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Un lanceur d’alerte au sein du gouvernement roumain a révélé que les publicités TikTok citées par le président roumain comme «preuve» de l’ingérence russe étaient en réalité payées par le Parti national libéral (PNL) dont le président sortant pro-Otan roumain est membre !
Enfant adultérin de la déconfiture macronienne et de son propre caprice, le nouveau Premier ministre sait ses jours comptés. Le Béarnais Bayrou ne tiendra pas et l’on commence déjà à parier qu’il entraînera, cette fois, inévitablement le chef de l’État dans sa chute.
Le nouveau Président géorgien Mikhaïl Kavelashvili et l’ancien Président Salomé Zourabichvili
Suite de la série Toute élection remportée par quelqu’un qui n’aime pas l’OTAN est qualifiée d’« ingérence russe ». Le cas de la Géorgie.
Mikhaïl Kavelashvili, anti-occidental, élu président de la Géorgie. L’ancien Président Salomé Zourabichvili, pro-occidental, refuse de lui laisser la place
Chaque jour qui passe voit « le modèle de la démocratie libérale à l’occidentale » – suivant l’expression de Pierre-André Taguieff – reculer un peu plus devant les BRICS+ illibérales et nationalistes. En France européanisée, la République dans sa version gaullienne ne cesse de se disqualifier aux yeux du pays réel rejetant l’oligarchie politique (dite pays légal). D’ailleurs, la Ve République a produit quatre Premiers ministres en 2024. Véritable record d’instabilité.
Mikhaïl Kavelachvili, candidat du parti au pouvoir Rêve géorgien, a été élu ce 14 décembre président du pays. Qualifiant le scrutin de «parodie», la présidente sortante a réaffirmé qu’elle ne quitterait pas son poste.
Un collège électoral a désigné ce 14 décembre Mikhaïl Kavelachvili, candidat du parti au pouvoir Rêve géorgien, comme président du pays. L’opposition, minoritaire, a boycotté l’élection, menant ainsi à cette unique candidature.
Selon www.lepoint.fr, Aly Diouara, fondateur de La Seine-Saint-Denis au cœur, a construit son mouvement en 2020 avec une rhétorique identitaire et communautariste, critiquant les partis traditionnels avant de s’allier à LFI. Il a utilisé des discours polarisants sur les réseaux sociaux, incluant des propos antisémites et anti-blancs, pour mobiliser les électeurs des quartiers populaires. Il a également soutenu l’imam Hassan Iquioussen, expulsé pour discours haineux, qualifiant l’islamophobie de “racisme d’État”. Ses comptes de campagne ayant été rejetés, son avenir politique est incertain.
Roumanie : Elena Lasconi, la candidate pro-occidentale qui devait affronter Georgescu, a exprimé son indignation. «l’État roumain a piétiné la démocratie. Je condamne fermement ce qu’ils ont fait aujourd’hui ; ils ont détruit 35 ans de démocratie».
Scholz se prépare à affronter les électeurs en février prochain, après que la coalition qui lui permettait de gouverner a volé en éclat. L’enjeu est de taille pour l’Allemagne et aussi pour l’avenir de l’UE. Son parti, le SPD, essaye de reprendre la main mais se trouve pour le moment en mauvaise posture. L’AFD, le parti « dit » d’extrême droite est devant, crédité de 20%, il vient de compléter son programme en intégrant le Gexit. Une victoire de cette formation et un excellent score du parti de Sarah Wagenknecht annonceraient la fin de l’UE. Les mois qui arrivent doivent être scrutés avec attention. Deux cas de figures simplissimes se profilent. Soit cette volonté de quitter l’Europe sonne l’effondrement de l’AFD, les électeurs effrayés par l’idée de retrouver indépendance et souveraineté se réfugient dans la soumission complète à Bruxelles, soit il se produit l’inverse. On sait depuis le début que l’Euro n’était pas une monnaie assez forte pour l’industrie allemande, mais trop forte pour l’industrie française.
« La CCR décidera de l'invalidation des élections en Roumanie et le BEC les annulera. par Cimpoi Adrian
L'ordre vient de Bruxelles, du sommet de la CE, et ils ont été instruits de FAIRE TOUT pour empêcher la "déstabilisation du flanc militaire est de l'OTAN à l'approche de l'ouverture d'une guerre directe avec la Russie", ainsi que pour saper le plan de paix de Trump. »
Lors du premier tour de l’élection présidentielle roumaine, Călin Georgescu a créé la surprise en arrivant en tête. Son discours pacifiste, centré sur la cessation des livraisons d’armes aux Ukrainiens, a séduit un électorat sensible aux tensions frontalières avec l’Ukraine, non pas tant « pro-russe » qu’anti-guerre. Son élection, si elle devait advenir, serait un signal fort envoyé à l’UE et au camp occidentaliste.