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élections - Page 513

  • Marion Maréchal-Le Pen devant la Chambre de Commerce et d'Industrie à Marseille

  • Élections régionales : le FN en tête au premier tour, un deuxième tour incertain

    Ce dimanche a lieu le 2e tour des régionales. Les électeurs français sont appelés à élire pas moins de 1 757 conseillers régionaux.
    Dimanche dernier le Front National était en tête avec 28 % des voix au niveau national, suivi des Républicains (27 %) et du Parti Socialiste (23,5 %).
    Une première place inédite pour le FN, qui se retrouve en tête dans six régions, notamment le Nord-Pas-de-Calais/Picardie, et la Provence-Alpes-Côte d’Azur. Les Républicains sont en tête dans 4 régions, le PS dans 3.
    Le vote FN est encore plus fort dans les villes administrées par le Front depuis deux ans : plus de 59 % à Hénin-Beaumont.

    Quels enseignements tirer de ces résultats électoraux ?
    Une enquête IFOP sur le profil des électeurs aux régionales, publiée le 6 décembre, confirme que les peu ou pas diplômés, les ouvriers, les chômeurs et les jeunes, votent de moins en moins à gauche, et de plus en plus pour la droite et le FN.
    Au niveau national, la gauche a rassemblé 38 % des électeurs. Contre 62 % pour la droite et le FN. Cette proportion monte à 68 % pour les ouvriers, 63 % pour les moins de 35 ans.
    Un tiers des jeunes, 40 % des peu ou pas diplômés et des chômeurs et la moitié des ouvriers ont voté FN.

    Les régionales sont un mode de scrutin de liste à deux tours, à la proportionnelle, avec une prime de 25 % des sièges pour la force politique arrivée en tête
    Ce mode électoral a rendu difficiles les tractations pour la fusion des listes, qui devaient être déposées mardi soir.
    Si les candidats PS arrivés en 3e position se sont retirés en NPDC et PACA, Jean-Pierre Masseret s’est maintenu, dans la région Grand Est.
    La droite parlementaire, quant à elle, n’a effectué aucun retrait « républicain ».

    http://fr.novopress.info/

  • Même les guyanais n’en veulent plus.

    LA LISTE SUR LAQUELLE TAUBIRA ÉTAIT CANDIDATE A FAIT…7%

    Echec. Même les guyanais n’en veulent plus. L’information a été passée sous silence par la presse. Candidate sur la liste divers gauche Walwari/Guyane Ecologie, la ministre de la Justice était en 11è position. Son frère était également candidat, mais contre elle.

    « Savoir que Christiane est là, c’est déjà énorme. Cela va rassurer les gens qui étaient un peu déçus de ne pas la voir tête de liste dans la campagne »

    La présence de Christiane Taubira n’est pas que symbolique. Si elle y est, c’est qu’elle porte ce parti, c’est son bébé », expliquait Line Létard la tête de liste le 11 novembre. Elle ajoutait, « Nous sommes très fiers de [sa] présence sur notre liste. Elle est dans la logique d’une transmission entre les générations, elle est là pour nous accompagner. » En outre, Line Létard s’était auto persuadée : « Savoir que Christiane est là, c’est déjà énorme. Cela va rassurer les gens qui étaient un peu déçus de ne pas la voir tête de liste dans la campagne ». Quel soutien !
    taubira
    Christiane Taubira portait les couleurs du parti qu’elle a créé

    Effectivement, Christiane Taubira figurait « en position non éligible » sur la liste candidate à l’élection à la collectivité unique de Guyane (CTG) qui devait entériner la fusion de la région avec le département. Sous les couleurs de Walwari, le parti qu’elle a créé avec Roland Delannon dans les années 90.

    La famille Taubira fait moins de…8%

    Ce n’est pas tout ! Dans cette élection, sa liste était opposée à celle de son frère, Jean-Marie Taubira ! Les résultats électoraux de la famille Taubira ne sont vraiment pas bons. Si la liste de Christiane Taubira a réalisé un score de 7,1 %, celle conduite par son frère a rassemblé 0,97% des suffrages. En nombre de voix, la liste de la garde des Sceaux a récolté 2 565 voix et celle de Jean-Marie Taubira 349, pour un total de 37 585 votants.

