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élections - Page 474

  • Carl Lang réélu à la tête du Parti de la France

    Le Parti de la France a tenu samedi 7 mai son congrès national avec plus de 400 délégués pour définir la ligne et la stratégie du parti avant 2017. Carl Lang a été réélu à la présidence et Thomas Joly au poste de secrétaire général du parti. Les interventions (Martine Lehideux, Katel Mautin sur la famille, Christian Baeckeroot, Eric Pinel, Roger Holeindre, Joëlle Bergeron...) sont accessibles en ligne.

    Michel Janva

  • Tout le système des partis politiques prend en otage l’opinion publique

    Elie Hatem, avocat au Barreau de Paris, membre du Comité Directeur de l’Action Française, ancien candidat sous la bannière du « Rassemblement Bleu Marine » à des élections locales, ancien conseiller de Boutros Boutros-Ghali, ainsi que de plusieurs chefs d’états, il est interrogé dans Présent. Extrait :

    "Comment voyez-vous les élections de 2017 pour la droite nationale ?

    Malheureusement, la droite nationale est très divisée voire subdivisée, ce qui la fragilise vis-à-vis de ses adversaires alors qu’il existe un sursaut patriotique qui est, entre autres, le résultat du mécontentement exprimé par les Français des politiques menées par les deux formations traditionnelles de droite comme de gauche qui ont dominé la scène politique depuis des décennies. Il va donc falloir regrouper l’ensemble des formations de la droite nationale, en les réconciliant par la voie d’une médiation, afin de présenter un candidat unique qui sera celui du pays réel pour gagner ce pari et procéder aux changements attendus par les Français. Mais personnellement, j’en reste sceptique car j’estime que c’est tout le système républicain démocratique, celui des partis politiques, qui prend en otage l’opinion publique et qui est tributaire du pouvoir médiatique, qui est responsable de cet état de délabrement, en faussant la représentativité du pays réel et en élargissant le fossé avec le pays légal."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Tout le système des partis politiques prend en otage l’opinion publique

    Elie Hatem, avocat au Barreau de Paris, membre du Comité Directeur de l’Action Française, ancien candidat sous la bannière du « Rassemblement Bleu Marine » à des élections locales, ancien conseiller de Boutros Boutros-Ghali, ainsi que de plusieurs chefs d’états, il est interrogé dans Présent. Extrait :

    "Comment voyez-vous les élections de 2017 pour la droite nationale ?

    Malheureusement, la droite nationale est très divisée voire subdivisée, ce qui la fragilise vis-à-vis de ses adversaires alors qu’il existe un sursaut patriotique qui est, entre autres, le résultat du mécontentement exprimé par les Français des politiques menées par les deux formations traditionnelles de droite comme de gauche qui ont dominé la scène politique depuis des décennies. Il va donc falloir regrouper l’ensemble des formations de la droite nationale, en les réconciliant par la voie d’une médiation, afin de présenter un candidat unique qui sera celui du pays réel pour gagner ce pari et procéder aux changements attendus par les Français. Mais personnellement, j’en reste sceptique car j’estime que c’est tout le système républicain démocratique, celui des partis politiques, qui prend en otage l’opinion publique et qui est tributaire du pouvoir médiatique, qui est responsable de cet état de délabrement, en faussant la représentativité du pays réel et en élargissant le fossé avec le pays légal."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Primaire de la droite et du centre : qui soutient qui ?

