courriels avec un philosophe que, je l'avoue, je ne connaissais pas jusque-là en la personne de Jean-Claude Michéa. Désormais retiré dans une grande ferme du sud ouest cet ancien professeur de philosophie de Montpellier cultive l'intransigeance vis-à-vis de ces "intellectuels postmodernes de gauche" qu'il appelle à combattre. Après avoir publié une "Impasse Adam Smith" en 2002 et "L'Empire du moindre mal" en 2007, il vient de livrer "Notre ennemi le Capital"(1)⇓

    Le titre pourrait se suffire à lui-même. La thèse centrale est ainsi résumée : "Si l’on veut réellement rassembler la grande majorité des classes populaires autour d’un programme de déconstruction graduelle du système capitaliste – et non pas simplement accroître ses privilèges électoraux, – il faut impérativement commencer par remettre en question ce vieux système de clivages fondé sur la confiance aveugle dans l’idée de progrès"… Car, pense-t-il, ce que l'on considère comme le progrès, aujourd'hui, c'est le contraire de ce en quoi les gauchistes veulent croire.

    Au moins, avec un tel penseur, les choses sont claires. Et le lecteur se retrouve en pays de connaissance pataugeant dans les thèses que vulgarise Benoît Hamon dans le cadre de cette assemblée générale de l'UNEF, prolongée pour ne pas dire tardive, télévisée ce 25 janvier, sous prétexte de débattre en vue du deuxième tour des primaires de la Belle alliance populaire.

    En fait ce courant d'idées ne remet donc pas seulement en cause ce qu'on appelle la gauche de gouvernement. Comme dans la chanson de Renaud il n'aime pas le travail, la justice et l'armée.

    Certains pensent peut-être le problème entièrement nouveau. Déjà en 1899 Rosa Luxembourg concluait un article sur le cas Millerand : "L'entrée des socialistes dans un gouvernement bourgeois n'est pas comme on le croit, une conquête partielle de l'État bourgeois par les socialistes, mais une conquête partielle du parti socialiste par l'État bourgeois."  (2)⇓

    Elle répondait à deux articles de Jaurès dans La Petite République.

    Ne disons pas que Benoît Hamon n'innove en rien. Il promet par exemple "une police des discriminations"... Ce progrès-là il ne le démentira jamais.

    Une légère contradiction semble lui avoir échappé à lui et aux commentateurs, rapporteurs, intervenants et autres radioteurs dont les références ont accablé le débat.

    Dire que le travail irait en se raréfiant fait partie de la panoplie ordinaire des pseudo-futuristes. Cet étrange argument fait du travail sinon une denrée ou une matière première, une ressource minière en quelque sorte. Or, prétendre que le besoin de travail n'existerait plus cela revient à dire que nous serions dans la société d'abondance, ce que démentent chaque jour les informations en provenance des favelas, des bidonvilles ou du Sahel. M. Hamon ou ses supporteurs ont-ils entendu parler des personnes âgées en grande dépendance ? Ils ne manquent probablement eux-mêmes jamais de lait : savent-ils comment et à quelle heure des éleveurs laitiers ont la gentillesse de traire les vaches pour eux ?

    Les besoins des hommes en biens et services à travers le monde sont encore immenses.

    Les pseudo-futurisme de gauche pense y répondre par l'utilisation des robots. Mais pour y pourvoir avec des robots encore faudra-t-il concevoir, construire et commander ces robots. Il est vrai que sur ce terrain M. Hamon ne sera pas d'un grand secours.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1. Les trois volumes sont édités dans la collection Climats chez Flammarion.
    2. cf Cahiers de la Quinzaine, n° 11, 1899

    http://www.insolent.fr/

  • Pour un « dégagisme » bien compris!

    Oui, il existe une gauche en France et elle bouge encore: avec environ deux millions de votants à ce second tour des primaires (un million de moins qu’en 2011), un seuil symbolique de participation a été atteint dimanche et il a été fatale à Manuel Valls, nettement devancé par Benoit Hamon qui a totalisé 59% des suffrages. Une victoire à la Pyrrhus à écouter son adversaire malheureux qui,  dans son discours  actant sa défaite hier soir, n’a pas manqué de se livrer à son habituel plaidoyer pro domo,  de dénoncer rituellement le FN et sa candidate,  mais s’est surtout déjà posé implicitement en recours face à l’échec programmé de M. Hamon à cette présidentielle. Un exercice difficile pour M. Valls  qui doit  taper sur le programme irréaliste de l’aile gauche du PS,  tout en essayant de ne pas faire le jeu d’un Emmanuel Macron qui est pour l’avenir son concurrent direct sur le créneau dusocial-réformisme et de l’euroatlantisme.

