A l’approche du premier tour des élections régionales, le vote FN est au centre des débats.
VIDÉO – Zemmour/Domenach : Le FN va-t-il perdre… par rtl-fr
http://www.medias-presse.info/eric-zemmour-et-nicolas-domenach-saffrontent-sur-le-vote-fn/44988
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A l’approche du premier tour des élections régionales, le vote FN est au centre des débats.
VIDÉO – Zemmour/Domenach : Le FN va-t-il perdre… par rtl-fr
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Philippe de Villiers a renouvelé son soutien moral à Marion Maréchal-Le Pen dans une interview à Valeurs Actuelles :
"La différence est abyssale entre une étoile montante qui scintille d’intelligence et de sens national et le 'motodidacte' [Christian Estrosi, NDPC] qui vrombit comme un politicien sans souffle (...)
Si j’étais électeur dans cette région, je ne voterais pas pour les représentants des deux partis siamois, les Républicains et le PS, qui sont tout à la fois atlantistes, immigrationnistes, islamistes et mondialistes. Rien n’est plus vrai avec Christian Estrosi qui tient boutique avec Sarkozy, Boubakeur et Ivan Levaï, dont il a les soutiens.
Si j’avais Marion comme présidente de la région Pays de la Loire, je ne m’en plaindrais pas. C’est un jugement personnel, elle semble avoir l’étoffe et être taillée pour la haute mer"
De son côté, Marion Maréchal-Le Pen a confirmé le 2 décembre dans une interview au Dauphiné Libéré que des contacts ont été établis avec Philippe de Villiers pour un futur Puy-du-Fou provençal :
Les sondages ont placé le Front national au cœur de la campagne et l’annoncent en tête dimanche soir ce qui serait une secousse politique. Mais ce scrutin, dans un contexte particulier peut réserver des surprises
Laborieusement redécoupées sur des périmètres élargis plus ou moins admis selon que l’on soit charentais (satisfait) ou alsacien (dépité), dépouillées au Parlement des prérogatives qui leur auraient donné du poids face à l’État et une autorité réelle sur les autres collectivités, elles ont été privées d’une vraie campagne.
Campagne éclipsée
En sommeil pour cause de deuil, le vrai débat régional ne s’est pas réveillé sur la fin. Dans une nation traumatisée et sous état d’urgence, ferrailler sur des trains express régionaux qui arrivent à l’heure, des bourses pour les lycéens, des fonds de garantie pour la compétitivité des PME peut apparaître décalé sinon dérisoire.
Le tam-tam télévisuel et une batterie de sondages tambourinent depuis dix jours le même refrain : le front national peut gagner des régions. Comme s’il fallait préparer le second tour avec sondages et supputations sans attendre le résultat du premier.
L’enjeu : les écarts
La question est donc posée : le FN sera-t-il dimanche soir, comme aux Européennes de 2014 sacré premier parti de France ? Depuis 2012 et les six millions et demi de bulletins Marine Le Pen à la présidentielle, la vie politique s’est reconstruite en trois blocs.
- L’extrême droite survitaminée par les votes de déception s’est implantée dans les classes populaires et les territoires les plus fragiles au-delà de ses fiefs nordistes et méditerranéens où elle conforte sa position.
- La droite rabibochée avec le centre a retrouvé une implantation d’élus locaux avec ses succès aux municipales en 2014 et aux départementales en mars dernier.
- La gauche fissurée sur son aile écolo-communiste a été sanctionnée comme tout pouvoir en place à une élection locale depuis… 1977 !
À l’aise dans cette actualité plombante, le Front national a durci son discours sur ses fondamentaux, l’immigration, insécurité, le sentiment anti-européen. Il a monopolisé le débat avec l’appui des sondages. Il oblige la droite à venir sur ses thèmes et la gauche à le brandir en épouvantail. Pour limiter la casse, la majorité espère un effet post-attentats et mise sur la prime à quelques sortants bien implantés. L’alliance LR-UD I mise sur sa dynamique.
L’enjeu de dimanche soir, dans les douze régions de métropole réside dans l’ordre du tiercé et surtout dans les écarts entre les listes.
