Europe et Union européenne - Page 11
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Sur le front de Koursk et les dessous de l'opération russe dans le gazoduc à Soudja avecErwan Castel
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Europe de la défense et débat de la dépendance vis-à-vis des États-Unis : malgré les critiques, l’Allemagne maintient son énorme commande de F-35 américains
21/02/2025
Alors que la question de la dépendance au matériel militaire américain est au cœur des discussions, Berlin annonce conserver sa commande d’avions de chasse auprès de Lockheed Martin. (…)
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Le Premier ministre belge prévient que la confiscation des avoirs russes constitue un « acte de guerre »
L’Union européenne, le Canada, les États-Unis et le Japon ont déjà gelé 300 milliards de dollars d’actifs russes après le début de l’opération militaire spéciale
Si l’Union européenne choisit de confisquer les 210 milliards de dollars qu’elle détient en actifs russes immobilisés, cela constituerait un « acte de guerre » aux conséquences graves, a déclaré le Premier ministre belge Bart De Wever.
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1 000 milliards pour casser du Russe : Merz veut-il sa revanche sur Barbarossa ?
À croire que la russophobie est gravée dans l’ADN des Teutons !
Ils sont tous devenus fous. Merz, Macron, Starmer, Tusk, tous sont fous à lier. La russophobie qui envahit l’Europe est porteuse de guerres suicidaires. Merz veut engager 1000 milliards sur dix ans en armements et infrastructures. Il en a les moyens mais il se trompe d’ennemi. L’ennemi de l’Europe, c’est l’islamisme.
Le réarmement de l’Allemagne n’a jamais été bon signe pour l’Europe, mais quand ils survient en pleine hystérie collective antirusse, cela annonce des lendemains tragiques.
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Mette Frederiksen, première ministre centre-gauche du Danemark : « L’immigration massive est une menace pour la vie quotidienne en Europe »
Le Premier ministre socialiste danois n’est pas d’accord sur grand-chose avec l’administration Trump.
D’une part, le président américain Donald Trump a menacé d’annexer le Groenland, un territoire autonome dépendant du Danemark. Il a également manifesté une volonté particulière de se ranger du côté du président russe Vladimir Poutine concernant l’invasion de l’Ukraine par ce pays, un sentiment auquel Mette Frederiksen s’oppose ardemment.
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L’Europe dans l’abîme
par Jordi Garriga
«Le pacifisme est un rêve noble, mais malheureusement, pour l’instant, c’est un rêve qui produit des cauchemars». ~ José Manuel Sánchez Ron1, journal ABC, 15 mars 2025.
Les intellectuels proches de Bruxelles et de Washington ont déjà lancé une campagne sentimentale et émotionnelle pour adopter l’européisme comme moyen de défense de la démocratie et de la liberté sur notre continent. Ils basent leurs arguments sur l’histoire, les guerres et la menace russe, et les assaisonnent d’attaques contre Trump, lui reprochant de ne pas être assez démocrate et même de ne pas être un bon dirigeant.
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« Le réarmement va ruiner l’Europe et la France ! ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Je ne suis pas un petit lapin de six semaines. Je connais la dureté des relations internationales. Bien évidemment qu’il faut être fort.
Bien évidemment qu’il faut avoir quelques armements pour assurer sa sécurité et sa… souveraineté !
Ce n’est pas à moi qu’il faut venir dire cela. Cela fait des années que j’écris sur les abandons et les renoncements si coupables de ceux qui nous dirigent et vendent nos intérêts, nos souverainetés au monde entier.
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«Droit au retour» pour les étrangers expulsés d’Europe
Lundi 17 mars 2025, la Cour européenne des droits de l’homme a refusé de rejuger une affaire dans laquelle elle a créé un véritable «droit au retour» pour les étrangers expulsés d’Europe. Explications de l’ECLJ :
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Drame russo-ukrainien : la dure confrontation entre libéraux et nationalistes
Si beaucoup pensaient Emmanuel Macron arrivé en bout de course, les enjeux internationaux lui ont indéniablement redonné un second souffle. Avec le même accent grave et martial qu’il a eu au temps du Covid-19 (le fameux « Nous sommes en guerre »), le président français, devant plus de quinze millions de téléspectateurs, a acté « la fin de l’innocence » face à la « menace russe ». Honni dans son pays mais applaudi par les chancelleries continentales, Macron prépare le terrain de ses futures ambitions européennes sur fond de conflit entre libéraux et nationalistes.
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Alors que le globalisme se brise, les nations doivent produire leurs propres moyens de survie
Le terme « protectionnisme » est généralement considéré comme péjoratif dans le monde économique, au même titre que « isolationnisme » et « populisme ». À une époque où le globalisme est considéré comme la panacée de l’évolution sociale et géopolitique, l’idée de prendre du recul et de reconsidérer la notion d’indépendance et d’autonomie est odieuse. Les globalistes et les progressistes soutiennent qu’il n’y a pas de retour en arrière possible et qu’eux seuls connaissent la voie à suivre.
Il est plutôt commode qu’ils soient devenus les prophètes autoproclamés de la bonne politique économique, n’est-ce pas ?