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élections - Page 522

  • Bartolone en berne dans les sondages : c’est qui l’abruti ?

    Avec 22 % des voix au premier tout, il est talonné par le candidat du Front national.

    Bon ! L’affaire est entendue ! Claude Bartolone, l’actuel président de l’Assemblée nationale, rêve d’un destin régional. Normal, le principe de Peter s’applique, là, dans toute sa rigueur : « tout individu tend à s’élever jusqu’à atteindre son niveau d’incompétence ». Donc, monsieur Bartolone se « peterise ».

    Ses dernières responsabilités « de terrain » – président du département de Seine-Saint-Denis de 2008 à 2012 – ont été caractérisées, selon la Cour régionale des comptes, par une gestion incertaine, dispendieuse, opaque, empreinte de favoritisme, voire pénalement répréhensible. Le parquet de Bobigny, impressionné par ce tir groupé et flairant emplois fictifs et détournements de fonds publics, a ouvert une enquête contre X.

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  • Pourquoi l'union des droites de conviction est-elle si difficile à réaliser ?

    Liste dissidente en PACA menée par Jacques Bompard, Nicolas Dupont-Aignan qui s'accroche et rêve d'un destin national, quelques personnalités perdues au sein des Républicains qui peinent à peser (PCD, Sens commun) et un FN en pleine ascension qui se écarte des personnalités de conviction (Jean-Marie Le Pen, Aymeric Chauprade, Paul Marie Couteaux, Bruno Gollnisch...) au profit de la nouvelle garde moderniste menée par Florian Philippot. Il n'en fallait pas moins pour que les rumeurs d'un retour politique de Philippe de Villiers n'émeuve la toile. Voici quelques analyses intéressantes :

    "Cette nouvelle donne correspond aussi à la montée en puissance dans l’électorat des idées de droite, et d’une droite de conviction, sur de nombreux sujets : famille, identité, culture, sécurité. Or la droite connaît une situation très paradoxale : elle est en train de gagner la bataille des idées, aussi bien dans le peuple que chez les intellectuels les plus honnêtes et les plus lucides, et d’atteindre des niveaux historiques (55-60 %) mais elle est divisée en deux blocs incapables de concrétiser cette victoire idéologique (...) Son électorat, majoritaire à 60 %, ne se reconnaît vraiment dans aucun des deux blocs. Déficit de convictions et de ligne claire chez LR, manque de crédibilité économique au FN. Mieux qu’une union des deux blocs, c’est à une refondation de la droite qu’il aspire. Plusieurs signes révèlent ce malaise et cette aspiration à une union-refondation des droites : affaire Morano, démissions dans l’un ou l’autre bloc, comme celle de M. Chauprade, popularité de personnalités d’ouverture entre les deux camps, comme Marion Maréchal-Le Pen ou MM. Guaino, Ménard, De Villiers et Dupont-Aignan.

    La conséquence de cette situation, c’est que chacun des deux blocs se heurte à un plafond de verre de 28-30 %, ce qui risque de priver l’électorat de droite d’une juste représentation (...) Pour que le parti de Mme Le Pen réussisse cette union des droites à son profit, il va lui falloir gagner encore en crédibilité et accélérer l’ouverture en direction, non de la gauche, mais de tous les patriotes de droite. Le départ de M. Chauprade n’en est pas un bon signe." (Pascal Célérier)

    "Ses reproches [Aymeric Chauprade] plus larges à l’endroit de Marine Le Pen et son ralliement à la figure de Philippe de Villiers, sont plus intéressants, car ils illustrent l’ébullition qui règne actuellement au sein de ce que l’on peut appeler la France enracinée, par opposition à la France mondialisée, cette France enracinée dont les contours s’étendent des électeurs Front national à l’extrême pointe conservatrice des Républicains en passant par le parti de Nicolas Dupont-Aignan.