    Il a été dit, et c’est juste, que l’ex ministre de l’Intérieur et Premier ministre de François Hollande a payé les déceptions générées par ce désastreux quinquennat sur le plan économique et social, son image de rigidité, d’autoritarisme, la loi el Khomri, le 49-3, les  polémiques sur la déchéance de la nationalité, le burkini…  Manuel  Valls qui, comme Benoit Hamon, avait placé symboliquement sa campagne sous le signe des quartiers pluriels,  a certainement été également la cible des électeurs de cette primaire se reconnaissant dans la nébuleuse gauchiste autour de Nuit Debout; de ceux  issus notamment de la diversité, dont certains sont sensibles aux mots d’ordre, aux consignes des associations communautaires ou d’une certaine extrême gauche dite pro palestinienne qui a fustigé son «sionisme». Nous touchons là aussi aux effets d’une primaire ouverte qui donne potentiellement aux adversaires d’un parti ou d’une ligne, la possibilité de peser de manière déterminante sur son destin…

    Toute maison divisée contre elle même périra. C’est donc ce PS profondément  clivé, déboussolé, écartelé que doit tenter de rassembler Benoit Hamon derrière sa candidature alors que grandit la capacité d’attraction de la planète Macron, nouveau chouchou des médias progressistes. Un soutien de M. Valls comme le député PS du Val d’Oise, Philippe Doucet, membre fondateur du Pôle des réformateurs,  affirme d’ores et déjà que la moitié des 60 parlementaires socialistes appartenant à ce Pôle, députés et sénateurs pourraient être «tentés par l’hypothèse Macron ». Son collègue Gilles Savary, député de la Gironde, a expliqué à l’Afp: « C’est un droit de retrait de la campagne de (Benoît) Hamon, une sorte d’objection de conscience ».

    La victoire de M. Hamon est une bonne opération pour M. Macron qui est en effet  en droit d’espérer, y compris dans les urnes,  le ralliement du courant  social-réformiste. A contrario  les mélenchonistes eux, font  grise mine. Beaucoup sont soucieux de l’arrivée dans la cour des grands d’un Hamon dont la jeunesse, le style, le discours assumé de gauche radicale ringardiserait la  candidature de Jean-Luc Mélenchon  qui rêvait, suprême revanche,  de battre le candidat du PS.

    Jeudi dernier, M. Mélenchon, droit dans ses bottes,  refusait toute idée d’alliance avec M. Hamon en cas de victoire de celui-ci.  Une inflexion du discours s’est faite entendre dimanche, puisque contraint et forcé, le candidat soutenu par les communistes  se félicitait  d’une défaite de Valls, une « victoire du dégagisme »,  du succès de Benoit Hamon  notant chez lui des  « paroles si proches des nôtres », et évoquant  «un fait qui donnera ses fruits le moment venu » . « C’est à nous qui avons porté ce choix tant d’années d’être à la hauteur pour le rendre victorieux, la campagne des Insoumis, et ma candidature sont là pour cela. Rien que pour cela». Est-il pour autant toujours le mieux placé?

    Dès hier soir, Benoît Hamon a déclaré qu’il allait proposer à Yannick Jadot (EELV) et à Jean-Luc Mélenchon de construire « une majorité gouvernementale cohérente et durable pour le progrès social, écologique et démocratique ». Hier encore,  le sondage sur la présidentielle de la Sofres pour RTL, Le Figaro et LCI plaçait Benoît Hamon  à 13 % (15% en cas de non candidature Bayrou),  tandis que  Jean-Luc Mélenchon  reculait très  sensiblement avec  10 % des suffrages. Selon  cette même enquête, Marine Le Pen resterait en tête de ce premier tour avec 25 % des intentions de vote, devant François Fillon et Emmanuel Macron dans un mouchoir de poche (respectivement 21% et 20%), François Bayrou (5 %)  et Nicolas Dupont-Aignan  (3 %)  fermant la marche.  Il est à noter la remarquable fermeté des électeurs qui envisagent de voter pour la candidate de l’opposition nationale, populaire et sociale.  Le choix des sondés est ainsi le plus sûr pour Marine Le Pen (77 %) devant  François Fillon (62 %) et Emmanuel Macron (38 %).

