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Depuis 2015, une vingtaine d’attentats majeurs ont frappé l’Europe de l’Ouest, causant plus de 500 morts. Voici une liste chronologique avec un court texte explicatif pour chacun, incluant résumé, victimes et auteurs.
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Depuis 2015, une vingtaine d’attentats majeurs ont frappé l’Europe de l’Ouest, causant plus de 500 morts. Voici une liste chronologique avec un court texte explicatif pour chacun, incluant résumé, victimes et auteurs.

Sous le slogan « Une nation, une Pologne forte », la capitale polonaise a célébré sa souveraineté dans une atmosphère pacifique, rassemblant plusieurs centaines de milliers de citoyens autour du drapeau et de l’identité nationale.
La Pologne a célébré ce mardi le 107e anniversaire de son indépendance retrouvée, après 123 ans d’occupation russe, prussienne et autrichienne. Et comme chaque année depuis plus d’une décennie, le grand défilé de l’Independence March a rassemblé une foule immense dans les rues de la capitale.

Les pays occidentaux, engagés dans le conflit ukrainien, connaissent dans la situation économique actuelle une crise historique. L'Occident doit réduire drastiquement ses coûts, car il montre des signes de déclin prolongé. Les diverses politiques wokistes, pro-migrants, pro-LGBT avec l'absurdité de l'engagement financier pro-Kiev ont mis à genoux des pays qui représentaient le phare de la civilisation dans le passé. L'UE est confrontée à son effondrement.

Le 11 novembre 2025 au matin, le FSB a révélé que l’Ukraine avait une nouvelle fois tenté de détourner un avion militaire russe – un Mig-31 doté d’un missile hypersonique Kinjal – en soudoyant un soldat russe. Comme lors d’une tentative précédente qui avait eu lieu en 2022, le nom de l’organisation de pseudo-enquête OSINT Bellingcat, se retrouve impliqué dans cette affaire. Mais cette fois, les conséquences de ce détournement auraient pu être bien plus grave, provoquant un conflit direct entre la Russie et l’OTAN.

par Alexandre Lemoine
Le gouvernement hongrois actuel n’admettra pas que l’Ukraine devienne membre de l’Union européenne.
C’est ce qu’a souligné le ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce extérieur, Péter Szijjarto, en commentant le nouveau rapport de la Commission européenne sur l’élargissement de l’UE (le paquet Élargissement 2025) et la volonté obsessionnelle de Bruxelles à entamer des négociations d’adhésion avec Kiev d’ici fin 2025.

Après Macron qui voulait réparer le Liban, Macron qui va développer l’Afrique en laissant des chèques un peu partout, Macron qui va sauver le climat de 2100 dont personne ne sait rien, avec ses accords de Paris, Macron qui va stopper la guerre en Ukraine en discutant avec Poutine, Macron qui file en Egypte pour croire que le cessez le feu à Gaza, c’est encore lui, Macron qui court au Brésil pour y prendre des bains de foules désormais impossibles en France, voici Barrot, notre illustre Ministre des affaires étranges, celui qui reste quand les gouvernements tombent, qui veut aller buter les narcotrafiquants jusque dans les chiottes en Amérique du Sud, comme le dirait élégamment Vladimir. S’inspire-t-il de Trump, qui lui, n’y va pas avec le dos de la cuiller et s’en va faire couler les embarcations des grossistes en cocaïne par les cadors de la Navy ? Mais Trump a les moyens de sa politique, lui. Martial, Barrot, dont on se demande comment il va s’y prendre après son annonce tonitruante, promet une contre offensive diplomatique musclée… sans rire… musclée ? Il dit et si derrière, il ne se passe rien, il va faire quoi ? Il fait penser à son non moins illustre collègue Le-Maire, qui allait mettre l’économie russe à genoux, puis prendre Poutine, « à la gorge »… et… et rien.