    Cette France, mêmes ses adversaires s’accordent à le dire, progresse chaque jour sur le terrain des idées. Il n’est pas évident, pourtant, qu’elle soit victorieuse in fine sur le terrain électoral, chacune de ses composantes étant en proie à des tentations mortifères (...) Tentation, pour le Front national, dénoncée par Aymeric Chauprade, de dédiabolisation, avec son corollaire, la séduction – que l’on croit – irrésistible : édulcoration du discours et mise sur la touche au moment où il y aurait enfin, non plus des coups, mais des sièges à prendre, de militants historiques ayant tracté dans le désert durant des années, pour laisser la place à quelques inconnus réputés plus « sexys » et médiatiquement corrects. Et tout cela sans ménagement, peu importe si cela gronde dans les rangs et si des portes claquent, parce qu’on se croit tout-puissant (...)On se permet de snober LMPT – qui, il est vrai, n’a pas toujours été élégante avec le FN – parce qu’on la pense négligeable. Grave erreur. On a toujours besoin de plus petit que soi, disait La Fontaine. Que Philippe de Villiers, poussé par ce joli monde courroucé, se présente aux présidentielles, et il manquera les petits pour cents fatidiques permettant de franchir le deuxième tour (...) L’exemple Chauprade le montre, la France enracinée est dispersée façon puzzle. Celui qui saura la rassembler, bon gré mal gré, en épousant tous ses contours, pourra, lui seul, la faire gagner." (Gabrielle Cluzel)

    Et enfin cet extrait du dernier numéro de Valeurs Actuelles consacré au phénomène Philippe de Villiers :

    "(...) C'est donc la présidente du FN qui aurait, à priori, le plus à pâtir d'un retour de Villiers. Mais c'est elle aussi, en cas d'appel de ce dernier à la soutenir, qui aurait le plus à gagner de son ralliement pour 2017. Le héraut de la "France éternelle" et des "valeurs traditionnelles" réalise en effet ses meilleurs scores là où Marine Le Pen séduit le moins : catholiques pratiquants (46% souhaitent son retour) et retraités (28% chez les plus de 65 ans). Deux électorats complémentaires mais qui, sur le plan des idées, se rejoignent sur l'essentiel (identité, immigration, Europe...): de quoi, s'ils se conjuguaient, donner des sueurs froides à leurs concurrents..."

    Accéder au pouvoir sans faire d'alliances étant peu réaliste, la balle semble désormais dans le camp de Marine Le Pen...à condition qu'elle soit bien conseillée.

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Une opposition fondamentale

    Les dirigeants européens et africains se réunissaient hier et aujourd’hui à Malte, lors du sommet de La Valette, pour tenter de trouver des solutions concrètes afin de limiter l’invasion migratoire de l’Europe; un conseil informel des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE est prévu jeudi sur le même thème; il se focalisera sur les moyens de convaincre la Turquie de ne pas nous envoyer les centaines de milliers d’immigrés qui transitent sur son sol. Les médias ont révélé ces dernières heures que le dénommé Hakim Marnissi, 25 ans, de nationalité Française, en lien avec l’Etat islamique, avait été interpellé le 29 octobre à Toulon par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) en tentant de se procurer des armes pour assassiner des militaires de la base navale. En juillet dernier, juste avant notre fête nationale, trois autres fous d’Allah, dont un matelot qui avait été renvoyé de la marine nationale, avaient été interceptés avant de mettre leur projet à exécution : l’attaque du Centre national d’entraînement commando de l’armée de terre près de Collioure (Pyrénées-Orientales) et la décapitation d’un officier. Mais ces menaces là, sans même parler de la conjoncture économique et sociale, semblent moins importantes aux yeux du Premier ministre que son avenir politique et celui de son parti, à en juger par le caractère obsessionnel de sa lutte contre le FN. Autre certitude, autre question aussi: pourquoi la perspective, l’hypothèse d’une alternance nationale en France est elle si insupportable pour nos élites ?

    Les médias relayent assez bien l’embarras de Manuel Valls et la polémique actuelle qui agite les frères ennemis des états-majors de l’RPS : le Premier ministre étudie un projet de fusion des listes PS et Les Républicains lors du second tour des régionales « pour faire barrage au FN. »

    Sont principalement dans le collimateur les régions Nord-Pas-de-Calais-Picardie, Paca, mais aussi Languedoc-Roussillon (la liste FN conduite par Louis Aliot est annoncée en tête au premier tour) et ALCA (Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne). L’Obs rappelait d’ailleurs que «le Grand Est est la seule région où le FN a virtuellement passé la barre des 30% en mars dernier (30,7% au premier tour). Et de ces trois grandes régions, elle est celle où le parti a le plus progressé entre les européennes et les départementales (+1,1 point) .»