    Ils sont déjà une douzaine sur la ligne de départ, mais combien seront-ils à l’arrivée ? La primaire de la droite et du centre est régulièrement moquée pour sa ribambelle de candidats, mais tous ne sont pas assurés de remplir les conditions pour se présenter. Le guide électoral du scrutin prévoit en effet que chaque prétendant doit recueillir au moins 250 parrainages d’élus (dont 20 parlementaires) ainsi que 2 500 soutiens d’adhérents du parti Les Républicains d’ici au 9 septembre 2016. Seul Jean-Frédéric Poisson, déjà investi en tant que président du Parti chrétien-démocrate, échappe à la règle.
    Pour y voir plus clair, Le Monde s’est penché sur le principal obstacle pour les prétendants : engranger suffisamment de soutiens chez les députés, sénateurs et députés européens. Voici la position publique à ce jour des 447 parlementaires de la droite et du centre
    Sept candidats en manque de soutiens
    François Fillon arrive en tête de notre décompte avec 74 soutiens chez les parlementaires. Alain Juppé (51 soutiens), Bruno Le Maire (33) et Nicolas Sarkozy (33) occupent les trois places suivantes. A eux seuls, ces ténors totalisent plus de 90 % des soutiens déclarés.
    Sept autre candidats sont loin, selon notre décompte, d’atteindre la barre des 20 soutiens de parlementaires requise pour pouvoir se présenter : Jean-François Copé (7), Nathalie Kosciusko-Morizet (2), Hervé Mariton (2), Nadine Morano (0), Frédéric Lefebvre (0), Jacques Myard (0) et Geoffroy Didier (0).
    Dans le pire des cas, les candidats qui sont également parlementaires pourraient être tentés de se parrainer eux-même. Cas de figure qui semble possible puisque la charte de la primaire reprend les règles de l’élection présidentielle... où François Bayrou, par exemple, s’était « auto-parrainé » en 2012.
    Au moins 10 parlementaires, dont le président du Sénat, Gérard Larcher, disent qu’ils ne parraineront personne. Ce qui laisse un peu moins de 240 parrainages potentiels à aller chercher à droite et au centre. Un chiffre suffisant pour que les sept « petits » candidats se maintiennent… si la répartition est favorable. Mais il faut également prendre en compte le fait que M. Fillon et consorts vont eux aussi s’efforcer de continuer à en engranger, ce qui pourrait ne pas laisser de place à tout le monde.
    A moins que des élus d’autres tendances politiques ne volent à leur secours. Car rien n’empêche un élu PS de parrainer un candidat, en théorie, à condition qu’il signe la charte de la droite. Une trentaine de parlementaires PS, écologistes et divers gauche sondés par Le Monde ont néanmoins rejeté cette hypothèse.
    « Je n’ai pas l’intention de parrainer qui que ce soit à droite. C’est à leurs élus de se mobiliser et de montrer ainsi ce qu’ils valent », tranche la députée PS de l’Hérault Anne-Yvonne Le Dain. « Tant de talents ! Difficile de faire son choix… », ironise son camarade Olivier Faure (Seine-et-Marne).
    Les centristes divisés
    Les centristes, quant à eux, apparaissent divisés face à la primaire. La sénatrice UDI Chantal Jouanno dit refuser de participer au scrutin, « car il s’agit de la primaire de la droite et non du centre ». Son collègue Yves Pozzo di Borgo acquiesce : « La position des centristes, validée par un vote de l’ensemble des adhérents de l’UDI, est de ne pas participer à la primaire sans qu’il y ait un accord global notamment programmatique et législatif. »
    Cette ligne est néanmoins loin de faire l’unanimité puisqu’au moins sept élus UDI et trois MoDem soutiennent Alain Juppé. Deux autres penchent quant à eux pour Bruno Le Maire. Nicolas Sarkozy et François Fillon, en revanche, n’ont pas de soutien revendiqué dans les rangs des centristes pour l’instant.
    Correction : il semble que rien ne s’oppose à ce qu’un candidat donne son parrainage à lui-même. Une version précedente de l’article laissait entendre que ce ne pouvait être le cas.

    Pierre Breteau et Adrien Sénécat

    Le Monde :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuykypVVlkiyuHVVTe.shtml

  • Oui au Rendez-vous de Béziers, mais après ?

    Le Rendez-vous de Béziers rassemblera les personnes et personnalités de divers horizons que les droites désespèrent – et qu’alarme aussi d’une certaine façon la gauche, avec la déliquescence avancée de notre système politique. Cela, alors qu’il y a péril en la demeure : notre pays perd pied, c’est de plus en plus manifeste.

    Il s’agira de travailler à l’élaboration d’une plate-forme d’engagements, dans la perspective de l’échéance de 2017. Dans notre situation, toute initiative visant à faire dialoguer ceux qui veulent sincèrement œuvrer au redressement de la France est à marquer d’une pierre blanche. J’y participerai, j’invite chacun à en faire autant.

    Cette démarche, il faut le dire, est une façon de prendre acte — alors qu’il se fait tard, et si détestable que soit le constat —, de nos impasses et de l’inanité politique, à ce jour, de notre camp — celui des citoyens conscients des enjeux vitaux qui se pressent à notre encontre, et soucieux du défi que représente notre avenir —, celui de nos enfants. Ce camp est pourtant puissant dans le profond de notre peuple et dans les forces vives qui lui demeurent attachées…

    Qui peut penser que tout se réglera, en 2022, si ce n’est en 2017 ? Ni en 2017, ni en 2022, mais hic et nunc, ici et maintenant, dans le cadre d’une percée politique qui reste à réaliser, autour d’une charte, d’un manifeste, d’un cahier de doléances, comme on voudra l’appeler — le reste suivra si l’effort est bien mené.

