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Europe et Union européenne - Page 355

  • La race n'est pas raciste

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    Les Anciens, c’est à dire nos ancêtres greco-germano-gallo- slavo-illyro-romains, étaient fort conscients des causes héréditaires de la décadence quoiqu’ils attribuassent à cette notion des noms fort variés. La notion de décadence, ainsi que sa réalité existent depuis toujours alors que sa dénomination actuelle ne s’implante solidement dans la langue française qu’au XVIIIème siècle, dans les écrits de Montesquieu. Plus tard, vers la fin du XIXème siècle, les poètes dits « décadents », en France, étaient même bien vus et bien lus dans les milieux littéraires traditionalistes, ceux que l’on désigne aujourd’hui, de façon commode, comme les milieux « d’extrême droite ». Par la suite, ces poètes et écrivains décadents du XIXème siècle nous ont beaucoup marqués, malgré leurs mœurs souvent débridées, métissées, alcoolisées et narcotisées, c’est-à-dire malgré leur train de vie décadent.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/20/la-race-n-est-pas-raciste-6184352.html

  • Une armée d’immigrants musulmans est en route vers nous

    Claude Haenggli

    Venant de la petite ville de Bihać, en Bosnie-Herzégovine, une colonne de 1500 immigrants, escortés par des policiers, s’est rendue vers le camp de réfugiés de Vučjak à la frontière croate.
    Ce sont uniquement des hommes en bonne condition physique.
    Pas une femme, pas un enfant parmi eux.
    Ils attendent de pouvoir entrer en Europe occidentale.
    Sur base du témoignage d’un Suisse originaire de Bosnie-Herzégovine, il y a probablement des terroristes djihadistes parmi eux.
    La raison de leur déplacement depuis la ville de Bihać est due au fait que cette ville, où sont arrivés au moins 6000 migrants pour une population de seulement 10’000 habitants, ne peut plus faire face aux dépenses causées par leur présence.
    https://www.compact-online.de/neuer-migranten-tsunami-auf-balkanroute-es-sind-krieger-die-da-kommen-mit-video/
    Traduction (Claude Haenggli) : Le bourgmestre de Bihać a annoncé qu’il allait complètement arrêter le ravitaillement déjà maigre des migrants.
    Il veut ainsi faire pression sur le gouvernement de Sarajevo - et sans doute sur l’UE et l’Allemagne. Ce n’est plus qu’une question de temps jusqu’à ce que Seehofer se déclare d’accord d’accueillir un quart d’entre eux (et si c’est tous, on n’y pourra rien).
    La députée européenne autrichienne Bettina Vollath (socialiste) a déjà adressé une question urgente à la commission européenne, critiquant le camp de Bihać comme « une honte pour l’UE et la Bosnie. »
    lesobservateurs.ch
    http://by-jipp.blogspot.com/2019/10/une-armee-dimmigrants-musulmans-est-en.html
  • Alice Weidel dénonce l’importation par le gouvernement d’Angela Merkel de prétendus réfugiés éthiopiens.

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    Allemagne. La codirigeante des élus de l’AfD à la Chambre des députés, Alice Weidel, dénonce l’importation, par le gouvernement d’Angela Merkel, de prétendus réfugiés éthiopiens, par avion. Alice Weidel estime, qu’amener des migrants d'un pays dont le chef de gouvernement a remporté le prix Nobel de la paix pour l’avoir pacifié, est bizarre. Elle ajoute que, dans le cadre du pacte des Nations unies sur la migration, les demandeurs d’asile sont relogés en Europe sans motif aigu de fuite et que le contribuable finance, non seulement le transport, mais également tous les autres coûts à supporter pour les nouveaux arrivants en Allemagne.

    Elle pense que l'Allemagne doit immédiatement dire adieu au pacte sur la migration et, enfin, protéger ses propres frontières.

    (http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2019/10/19/un-...)

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    Alice Weidel

    http://lionelbaland.hautetfort.com/

  • Le Brexit est-il le fruit d'un complot ?

    6a00d8341c715453ef0240a4bc4f2a200d-320wi.jpgCe 15 octobre était diffusé un très utile rapport sénatorial sur le Brexit. Signé de Jean Bizet et Christian Cambon, cette étude[1] de 112 pages, livre une analyse sans concession des trois années écoulées depuis le référendum du 23 juin 2016.