    Source: Valeurs Actuelles

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/meme-les-guyanais-nen-veulent-plus_148463.html#more-148463

  • Les élections régionales montrent que la gauche a perdu le peuple

    Une enquête IFOP sur le profil des électeurs aux régionales, publiée le 6 décembre, confirme que la gauche a perdu le peuple des peu ou pas diplômés, des ouvriers et des jeunes.

    Plus le niveau de diplôme est faible, plus le score de la gauche est… faible
    Si les listes de droite dite « parlementaire » et de la droite de conviction ont rassemblé en moyenne 62 % des électeurs, cette proportion monte à 69 % pour les Français diplômés de CAP/BEP ou sans diplômes, dont 40 % pour le FN.
    A contrario, plus le niveau de diplôme s’accroît, moins les électeurs votent pour le FN.
    En conséquence, les ouvriers votent à 68 % pour les droites, et 51 % FN.

    Les médias de l’oligarchie n’ont pas hésité à faire « l’amalgame » entre vote FN et moins diplômés…
    … donc, les moins instruits, c’est-à-dire dans leur esprit, les « beaufs » ou les « ignorants ». D’où le développement de cette caricature du peuple, à travers le « beauf » ouvrier, pas assez moderniste, ni « ouvert ». Ce qu’on pourrait appeler du « racisme social ».

    La gauche semble leur préférer les immigrés et les minorités…
    Il est loin le temps où le PCF défendait le peuple contre l’exploitation ou l’immigration de masse. En 1981, Georges Marchais, secrétaire général, disait encore vouloir « stopper l’immigration officielle et clandestine ». Y compris en rasant au bulldozer des foyers d’immigrés.
    Le discours du PC a bien changé… ses électeurs aussi. Pour ceux qui lui restent. Les ouvriers ont rappelé à la gauche qu’ils ne votent pas pour elle pour le mariage homo.

    La gauche a aussi perdu les chômeurs et la jeunesse…
    Les moins de 35 ans ont voté à 30 % à droite et 33 % au FN.
    Quand aux chômeurs, 38 % ont choisi pour le FN, seulement 37 % pour la gauche.
    En clair, c’est toute la France populaire, la France qui souffre de l’immigration et de la mondialisation que la gauche a abandonnée, qui vote aujourd’hui à droite et surtout pour le FN. Avant, la gauche glorifiait la jeunesse et la classe ouvrière, mais maintenant ces derniers ne votent plus pour elle, elle les méprise.

    http://fr.novopress.info/

  • L'entretien de trop : Manuel Valls bousculé dans ses derniers retranchements par Léa Salamé

    Le dernier regard de Manuel Valls en dit long sur le mauvais quart d'heure qu'il a passé : ses fadaises, ses attaques d'un autre temps, son décalage avec le pays réel, tout est là en moins de 10 minutes.  


    Manuel Valls répond aux questions de Léa Salamé par franceinter 

    Lahire

  • Nicolas Sarkozy juge qu’il n’est pas « immoral » de voter pour le Front national

    Nicolas Sarkozy a déclenché un nouveau hourvari, en déclarant mardi à Rochefort, en Charente-Maritime, lors d’une réunion de soutien aux candidats Républicains, qu’il n’était pas « immoral » de voter pour le Front national.

    « Le vote FN n’est pas immoral. » « Le vote FN n’est pas un vote contre la République. » Ces propos de l’ancien président de la République, qui paraissent pourtant relever du bon sens, n’ont paru plaire à personne.

    Ni à la gauche, qui y voit une compromission.

    Ni aux candidats de droite, qui craignent une assimilation.

    Ni à Marine Le Pen, qui l’a accusé de dire tout et l’inverse de tout.

    IL N’EST PAS « IMMORAL » DE VOTER POUR LE FRONT NATIONAL

    En fait, ces propos d’un homme qui ne croit en rien sinon en lui-même n’ont plu à aucune de ces catégories de gens qui croient, eux, aux idées de gauche.