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  • Why I “MAGA” (Par Weev Auernheimer)

    *MAGA : slogan de Donald Trump “Make American Great Again”

    Via Weev Auernheimer (06/05/2016) Début 2014, j’ai commencé à remarqué un changement dans le style rhétorique de Donald Trump. Il avait aiguisé son ton polémique pour en faire une lame de rasoir, et le style était très similaire aux échanges de forums internet. Il avait clairement réalisé des tests extensifs d’analyse multivariée et de modèles de choix afin d’arriver avec un cadre correspondant à la moyenne. Il semblait faire un effort explicite pour commenter sur des sujets avec une sérieuse pertinence politique et pour tester des segments de l’opinion. Ses efforts semblaient être ceux d’une personne rompu à l’art de comprendre la politique et la rhétorique. En tant que troll le plus important de l’Internet, j’ai pris un moment pour commenter l’efficacité de ses techniques de trolling dans l’espoir que mes collègues les étudient :

    Nous avons commencé à discuter des meilleurs points de la technique de Donald dans un forum de discussion dédié au trollage sur internet. Tandis que nous le regardions travailler, les réflexions de tous convergèrent vers l’hypothèse d’une course pour une charge politique. Qu’est-ce que pouvait bien viser Donald ? Être gouverneur de New-York ? Puis quelqu’un a posté une vidéo du Dîner des Correspondants de la Maison Blanche datant de 2011 où Seth Meyers ridiculisait le rêve présidentiel de Donald Trump : 

    L’air de son visage nous montra tout ce que nous avions besoin de savoir : les nuages de tempête derrière sa colère froide. C’est à ce moment que Trump a été saisi par Wotan [Le dieu principal de la mythologie germanique, ndlr]. Nous savions qu’il allait concourir et qu’il allait gagner. Plus profondément que ça, nous savions qu’il allait détruire tous ces gens qui lui rigolaient à la face de son rêve. Quand nous avons vu ça, nous aussi avons été saisis par Wotan. Dès lors, à partir de juin 2014, une année complète avant que Donald Trump n’annonce même sa campagne, avant qu’aucun polémiste sans valeur de l’établissement ne fassent leurs pronostics, des masses de trolls d’internet juraient de voter Trump en 2016. 

    Nous avions une année d’avance pour préparer une rhétorique et des mèmes. La candidature de Donald a touché l’internet comme la foudre de Mjönir [Le dieu de la foudre germanique, ndlr]. Au fur et à mesure que des foules de commentateurs furieux grouillaient autour de lui il devint plus qu’un simple homme, il était indéniablement la manifestation de Wotan, le dieu de la colère. Il devint impossible de ne pas comparer et contraster avec des citations de ses supporters lors des meetings :

    “L’électorat républicain n’est pas un groupe d’imbéciles complètement ignorants. Nous savons qui est Donald Trump, et nous allons utiliser Donald Trump soit pour prendre le contrôle du Parti Républicain soit pour le faire exploser”

    Citations à comparer avec celles de Carl Gustav Jung dans son essai sur Wotan :

    “Il est l’attribut fondamental de la psyché allemande, un facteur irrationnel psychique qui agit sous la haute pression de la civilisation comme un cyclone et la détruit. Malgré leur excentricité, les adorateurs de Wotan semblent avoir jugé les choses plus correctement que les adorateurs de la raison”

    Alors que les victoires s’empilent et que les ruptures psychologiques de la caste des éditorialistes devenaient trop nombreuses pour être comptées, nous faisions la fête. Wotan était là. Trump est passé au bulldozer sur tout ce qui se trouvait sur son chemin. Glenn Beck plonge sa tête dans ses cheetos et Ben Shapiro fait une dépression mentale. Aucun événement politique n’a jamais été si doux, et ce sont juste les primaires.

    Il n’y a pas d’ambassades US ici, donc je naviguerais à travers les deux mers pour voter par procuration lors des élections générales car j’honore mes promesses. Je ne sais pas si Donald Trump sera capable de nous aider durant cette présidence, et franchement je m’en fiche. Je sais qu’une fois que l’esprit de Wotan se réveille dans un peuple, il devient impossible à contenir. Un tel événement survient lors des temps de lutte et de guerre durant lesquels un peuple, au bord de la destruction, se lève et détruit ses ennemis en retour. Nous servirons en tant que Gungnir [La lance magique de Wotan qui ne manque jamais sa cible, ndlr] tant qu’il voudra empaler ses ennemis. S’il cesse de la manier, un autre sera couronné “Père de tous” [Un des surnoms de Wotan, ndlr]. En l’état actuel, il nous a déjà fait un immense nombre de faveurs dont chacune excède en magnitude toutes celles de n’importe quel acteur politique des jours passés [américain, ndlr].

    Alors que les rêves – jadis moqués – de Trump se transforment de visions fiévreuses en ombres sur le paysage en ruine de Weimerica [Contraction de la république de Weimar et d’Amérique, ndlr], nous utilisons ces ténèbres pour attaquer nos ennemis mutuels. Maintenant le temps est venu de tomber sur tous ceux qui disent #JamaisTrump. Il n’y a aucune méthode de destruction trop brutale ou personnelle pour anéantir ces gens. Nous bombardons leurs employeurs avec des messages de haine. Nous nous montrons à leurs portes pour les traiter de cocus et de traîtres à leur face. Nous faisons tout ce qui est nécessaire pour dégager ces gens de nos rues et nous assurer qu’ils n’essaient jamais de revenir. Nous devons utiliser chaque seconde que nous avons avant les élections générales pour purifier l’établissement politique de ses marxistes putréfiés et de ceux qui se prosternent devant eux.