    Rappelons ici, tout de même la préhistoire de l'événement. Chef du Gouvernement de Sa Majesté, David Cameron pensait jouer en 2016 à UKIP le même tour qu'aux libéraux-démocrates. Aux libéraux, durablement écartés du pouvoir depuis la guerre, il avait promis, dans le cadre de leur alliance de 2010, un référendum sur une réforme du mode de scrutin [qui eût été catastrophique].

    Ce référendum oublié eut lieu en mai 2011. Résultat : 42 % de participation et 68 % de non.

    Aux élections suivantes, en 2015, les lib-dem furent laminés passant de 57 à 8 sièges. Les conservateurs obtinrent, avec 37 % des voix, la majorité : 380 députés sur 650 circonscriptions, ceci grâce au bon vieux système du vote uninominal à un tour.

    Au lendemain de ce succès, la menace venait cette fois du parti souverainiste de Nigel Farage qui obtint, certes un seul député, mais 3,8 millions des voix et 12,7 %, contre seulement 3,1 % cinq ans plus tôt. Pour lui couper en partie l'herbe sous le pied, le gouvernement avait promis ce fameux référendum sur la sortie de l'Union européenne, cheval de bataille du "parti pour l'indépendance du Royaume Uni"…

    Tout se passait très bien.

    Depuis le retour au pouvoir des conservateurs en 2010 après le séjour désastreux de Gordon Brown à Downin street, le gouvernement Cameron réalisait un sans faute, l'économie britannique se portait à merveille. Les travaillistes, noyautés dans leur base militante par les mouvements trotskistes, se dotaient d'un chef de file caricatural, Jeremy Corbyn, de nature, pensait-on, à assurer leur défaite pour de longues années.

    Et puis, patatras. En effet, avait pu le constater le regretté Witold Gombrowicz, il n'est de si bonne ambiance qu'on ne puisse gâcher. Et, en juin 2016, une courte majorité d'électeurs donna une victoire, totalement inattendue, aux brexiteurs…

    La fin de l'interminable procédure qui en est résultée se rapproche à grande vitesse. Pourtant, au moment où ces lignes sont écrites, à 15 jours de la date fatidique du 31 octobre, on ne sait toujours pas, si véritablement un accord sera ratifié pour en amortir le choc.

    Dois-je l'avouer ici ? Jamais je n'ai aimé cette idée que l'Angleterre puisse cesser de faire partie d'une communauté culturelle qui s'appelle l'Europe. Shakespeare, un des géants de l'humanité, nous appartient à tous, exactement au même titre que Goethe, Aristote ou Dante Alighieri. Et Dostoïevski. Que ceci recoupe ou non la question des institutions supranationales pensées par nos dirigeants depuis le traité de Rome de 1956, reste subsidiaire.

    On est souvent tenté d'expliquer une catastrophe, grande ou petite, par ce qu'on appelle un "complot"… En réalité la victoire de forces additionnées et unies, l'emportant sur d'autres, généralement moins bien coordonnées, peut toujours être qualifiée de la sorte.

    Quand même, d'un mal il peut parfois sortir un bien. Et si les Français pouvaient un instant, même pour de mauvaises, renoncer au franglais, la récupération de la langue pourrait les aider à penser plus juste.

    Quelle exaspération d'entendre, en effet, l'invasion médiatique d'un idiome qui, certes, peut sonner de manière poétique, qui peut permettre aussi d'échanger quelques mots pratiques, sinon quelques concepts, quand on rencontre des Patagons, voire des Japonais[2], mais qui n'est même pas compris par nombre de ceux qui l'utilisent. Entendu récemment plusieurs pubs radiophoniques du type : "c'est la beauty week, beauty week veut dire semaine de beauté". Mais alors pourquoi ne pas le dire directement en français ?