La clé : la participation
Tout dépendra d’abord de la participation. L’abstention fut majoritaire au premier tour des régionales en 2010 (53,2 %). Cette année-là, les électeurs de droite avaient boudé l’urne aux deux tours, d’où la razzia rose sur la carte des régions. Le camp qui mobilisera le mieux les siens se placera en position favorable pour le 13 décembre. Des finales à trois ? Le scrutin de liste à la proportionnelle avec un second tour facile d’accès (10 % des exprimés) favorise les triangulaires. Elles risquent de devenir la règle. Sauf décision politique de retrait ou de fusion entre listes.
La suite : deux fronts ?
Car si les sondages sont confirmés au moins dans le Nord, en Paca, voire dans le Grand Est et Bourgogne-Franche-Comté la question sera posée aux têtes de listes (seuls décisionnaires rappelons-le) de gauche et de droite. Avec deux complexités supplémentaires : Nicolas Sarkozy a annoncé ni retrait ni fusions et les socialistes seront tentées d’additionner leurs suffrages avec ceux des listes écologistes et/ou communistes pour démontrer que la gauche dispose de plus de réserves que le couple LR-UDI. Contrairement à la droite qui s’avance unie dans 11 régions sur 12, aucun accord n’a été trouvé par « la gauche plurielle ». La troisième place est donc le plus souvent promise à la majorité. Et la première ? Droite ou FN. Une victoire du parti lepéniste dimanche soir doublé d’une abstention supérieure traduirait une fracture grandissante entre une France désabusée, perdue en colère et une France qui garde foi en la politique et s reconnaît dans les partis de gouvernement. Mais dans une élection à 50 % d’abstention, promesses de vote et pronostics de sondeurs n’engagent que ceux qui les croient. Place à la vérité des urnes.
Pascal Jalabert
http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuuAkEAEpywBDCrEPV.shtml
L’actualité de la semaine vue par Bruno Gollnisch :
Le FN est donné en tête au premier tour des régionales, en hausse de 2,5 points (28,5%), devant une droite en perte de vitesse (LR-UDI-MoDem, 28%, -2,5 points) et un PS distancé (23%, inchangé), selon un sondage publié mercredi.
L'ensemble de la gauche est en retrait (35,5%, -2,5 points), notamment en raison d'un tassement des écologistes (EELV et alliés), qui perdent 2 points (à 6,5%) par rapport aux 13 et 14 octobre derniers, selon cette étude Elabe pour Les Echos et Radio classique.
A moins d'une semaine du scrutin, quelque 32% des électeurs pourraient cependant encore "changer d'avis d'ici au 6 décembre".
Enquête réalisée en ligne les 1er et 2 décembre auprès d'un échantillon de 968 personnes inscrites sur les listes électorales, selon la méthode des quotas.
Afp via yahoo :: lien
C’est en prévision de la victoire écrasante du Front National, lors du premier tour des élections régionales, que certains semblent préférer fuir la France plutôt que de devoir subir le terrible bruit des bottes dans nos rues.
Il semblerait, d’après notre correspondant sur place, au sobre sommet contre la réchaufette21, que certains participants prenant conscience de la gravité de la situation en Europe n’ont pas hésité le moindre instant à prendre le large et « fuir » vers des pays où l’on ne connait pas cet horrible sentiment de rejet, de racisme et de haine nauséabonde que l’on vit en France. Il semblerait même que dans cet élan de sauvetage de l’espèce humaine, et oui, il en va de l’espèce humaine , un élan de solidarité est né en ce jour…
Oh, que c’est beau de voir tant de personnes, que dis-je, tant de grandes consciences venir de tous les coins du monde pour nous sauver, ainsi que nos enfants, petits-enfants et arrières petits-enfants. Et que dire de leur esprit de pauvreté, de charité, de fraternité, bref, d’Amour pour les autres. Il est difficile de cacher son émotion dans des moments aussi grands. C’est un peu la joie de Noël au coeur de Paris avant Noël…
C’est vraiment dans cet esprit de sacrifice pour la prochaine et le prochain que nous avons pu assister le long de nos côtes au départ d’une première délégation, je dirais presque de missionnaires, mais le mot est mal choisi, car ici la mission est encore plus humanitaire voir même plus humaniste que celle des Pères blancs de jadis.