    « Le problème de François Fillon, c’est le problème de la confiance entre le candidat et les Français » notait Marine cette fin de semaine sur TF1,  évoquant les affaires qui touchent d’ailleurs  également  Emmanuel Macron.  Le défi  de Marine et de ses soutiens,  lui,  est de présenter dans les prochaines semaines  les 144 engagements  du programme à paraître.   Un travail  d’explications et de présentation d’un  programme cohérent mais alternatif aux politiques mortifères menées depuis des décennies par la droite et la gauche euromondialistes, mais très  loin aussi des travers de la gauche démago et  internationaliste.

    Bruno Gollnisch était hier invité  de la  traditionnelle Galette des Rois organisée par la fédération du FN de la Haute-Garonne, dirigée par le dynamique Julien Leonardelli. Dans une chaude ambiance, 400 militants avaient fait le déplacement pour écouter le député et membre du Comité stratégique de la campagne de Marine. Bruno a redit à cette occasion en quoi son programme était «parfaitement réaliste».  Oui, « la France peut redevenir une grande puissance », peut recouvrer son indépendance, sa prospérité, son identité. Comme au Royaume-Uni avec le Brexit,  comme auxEtats-Unis avec la victoire de Trump,  il est impératif que les Français rejettent oukases, menaces et leçons de morale professés par le Système et/ou ses chiens de garde,  de Fillon à Mélenchon, de Hamon à Macron, du Medef à la CGT.   Bref,  que nos compatriotes suivent leur instinct, écoutent  leur cœur et votent enfin pour leurs idées, c’est cela le dégagisme bien compris !

    https://gollnisch.com/2017/01/30/degagisme-bien-compris/

  • Quand Benoît Hamon et Manuel Valls faisaient équipe autour de Michel Rocard

    Une vieille photo de 1993 présentant les deux finalistes de la primaire de la gauche fait le tour des réseaux sociaux.

    PRIMAIRE DE LA GAUCHE - Passion archives. Alors que deux visions radicalement opposées s'affrontent ce dimanche au second tour de la primaire de la gauche, un simple coup d'oeil dans le rétroviseur nous rappelle que les adversaires de ce jour n'ont pas toujours été irréconciliables.

    La suite et la photo ici.

  • L'arrivée de Trump change la politique étrangère des USA par Alain Benajam et Tepa - Meta TV 3/3

  • Vers l'union des droites en Suède

    6a00d83451619c69e201bb097305a9970d-200wi.pngEn Suède, les conservateurs viennent de tendre la main à la droite nationale, les Démocrates de Suède, qui progresse à chaque élection. Une manoeuvre qui rompt avec la logique que nous connaissons en France, avec notre droite la plus bête du monde. Aux élections parlementaires de 2014, le parti a totalisé presque 13 % des voix et 49 députés au parlement, doublant plus que son résultat précédent.

    Depuis 2014 et le retour de la gauche au pouvoir, la coalition formée par l’opposition de droite ne voulait pas franchir ce pas. Anna Kinberg Batra, chef de file des conservateurs, a invité les élus de la droite nationale à la soutenir pour un projet de loi présenté à l’automne prochain. Un projet de loi crucial puisque, s’il passe, le gouvernement de gauche sera renversé, bien avant la prochaine législative de 2018. En contrepartie, le leader du parti, Jimmie Akesson, entend avoir son mot à dire sur la composition du prochain gouvernement.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L'arrivée de Trump change la politique étrangère des USA par Alain Benajam et Tepa - Meta TV 1/3

  • De la boue, du fric et du sang

    Bernard Plouvier

    Du clan Sarkozy sont venues les premières attaques à l’encontre de F2 (François Fillon), candidat déclaré de la droite molle et ultra-classique à la présidentielle. On a même vu une ex-Gardienne des Sceaux de la Ripoublique, qui n’est pas plus une rosière que sa famille immigrée n’est composée de prix de vertus, la trop célèbre Dati, susurrer que son ex-premier ministre traînait des casseroles, vraies ou imaginaires… histoire de faire parler d’elle en un moment où tout le monde trouvait que l’air était moins irrespirable depuis qu’on l’avait oubliée.