    J'en arrive donc, après ce long mais nécessaire détour, à la question, passablement irritante, du concept de "think tank". Ce mot ne figure pas dans le dictionnaire de Littré. Il ne veut donc littéralement rien dire de précis. Mais il semble désigner aux États-Unis [d'Amérique du Nord] une réalité fonctionnelle directement liée aux institutions de cette grande puissance. On peut, de façon sommaire, en décrire le rôle : des fondations privées, alimentées par quelques grosses fortunes, salarient des intellectuels pour donner des idées à ceux qui n'en ont pas. Voilà une très généreuse démarche.

    Faut-il dès lors parler d'un complot ?

    Il devient donc de plus en plus nécessaire de comprendre le rôle des sociétés de pensée… [à suivre]

    JG Malliarakis 

    Lire aussi
    L'Insolent du 22 novembre 2011 : Complot ou pas complot ?"

    6a00d8341c715453ef0240a4e0a566200b-320wi.jpgUne avancée majeure dans la connaissance de la Révolution Augustin Cochin : "Les Sociétés de pensée et la démocratie moderne"
    Si l’on veut connaître un pouvoir démocratique comme il est, et non plus comme il veut qu’on le voie, ce n’est évidemment pas à lui qu’il faudra le demander, fait remarquer l'auteur.
    La société de pensée ignore sa loi, et c’est justement ce qui lui permet de se proclamer libre : elle est orientée à son insu, non dirigée de son aveu. Tel est le sens du nom que prend dès 1775 la plus accomplie des sociétés philosophiques, la capitale du monde des nuées : le Grand Orient. (...)
    ••• Un livre de 220 pages au prix de 20 euros.
    • à commander sur la page catalogue des Éditions du Trident
    • ou par chèque en téléchargeant un bon de commande

    [1] Rapport d’information, en date du 10 octobre 2019, fait au nom du Groupe de suivi sur le retrait du Royaume-Uni et sur la refondation de l’Union Européenne sur le retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne. Document téléchargeable sur le site du Sénat.
    [2] Et encore. Parmi les divergences majeures entre ceux-ci et les Coréens [du sud...] on retiendra que les fils du Soleil Levant, à la différence de ceux du Matin Calme, parlent en général très mal l'anglais.

    https://www.insolent.fr/

  • Julien Langella : « Le premier écosystème d’un homme, c’est son peuple ! »

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    Entretien téléphonique avec Julien Langella, porte-parole d’Academia Christiana ♦ Le premier colloque annuel d’Academia Christiana se tiendra le 26 octobre 2019, à Paris, sur le thème : « Regards croisés sur notre identité » et sera organisé en partenariat avec la revue Éléments.
    Les orateurs de qualité se succéderont, qu’ils soient catholiques, païens, athées ou agnostiques pour évoquer la question brûlante de l’identité.
    Nous avons interrogé Julien Langella, par téléphone, sur ce colloque, sa vision de l’identité et sur les troubles au sein de l’Eglise sur ce sujet clivant.
    Polemia

    Promouvoir le Beau, le Vrai et le Bien

    Polémia : A lire le programme, on a l’impression que païens et chrétiens tenteront de régler leurs différends ! N’y parlera-t-on pas trop de religion au détriment de l’identité ?

     Julien Langella : Alors, l’objectif n’est pas du tout de verser dans le débat contradictoire. Notre objectif n’est pas non plus d’être dans l’œcuménisme narcissique où on s’auto congratulerait d’être d’accord sur presque tout.

    Notre but c’est de faire se croiser des regards qui peuvent varier sur l’identité, car nous n’avons pas la même foi et parfois pas les même convictions philosophiques. Certains héritages nous touchent par exemple plus que d’autres selon nos convictions. Pour nous, l’héritage médiéval et peut-être pour les néo-païens un héritage germanique ou grec ou encore plus ancien.

    Ces regards identitaires, bien que différents, veulent promouvoir le Beau, le Vrai, le Bien, les vertus de liberté, de force, de grandeur, de recherche du noble geste… Cela nous parle évidemment à nous catholiques, puisque ce sont toutes ses valeurs qui ont été portées au pinacle par le catholicisme médiéval…

    Je pense que l’on peut s’entendre sur ces questions-là avec des néo-païens ou des athées…

    Le but finalement n’est pas de parler de nous mais de parler de notre identité avec ce que nous sommes.

    Polémia : Etant donné la qualité des intervenants, le colloque s’annonce comme un moment de grande intelligence. Quel est son objectif affiché ?