    De fait, entre déclarations et précisions, Nicolas Sarkozy a retrouvé les accents droitiers qui lui avaient donné, contrairement à ce qu’on peut lire ici ou là, ses plus beaux résultats. Ceux qui prétendent aujourd’hui l’inverse feraient mieux d’aller vendre des cacahuètes, car ils ne comprennent même pas ce qui est en train de se passer ; ils ne savent même pas lire les résultats électoraux.

    Relevons, un peu au hasard, parmi ses divers propos :

    « Un pays qui se tait est un pays qui meurt. (…) La France n’en peut plus de colère, d’exaspération, d’angoisse. (…) Le peuple de France se demande si la France de toujours restera la France. »

    « J’ai été le premier à parler des racines chrétiennes de la France. »

    « Voulez-vous me dire le nombre de fois où Monsieur Hollande, président de la République socialiste, a reçu Madame Le Pen ? Si c’était immoral, pourquoi l’aurait-il reçue ? »

    « Dire que le vote pour le FN est anti-républicain, cela n’a aucun sens. »

    « Je fais une différence entre le vote et la personne, la nièce, la tante, le grand-père. Mais quand dans le Var, le FN fait 44 %, pensez-vous que la moitié de la population est immorale ? »

    Etc. On pourrait en reprendre plusieurs autres qui, depuis vingt-quatre, fleurissent dans la bouche de Nicolas Sarkozy, et ne sont pas sans rappeler le candidat de 2006-2007.

    NICOLAS SARKOZY À L’HORIZON 2017

    Et tout le monde réagi en s’offusquant de sa dérive droitière. Parce que, en réalité, ce n’est pas le Front national qui est le mal, c’est la (vraie) droite. On n’accepte aujourd’hui les candidats et les élus qui se disent de droite qu’à la condition qu’ils reprennent, comme ils le font quasiment tous chaque jours, les idées de gauche. Reprenez la plupart de leurs discours, c’est tout simplement hallucinant !

    Le problème, le seul en définitive, c’est que le peuple, lui, n’a jamais été à gauche. D’où les déclarations ces derniers jours de Manuel Valls ou de Jacques Attali. Car, quand le peuple vote à gauche, c’est par réaction ou parce qu’il se laisse embobiner par de grandes idées – qui sont rarement de bonnes idées.

    On a sans doute, pour l’avoir essayé, beaucoup de mal à croire en Nicolas Sarkozy, qui est effectivement capable de dire une chose et son contraire. Mais, contrairement à ceux qui crient « Au loup ! », c’est un habile homme, et un connaisseur de la chose politique. Et il est évident que, ayant entendu les Français, il réagit en se positionnant pour 2017…

    FRANÇOIS LE LUC POUR RITV

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/nicolas-sarkozy-juge-quil-nest-pas-immoral-de-voter-pour-le-front-national_148564.html#more-148564

  • Où sont passées les convictions de Bruno Retailleau ?

    Interrogé hier sur Radio Fidélité, Bruno Retailleau, candidat LR dans les Pays de la Loire, s'est exprimé sur le soutien de la région au Hellfest, au Planning Familial et au Pass Contraception.

    Bruno Retailleau ne supprimera pas le Pacte prévention Contraception pour les mineurs, tout en y incluant les parents d'élèves. Pascal Gannat (FN) le supprimera car cela relève de la responsabilité des parents.

    Hellfest : Pascal Gannat maintiendra les subventions si les groupes satanistes n'y viennent plus. Bruno Retailleau maintiendra les subventions à condition qu'il n'y ait pas de débordement.

    Attaqué par le candidat socialiste à propos du Planning familial, Bruno Retailleau tient à préciser qu'il n'a jamais dit qu'il arrêtera le soutien au Planning familial !

    L'extrait est à retrouver en fin d'émission (vers la 57e mn) lors des questions auxquelles les candidats doivent normalement répondre par oui ou par non.

    Cela n'empêche pas Sens Commun à appeler à voter pour lui en écrivant notamment :

    "Je peux vous assurer que Bruno Retailleau n’a jamais rien lâchésur sa vision de la France ainsi que sur celle de la famille et qu’il sera intraitable sur ce point."

    Au vu de l'entretien à Radio Fidélité, il est permis d'en douter.