C’est avec beaucoup d’émotions que nous avons pu assister au départ de ces « héros de l’humanité »… vers un monde meilleur.
Notez leur esprit écologique et leur volonté déterminée de « recyclage21″: des petits bateaux abandonnés par d’autres voyageurs arrivés récemment en Europe leur servent d’embarcation. Que de signes d’espoir.
Il est toujours parmi de rêver…
Pathétiques ! Minables ! La peur, la trouille, les foies… De Valls à La Voix du Nord, en passant par les artistes, faut les voir tous aux abois, l’œil morne et le courage en berne devant l’irrésistible ascension de Marine et Marion et Florian et les autres… Rendez-vous compte ! En tête dans au moins six Régions et sans doute plus… Rien perdu de leur pouvoir de nuisance, rien perdu surtout de leur pouvoir de séduction sur ces abrutis d’électeurs qui se mettent à plus obéir aux médias, à plus croire aux politiciens, à plus suivre les oukases des commentateurs aux ordres… Et chacun d’y aller de sa pétition, de ses admonestations et de ses solennelles déclarations … Et le beau Manolo de squatter les ondes et les écrans, sous l’œil attendri, hier soir, de la Carole Gaessler, pour un dernier baroud d’honneur bien mis au point en coulisses avant la mémorable raclée, alors qu’en bon démocrate il devrait laisser le peuple souverain, adulte et émancipé, décider librement de son vote et qu’en bon chef de gouvernement il devrait s’occuper de l’insécurité, du chômage et de l’immigration… Pitoyable !
Et à partir de dimanche soir, ça va recommencer comme en 2002… Tous dans la rue, le grand barnum des pleureuses et des pétitionneuses, et aux artistes vont s’ajouter les profs, les instits, les curés, les évêques, le show-biz, les magistrats, les syndicats, les lycéens, les collégiens, les enfants en nourrice, tous unis dans le grand front républicain des marathoniens de la République à la Bastille pour s’indigner, refuser, manifester… Manifester contre quoi, au fait, refuser quoi, s’indigner contre quoi ? Contre le choix d’un peuple que ces connards arrêtent pas de nous décrire comme souverain et responsable dans l’acte le plus remarquable de la vie démocratique : les élections !
Lou...
http://ultima-ratio.hautetfort.com/archive/2015/12/03/la-grande-peur-des-mal-votants-5726025.html
La Manif Pour Tous s’est invitée dans la campagne des élections régionales en organisant une série de meetings dans les nouvelles régions ou des interviews filmées des candidats, les invitant par ce biais à partager leur vision de la famille et leurs projets pour la région.
Toutes les têtes de liste, quelle que soit leur couleur politique, ont été invitées à répondre. Dans la région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, seul Laurent JACOBELLI (Debout La France) a accepté de répondre :
Philippe RICHERT (LR / Modem / UDI) a fait part d’une « incompatibilité d’agenda », tandis que Sandrine BELIER (EELV) a promis une réponse écrite...
A ce jour, aucune réponse des autres candidats :
Les sondages se suivent, pour le FN, et se ressemblent. Après le succès annoncé pour Marine Le Pen dans le Nord, et de sa nièce en PACA, un sondage ELABE pour Les Échos sur la grande région Est Alsace-Lorraine-Champagne-Ardennes place le FN et Florian Philippot en tête au premier tour, avec 34 %, et gagnants au second, de peu, devant la liste LR-UDI-MODEM, dans le cas d’une triangulaire.
Bien sûr, la prudence s’impose face à ces sondages, et ce d’autant plus que les scores, notamment au second tour, sont annoncés serrés, et que l’on ne sait pas quelle sera l’attitude du PS, dimanche soir.
Mais, quelle que soit l’issue exacte de ces élections régionales, un fait est certain : le FN va s’imposer comme le premier parti de France et réaliser de très hauts scores dans certaines régions, comme en ALCA, pour plusieurs raisons.