    Julien Langella : Le premier objectif affiché, c’est de faire se rencontrer et se parler des gens qui échangent déjà de manière informelle mais, cette fois-ci, de manière publique afin d’assumer des positions qui nous sont communes sur la défense intégrale et intransigeante de notre identité et de notre longue mémoire.

    Mais la question identitaire n’est pas seulement culturelle. Elle est aussi économique. Quel système économique est le mieux à même de promouvoir notre identité, de la valoriser et de la protéger ?

    Il en est de même pour la question écologique. Quelle écologie identitaire, sachant que le premier écosystème d’un homme, c’est son peuple ?

    Polémia : L’ambition est-elle d’établir un programme commun ?

    Julien Langella : Non, l’objectif n’est pas de faire une Convention de la Droite Identitaire. Ce que l’on souhaite faire, c’est une démonstration de force d’une droite authentique qui soit identitaire et antilibérale. Ce sont nos deux chevaux de bataille.

    Nous faisons ce colloque pour montrer qu’il existe des gens suffisamment intelligents pour pouvoir parler ensemble de ces sujets-là, pour combattre ensemble sur ces sujets-là, pour défendre ensemble leur identité et faire ensemble cette synthèse à laquelle une partie de la droite échappe, engoncée dans son tropisme libéral et bourgeois. Nous voulons dynamiter tout cela et unir les intelligences et les cœurs autour de cet espoir afin d’accoucher d’initiatives concrètes.

    Nous, à l’Academia Christiana, nous sommes un institut de formation et nous avons par exemple des gens de chez nous qui conseillent des personnes qui vont se présenter aux élections municipales dans quelques mois.

    Identité charnelle et culturelle

    Polémia : Aujourd’hui, de nombreux travaux de généticiens viennent confirmer définitivement que les populations humaines diffèrent génétiquement – et de manière significative – entre elles. Selon vous, l’identité d’un peuple est-elle avant tout culturelle ou génétique ?

    Julien Langella : Pour moi, l’aspect génétique, l’aspect biologique, l’aspect racial – comme on le disait à une époque où on avait encore le droite de le dire, mais tout cela signifie de toutes manières exactement la même chose – fait partie intégrante de notre identité et doit être défendu.

    Je crois que le bon Dieu a fait des humanités différentes et on ne doit pas s’excuser d’aimer une belle peau rose constellée de grains de beauté. On ne doit pas s’excuser de vouloir que les Européens restent des blancs. En effet, je crois qu’il existe des différences biologiques. Dans le monde anglo-saxon, la recherche à ce sujet est bien plus libre que chez nous. Il y a chez eux un aspect pragmatique qui nous fait défaut.

    Il suffit de regarder la répartition des prix Nobel en sciences dures… Il n’y a quasiment que dans les faux prix Nobel comme celui de la Paix que vous avez des extra-européens qui sont représentés.

    Regardez les sprints, regardez les sports à explosion comme le basket… Il est évident que les Africains sont sur-représentés.

    Pour moi, cette réalité fait partie de l’identité. Cependant, c’est une condition nécessaire mais pas suffisante pour définir notre identité. Pour moi, un Européen est évidemment un blanc. D’ailleurs, le cardinal Joseph Ratzinger, futur pape Benoit XVI, disait : « L’Europe est en voie d’extinction ethnique. » Il ne dit pas démographique. Il emploie le terme « ethnique ». Cela signifie que, pour lui, l’Europe est de moins en moins blanche.

    Donc pour nous, c’est un véritable problème. On doit affronter ça sereinement et l’analyser sans aucun tabou. Jean-Paul II disait : « Toute vérité est nôtre. »

    Je suis ravi de voir que des analyses scientifiques viennent confirmer ce que je pense d’instinct sur la question raciale.

    Quant à l’aspect culturel, je pense qu’il n’y a qu’un seul moyen de devenir Français ou Européen, c’est d’en hériter. Et, éventuellement, on peut le devenir par infusion dans un milieu gaulois, patriote et spirituellement enraciné.

