Il n’est pas inutile de rappeler les mots du directeur de Frontex lui-même dans une déclaration aux sénateurs français faite en juin 2016. Pour Fabrice Leggeri, la très forte réduction du nombre d’arrivées par la route de la Méditerranée orientale au début de l’année 2016 était due au « double effet de la fermeture des frontières sur la route des Balkans et de l’entrée en vigueur, le 20 mars, de l’accord passé entre l’UE et la Turquie ». Or la fermeture des frontières nationales dans les Balkans était consécutive, par effet domino, à la fermeture des frontières de l’Autriche en février 2016 appuyée par une action commune du V4 (Pologne, Tchéquie, Slovaquie et Hongrie) en soutien aux pays des Balkans, peu avant l’accord signé en mars avec la Turquie.
Europe et Union européenne - Page 356
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Cette fois, la route des Balkans est déjà fermée, par Olivier Bault
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Soros et la CEDH contre les peuples ? Analyse par Thibault Kerlirzin auteur de Soros l'Impérial
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Comment les « juges Soros » ont influencé la Cour européenne des droits de l’’homme
Trouvé sur Valeurs Actuelles : « Un rapport accablant démontre la mainmise du réseau d’ONG du milliardaire sur la CEDH, qui impose à l’Europe son idéologie de la “société ouverte”. Révélations exclusives.
L’Autriche, la Grèce et l’Italie sont forcées de légaliser les unions homosexuelles ; la Pologne est sommée de favoriser le droit à l’avortement ; la France est obligée d’autoriser le changement de sexe “sur le papier” ; la Hongrie est contrainte d’abolir la prison à vie ; la Russie est santionnée pour avoir condamné les activistes féministes punks des Pussy Riot ; l’Autriche doit légaliser l’adoption par les couples homosexuels ; l’application de la charia en Grèce est validée. Des affaires sans lien entre elles ? Au contraire. Chaque fois, c’est la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) qui dicte sa loi à un pays européen. Chaque fois, une ONG liée au réseau de l’Open Society Foundations (OSF) est impliquée dans l’affaire. Chaque fois, l’un des magistrats qui prononcent le jugement est un ancien collaborateur de l’OSF ou de ses affiliées. Chaque fois, la sentence porte la marque de George Soros.
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Sebastian Kurz : « L’Europe ne doit pas céder à la pression turque, bientôt ils seront des centaines de milliers, peut-être des millions »
Des milliers de migrants et de réfugiés affluent vers la frontière turco-grecque. Le chancelier autrichien Kurz accuse le président turc Erdogan d’avoir « organisé une attaque contre l’Europe » […]
Monsieur le Chancelier, l’Europe connaît un nouveau drame de réfugiés à sa frontière extérieure. Comment l’UE doit-elle réagir ?
Sebastian Kurz : résolu et uni à la fois. Ce que nous avons vécu en 2015 ne doit pas se répéter. Tous ceux qui ont dit à l’époque qu’elle avait besoin de frontières extérieures fonctionnelles doivent maintenant apporter leur plein soutien à la Grèce. Pour que ces frontières soient réellement protégées. Il ne peut y avoir une Europe sans frontières intérieures que si les frontières extérieures sont sécurisées.
Quelque 13 000 réfugiés sont bloqués à la frontière turco-grecque. Que va-t-il arriver aux gens ?
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La Hongrie protègera ses frontières « en toutes circonstances »
La Hongrie protègera ses frontières « en toutes circonstances » et ne laissera entrer aucun migrants illégaux, a déclaré le ministre des Affaires étrangères Peter Szijjarto, après des entretiens avec le ministre de l’Intérieur serbe Nebojsa Stefanovic, à Belgrade lundi.
Pendant ce temps, l’Autriche envoie des unités de police à la frontière Serbo-hongroise, alors que la Hongrie a détaché des unités de police à la frontière Nord de la Macédoine, et de la Serbie.
« Pour nous, la sécurité du pays et le peuple hongrois est primordial. Les entretiens ont porté sur la protection des frontières, ainsi que la situation en Turquie et en Syrie, » a déclaré Szijjarto. Il a ajouté que les développements à la frontière entre la Turquie et la Grèce étaient inquiétantes et suggère que des centaines de milliers de migrants pourraient bientôt arriver dans les Balkans occidentaux.