    L’hypothèse d’une victoire de Florian Philippot « à laquelle les cadres du parti frontiste se surprennent à rêver au vu des récents sondages » est « plausible », « dans une des régions les plus à droite de France.» Il est incidemment rappelé que déjà, « au premier tour de la présidentielle de 1988, Jean-Marie Le Pen (était arrivé) devant Jacques Chirac en Moselle et dans le Haut-Rhin », « le vote FN a trouvé un terreau fertile en Alsace dès les années 1980 »… et progresse fortement ailleurs.

    Une progression, un enracinement du vote FN affirmait dans Le Figaro le 9 novembre l’universitaire Alexandre Dézé, codirigeant de l’ouvrage « Les Faux-semblants du Front National », qu’il doit aussi au fait qu’il ne renie pas son corpus programmatique. « Sa principale ressource en politique, c’est sa radicalité. Comme l’affirme Jean-Marie Le Pen: Un Front National gentil, ça n’intéresse personne ». Aussi le FN « continue de camper sur ses fondamentaux » (« rejet du «système », « préférence nationale », « défense de la nation », « critique de l’Union européenne », « rejet de l’immigration massive», dénonciation de l’«insécurité» comme «fléau humain et économique», «anti-mondialisme»,« restauration de la souveraineté populaire »…).

    « Le fait que le FN accorde de l’attention au social n’est par ailleurs pas nouveau » souligne le chercheur. « La rupture avec les orientations néo-libérales du parti s’est faite au début des années 1990, dans le but de capter un électorat plus populaire». «L’électorat du FN est devenu interclassiste au début des années 2000. Il n’y a plus de catégories de la population qui ne soient touchées par le vote FN, même si elles le sont dans des proportions variables (…). Cette diversité existait donc avant que Marine Le Pen ne soit élue à la présidence du FN. Globalement, le profil de l’électeur frontiste n’a pas beaucoup évolué au cours de ces dernières années (…), le FN progresse surtout dans ses bastions. Il s’est certes ruralisé, mais ce phénomène était déjà à l’œuvre avant l’arrivée de Marine Le Pen, même s’il s’est accentué.»

    « L’électorat frontiste comporte un nombre toujours croissant d’ouvriers mais qui, pour la majorité d’entre eux, proviennent de la droite de l’échiquier politique, et non de la gauche. Les anciens ouvriers de gauche se sont plutôt réfugiés dans l’abstention ou n’ont pas changé de vote. De même, les Français de confession musulmane restent très réfractaires au vote FN… ».

    Le site de BFM souligne quant à lui qu’au vu de cette situation de poussée de l’opposition patriotique aux régionales, « la fusion des listes PS et Les Républicains dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie pour empêcher Marine Le Pen de l’emporter », est une « hypothèse, étudiée sérieusement par les équipes de Matignon ». Elle «serait un pas supplémentaire comparé à ce que représente le front républicain, prôné par la gauche et refusé par la droite mais régulièrement mis en avant quand le FN est en mesure de s’imposer dans un scrutin.»

    « Le Monde estime que Manuel Valls sait pertinemment que cette fusion ne suscitera jamais l’adhésion de tous », François Hollande y est notamment « totalement opposé, assure Europe 1 car une telle coalition reviendrait à alimenter l’UMPS, tant décrié par le FN ». Mais « le Premier ministre souhaite pouvoir dire, que lui, a tout tenté face au FN.»

    « Si la gauche se retire, il n’est pas sûr que la droite l’emporte, c’est la double peine: Le Pen gagne, la gauche ne siège plus, argumente un conseiller de Manuel Valls dans les colonnes du Monde. Mais dans le Nord tout le monde ne voit pas cette idée d’un bon oeil, à commencer par Pierre de Saintignon, la tête de liste PS qui tient à garder ses distances avec le gouvernement après avoir décliné la venue d’Emmanuel Macron en meeting sur ses terres. »

    «J’en ai assez, que Manuel Valls fasse son travail de Premier ministre, a-t-il expliqué à RMC. Chez Valls, ils veulent qu’on perde cette région. Il n’est pas question de s’allier avec la droite ou de disparaître du conseil régional, dénonce un membre de son équipe dans Libération. « C’est une très bonne idée, on voudrait faire gagner le FN qu’on ne s’y prendrait pas autrement, a commenté (…) Martine Aubry sur Europe 1. »

    «Du côté des Républicains, on est sur la même logique. Valls ne se rend pas compte que ça nous coûte des voix à nous, et qu’il tire une balle dans le genou de son candidat. (…) En parler maintenant, c’est ouvrir un boulevard à Marine Le Pen, regrette-t-on dans le camp du candidat Les Républicains Xavier Bertrand.» Certes, « selon Libération, l’entourage du Premier ministre le dit agacé par ces fuites sur ses projets alors qu’il n’avait pas prévu de les exprimer avant le soir du premier tour.»