    L’Eglise en pleine tourmente identitaire

    Polémia : Vous évoquerez le combat identitaire et l’Eglise. Quel regard portez-vous sur le raport actuel de l’Eglise à l’identité ? Du pape François au curé de campagne, la préoccupation identitaire ne semble pas la priorité de l’Eglise !

    Julien Langella : En Europe occidentale, oui. Dans le reste du monde, pas du tout.

    C’est-à-dire que le discours du pape François, au niveau de l’Eglise universelle, est en réalité très minoritaire. Quand on entend Mgr Turkson ou le cardinal Sarah, on entend un discours anti libéral et anti-immigration ! Pour eux, un monde sans frontières, c’est d’abord un monde sans limites, notamment économiques. En ce moment, au sein de l’Eglise, c’est en effet le chant du cygne des vieux cathos gauchistes qui sont en train de mourir, krach démographique oblige, et qui poussent leur dernière complainte.

    On sait que l’Eglise a traversé d’autres pontificats catastrophiques et elle s’en est toujours relevée. Quand tous les empires se sont écroulés, nous sommes là depuis 2 000 ans.

    Je pense qu’on a le devoir de dire au pape François : « Attention ! » Quand il parle politique, identité ou immigration, c’est Bergoglio qui parle et nous ne lui devons aucune allégeance !

    Le problème, c’est que, il y a un siècle et demi, personne ne connaissait le visage du pape ! Il y a une hypertrophie médiatique qui fait qu’on en a fait une star ! Et dans certains diocèses français, à la même époque, on ne connaissait même pas la tête de l’évêque… L’Eglise, c’était le curé du coin ! L’Eglise subit donc une dérive libertaire et gauchiste mais aussi une crise de taille. Le gigantisme et l’hypertrophie médiatique m’inquiètent énormément.
    Cependant, au milieu de la crise, ça me rassure beaucoup de voir le nombre de vocations dans les milieux traditonnalistes. L’Eglise de demain ne sera pas celle que nous subissons aujourd’hui. Et nous avons le devoir, avec charité et respect filial, de dire : « Là, vous vous trompez ! » J’invite tous les catholiques à dire à leur curé : « Je crois que vous vous trompez. »

    Le pape Benoit XVI disait : « La charité dépourvue de vérité n’est qu’une coquille vide. » Je crois que nous sommes en plein là-dedans.

    Entretien téléphonique avec Julien Langella

    https://www.polemia.com/julien-langella-premier-ecosysteme-homme-peuple/

  • Hier après-midi à Rome : immense rassemblement pour soutenir Mattéo Salvini et exiger des élections immédiates

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  • Grand Remplacement : le « complot » est une réalité

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    Par Camille Galic, journaliste, essayiste ♦ Invité sur BFM le 7 octobre dernier, Robert Ménard a rejeté l’idée d’un « match retour » entre Macron et Marine en 2022, estimant que la présidente du Front national « n’était pas une bonne candidate » pour la prochaine présidentielle au motif que sa présence donnerait à l’actuel locataire de l’Elysée « l’assurance d’être réélu ». Pour autant, le maire de Béziers rejette lui aussi « l’emploi de l’expression Grand Remplacement », selon laquelle « la population européenne serait remplacée de manière organisée par une population immigrée », théorie qu’il juge « complotiste ».

    C’était déjà ce que proclamait le 4 juin 2016 Florian Philippot, qui rejetait avec condescendance ce concept, ajoutant : « Ce que je n’aime pas dans cette notion, c’est que c’est extrêmement flou et qu’on peut y mettre ce qu’on veut derrière, y compris des théories qui seraient racialistes et complotistes. » Lui préférait évoquer le « phénomène qui s’appelle l’immigration massive, dont sont responsables la droite et la gauche depuis des années et des décennies ». Tout à fait d’accord. Mais s’est-il jamais demandé si, « depuis des décennies », « la droite et la gauche » mais malheureusement aussi les Eglises, dont celle de Rome où le Souverain Pontife a inauguré le 29 septembre place Saint-Pierre un monument aux Migrants (selon lui : « la chair de l’Eglise »), ne sont pas en service commandé ?

    Grand remplacement réalité ou intox ? Il est temps de trancher !