    L'autre argument de Sens Commun est plus politicien :

    "soit vous ne votez pas Bruno Retailleau et, comme le FN ne pourra pas gagner, vous prenez le risque de conserver cette gauche sectaire au pouvoir avec laquelle nous ne partageons rien."

    Dans la même logique, si Sens Commun n'est pas sectaire et souhaite virer la gauche, il lui serait naturel d'appeler à voter pour Louis Aliot dans le Sud, où le candidat LR Dominique Reynié (qui n'est certainement pas pro-famille) n'est pas en mesure de l'emporter.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Reportage dans un meeting FN : Une jeunesse éclatante

    8502P1.jpg(Présent 8502)

    Dès 17 h 30, une file importante a déjà pris forme dans un froid mordant devant la salle Wagram. Pour le seul meeting FN de l’entre-deux tours, Marine Le Pen a réuni à Paris l’ensemble des têtes de liste régionales dans une ambiance enflammée. Et familiale quand apparaît Marion sous un long tonnerre d’applaudissements et que la salle entonne un « Joyeux anniversaire » à 1 500 voix pour ses 26 ans le 10 décembre. C’est la jeunesse éclatante de ces têtes de liste arrivées en tête dans six régions qui saute d’abord aux yeux sur ces écrans géants. Le renouveau qu’ils incarnent même physiquement, face au vieux système moisi.
    Dès la porte d’entrée, l’accueil est chaleureux pour Présent : « Je vous lis tous les jours », nous déclare la jeune femme qui nous remet nos badges de presse. « Présent d’abord », nous sourit Nicolas Bay en répondant à nos questions sous le nez d’Europe 1, tandis que Louis Aliot nous salue avec amitié.

    À 20 heures, aux accents d’une musique triomphale et de « Marine présidente » longuement scandés, Marine Le Pen arrive par la salle dans un océan de drapeaux tricolores au milieu de militants qui l’acclament avec ferveur :
    « Dimanche, notre peuple, celui que les élites méprisent, le peuple de France a ébranlé l’oligarchie », lance-t-elle, comparant les performances du premier tour à « l’effondrement du bloc soviétique ». Avant de prononcer le nom de Valls sous les huées. « Il le mérite bien », sourit-elle :
    « Nous avons assisté au suicide collectif de la secte de Solferino, M. Valls s’est autopromu au rang de directeur de campagne de l’UMP. Nous avons les deux clans d’une même mafia politique. Ils se sont réparti les territoires, se partagent les prébendes. Les attentats ont été vite oubliés, remisés pour s’attaquer à des choses plus sérieuses : sauver leurs postes. »

    La présidente du Front national a consacré l’essentiel de son discours aux nombreuses nuisances et pesanteurs d’un système exclusivement résolu à empêcher toute victoire frontiste. Et de dénoncer le « pilonnage médiatique insensé qui est une campagne d’État contre les opposants, orchestrée depuis les palais de la République ». Au passage elle a pourfendu « cet auguste représentant du grand patronat [Pierre Gattaz], un cégétiste aux allures de Peppone [Philippe Martinez, CGT], un millionnaire en K-way expatrié [Dany Boon], un ancien vendeur de petits pois pas très bien conservé [Bruno Bonduelle], quelques artistes inconnus trop heureux qu’on cite enfin leur nom ».
    « Je vous appelle à une espérance active »

    « Ce que craignent nos adversaires si nous arrivons à la tête des collectivités », a ironisé la candidate à la tête de la région Nord-Pas-de-Calais, « ce n’est pas notre échec, c’est notre réussite. »
    Marine Le Pen a appelé les patriotes à être vigilants dimanche dans les bureaux de vote : « Le Premier ministre l’a dit, il faut “tout faire” pour empêcher la victoire du Front national »…

    « Face à ce déferlement classique dans les régimes totalitaires, n’ayez pas peur », a-t-elle affirmé. « Ne vous laissez pas infantiliser ! Ne doutez pas et ne vous démobilisez pas ! Le soleil du renouveau se lève. Je vous appelle à l’espérance, à une espérance active. »

    S’il n’y avait aucune présidence de région emportée dimanche soir par le Front national (seul contre tous les magouilleurs UMPS à la manœuvre), il y aurait quoi qu’ils fassent, des centaines de conseillers – et il est très important qu’il y en ait le plus possible – qui vont entrer dans les assemblées régionales grâce au scrutin proportionnel et peser par leur implantation et leur force d’opposition sur l’avenir et sur le prochain scrutin présidentiel.