    La boue n’épargne pas le mignon Macron, dont la vie privée ne regarde personne d’autre que lui-même et ses proches. Après tout, Frédéric II de Prusse fut un homosexuel exclusif (ne consommant pas un mariage conclu pour la galerie), ce qui ne l’empêcha nullement d’être le plus brillant chef d’État des années 1750-80. Quant au Grand Alexandre et à Jules César, leur bisexualité ne pèse rien en comparaison des civilisations qu’ils ont créées : l’hellénistique et, pour le second, ce que l’on nomma l’Empire romain une génération après sa mort.

    Avec la troisième candidate – en dehors de ces trois-là, n’existent que des (in)utilités -, on passe de la boue à l’argent. On se fiche totalement, comme pour Macron, de la sexualité des conseillers de Marine Le Pen. En revanche, il est dommage qu’elle se laisse influencer par ceux qui cherchent à la faire évoluer d’un (timide) populisme à une ébauche de libéralisme tiédasse.

    Il est évident qu’à l’issue de laprésidentielle, cette noble dame, qui sera probablement arrivée en tête au 1er tour, sera battue… par l’omnipotence de l’argent. Car il va couler à flots pour alimenter la campagne médiatique de lynchage et de mensonges grotesques, en n’oubliant le principe : « Plus c’est gros, plus c’est con, mieux ça passe ».

    De cette élection (la suivante, celles des législatives, n’ayant aucune valeur puisque ne se déroulant pas selon le seul principe démocratique : celui de la proportionnelle intégrale), on ne retiendra que deux points.

    Le premier aura été l’omniprésence de l’immigration-invasion et de l’islam conquérant… du moins, peut-on espérer que ces deux problèmes majeurs, qui n’en forment qu’un d’ailleurs, seront au cœur du débat politique, car il s’agit de l’avenir de notre Nation et de notre État.

    Il est évident qu’une fois l’islam devenu religion dominante par l’effet de la démographie de ses adeptes, les mahométans exigeront l’application de la charî’a… des pitres la réclament déjà en Grande-Bretagne, depuis qu’un mahométan est devenu le premier maire coloré de Londres.

    Or cette transformation de l’État français ne se fera pas sans que ne coule beaucoup de sang. Soit celui des Français de souche européenne, victimes de nouvelles séries de meurtres et d’attentats djihadistes. Soit celui de mahométans et de Français autochtones, lors d’affrontements ultra-violents, puisqu’après tout, il vaut mieux mourir en combattants que de vivre en esclaves, même affublés du nom de dhimmis.

    Le second point, sera la recomposition de la vie politique. Grossièrement, elle sera divisée en trois gros morceaux : le (très timide) populisme à la française – soit environ 30% des voix -, la droite molle et conservatrice (environ 30%) et la coalition des marécages centristes et de la gauche caviar (les partisans de mignon-Macron, soit également 30% des voix)… resteront 10% de dinosaures marxistes et d’écolos-ignares, histoire de mettre un peu de folklore franchouillard, pour pimenter la sauce.

    Or l’on pourrait, éventuellement, éviter que le sang coule à flots. L’unique alternative à la guerre civile, guerre de races et de religion, est l’accès très démocratique au Pouvoir - grâce à un triomphe électoral indiscutable, même pour les très malhonnêtes commentateurs des media globalo-mondialistes - d’un authentique gouvernement populiste, qui débutera une politique de « grand retour » vers leurs continents d’origine des immigrés-envahisseurs, associée au respect scrupuleux des lois de séparation des cultes et de l’État, ainsi qu’à une politique économique réellement nationale.             

    En un mot comme en cent, il est absolument nécessaire de faire comprendre aux Français de souche européenne, qui sont encore majoritaires dans le pays, qu’il est urgent d’acquérir à une mentalité continentale, pour des raisons non pas de stupide racisme (aucune race n’est supérieure à une autre), mais de pure intelligence : un continent n’appartient qu’à ses autochtones. Tout le reste est accessoire. Face à l’ennemi conquérant, seule importe l’unité. 

  • Il y a de l'eau dans le gaz : au revoir Manuel !

    Manuel Gaz nous a quitté hier soir. Benoît Hamon a remporté la primaire du PS avec 58,8 % des voix. Sans regret.

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    La série des "on" continue : après Fillon, Macron, Mélenchon, Dupont, Hamon... 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html