Malgré les attaques médiatiques, les menaces de dissolution et le désistement soudain de son premier lieu d’accueil, le IIIe Congrès Reconquista s’est bien tenu ce samedi 9 novembre dans la région de Porto, au Portugal.
Organisé par le mouvement identitaire Reconquista, fondé par Afonso Gonçalves, l’événement a réuni environ 400 participants venus du Portugal et de plusieurs pays européens — preuve que la contestation patriote et identitaire dépasse désormais largement les frontières nationales.
Initialement prévu dans l’auditorium du Collège Luso-Français de Porto, établissement catholique privé, le congrès a été annulé à la dernière minute, à la suite d’un article du journal Expresso ayant révélé l’adresse du lieu. Sous prétexte qu’il s’agissait d’un “événement politique” non conforme au contrat de location, la direction de la salle a cédé à la panique médiatique et à la pression des milieux progressistes.
Dans les faits, tout était prêt : affiches, intervenants, dispositifs techniques. L’annonce du retrait est intervenue moins de 24 heures avant l’ouverture, forçant les organisateurs à trouver un nouvel espace dans l’urgence. Afonso Gonçalves a immédiatement dénoncé une décision “illégitime et lâche”, et promis que le congrès se tiendrait “quoi qu’il en coûte”. Promesse tenue : le lendemain, l’événement s’est finalement déroulé dans un gymnase de la ville de Maia, à une quinzaine de kilomètres de Porto.
Un congrès placé sous le signe de la souveraineté et de la remigration
Le Congrès Reconquista s’impose désormais comme l’un des principaux rendez-vous identitaires de la péninsule ibérique.
Sous le mot d’ordre d’une “nouvelle reconquête”, les interventions ont abordé les thèmes de la défense de l’identité portugaise, la souveraineté nationale, la remigration et la résistance culturelle face au mondialisme.
Des délégués venus d’Autriche, de France, d’Allemagne, du Royaume-Uni et d’Irlande et même des Etats-Unis (Jared Taylor) ont pris la parole, parmi lesquels Martin Sellner, figure du mouvement identitaire autrichien, et Hilaire Bouyé (Génération Zemmour)
Tous ont insisté sur le besoin d’une coopération entre mouvements patriotes d’Europe occidentale et centrale, face à une Union européenne perçue comme dissolvante, immigrationniste et idéologiquement uniformisée.
“Nous ne laisserons pas notre peuple disparaître”
Dans son discours d’ouverture, Afonso Gonçalves a évoqué la “guerre démographique et culturelle” que subit l’Europe du Sud.
“Nos dirigeants ont remplacé la foi, la famille et la patrie par la consommation et la culpabilité. Ils détruisent notre civilisation au nom du progrès. Mais nous ne laisserons pas notre peuple disparaître”, a-t-il lancé, sous les applaudissements d’une salle comble.
Le ton du congrès, résolument anti-immigration et souverainiste, tranche avec le discours dominant au Portugal, pays où la droite nationale reste encore marginalisée dans les médias. Pourtant, le succès de ce troisième rassemblement montre une radicalisation tranquille de la jeunesse patriote portugaise, lassée de l’immigration massive, de la perte de repères et de la soumission culturelle à Bruxelles.
Selon plusieurs sources portugaises, la Police Judiciaire aurait surveillé de près les allées et venues des participants, certains étant venus d’autres pays européens.
Aucune violence ni manifestation n’a toutefois été signalée sur place. Les discours se sont déroulés dans le calme, loin du climat hystérique entretenu par la presse locale, qui avait annoncé une “invasion de néonazis étrangers”.
Sur les réseaux sociaux, le contraste est frappant : pendant que les grands médias portugais dénonçaient une “réunion d’extrémistes”, les participants saluaient un moment d’unité et de courage collectif.
“C’est la première fois que je vois autant de jeunes parler de l’avenir de l’Europe sans honte ni peur”, a témoigné un militant espagnol présent à Maia.
Une illustration de la peur du débat
Au-delà de la polémique, cette affaire illustre la peur panique des élites face à tout discours non conforme.
Un simple rassemblement identitaire, déclaré, pacifique et payant, a provoqué la fureur des médias portugais et l’annulation d’un contrat privé. En Europe de l’Ouest, la censure idéologique se pare désormais du masque de la “neutralité” et de la “prévention des discours de haine” — autrement dit, de la peur du réel et du refus de toute remise en cause du dogme multiculturel.
Mais chaque interdiction renforce paradoxalement ceux qu’elle veut faire taire. À Porto, à Maia ou ailleurs, la nouvelle génération de patriotes portugais a compris que le combat pour la vérité et l’identité ne se gagnerait plus dans les urnes seules, mais aussi sur le terrain culturel.
Vers une internationale identitaire ?
Ce congrès confirme l’émergence d’un réseau européen structuré de mouvements patriotes et identitaires, de Lisbonne à Varsovie, de Paris à Budapest.
Le Portugal, longtemps resté à l’écart de cette dynamique, entre désormais dans la danse, porté par une jeunesse nationaliste de plus en plus connectée et décomplexée. Un signal fort dans un pays où l’immigration extra-européenne explose (+52 % en cinq ans) et où la classe moyenne s’effondre sous la pression fiscale et le logement hors de prix.
Malgré la diabolisation médiatique, la tenue du Congrès Reconquista 2025 marque une victoire symbolique : celle d’un peuple qui refuse de se taire et qui veut reprendre en main son destin.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Article relu et corrigé par ChatGPT. Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

Révélation hallucinante de Viktor Orban :
« Pour information, en Hongrie, le nombre d’immigrés clandestins est de zéro. Parce que nous avons un système clair comme de l’eau de roche des entrées et des sorties. Si une personne souhaite entrer en Hongrie, elle doit d’abord en faire la demande. Une fois la demande accordée elle peut entrer sur le territoire de la Hongrie.

Un pas de plus vers l'adhésion de l’Ukraine dans l'OTAN a été réalisé pour Kiev en devenant « partenaire renforcé » de la Force expéditionnaire interarmées (JEF) qui compte cinq pays de cette alliance qui sont frontaliers de la Russie.
Cette semaine, le ministre ukrainien de la Défense, Denys Chmyhal, était à Bodø en Norvège pour rencontrer ses homologues des pays membres de la Force expéditionnaire interarmées (JEF) et pour signer un accord contre la Russie.