    Parce que c’est de cette façon que finissent les cocus.

    C’est la façon dont finissent les cocus.

    C’est la façons dont finissent les cocus.

    Avec un coup

    Mais avec post de merde.

    http://borislelay.com/

  • Présidentielle 2017 : trois mensonges pour une élection

    Nous pouvons prévoir avec une quasi-certitude les principaux mensonges d’État qui structureront ce scrutin.

    Dans un an exactement, l’élection présidentielle aura rendu son verdict. Le/la président(e) de la France sera désigné(e) pour cinq ans. Il est pour l’heure impossible d’en connaître le résultat puisque les sondages sont approximatifs et que la liste finale des candidats n’est pas encore arrêtée. Néanmoins, nous pouvons prévoir avec une quasi-certitude les principaux mensonges d’État qui structureront ce scrutin. Ces mensonges éculés ont pour objectif de détourner les Français des vrais enjeux de notre époque. On peut en identifier trois principaux, qui s’enchaîneront en fonction du calendrier électoral.

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  • Barbara Mazières sera-t-elle évincée du FN sur un mensonge ?

    Communiqué de Barbara Mazières du 6 mai 2016 :

    "Plusieurs responsables du Front National me signalent, ou signalent à des amis, que mon éviction de la fédération du Maine-et-Loire serait liée à ma « participation à une action que la direction actuelle du FN n'a pas cautionnée », à savoir le défilé du 1er mai organisé par Jean-Marie Le Pen. Cela a d’ailleurs été répété par des proches de M. Philippot sur les réseaux sociaux. Je serais ainsi "virée", si je puis dire, dans la même charrette que Mmes Arnautu et d'Ornano ou M. Gollnisch. Ces derniers sont des personnes pour lesquelles j'ai la plus grande admiration et avec lesquelles je partage l'essentiel des convictions. Je trouverais donc parfaitement honorable de "siéger" dans la même charrette qu'eux. Il se trouve cependant que c'est totalement faux. Ce week-end du 1er mai, j'étais retenue en Anjou par une réunion de famille. Des dizaines de personnes peuvent témoigner m'y avoir vue et je défie quiconque d'affirmer que j'étais à Paris - que ce soit au dépôt de gerbe de Jean-Marie Le Pen ou au banquet de sa fille. Manifestement, M. Philippot et ses amis n'assument pas leur changement de ligne politique. D'autant moins qu'ils savent pertinemment que l'écrasante majorité des électeurs du FN partagent mon avis sur la loi Taubira. Pour cacher le désaccord de fond, ils préfèrent donc opter pour le mensonge et la calomnie. Ce n'est certes pas cela qui contribuera à les faire remonter dans mon estime. Mais cette rumeur éveille en moi une perplexité: dois-je supposer que ce mensonge a été également offert à Marine Le Pen et au bureau politique pour avoir ma tête? Et, si tel était le cas, M. Philippot et ses amis pensent-ils vraiment gouverner la France comme ils gouvernent le Front national ?"
    Barbara Mazières

    Marie Bethanie

  • «Ça va mieux» : le monde parallèle de François Hollande

    Selon un sondage BVA, près de 81% des Français trouvent le bilan économique de François Hollande négatif. Mais ce dernier estime pourtant que «ça va mieux».

    Bertrand Chokrane dénonce ce déni de réalité :

    Le constat que les Français font sur la situation dépasse de loin les clivages idéologiques traditionnels, ce qui prouve que la situation économique est grave. D’un bout à l’autre du spectre politique, les classes sociales qui sont censées être opposées selon la doxa marxiste (les exploiteurs contre les exploités) se rejoignent: les indépendants et les chefs d’entreprise d’une part, les employés et les ouvriers d’autre part. 48% des indépendants, chefs d’entreprise, employés et ouvriers trouvent que la situation se détériore (contre 36% chez tous les Français). 87% des indépendants et des chefs d’entreprise, 71% des employés et 74% des ouvriers trouvent que la situation ne va pas s’améliorer d’ici la fin du mandat présidentiel (par rapport à une moyenne nationale de 65%). Alors que près de 81% des Français trouvent le bilan économique de François Hollande négatif, les indépendants et chefs d’entreprise sont 95%, les ouvriers sont 98% à partager cette opinion! Dire à ces catégories en souffrance que la France va mieux revient à jeter des jerricanes d’essence dans une pinède du sud de la France en feu.

    http://fr.novopress.info/