    Nous verrons si les consignes donnés par les officines antinationales, qui sans surprise, recoupent les obsessions de M. Valls, seront suivies par le membre de la secte du Grand orient à laquelle appartient Xavier Bertrand et qui reproche simplement à M. Valls d’avoir parlé trop tôt…

    Dans le JDD le 25 octobre dernier, nous y faisions allusion, le «grand maître» du Grand Orient, Daniel Keller, initié comme M. Valls dans une loge violemment anticatholique constate Bruno Gollnisch, «Vérité Ni dieu Ni maître», avait appelé à la mobilisation de toutes les obédiences contre l’opposition nationale.

    Le grand sachem Keller invitait les partis euromondialistes à se désister en cas de triangulaire lors des élections régionales ; « En ce qui concerne les élections à venir, le désistement républicain est, selon moi, le minimum à faire. Il faut éviter au maximum des triangulaires au second tour des régionales. Le désistement, ce n’est pas une magouille. C’est accepter de sacrifier ses propres couleurs pour l’intérêt général » (sic). Qu’ajouter de plus après ce trait d’humour (?)…

    http://gollnisch.com/2015/11/12/une-opposition-fondamentale/

  • Régionales : Christiane Taubira candidate sur une liste opposée au PS

    Lu sur Marianne :

    LogoWalwari2015"Elle a cofondé le parti politique Walwari dans les années 90' avec son époux. Les 6 et 13 décembre, Christiane Taubira se présentera sous ses couleurs pour l'élection à la collectivité unique de Guyane (CGT), qui voit fusionner région et département. Cette candidature était incertaine, elle a été confirmée à l'AFP mardi soir.

    Walwari fait liste commune avec Guyane Ecologie. Christiane Taubira n'apparaît qu'en 11e position sur la liste, ce qui rend quasiment impossible son élection. Face à elle, on trouve notamment la liste de l'actuelle députée Chantal Berthelot... du Parti socialiste guyanais."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Après le front républicain, la fusion républicaine et l'UMPS assumés par Manuel Valls

    Manuel Valls va toujours plus loin mais en "off". Or, tout le monde sait bien que les propos en "off" sont destinés à être diffusés pour tester les réactions :

    "Ceci s'appelle un tir groupé. Le Monde, Europe 1 etLe Parisien révèlent la même information ce 11 novembre au matin, à chaque fois placée dans la bouche de "l'entourage du Premier ministre" ou d'un vague "Matignon" : Manuel Valls veut plaider pour la fusion des listes LR et PS au second tour des régionales dans la grande région Nord pour contrer Marine Le Pen sans se retirer. 

    Ce qui donne dans Le Parisien : "" ; sur Europe1.fr : "" et, dans Le Monde, un plus général : "". Le Premier ministre n'y est jamais cité en on, mais vue la simultanéité de l'info, la source ne fait aucun doute.

    Que faut-il en retirer ? Oui, Manuel Valls évoque à haute voix la possibilité de proposer à Xavier Bertrand de fusionner sa liste avec celle des socialistes au soir du premier tour pour empêcher Marine Le Pen de remporter la région (...)

    L'entourage du Premier ministre" estime même auprès du Monde quel'UMPS doit devenir une force et non une insulte dans les bouches frontistes : "Compte tenu du danger Le Pen, il faut assumer l'UMPS,l'UMPS c'est l'équivalent chez les autres pays européens des grandes coalitions."

    Et comme par hasard, il tient ces propos le jour même où Nicolas Sarkozy accepte pour la première fois de participer aux cérémonies du 11 novembre aux côtés de François Hollande. Les journalistes se posent la question du sens de cette rencontre. Il n'est pourtant pas besoin de chercher très loin pour faire le rapprochement...

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/11/apr%C3%A8s-le-front-r%C3%A9publicain-la-fusion-r%C3%A9publicaine-et-lumps-assum%C3%A9s-par-manuel-valls.html

  • Sarkozy : boniments et tartufferies…

    Observateurs et sondeurs prévoyaient que la primaire ne prendrait son envol qu’après les régionales. L’enjeu si alléchant d’une présidentielle victorieuse assurée au second tour leur donne tort, l’élection majeure étant devenue consubstantielle de celle de décembre.