    La panacée onusienne des « migrations de remplacement »

    Comme Robert Ménard aujourd’hui, Philippot semblait en effet avoir oublié un document irrécusable prouvant l’existence, la détermination et la nocivité des « remplacistes » : le rapport diffusé début janvier 2000 par la « Division de la Population, Département des Affaires Economiques et Sociales des Nations Unies ».

    Ce texte capital envisageait froidement les « migrations de remplacement » (eh oui !) comme seule « solution au déclin et au vieillissement des populations » de notre continent, faute de quoi les gouvernements seront contraints de « réviser beaucoup de leurs options et programmes économiques, sociaux et politiques ». Un « accroissement de la population d’âge actif par le biais d’une migration internationale demeurera, pour le court et le moyen terme, le seul choix permettant de réduire l’importance de la baisse », martelait ce rapport qui soulignait encore que le maintien d’un niveau de vue décent « exige dans tous les cas de figure une immigration beaucoup plus importante que dans le passé [avec] l’intégration d’un nombre important de migrants récents et de leurs descendants » (dont, soit dit en passant, 40% sont au chômage en France).

    Quel nombre ? Interrogé dans Libération le 6 janvier 2000, le démographe français Joseph-Alfred Grinblat, l’un des auteurs du rapport onusien, assénait froidement : « A évolution constante, l’Union comptera 5 millions d’habitants de moins en 2025, 40 millions de moins en 2050. […] Par simple projection mécanique […], l’Europe, pour simplement maintenir sa population active à son niveau absolu de 1995, aurait besoin de 24 millions d’immigrés d’ici à 2025. S’il s’agit de préserver l’équilibre actuel entre actifs et inactifs, les besoins de main-d’œuvre étrangère montent carrément à 159 millions de personnes, dont 23 millions pour la France, 26 millions pour l’Italie et même 44 millions pour l’Allemagne. »

    Pour rétablir l’équilibre, l’expert conseillait-il le lancement d’une politique résolument nataliste comme s’y essayent maintenant la Hongrie et la Pologne ? Evidemment pas : ce que suggérait ce parfait VRP du mondialisme, c’est « le relèvement de l’âge de la retraite à 75 ans », en tablant perversement sur l’égoïsme et l’hédonisme des Occidentaux prêts à tout, y compris à subir un grand remplacement, pour préserver leurs « acquis ».

    Les résultats concrets du « fantasme »

    Près de vingt ans plus tard, la révolution ourdie par les idéologues manipulateurs du « Machin » (dont l’omniprésent milliardaire Soros qui, via sa fondation Open Society, finance les No Borders) agitant des chiffres extravagants pour mieux faire accepter une déferlante moins spectaculaire, est en marche. Par intérêt immédiat — après nous le déluge ! — ou par un dévoiement (parfaitement organisé) du devoir d’accueil à un prochain de plus en plus lointain, les envahis se résignent.

    Après l’arrivée de plus d’un million de réfugiés, Mme Merkel et le patronat allemand, dirigeants de Volkswagen et de Mercedes en tête, ne se sont-ils pas publiquement réjouis du « formidable coup d’accélérateur » que cette masse allogène, jeune et masculine en grande majorité, allait donner à l’économie germanique ? Jusqu’à présent, c’est plutôt la cadence des viols qui augmente puisqu’on ne compte plus les malheureuses gamines agressées et parfois assassinées par des Irakiens et autres Afghans (l’un d’eux est actuellement recherché pour le viol de deux gamines de 13 et 16 ans) qui s’est accélérée. Et la direction de Volkswagen a dû constater tristement qu’il faudra « au moins cinq ans » pour former ces gaillards — supposé d’ailleurs qu’ils le souhaitent — aux métiers de l’industrie les plus basiques et les convaincre que la discipline, des horaires et des équipes, est aussi la force principale des usines.

    Selon Caritas International, l’Italie s’est classée en 2018 – avec 5 255 503 résidents étrangers réguliers sur son territoire (8.7% de la population) – en troisième position de l’Union européenne derrière l’Allemagne et le Royaume-Uni, et juste devant la France en ce qui concerne l’accueil — forcé — de migrants.

