
Malgré une percée historique de la Coordination Rurale (CR) qui gagne de plus de 10 points un peu partout en France avec plus de 30% des voix au total, l’alliance FNSEA-JA maintient son leadership sur la gouvernance des Chambres d’Agriculture.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Malgré une percée historique de la Coordination Rurale (CR) qui gagne de plus de 10 points un peu partout en France avec plus de 30% des voix au total, l’alliance FNSEA-JA maintient son leadership sur la gouvernance des Chambres d’Agriculture.
Breizh info cliquez ici
Le climat politique britannique s’échauffe après une annonce du gouvernement qui pourrait bien bouleverser le jeu démocratique : les élections locales prévues cette année dans neuf circonscriptions couvrant 7,7 millions de résidents et 5,5 millions d’électeurs seront reportées. Officiellement, l’objectif serait de réorganiser les administrations locales en supprimant de nombreux conseils et en créant de nouvelles collectivités plus grandes. Mais pour Nigel Farage et son parti Reform UK, la manœuvre cache une tentative flagrante de museler la montée en puissance des forces populistes.
Par Antoine de Lacoste
Les élections présidentielles roumaines du 24 novembre 2024 ont stupéfié et consterné les dirigeants et stratèges occidentaux. Le très atlantiste Premier ministre social-démocrate Marcel Ciolacu a été éliminé à l’issue du premier tour avec 19,15% des suffrages. Le libéral, non moins atlantiste, Nicolae Ciuca a fait pire : 8,79%. Bien dommage pour deux partis, l’un de gauche modérée, l’autre de droite modérée, mais aux idées presque similaires, qui se partagent le pouvoir depuis 1989. Ils sont atlantistes et pro-européens c’est l’essentiel et l’OTAN peut s’appuyer sur ce socle fidèle.
La campagne électorale allemande a sans doute atteint son paroxysme le 27 janvier dernier lorsque Friedrich Merz, tête de liste de la CDU, a indiqué qu’il accepterait le soutien de l’Alternative für Deutschland pour faire passer au Parlement ses mesures anti-immigration. À l’appel des partis de gauche, entre 160 000 et 250 000 personnes – suivant les estimations de la police et des organisateurs – se sont rassemblées à Berlin, dimanche 2 février, pour dénoncer le rapprochement de la droite et de l’« extrême droite » allemandes, à trois semaines des élections législatives anticipées. La foule s’est massée devant le Parlement, en plein cœur de la capitale allemande, avant de défiler jusqu’au siège de l’Union chrétienne-démocrate (CDU). Samedi, plus de 220 000 personnes avaient manifesté dans les grandes villes du pays, comme Hambourg, Leipzig, Cologne ou Stuttgart.
Pour la première fois, le parti Reform UK, dirigé par Nigel Farage, devance tous les autres partis britanniques dans un sondage d’envergure. Selon YouGov, si des élections générales avaient lieu aujourd’hui, le parti populiste récolterait 25 % des suffrages, dépassant ainsi les travaillistes et les conservateurs, les deux formations historiquement dominantes au Royaume-Uni.
L’Allemagne traverse actuellement une période de turbulences politiques sans précédent. Après des années de gouvernance de la coalition Ampel dite « progressiste » entre le SPD, les Verts et le FDP, le pays semble au bord d’un tournant majeur. Entre crise économique, tensions migratoires et une montée en puissance des forces conservatrices et patriotiques, les élections fédérales anticipées du 23 février 2025 pourraient marquer un basculement historique. Analyse par Nicolas Faure, notre correspondant Polémia en Allemagne (à ne pas confondre avec l’animateur de la chaîne YouTube Sunrise).
Polémia
Maxime Morlon,
Secrétaire général adjoint du Parti de la France
Les électeurs Villeneuvois ont tranché : Louis Boyard est sèchement battu. Ce rejet massif signe la fin d’une campagne électorale fondée sur l’agitation permanente, l’idéologie radicale de gauche et le mépris du réel. Pendant quelques semaines, il a préféré les provocations aux solutions, l’invective au travail de fond. Les habitants ne s’y sont pas trompés : ils ont dit non.
Tout est sa faute ! Et dire qu’il veut être président de la République ! Quel stratège de pacotille ! Il a réussi l’exploit de perdre une élection imperdable ! Il a voulu humilier les communistes, en ne leur proposant que des miettes sur une liste unitaire, résultat, il s’est fait claquer la porte au nez. Or, il suffit d’analyser les résultats du 2e tour, et de les comparer à ceux du premier tour. Boyard avait fait 25 % et les cocos 20 %. Et le frère de l’islamiste avait fait 3 % qui auraient dû lui revenir. Donc, cela faisait 48 %. Avec une triangulaire et 2 listes de droite, c’était imperdable. Or, Loulou ne fait que 38 %, donc il lui manque 10 points ! Ce sont en grande partie des votes communistes qui ont été sur la candidate LR, pour se venger de l’humiliation que LFI a voulu infliger au PC. Et pourtant, l’ancien maire, dans une triangulaire où il n’avait aucune chance, s’est maintenu à 12 %, autant de voix qui ont manqué à Kristell Niasme. Et malgré cette opportunité incroyable, LFI a réussi à perdre ! C’est donc le sectarisme de Mélenchon qui a fait plombé Boyard.