    Sarkozy, le revenant qui avait juré ne plus revenir, a réuni ses troupes samedi à la Mutualité à Paris afin de valider les listes des régionales. Si la piétaille était là, les généraux à la bataille de la primaire brillaient par leur absence — absence tolérée, unité de façade oblige !

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  • Les AFC des Pays de Loire interrogent les candidats

    Les questions sont en ligne ici. Extraits :

    "Questions N°1 – Soins Palliatifs

    Au-delà de ses compétences propres, le Conseil Régional s’est investi sur le domaine de la Santé en l’intégrant[1] dans un Schéma Régional « Formations, Santé, Social et Territoires ». Ce dernier intègre le souci de la qualité de vie des personnes âgées et a soutenu la création de Maisons de Santé et d’un Gérontôple[2] visant à soutenir les initiatives en faveur du « bien vieillir ». 

    Sur le sujet connexe du « bien mourir », la France, notamment notre région (voir ici[3]), est très en retard sur le développement des soins palliatifs au point mort depuis 2012.Un Conseil Régional, en lien avec son Agence Régionale de Santé, peut donner une impulsion décisive au développement des soins palliatifs sur son territoire, par exemple en soutenant et accompagnant les acteurs qui œuvrent dans ce domaine.

    1.1Êtes-vous prêts à intégrer le soutien au développement des soins palliatifs dans le cadre des actions de la Région sur le domaine de la Santé?

    1.2 Si oui, quels moyens concrets envisagez-vous de mettre en place pour soutenir et développer les soins palliatifs sur la région ?

    Questions N°2 – Accueil de la Vie / Soutien aux mères en difficulté

    Ce schéma régional Formations, Santé, Social et Territoires intègre notamment le soutien et la promotion du Mouvement du Planning Familial (ici[1] page 69). 

    Au niveau International, ce Mouvement s’est fait connaitre aux Etats Unis par le scandale[2] du trafic d’organes de fœtus avortés. En France des enquêtes[3] ont démontré que les centres de planification confiés au Planning Familial portent souvent une vision militante pro avortement et aident peu ou pas les femmes enceintes faisant le choix de garder leur enfant. 

    2.1 Vous engagez vous à stopper le soutien du Conseil Régional aux associations qui, par leur caractère militant, négligent les alternatives à l’avortement et, de ce fait, ne laissent pas la pleine liberté aux femmes en difficulté de faire un vrai choix ?

    2.2 D’une manière globale êtes-vous prêt à promouvoir une politique de santé respectueuse de la vie à naître  notamment au travers de l’accueil et du soutien aux femmes enceintes en difficulté ?

    Question N°3 – Promotion de l’idéologie du Genre

    Le conseil régional finance des centres d’Information sur les droits des femmes et des familles. 

     En octobre 2014 l’un deux organisait une formation[4] pour les professionnels intervenant auprès des enfants de 0 à 6 ans visant à intégrer « l’approche genre » dans sa pratique professionnelle, approche consistant ni plus ni moins à déconstruire tous les repères fondamentaux nécessaires aux enfants. 

     Par ailleurs en mars 2015 sous le prétexte d’une lutte contre les discriminations, une campagne soutenue par le conseil régional intégrait des ateliers à destination des enfants faisant la promotion de l’idéologie de genre (Ici page 15[5]). 

     Enfin le budget 2014 du conseil régional prévoyait un financement de 467 000€ à une équipe de chercheurs sur le thème du genre. [6]

    1. Vous engagez vous à veiller à ce que le Conseil Régional n’apporte aucun soutien aux structures promouvant explicitement ou implicitement l’idéologie de l’indifférenciation sexuelle (« théorie du genre ») ou tout autre idéologie visant à la déconstruction des repères fondamentaux qui permettent la construction affective des enfants ?

     Questions N°4 – Education Affective

    Le Conseil Régional supervise des programmes d’action éducative dans les lycées notamment sur l’éducation affective [7] et agrée dans ce cadre des associations pour intervenir dans les écoles. Parmi celle-ci on retrouve à nouveau le Planning Familial et d’autres structures qui relayent des messages similaires. A l’inverse des associations promouvant une vision de l’amour respectant toutes les dimensions de la personne ont été refusées[8] par le Conseil Régional sous des prétextes fallacieux. 