    Grand Remplacement en Europe. La folie suédoise

    En Suède, le tsunami migratoire à très forte connotation musulmane a provoqué selon Sheri Berman, professeur à l’Université de Columbia, une « révolution anthropologique d’ampleur historique » aux conséquences incalculables et la France, dont toute l’actualité judiciaire, de la meurtrière « guerre entre tribus » à Marseille aux insupportables violences dans les transports ou les écoles, est dominée, est liée à la présence toujours plus massive d’allogènes, est sur la même voie.

    Mais qu’importe aux « remplacistes » institutionnels et à leurs courroies de transmission « caritatives » qui soutiennent mordicus que nos pays sont bien assez riches pour recevoir toute la misère du monde, les réfugiés économiques — et, demain, climatiques — ayant autant de droits que les politiques ! L’essentiel est que les migrants soient désormais chez eux chez nous, d’où ils ne partiront pas. Toute incitation à leur retour au pays est d’ailleurs considérée comme raciste. Et donc condamnée, en vertu des totalitaires « lois-baillons » imposées par l’Union européenne à tous les Etats membres et dont, persécutés par la justice française, les jeunes militants de Génération Identitaire et le courageux Eric Zemmour viennent encore tout récemment de faire les frais.

    https://www.polemia.com/grand-remplacement-complot-realite/

  • Irène Dimopoulou : “Combien de combats perdus en raison des lâchetés et compromissions de la droite libérale ?”

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    Irène Dimopoulou, longtemps directrice de l’hebdomadaire nationaliste grec Empros (En avant), et aujourd’hui assistante parlementaire d’un eurodéputé grec, a profité de la tribune qui lui a été offerte lors des Journées de Synthèse Nationale pour pointer les lâchetés et compromissions des droites libérale et libertaire.

    https://www.medias-presse.info/irene-dimopoulou-combien-de-combats-perdus-en-raison-des-lachetes-et-compromissions-de-la-droite-liberale/113376/

  • COMMENT NOS ENNEMIS SE REGALENT DE NOTRE FAIBLESSE (Olivier Piacentini)

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    olivier-piacentini.jpgEcrivain, essayiste, Olivier Piacentini (49 ans) est notamment l’auteur des ouvrages suivants (aux Editions de Paris) : Vers la Chute de l’Empire Occidental, Le Dossier Noir du Socialisme Français, Le Crépuscule de l’Occident (2017), La Mondialisation Totalitaire (2018), OPA sur l’Elysée (2018)… Il intervient régulièrement sur les réseaux sociaux et a accepté notre proposition de reprendre son article, récemment posté sur Facebook, concernant l’agression de la Turquie contre les Kurdes et le récent chantage d’Erdogan d’ouvrir les vannes du déferlement migratoire à 2 millions de migrants potentiels. En quelques phrases bien senties, tout est dit sur la faute originelle de Madame Merkel et la duplicité d’Erdogan…

    Il y a trois ans, Mme Merkel négocia, sans associer ni même prévenir aucun de ses partenaires européens, un accord avec Erdogan : pour 6 milliards d’euros de « rançon », la Turquie s’engageait à retenir les migrants sur son sol. Ce sont désormais deux millions de réfugiés qui sont retenus sur le territoire turc, à la merci d’Erdogan et de l’AKP. Et voilà comment transformer un islamiste patenté, ennemi  déclaré de l’Europe et de l’Occident, qui proclama un jour qu’il œuvrait à l’islamisation du vieux continent, en maître de la politique migratoire de tous les pays européens, l’arbitre de notre identité multiséculaire.

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  • Eric Zemmour a décidé de saisir la Cour européenne des droits de l’homme

    En septembre 2016, lors d’un numéro de « C à vous », Eric Zemmour avait déclaré que les musulmans devaient choisir « Entre l’islam et la France » et « que la France vivait depuis 30 ans une invasion ».

    A la suite de cette émission, le polémiste a été condamné à 3000 € d’amende par la justice française pour provocation à la haine religieuse.

    Selon Le Point, il a décidé de saisir la CEDH. « La décision de condamner Zemmour porte atteinte à la liberté d’expression et constitue une atteinte au procès équitable », a déclaré son avocat Me Antoine Beauquier à l’hebdomadaire le Point.

    Notre recours pose la question suivante : la France laisse-t-elle encore à quelqu’un le droit d’être un polémiste ? 

    Lire la suite