Après la surprise des résultats du second tour des législatives, Alain de Benoist analyse la situation politique française dans les colonnes de la revue « Monde et Vie ». Victoire inachevée du Rassemblement national, système électoral anti-démocratique, alliances contre-nature, affaiblissement du « front républicain », simulacre antifasciste, le chef de file de la Nouvelle Droite dresse le bilan des dernières échéances électorales avant d'évoquer les perspectives à court et moyen terme.
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Législatives : « L’incroyable spectacle de centristes faisant élire des communistes ou des fichés S et d’une extrême gauche hystérique appelant à soutenir les fondés de pouvoir du grand capital ! »
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Candace Owens sur ce que cache le remplacement organisé de Joe Biden
Candace Owens décrit les réactions et commentaires autour de l’annonce surprise de Joe Biden de ne pas briguer un second mandat en 2024. Elle commence par qualifier cette décision d’« explosion » et d’« incroyable », tout en remettant en question la nature authentique de l’événement. Elle souligne que depuis des années, des inquiétudes ont été soulevées sur les capacités mentales déclinantes de Biden, qualifiant ses « gaffes » de signes de son déclin cognitif.
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Ce que le nouveau président réformateur de l'Iran signifie pour la politique étrangère
Fereshteh Sadeghi
Dans un revirement politique spectaculaire, les Iraniens ont élu le réformateur Masoud Pezeshkian comme neuvième président, ce qui suscite la curiosité de tous les observateurs quant aux changements possibles dans la politique étrangère de l'Iran post-Raïssi, orientée vers l'Est.
Le 5 juillet, la course à la plus haute fonction politique de l'Iran s'est achevée: le chirurgien cardiaque et réformateur Masoud Pezeshkian est devenu le neuvième président du pays à l'issue d'un second tour de scrutin qui l'opposait à son rival conservateur Saeed Jalili.
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COMMENT MACRON A RÉUSSI SON COUP (D'ÉTAT) - LÉGISLATIVES
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J. D. Vance, colistier de Trump et figure de proue des nationaux-populistes
Qui est J. D. Vance, le sénateur de l’Ohio choisi par Donald Trump pour être son vice-président lors de la campagne présidentielle de 2024 ? Cet intellectuel entré en politique sur le tard cristallise des réactions opposées. Surtout connu pour son essai à succès « Hillbilly Elegy », la presse de gauche voit en lui une personnalité politique incompatible avec la démocratie. L’universitaire française Maya Kandel, spécialiste des États-Unis à la Sorbonne Nouvelle, une faculté résolument située à gauche, range J. D. Vance parmi les « stratèges de la colère » développant « une rhétorique apocalyptique et fascisante ». De son côté, l’« alt-right » (par l’entremise de Nick Fuentes et consorts) a également réagi, toujours avec hostilité, sur les réseaux sociaux, reprochant à Vance tantôt son soutien à Israël, tantôt l’origine indienne de son épouse, pourtant diplômée de Yale et de Cambridge, avocate issue de la riche caste Kamma qui domine l’État de l’Andhra Pradesh, dans le sud de l’Inde, arguant qu’il ne serait pas assez dur sur l’immigration. Alors, qui est-il vraiment ?
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Kamala Harris : une candidate très à droite de la gauche française
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Scott Ritter : le retrait de Biden des élections montre qui dirige réellement l'Amérique
Vas-y mollo avec moi, Petite !
OK Papy !Le moment choisi pour le retrait soudain de Joe Biden de la course à la présidentielle soulève des questions, affirme l'ancien officier du renseignement du Corps des Marines des États-Unis et ancien inspecteur des armes, Scott Ritter.
"Il ne fait aucun doute que Joe Biden n'est pas apte à être président des États-Unis. Sans aucun doute. Mais voici la question. S'il n'est pas apte à se présenter comme candidat du Parti démocrate, pourquoi l'ont-ils nommé ?" a déclaré Scott Ritter, ancien officier du renseignement du Corps des Marines des États-Unis et ancien inspecteur des armes, soulignant que des signes de fragilité de Biden étaient visibles lors du sommet du G7 en Italie le mois dernier.
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Une victoire à la Pyrrhus ?
L’éditorial de François Marcilhac
Le feuilleton de l’été est manifestement politique. Et il aura commencé dès le début du mois de juin, avec les élections européennes et la décision de Macron de dissoudre l’Assemblée nationale. Tiendra-t-il encore les Français longtemps en haleine, alors que les Jeux olympiques vont bientôt faire l’actualité ? Ne soyons pas dupes : sans être un génie politique ni même un stratège de haut vol, Macron n’a pas choisi au hasard le prétexte des européennes pour dissoudre, car le calendrier lui permettait justement, en cas d’assemblée sans majorité identifiable, ce qu’il n’était pas difficile de prévoir, de laisser du temps au temps, autrement dit de laisser pourrir la situation. Sera-ce au profit du bloc central ?
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Convention républicaine : la tribu Trump mobilisée, des fils à la petite-fille
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Elon Musk investit sa fortune et son aura au service de Donald Trump