    Par ailleurs dans le cadre de ses actions en faveur des jeunes le Conseil Régional a mis en place pour les 15-30 ans un Pass Contraception [9]qui cherche ouvertement à court-circuiter le rôle des parents, premiers et principaux éducateurs de leurs enfants (« Aucun retour n’est fait à vos parents. » sic !). 

    Pour assurer la promotion de celui-ci, le Conseil Régional a détourné les fichiers d’un autre de ses dispositifs (le Pass Culture) pour faire parvenir des messages[10] relayant une vision d’une sexualité de divertissement déconnectée de sa dimension affective, faisant fi de la notion de respect et d’engagement qu’implique une telle relation.

    4.1 Vous engagez vous à ce que les politiques de santé publique à destination des jeunes ne contournent pas les parents qui, en tant que premiers éducateurs de leurs enfants, ne doivent pas être coupés et spoliés de la relation essentielle de confiance qu’ils bâtissent avec leurs enfants?

     4.2 De même, vous engagez vous à refuser l’intervention dans les lycées des associations dont les interventions au titre des programmes d’éducation affective se limitent à des questions techniques ordonnées à l’absolu du plaisir, c’est à dire qui ne concernent ni l’éducation ni l’affection? [Lire la suite]

    Synthèse des résultats prévus 30 novembre.

    Michel Janva

  • Régionales : discours de Barbara Mazières, secrétaire départementale du FN49, au meeting d’Andard

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    Barbara Mazieres

    Merci d’être venus si nombreux accueillir notre présidente, Marine Le Pen, ici, en Maine-et-Loire.

    Je suis très heureuse, justement parce qu’accueille ici, en votre nom à tous, Marine Le Pen.

    Marine Le Pen, c’est vous qui m’avez donné envie de continuer en politique. Vous incarnez le dynamisme sans la démesure, une résistance tournée vers l’avenir.

    Vous avez porté le Front national à des niveaux historiques. Vous incarnez pour tous l’espoir de la victoire.

    Vous êtes l’espoir de la France. Vous êtes le rempart à la mort programmée de notre pays et des valeurs de notre civilisation.

    Vous nous donnerez la victoire, je l’espère, bientôt au plan national.

    Mais cette victoire de 2017 passe par l’implantation de terrain notamment ici, dans cette terre angevine qui fut si longtemps rétive à notre mouvement. Je suis très attachée à ce terroir, un terroir agricole, mais aussi industriel. Je sais que beaucoup de nos concitoyens souffrent, et je souhaite que nos candidats les défendent. Je souhaite que nos candidats prennent la défense de nos familles attaquées, de nos entreprises, qui seules produisent des richesses, et sont trop souvent matraquées, de nos viticulteurs et de nos agriculteurs, qui façonnent notre territoire, et portent le nom de l’Anjou à travers le monde.

    Le Front national est proche de nos concitoyens, proche du terrain. Tous ensemble, nous gagnerons. Nous nous employons à cela avec tous nos responsables de circonscriptions et tous nos militants.

    Pascal Gannat, qui conduit la liste pour une région Bleu Marine, travaille depuis des mois à rencontrer nos concitoyens, trop souvent ignorés de la presse et des bobos parisiens !

    Pascal, avec Aymeric Merlaud, le Maine-et-Loire est derrière toi. Tu sais que tu peux compter sur le soutien de notre fédération.

    Vive la France, vive l’Anjou et vive Marine !

    http://fn-49.fr/?p=514

  • Fusion PS/LR dans le Sud-Ouest ?

    L'hebdomadaire Les 4 vérités analyse la gauchisation de la liste LR menée par Dominique Reynié :

    Unknown-57"[...] Mais, d’ores et déjà, il se murmure que la région pourrait être un laboratoire du « front républicain » nouvelle vague. Anticipant une possible troisième place pour la liste LR dans la région (derrière le PS et le FN), quelques ténors LR envisagent, paraît-il, de demander le désistement de la liste en faveur du PS pour « faire barrage » au FN. En échange, le PS en ferait autant en faveur des « Républicains » en PACA et en Nord-Pas-de-Calais Picardie.

    J’ose encore croire qu’il ne s’agit que d’une rumeur sans fondement. Mais je peux déjà annoncer que, si elle s’avérait vraie, l’ex-UMP volerait en éclats et ne serait plus que l’aile centriste de la majorité socialo-communiste, abandonnant l’opposition réelle au FN. Et je doute que les électeurs de droite suivent longtemps leurs « représentants » dans cette dérive...

    Michel Janva