    Caroline Parmentier

    http://fr.novopress.info/

  • François-Xavier Bellamy : Claude Bartolone, le racisme autorisé

    Claude Bartolone a accusé Valérie Pécresse de défendre « Versailles, Neuilly et la race blanche ». Le pholosophe et maire adjoint de Versailles François-Xavier Bellamy lui répond.

    Quand je pense qu’il faut encore vous appeler « Monsieur le Président de l’Assemblée nationale »… Vous vous êtes lancé dans cette campagne régionale en conservant l’une des plus hautes fonctions de l’Etat, ce qui a choqué jusque dans votre camp. Ce cumul aurait dû exiger de vous, à tout le moins, un peu de hauteur ; mais il faut croire que vous n’en étiez pas capable.

    Monsieur Bartolone, la France va mal, elle est traversée par des fractures de plus en plus profondes, divisée par une défiance inouïe. Vous le savez, vous le dites. Et c’est donc consciemment que vous avez choisi de creuser ces fractures, d’alimenter cette défiance. En disant de Valérie Pécresse qu’elle défend « Versailles, Neuilly et la race blanche », vous avez choisi de remplacer un débat politique par un conflit de communautés.

    A vrai dire, j’ai hésité à vous écrire ; après tout, ce conflit que vous décrivez, à grand renfort de caricatures périmées, paraît totalement dérisoire. Monsieur Bartolone, entre nous : quand vous mettez en scène l’effroyable danger que « les serre-têtes » représenteraient contre « les bras tatoués », j’espère que secrètement vous avez un peu pitié de vous-même. Ne voyez-vous pas des problèmes plus sérieux ? Des ennemis plus crédibles pour la République ? Venez à Versailles, Monsieur Bartolone ; venez rencontrer 14000 lycéens, 10000 étudiants, l’une des villes les plus jeunes et créatives d’Île de France. Celle qui incarne la French Touch dans le monde de la musique, celle où se forme une nouvelle génération d’architectes, de chercheurs, de parfumeurs, de paysagistes, d’entrepreneurs… Quel cliché délirant a pu vous faire opposer notre ville à « l’Île de France qui fait des start-ups et du hip-hop » ? [.....

    La suite sur Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Francois-Xavier-Bellamy-Claude

  • Preuve par onze mairies frontistes

    Le coup d’œil de Philippe Randa

    Durant la campagne des élections régionales et au soir du Ier Tour, les auto-proclamés républicains ont rabaché que l’arrivée du Front national à la direction d’une Région française, voire de plusieurs, serait dramatique et que les plus démunis de nos concitoyens seraient les premières victimes d’une gestion forcément désastreuse.

    Oui mais ! il y a désormais une réalité municipale qui dément les sinistres augures de ceux qui sonnent ainsi le tocsin : voici un an et demi, onze villes françaises ont porté à leur tête un édile FN ou soutenu par celui-ci. Et dimanche, ces onze villes ont toutes hissées les listes de ce mouvement à la première place. Et ce, avec des scores sans appel : 59,68 % à Beaucaire, 59,36 % à Hénin-Beaumont, 54,26 % à Cogolin, 53,73 % au Pontet… et si le plus « petit » score, celui de Mantes-la-Ville, n’est « que » de 34,41 %, il est à mettre en rapport avec le score régional des listes menées par Wallerand de Saint-Just sur l’ensemble de l’Île-de-France : 18,41 %. Quasiment le double !

    Le quotidien Libération, pourtant peu suspect de sympathie pour les frontistes, a reconnu dans un tweet : « Onze communes FN, onze fois le FN en tête, onze fois le FN plus fort que dans la région. »

    Ce qui est donc le pire pour les états-majors socialistes, républicains, écologistes et Front de gauche, n’est pas seulement de perdre au soir du deuxième tour leur juteux fromage d’élus régionaux, mais surtout de ne pas le récupérer dans six ans…

    (paru dans le quotidien Présent)

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuuAApuuZVIJqtKuVX.shtml