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élections - Page 766

  • Aurore nationale ? Il serait temps !

    Les présidents se suivent, les formules toutes faites aussi. Pour son premier discours devant  le parlement européen hier, François Hollande  a affiché un euromondialisme  en béton martelant son souhait  de « faire resurgir l’envie d’Europe », car  « ce qui nous menace aujourd’hui n’est plus la défiance des marchés, mais c’est celle des peuples. L’intérêt national est en train de prendre le pas sur l’intérêt européen ». Intérêt européen qui serait certainement plus fédérateur s’il n’était pas justement perçu, a contrario,  comme le faux nez d’un  totalitarisme du marché,  ouvert  à tous les mauvais vents de la mondialisation, et qui ne défend en rien les Etats et les peuples de l’Union. Le  chef de l’Etat  a également dénoncé comme Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy avant lui «  l’euro fort »  qui plomberait nos exportations  et partant notre économie… M. Hollande omet  de préciser que le déficit de notre balance commerciale – plus de 66 milliards d’euros - est aussi la conséquence de tares structurelles propres à la société française, qui pénalisent notre économie et auxquelles les gouvernements successifs n’ont jamais su ou voulu  s’attaquer. En effet, la plupart de nos échanges commerciaux se  font avec nos voisins  européens qui eux aussi ont adopté l’euro… Cela n’empêche pas l’Allemagne, forte de  ses grands groupes et  de son  formidable tissu de PME, de jouir d’une balance commerciale fortement  excédentaire – plus de 200 milliards d’euros,  devant la Chine – tandis que des pays comme l’Italie ou la Belgique ont également  un solde positif, notamment dans  leurs échanges avec la France. Mais il est  tellement facile et tentant de refiler l’ardoise de ses lâchetés, de ses erreurs, de ses insuffisances, à une Europe bruxelloise à laquelle on abandonne toujours plus avant les décisions engageant  notre avenir .

     Dans ces conditions,  il revient  plus que jamais au FN de défendre une autre politique et de parler un langage de vérité aux Français. Il importe aussi que le Mouvement national gagne en crédibilité et sache engager une stratégie encore plus efficace pour convaincre les Français du bien fondé de son programme.  Selon le baromètre annuel de TNS-Sofres pour France Info/Le Monde/Canal+,   renouant avec le poucentage  « record »  de 1991,  32% de Français se disent « tout à fait » (6%) ou « assez » (26%) d’accord avec les idées du Front National et de Marine Le Pen , (63% sont en désaccord). Passant pour la première fois sous la barre des 50% seuls 47% des sondés (39% chez les  sympathisants de l’UMP) estiment que   le FN  « représente un danger pour la démocratie »  (-6 points). De même, 35% des sondés -40% des sympathisants  UMP — jugent désormais que le FN « est un parti qui a la capacité de participer à un gouvernement », en hausse de 10 points sur deux ans. Autre signe  de cette normalisation ( ?),  27% des personnes interrogées souhaitent des alliances locales, « au cas par cas », entre l’UMP et le FN, aux municipales de mars 2014 (37% chez les sympathisants UMP) et 25% sont favorables à un « accord national » FN-UMP  (37% des sympathisants UMP) à ces élections.

     Emmanuel Rivière, directeur du département Opinion chez TNS-Sofres, affirme que l’image du FN s’est améliorée sous l’impulsion de Marine , mais que la « banalisation » n’est pas pour autant  acquise  puisque , 63% des sondés n’ont « jamais voté » et « n’envisagent pas de voter FN à l’avenir », tandis que   81% des personnes interrogées  n’adhèrent pas aux « solutions » préconisées par  Mouvement national,  même si  35% d’entre eux adhèrent aux  « constats ».

     Il est à noter que c’est au sein  de la jeunesse que le FN séduit le plus,   mais aussi   les différences très sensibles d’appréciation entre les grandes idées défendues par le FN. Ainsi  le rétablissement de la peine de mort poursuit son recul et n’est souhaité que par  32% des  sondés, tout comme l’idée de supprimer l’euro et de revenir au franc, à 29%. 24% (en progression  de deux points) estiment qu’ « en matière d’emploi », « on doit donner la priorité à un Français sur un immigré en situation régulière » .

     C’est sur les questions  touchant à l’identité française au sens large que le niveau d’adhésion est de loin le plus élevé : 54% (+3 points) trouvent qu’ « on accorde trop de droits à l’islam et aux musulmans en France » -71% chez les sympathisants UMP –  54% (+3 points) jugent qu’ « il y a trop d’immigrés en France » – 74% chez les sympathisants UMP. Il se vérifie encore que c’est pour son combat en faveur de la  défense des « valeurs »  de notre civilisation que le FN est le plus plébiscité. Conséquence certainement  de l’offensive du lobby LGBT en faveur  du mariage et de l’adoption pour les couples homosexuels,     72% des personnes interrogées (+9 points ) sont d’accord  avec  l’idée selon laquelle « on ne défend pas assez les valeurs traditionnelles en France. »

     Lors d’une rencontre régionale  samedi de l’Azione Catolica en Italie, et commentant l’adoption par l’Assemblée nationale française de l’article de loi qui ouvre le mariage aux couples de même sexe, le cardinal Angelo Bagnasco a déclaré que  « nous sommes au bord du gouffre ». « L’Europe a oublié ses propres racines chrétiennes, les racines de sa propre culture et de la civilisation elle-même. En cherchant à éliminer systématiquement la religion de son propre horizon elle croit conquérir de nouvelles libertés, une autonomie inconnue à ce jour. (Mais) les pays européens qui ont validé ces lois dévoyées sur la vie, sur la famille, sur la liberté, sont en train d’apporter la preuve qu’ils n’ont pas accédé, au bout du compte, à une civilisation plus humaine ou solidaire, mais au contraire toujours plus individualiste et plus régressive. » « La famille, fondée sur l’union d’un homme et d’une femme liés par un pacte d’amour à travers le mariage et ouverts à la vie, est la cellule fondatrice de la société car c’est là qu’est assuré l’avenir des générations, et que l’on trouve la première cellule d’exercice de l’éducation et de la formation de la personne. »

     Un constat qui est partagé par beaucoup,  et ce rappel de l’importance de la famille, pilier de nos sociétés, et sur le délitement de laquelle prospère bien des drames,   n’est pas pour déplaire aux Français, croyants ou non constate Bruno Gollnisch. Tout juste peut on regretter avec Dominique Venner  que  « l’Église n’a jamais engagé son influence toujours grande dans le rejet de l’immigration de peuplement extra-européenne ». « Enjeu pour l’avenir autrement plus grave et lourd de conséquences estime M. Venner  que les lubies et revendications de la petite minorité homosexuelle ?  Sur la question de l’immigration, contrairement à celle du mariage, l’Église n’a rien à objecter. Bien au contraire, elle prêche le devoir d’accueil de l’Autre. Un  Autre , fut-il musulman, qui présente l’avantage de se référer à l’interprétation biblique de la transcendance (l’au-delà) face à l’immanence implicite d’une société européenne largement déchristianisée. »

    Si l’explication  mériterait d’être nuancée, il est en tout cas évident qu’il ne faudra pas compter sur les partis de droite dits libéraux  pour revenir sur les mauvaises lois édictées par la gauche . Ainsi, si  le  parti populaire espagnol revenu au pouvoir après la défaite du parti du Premier ministre  Zapatero,  dont la majorité parlementaire  avait légalisé le mariage gay en 2005, n’a pas aboli  cette loi,  le retour au  pouvoir de l’UMP  se solderait par la même inertie. Jamais la droite  libérale ne revient sur les réformes dites  « sociétales » après les avoir combattues de manière  aussi  théâtrale que véhémente,  comme nous le constatons   avec les actuels  débats à l’Assemblée.

     Ce qui est vrai pour ce projet de loi en faveur du mariage et  de l’adoption pour tous, le sera aussi demain le droit de vote des immigrés pour peu que  celui soit promulgué dans notre pays. C’est aussi la raison pour laquelle notre pays  a  besoin d’un FN fort et puissant, un vœu partagé par un nombre croissant de Français comme le poruve le sondage cité plus haut.

     Ancien responsable de SOS racisme et actuel député PS de l’Essonne,  Malek Boutih a déclaré mardi sur RMC que l’arrivée au pouvoir  de la droite nationale populaire et sociale  n’était plus dans le domaine du fantasme : « Je vois les idées du Front National pénétrer toutes les couches de la population, y compris dans les banlieues, dans les cités. Aucune catégorie sociale ou culturelle n’est à l’abri des idées de l’extrême droite (sic) ». «On est dans nos débats techniques, nos débats juridiques, nos débats sur le mariage pour tous, mais moi je vois les queues devant les caisses d’allocations familiales, les personnes qui couchent dans la rue… ». « Toutes les conditions sont en train de se réunir pour que (le FN, ndlr)  prenne le pouvoir en France » affirme M. Boutih.  Il serait temps !

    http://www.gollnisch.com

  • [Vidéo] Taubira s'attaque maintenant au nom de famille pour plaire aux LGBT ! Ça suffit !

    On marche sur la tête ! Avec l’adoption du mariage homo, ce sont désormais les "couples" homo, stériles par définition, qui vont imposer leur loi en matière de transmission du patronyme ! Voilà où on en arrive avec la filiation fiction. Et un nouveau mensonge de Taubira sur le caractère indolore du projet de loi pour les couples hétérosexuels (excusez le pléonasme) !

    Transmission du patronyme : ce que la loi sur le mariage pour tous changerait

    Le député UMP Hervé Mariton, fer de lance de l’opposition au mariage pour tous, est revenu, lundi 4 février, sur l’une des dispositions de la loi concernant le nom patronymique des enfants. Cette disposition, inscrite dans l’article 2 du projet, concerne la dévolution du nom de famille : en cas de désaccord ou d’absence de choix des parents, les noms de chacun d’eux, accolés dans l’ordre alphabétique, seront donnés à l’enfant, alors qu’actuellement c’est le nom du père qui est attribué.

    Pour M. Mariton, il s’agit d’une "révolution" qui "avance masquée". "Là où aujourd’hui un enfant s’appelle Durand, il s’appellera demain Durand-Martin, sauf si les parents demandent explicitement qu’il s’appelle Durand", a-t-il expliqué, précisant que cet accolement automatique des deux noms des parents concernera tous les couples, homosexuels comme hétérosexuels. [...]

    La suite sur Le Monde

    Lire également : Attention, les noms de famille de nos enfants vont changer !

    http://www.actionfrancaise.net

  • VOTE DES ÉTRANGERS L'autre alibi du mondialisme

    L'accession des étrangers non européens au droit de vote aux élections locales bouleverserait les rapports entre nationalité, citoyenneté et souveraineté. Aperçu des enjeux juridiques du débat.
    Au-delà du serpent de mer qu'elle constitue, la question du droit de vote des étrangers non européens aux élections locales françaises n'en revêt pas moins un intérêt certain, notamment pour les problèmes concrets qu'elle pose au regard des principes de nationalité, de citoyenneté et, pourquoi pas, de souveraineté, voire d'identité. Cette question connaît même un regain d'intérêt à chaque échéance présidentielle, celle à venir ne faisant pas exception, le candidat du PS ayant même promis de la régler définitivement en accordant ledit droit de vote à tous les étrangers réguliers vivant sur notre sol (tandis que son principal adversaire, le président sortant, s'y oppose symétriquement, alors qu'il y fut favorable en d'autres temps).
    Principe et exceptions
    Mais par-delà les antagonismes de façade, eu égard au tropisme xénophile de nos élites qui, en première comme en dernière instance, pratiquent depuis plus de trente ans la préférence étrangère, une constante demeure, d'ordre politique et juridique celle-là, qui est la conditionnalité juridique des étrangers. Celle-ci s'étend de leur entrée à leur sortie éventuelle, en passant par leur séjour plus ou moins durable sur le territoire national. Ainsi, les droits revendiqués par les étrangers et leurs défenseurs se heurtent aux prérogatives de l'État, dont la théorie classique objecte les arguments de souveraineté que sont la nationalité et la citoyenneté. En France, le principe est bien celui de l'ouverture des étrangers aux fonctions publiques dont fait évidemment partie la fonction "politique" (droit d'élire et d'être élu). Mais on remarque aussi que les exceptions peuvent neutraliser le principe. Ainsi, l'exception de souveraineté reste, en France, symboliquement forte pour empêcher actuellement toute accession des étrangers au droit de suffrage.
    Que dit le droit ?
    Il existe à la fois une souveraineté dans l'État et une souveraineté de l'État, l'une comme l'autre étant en réalité indissociables car participant de la liberté de l'État de se donner ses propres lois. Partant, la liberté de l'État de fixer ses propres règles d'accueil et d'hospitalité des étrangers est une expression naturelle de sa souveraineté. L'article 3 de la constitution du 4 octobre 1958 dispose, par exemple, que « la souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum. [...] Sont électeurs, dans les conditions déterminées par la loi, tous les nationaux français majeurs des deux sexes, jouissant de leurs droits civils et politiques. » Et l'article L. 2 du Code électoral de reprendre en écho cet impératif constitutionnel : « Sont électeurs les Françaises et Français âgés de dix-huit ans accomplis, jouissant de leurs droits civils et politiques et n'étant dans aucun cas d'incapacité prévu par la loi. »
    Le triptyque "souveraineté-nationalité-citoyenneté" présenté nécessairement dans cet ordre, car chacun des éléments est la conséquence du précédent, s'applique d'autant plus aux élections locales que le Conseil constitutionnel n'a pas hésité à les qualifier d'« élections politiques », dans la mesure où elles servent « à désigner des électeurs qui à leur tour désignent les sénateurs, qui sont eux-mêmes des représentants car ils expriment la souveraineté nationale. En conséquence, seuls les nationaux français [peuvent] participer à la désignation des conseils municipaux. » Certes, le juge constitutionnel peut revenir sur ce qu'il a dit, le retournement de veste étant devenu sa principale spécialité depuis 2004. Il n'empêche, qu'en saine logique, l'exception de souveraineté subordonne donc le droit de vote à la possession de la nationalité française, celle-ci conditionnant l'accès à la citoyenneté.
    Le cas particulier des étrangers européens
    Une exception à cette exception de souveraineté réside, cependant, au sein de l'article 88-3 de la constitution de 1958 qui ouvre ainsi, « sous réserve de réciprocité [...], le droit de vote et d'éligibilité aux élections municipales [...] aux seuls citoyens de l'Union résidant en France », à la condition qu'ils ne puissent « exercer les fonctions de maire ou d'adjoint ni participer à la désignation des électeurs sénatoriaux et à l'élection des sénateurs ». Néanmoins, cette citoyenneté européenne sans nationalité n'est pas absolue. D'abord, elle reste subordonnée à la réciprocité, ensuite elle est contingente au traité sur l'Union européenne dans la mesure où si ce traité venait à n'être plus appliqué, la citoyenneté cesserait d'être octroyée.
    Dès lors, sauf à pratiquer la double pensée orwellienne et à inverser le sens des mots, la citoyenneté, quel que soit son mode d'acquisition (par naissance ou par naturalisation), suppose le préalable de la souveraineté, laquelle fait office d'instance refoulante de l'extranéité. Et le principe de souveraineté étant lui-même un principe constitutionnel, l'exclusion des étrangers du droit de suffrage est également, ipso jure, de nature constitutionnelle. On peut certes changer la Constitution, mais on ne peut modifier la souveraineté, sauf à l'aliéner totalement. Mais dans ce cas, nous ne pouvons plus parler d'État et les étrangers, les naturalisés et les natifs sont interchangeables et indifférenciés. Le patronat et l'UMPS poussent évidemment à cette indifférenciation dans une visée mercantile pour le plus grand profit de leur funeste idéologie mondialiste.
    Aristide Leucate L’ACTION FRANÇAISE 2000 Du 1er au 14 mars 2012

  • Coup de force socialiste, lâcheté droitiste

    Le premier article du projet de loi sur le « mariage » homosexuel a été adopté par l’Assemblée anti-nationale.

    249 voix pour, 97 contre.

    Il y a 577 députés dont au moins 226 dits « de droite ». Cela signifie que moins de la moitié d’entre eux a jugé nécessaire de voter contre ce texte, alors que des millions de Français se sont inquiétés de ce projet, allant jusqu’à défiler sous les intempéries par centaines de milliers.

    De leur côté les parlementaires de gauche confisquent la souveraineté du peuple en imposant ce texte, alors que leurs propres voix ne constituent même pas la majorité des 577 députés.

    Tandis que Flamby soigne sa cote de popularité chez les Maliens…

    http://www.contre-info.com/

  • En Italie, comme en France, les jeunes des classes populaires votent à droite

    En Italie, comme en France, les jeunes des classes populaires votent à droite

    ROME (NOVOpress) – C’est un lieu commun à la vie dure qui vient d’être mis à bas en Italie par une étude menée par l’institut IPSOS sur le vote des jeunes.

    Si 21% des jeunes (de 18 à 29 ans) interrogés ont déclaré ne pas avoir l’intention de voter aux prochaines échéances électorales, 30% se sont affirmés de gauche contre 31,5% de droite. Dans la catégorie des jeunes affirmant « voter à droite », les classes populaires et les enfants d’ouvriers sont beaucoup plus représentés que parmi les jeunes votant à gauche.

    « Aujourd’hui, les jeunes qui votent à gauche sont souvent des fils de cadres ou de professions libérales bénéficiant d’un certain confort économique tandis que les jeunes s’affirmant de droite sont souvent des fils d’ouvriers, ayant dû abandonner assez tôt leurs études ou travailler parallèlement à celles-ci. C’est une nouveauté et presque une inversion totale de la dichotomie droite/gauche présente dans l’imaginaire collectif. » commente ainsi un de membres de l’institut Toniolo, à l’origine de cette enquête

    La conclusion de l’enquête est ainsi sans appel: les jeunes de gauche appartiennent très majoritairement à la classe moyenne-supérieure.

    Crédit photo : DR.

    http://fr.novopress.info

  • [Vidéo] Fillon, la droite molle

    François Fillon à propos de la PMA et de la GPA : « Nous réécrirons la loi en cas d’alternance »

    Autant dire qu’il laisse libre le PS de faire adopter le mariage et l’adoption homo !

    Les Français de conviction devront s’en souvenir !

    Offensif mais pas trop. Ce mercredi, dans un discours de bonne tenue, François Fillon a pris l’engagement, au nom de l’opposition, de revenir sur la procréation médicalement assistée et la gestation pour autrui en cas de légalisation puis d’alternance politique. Un recul par rapport à aux déclarations d’octobre 2012 de l’ancien Premier ministre et député UMP de Paris, qui parlait de remettre en cause la dénaturation du mariage et l’adoption.[...]

    Vidéo et la suite sur NdF

    http://www.actionfrancaise.net

  • Sondage : La sourde colère des «invisibles»

    D’après un sondage exclusif Ifop-Valeurs actuelles jamais les Français n’ont été aussi pessimistes pour leur situation personnelle que sous le mandat de Hollande. Petits patrons, enseignants, policiers, infirmières… Après la crise de confiance, le choc de la défiance ?

    Entre le président de la République et ceux qui constituaient, autrefois , le socle électoral de la gauche, c’est un véritable abîme qui s’est creusé. Le combler relève, pour l’heure, d’une mission quasi impossible.

    Il avait promis, durant sa campagne, d’être «le président de la confiance» et de «redonner confiance à la France». Pari perdu. Huit mois après son élection, seuls 12 % des Français, selon notre sondage exclusif Ifop-Valeurs actuelles, pensent que leur “situation personnelle se sera améliorée à la fin du mandat de François Hollande”. Contre 44 % qui estiment qu’elle va se dégrader et le même nombre qui juge qu’elle ne va pas évoluer. À ce terrible désaveu pour le chef de l’État s’en ajoute un autre : c’est parmi les catégories populaires que la défiance est la plus forte : 9 % des ouvriers et 10 % des employés — moins de un sur dix au total — jugent que son action aura un impact positif sur leur vie quotidienne. […]

    C’est peu dire, pourtant, que les «élites» intellectuelles, pas plus que les politiques, n’ont su tirer les conclusions qui s’imposaient. Persévérant, au risque d’une explosion du «populisme», à privilégier encore et toujours les intérêts des «minorités visibles» sur les attentes de cette «majorité d’invisibles». Là où ces derniers sont niés, voire piétinés, les premiers continuent d’être l’objet de tous les soutiens.

    Inventé, en 2006, par le sociologue et universitaire Stéphane Beaud dans son livre la France invisible (La Découverte), le terme recouvre «ces millions de femmes et d’hommes qui, malgré leur nombre, sont masqués, volontairement ou non, par les chiffres, le droit, le discours politique, les représentations médiatiques, les politiques publiques, ou se retrouvent enfermés dans des catégories dépassées qui occultent leur condition d’existence». […]

    Valeurs actuelles

    http://www.fdesouche.com

  • Droit de vote des étrangers : Le PS aux abois

     

    L’édito de Steeve Briois, Secrétaire général du Front National

    A peine lancé le processus controversé d’adoption du mariage homosexuel, le gouvernement se lance dans une nouvelle entreprise de diversion : le droit de vote des étrangers.

    A la vérité, il s’agit d’une mesure aussi forte, symbolique que désespérée.

    Forte, parce que même si cette mesure figure dans tous les programme électoraux du PS depuis 1981, aucun gouvernement socialiste ne s’est aventuré à légiférer sur le sujet.

    Symbolique, parce qu’il s’agit d’une grande réforme d’inspiration libérale, anti-nationale et anti-citoyenne, bref de gauche. Après s’être attaqué à la structure ethnique du peuple français en accueillant une immigration de plus en plus massive, la gauche entend désormais modifier la structure de son corps électoral, en faisant fi d’un grand principe plurimillénaire qui lie la citoyenneté à la nationalité.

    Désespérée enfin, car la gauche s’inquiète des mauvais résultats qui ne manqueront pas d’intervenir aux élections intermédiaires, à commencer par les municipales. Le PS redoute d’être laminé dans les villes moyennes mais entend tout mettre en œuvre pour conserver au moins les grandes métropoles régionales. Or, comme l’ont analysé les chercheurs Florent Gougou et Vincent Tiberj (« Les électeurs du Parti socialiste. Sociologie de l’électorat d’un parti en reconversion (1981-2007) »), le PS a identifié deux groupes sociaux qui forment son électorat urbain le plus fidèle : les « bobos » fortement intégrés dans la mondialisation et les immigrés (baptisés « nouveaux Français ») sensibles au communautarisme et aux avantages sociaux.

    Que la gauche se lance aujourd’hui dans une opération électoraliste destinée à renforcer un de ses électorats fidèles en dit long sur la perception du gouvernement de son propre échec. Comme pour les autres réformes sociétales, il s’agit de rien moins qu’une marque de faiblesse d’un PS aux abois.

    http://fninfos.fr/

  • Hitler leur sert encore

    Hitler : l’éternel retour. Le phénomène s’accélère à mesure que s’éloigne dans le temps  la seconde guerre mondiale, il se passe rarement une semaine en France depuis vingt ans, sans que le totalitarisme nazi ne soit évoqué dans les médias  au détour d’une émission, d’une fiction, d’un  documentaire, d’un reportage,  d’un entretien. Quant à la survivance de cette idéologie en Europe, concentrée dans quelques groupuscules « folkloriques » de quelques dizaines d’individus,   peuplés d’indicateurs de police,  d’illuminés   manipulés et sans soutien dans l’opinion,  elle est elle aussi grossie exagérément,  mise  en exergue régulièrement au travers d’enquêtes sensationnelles dans les magazines,   et bien  sûr  dans le cinéma hollywoodien  ou les téléfilms dont  le   service public  à le secret.  Le  traumatisme  majeur de la dernière grande guerre civile européenne,  son cortège de monstruosités, de massacres  et de persécutions, n’explique pas à lui seul ce pilonnage. Nous le savons,  la reductio ad hitlerum  visant  tous les défenseurs  des identités et des souverainetés nationales, des valeurs traditionnelles,  reste une arme efficace de diabolisation. Elle entend   rendre infréquentables et illégitimes les courants patriotiques. Une  démonisation  de l’adversaire politique qui est d’ailleurs le ressort de tous les totalitarismes…Stigmatisation qui touche ainsi  en premier lieu les opposants au   totalitarisme bruxellois, lequel n’est jamais que  l’aboutissement du  rêve d’une Europe supranationale… dirigée par l’Allemagne…ça ne vous rappelle rien ?  Bruxellois qui entendent  interdire aux Européens toute manifestation d’une fierté nationale, toute  volonté de préserver leurs racines. Dénoncer  les ravages de l’idéologie mondialiste,  aimer son peuple, défendre l’authentique  civilisation européenne,  c’est de  facto être  suspect de crypto fascisme. Tout sursaut identitaire doit donc être frappé d’infamie, et les Européens qui entendent le rester sont invités à faire leur autocritique et à se laisser « châtrer » sans moufter…

     Mort en 45, Hitler reste un épouvantail commode, mis à toutes les mauvaises sauces. Chevalier de la Légion d’honneur, officier des Arts et Lettres,  le metteur en scène et propriétaire du Théâtre du rond point, qui abrita notamment la   pièce crapoteuse  Golgota Picnic, Jean-Michel Ribes a d’ailleurs fait  sensation  en invitant le chancelier allemand  dans le débat sur le mariage et l’adoption  pour les couples homosexuels.

       Lundi 28 janvier sur  RTL Soir, dans l’émission de  Marc-Olivier Fogiel,  le citoyen Ribes a violemment attaqué Frigide Barjot qui  défendait  une conception traditionnelle de la filiation. Argument massue, il a  éructé que  « le papa et la maman ça a donné Hitler »… Cela a aussi « donné » Jean-Michel Ribes, mais nous sommes priés d’admirer la finesse et l’intelligence du raisonnement. Pour faire bonne mesure, M. Ribes   a  fait un parallèle, comme le délicat Pierre Bergé avant lui,   entre ce qu’il croit être le retour de  l’homophobie  et l’antisémitisme… ça ne mange pas de pain.

     Au-delà de cet épisode consternant, qui prouve la pauvreté navrante des arguments de prosélytes du mariage gay, l’anniversaire de l’arrivée au pouvoir d’Hitler, il y a 80 ans, le 30 janvier 1933,  a été utilisé à plein. Les faiseurs d’opinions  ont abreuvé les foules  de commentaires sentencieux établissant comme de bien entendu un parallèle entre la geste hitlérienne et l’émergence de courants « populistes » en Europe,  qui seraient animés des mêmes  pulsions coupables plus ou moins inavouables …

     En Belgique, Jean-Pierre Jacqmin, directeur de l’info à la RTBF,  a mis en place hier  la 30 janvier  une « journée Hitler » dont le but pédagogique était d’expliquer  que la Bête  est  toujours tapie dans l’ombre  prête  à bondir et à asservir les peuples d’Europe. D’ailleurs,  invité à expliquer pourquoi les représentants des  partis et mouvements nationaux  sont interdits d’antenne sur « sa » chaîne » il confesse que « ce  cordon sanitaire a une raison d’être ». «  Il répond à l’obligation que nous avons à la RTBF d’être responsables des propos qui sont tenus et qui ne peuvent pas être en contradiction avec les lois contre le racisme, la xénophobie, la discrimination, les genres (sic), etc. Et quand nous avons l’impression que ce genre de dérapage est possible, notamment avec l’extrême droite, nous jouons notre rôle d’éditeur responsable et nous ne les prenons pas en direct. »

    Un « principe de précaution », si nous suivons la logique de ce monsieur, qui commanderait  d’interdire purement  et simplement les Mouvements patriotiques et la possibilité pour ces derniers de se présenter aux élections. Cette  tentation  là, est  toujours présente prévient Bruno Gollnisch,  et elle est étudiée, il faut le savoir, par les plus hautes instances européistes…

     Bien sûr, pas de grand débat sans grand sondage et le quotidien gratuit Métro a publié ce matin celui de l’ Ifop.  Les sondeurs « ont posé aux Français une question radicale, inscrite dans cette perspective historique : Croyez-vous possible qu’un mouvement politique se réclamant du nazisme arrive un jour au pouvoir dans un pays européen, comme Hitler en Allemagne en 1933 ? Le résultat interpelle : un tiers des personnes interrogées (34%) répond par l’affirmative. Qu’ils expriment du pessimisme, de l’inquiétude ou de la vigilance par rapport aux mouvements d’extrême-droite, c’est une part non négligeable qui juge que le ventre dont est sorti la Bête pourrait encore être fécond, estime Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop.

    Se voulant plus rassurant, le spécialiste de l’extrême-droite, Jean-Yves Camus, ne cite par Bertold Brecht comme M. Dabi, mais  reprend une formule de Louis-Ferdinand  Céline en affirmant que «  l’histoire ne repasse jamais les plats.  Il y a des différences fondamentales (entre les années 30 et la situation actuelle, NDLR)  ne serait-ce que parce qu’il existe aujourd’hui une législation contre le racisme et l’antisémitisme . S’il note qu’il faut s’inquiéter de la montée en puissance de partis néo-fascistes comme Jobbik en Hongrie (étiquette rejetée catégoriquement par cette formation et dont le programme ne s’apparente en rien à celui du fascisme des années trente, NDLR)  ou Aube dorée en Grèce, le chercheur à l’Iris qualifie leur capacité à arriver au pouvoir de  pratiquement inexistante ». Alors pourquoi tant de battage ?

    Et  bien parce que « La crainte que les gens expriment, c’est en réalité celle de l’arrivée au pouvoir de partis populistes et xénophobes. Et là, l’affaire est déjà jouée d’avance puisque des formations de ce type ont déjà accédé au gouvernement. Parti de la Liberté de Geert Wilders aux Pays-Bas, FPÖ autrichien du temps de Jorg Haïder, Ligue du Nord en Italie, Silvio Berlusconi vient de susciter un tollé en rendant hommage à MussoliniCes mouvements auprès desquels peut-être rangé le FN ont enregistré des succès électoraux ces dernières années. De quoi faire redoubler les vigilances.»

    Bref, à écouter nos spécialistes,  les gens craignent le retour d’Hitler parce que des mouvements qui ne sont dans leur essence ni  totalitaires, ni  fascistes, ni héritiers de l’hitlérisme  sont  demain en position d’arriver au pouvoir…chercher l’erreur !

     Dans ce concert d’avertissements  solennels, laissons le mot de la fin à Benjamin Abtan,  président du Mouvement antiraciste européen – European Grassroots Antiracist Movement (EGAM), ancien conseiller «Droits de l’Homme et Société Civile» de Bernard Kouchner et ancien président de l’UEJF. Dans une lettre ouverte à la chancelière Angela Merkel  et publié par le Nouvel Obs, il félicite cette dernière « pour le travail d’histoire et de mémoire », mais  il agite les fantasmes d’une Europe rongée par la haine vis-à-vis des minorités.

    Il  exige que «  l’Allemagne, comme tous les pays de l’UE, (remette) au cœur de son discours européen la promotion et le développement de la démocratie, en particulier la lutte contre le racisme et l’antisémitisme. » Soit le «  projet civilisationnel que porte l’Europe, fondé sur la Paix, la démocratie, l’Égalité, et le dépassement des identités particulières en une identité collective plurielle et diverse »

    M. Abtan,  précisait sa vision de l’Europe « plurielle et diverse », dans les colonnes du Monde  au lendemain du 22 avril dernier.  Avec  « 17,90 %, avrtissait-il,  le score du Front National au premier tour de l’élection présidentielle résonne comme un coup de tonnerre aux oreilles de tous ceux qui sont attachés aux valeurs de la démocratie, en France comme en Europe ». Il appelait   les «démocrates européens à agir vigoureusement» pour que le score de Marine Le Pen  soit relégué «au rayon des mauvais souvenirs anachroniques». « Avec près de 80 % de participation, l’extrême droite rassemble derrière elle le plus grand nombre de Français depuis la Collaboration, d’où sont issus les fondateurs du FN, et donne au 22 avril 2012 un relent nauséabond de 21 avril 2002 » affirmait sans crainte du ridicule ce militant.  Comme disait Joseph  Goebbels, en grand  maître de la propagande, « plus c’est gros plus ça passe » ?

     La solution pour arracher la mauvaise herbe européenne ? Notre antiraciste de choc la donne, à savoir  la poursuite d’une « immigration extra-européenne (qui)  a contribué à donner à notre continent son plus beau visage, celui du métissage des cultures (…). Il est grand temps que les dirigeants politiques européens démocrates s’adressent à leurs concitoyens pour leur parler de ces bouleversements, à l’instar de Bill Clinton expliquant dans les années 1990 au peuple américain qu’il n’y avait plus de majorité ethnique ou religieuse dans le pays et traçant des perspectives de vivre ensemble pour une Amérique transformée. Il leur faudra expliquer, avec pédagogie et clarté, que nous ne pouvons bénéficier de la démocratie et d’un haut niveau de protection sociale sans les apports de l’immigration. Nous avons besoin de plus d’immigration si nous ne voulons sacrifier ces deux autres éléments qui fondent l’identité européenne. »

     Benjamin Abtan a au moins le mérite d’énoncer clairement  l’alternative   posée entre deux conceptions du devenir de la France  et de l’Europe; en dernier ressort les Européens ont encore la possibilité de choisir…avant qu’il ne soit trop tard.

    http://www.gollnisch.com

  • Changement : ceux pour qui « ça l’fait » et ceux pour qui « ça l’fait toujours pas »

    Changement : ceux pour qui « ça l’fait » et ceux pour qui « ça l’fait toujours pas » Tout change pour que rien ne change ? Le changement annoncé maintenant et impatiemment attendu par ceux qui y ont crû – si, si, des électeurs hollandistes y ont sincèrement crû, nous assure-t-on– semble être de mise. Dans l’enseignement, en tout cas. La preuve par la grève de ce jour à Paris à l’appel des syndicats d’enseignants s’insurgeant contre les nouveaux rythmes scolaires, avec entre autre, le retour en classe le mercredi matin. Le rajout d’une demi-journée hebdomadaire permettant de passer à 180 jours de classe par an contre 144 actuellement.

    Ceux qui votaient « à gauche » en espérant moins de grèves en sont pour leurs bulletins de vote. On ne peut vraiment plus se fier à rien, ni à personne !

    Une fois de plus, on ne comprend pas bien de quoi il est question, étant entendu que « dans l’intérêt de l’enfant, tout le monde s’accorde sur la nécessité de revenir à la semaine de 4,5 jours dans le primaire. Les journées d’école sont trop chargées, l’année trop courte, ce qui ne favorise pas les apprentissages »(1)…

    Alors quoi ? Alors « des résistances apparaissent en raison d’intérêts divergents (enseignants, parents, élus, patronat…) »… Soit, mais quels « intérêts divergents » ?

    « Nous sommes favorables à une remise en question du rythme de la semaine, voire de l’année, à condition qu’il y ait une vraie concertation sur le sujet. Pour nous, l’urgence est dans la refonte des programmes et la manière dont on enseigne. Alors seulement découlera la question du rythme », martèle Pauline Laby-Le Clercq, enseignante en primaire et responsable de la section parisienne de l’Unsa, syndicat plutôt réformiste qui lui-même appelle à la grève.

    Soit, en – mauvais, mais plus compréhensible – français dans le texte : « Faut qu’on cause ! »… Beaucoup et sans se presser, soit le mot d’ordre bien connu de l’enseignant post-soixante-huitard type : « Pas trop vite le matin, lentement l’après-midi et jamais pendant les pauses café… »

    « Comme une majorité de Français, nous avons voté pour ce gouvernement, reconnaît Jérôme Lambert, Secrétaire départementale de Paris du Snuipp-FSU. Aujourd’hui, nous sommes déçus. Si la Refondation de l’école comporte des avancées, elle est un miroir aux alouettes, car ad minima. Contrairement aux promesses faites, elle ne permettra pas de passer de la massification de l’enseignement à sa démocratisation. »

    Ah ! l’enjeu est « démocratique », et là ! Évidemment, si la démocratie est en jeu, il y a péril en la demeure, on s’en doute ! On conçoit mieux l’urgence de la grève d’aujourd’hui…

    Le Snuipp-FSU propose pour sa part de prendre « une année de débat public », rien de moins… car il y a des urgences qui impose de prendre son temps… et généralement, pour le syndicaliste français qui se respecte, à exiger plutôt celles-ci sur le temps de travail… afin de « … recréer et donner des moyens aux Réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté (Rased), baisser les effectifs afin de permettre un travail en petits groupes, former les enseignants… »(2)… et toutes ces sortes de choses en attendant l’été et les sacro-saints mois de juillet et août que nul enseignant qui se respecte ne saurait, évidemment, sacrifier, démocratie en péril ou pas !

    Ces enseignants, à l’évidence, n’en veulent pas du « changement maintenant » promis par François Hollande. Et pour plus tard, gageons que ce sera sans doute encore trop tôt…

    Reste aux parents concernés par l’éternel problème de savoir ce qu’ils vont bien pouvoir faire de leur progéniture durant cette journée de « sauvetage de la démocratie »… Pour eux, pas de changement.

    Philippe Randa http://www.voxnr.com/

    Notes :

    (1) http://aquitaine.france3.fr/2013/01/21/rythmes-scolaires-184965.html, KJ avec Hélène Chauwin.
    (2) www.lavie.fr.