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Eric Zemmour : « Erdogan est venu en Europe dire aux Turcs : Envahissez et colonisez l’Europe chrétienne » (Vidéo)
Eric Zemmour face à Hubert Vedrine dans Le Face A Face: « Je vous rappelle que Erdogan, il ne se cache pas. Il est venu en Europe pour dire au Turcs qui habitaient en Europe : Faite non pas 3 enfants mais 5. Il leur a dit que l’assimilation était un crime contre l’humanité, donc il leur a vraiment dit : Envahissez & colonisez l’Europe chrétienne ». (Face à l’info du 05/03/2020)
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Lesbos, camp des Saints, par Etienne Defay
La guerre des images a commencé. Samedi, le président turc Recep Tayyip Erdogan a menacé l’Europe d’une nouvelle vague migratoire. En moins d’une journée, près de 10 000 migrants ont alors été bloqués à la frontière grecque. Parmi eux, Syriens, Afghans et Irakiens ont été rejoints par environ 2 000 migrants supplémentaires. Alors que l’armée et la police parviennent à contenir l’afflux à proximité de Pazarkule, la population de l’île Lesbos fait rempart seule.
Sur son blog, l’historien et ethnologue Panagiotis Grigoriou décrit la situation de « guerre » dans laquelle se trouve la Grèce depuis plusieurs jours. « C’est une vaste opération montée par la Turquie et l’Union européenne », commente-t-il par téléphone, évoquant « plus qu’une simple invasion » sur fond d’islamisation.
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Accord Poutine/Erdogan sur la Syrie : l'Europe fantôme.
L'accord conclu entre Poutine et Erdogan pour une trêve en Syrie souligne tragiquement l'effacement total de l'Europe dans le règlement d'une crise qui dépasse largement les seuls enjeux régionaux.En imposant à la Turquie la tenue d'une conférence à Moscou, la Russie montre qu'elle est maîtresse des forces et ordonnatrice des antagonismes. En refusant la venue de Macron et de Merkel, Poutine témoigne du mépris dans lequel il tient les dirigeants Français et Allemands.En politique - et singulièrement en politique internationale - ne compte que ce qui existe et cette existence se mesure à l'aune de la détermination stratégique armée.Soumise à une attaque migratoire de grande ampleur déclenchée par Ankara qu'elle est incapable de contrer, l'Union européenne ne saurait aux yeux de Poutine qui n'oublie ni les sanctions économiques dont la Russie est la cible ni les sombres manœuvres de l'OTAN, constituer un partenaire utile et encore moins un allié fiable.La grande alliance civilisationnelle que nous appelons de nos vœux entre l'Europe et la Russie ne se fera que le jour où les Etats occidentaux de notre continent auront opéré leur reconquête nationale.En attendant, Moscou continuera de ne se fier qu'à elle même, quitte à s'entendre avec un membre de l'Alliance atlantique pour mieux le contraindre, et à laisser le champ libre aux ambitions ottomanes sur des champs d'opérations extérieurs à la sphère d'influence de la Russie. -
Une pétition réclame l’envoi de troupes françaises à la frontière gréco-turque !
Une pétition, qui a été lancée le 4 mars, réclame l’envoi de troupes françaises à la frontière gréco-turque.
Voici le texte de présentation :
Erdogan, le président islamiste de la Turquie, a ouvert ses frontières et encourage des dizaines de milliers de migrants à déferler sur l’Europe à travers la Grèce. Sa volonté de déstabiliser et islamiser l’Europe n’est pas nouvelle. Aujourd’hui, il menace de lancer sur notre continent les presque 4 millions de migrants musulmans présents dans son pays.
À la frontière, les migrants tentent de prendre d’assaut au cri d’Allah Akbar les barrières mises en place par les forces de l’ordre et l’armée grecques. La population est venue prêter main forte aux garde-frontières, même les paysans font barrage avec leurs tracteurs !
Les Grecs sont pour l’heure seuls à faire face à cette menace. Le Danemark et l’Estonie ont déjà proposé l’envoi de bateaux et d’avions de surveillance ainsi que d’équipages de garde-côtes. La France, elle aussi, doit envoyer de toute urgence des navires et des hommes de nos forces armées pour épauler les Grecs face à cette invasion car c’est bien toute l’Europe qui est menacée !
Pour signer la pétition : http://www.france-petitions.com/petition/654/pour-l-envoi-de-troupes-francaises-a-la-frontiere-greco-turque
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De l’Italie aux Etats-Unis, le combat pour la vie avance
En Italie, 70 % des gynécologues refusent de pratiquer l’avortement au nom de leur liberté de conscience.
Aux Etats-Unis, la Cour suprême doit valider ou annuler une loi votée en Louisiane, qui impose à un médecin, prêt à pratiquer l’avortement, de travailler à moins de 50 kms du lieu de l’avortement. Par effet en chaine, une seule clinique demeurerait capable de faire des avortements dans toute la Louisiane. Cela se produit au moment où les Etats du Sud multiplient les législations pro-vie. Dans l’Alabama, un médecin qui pratique un avortement, même après un viol, risque désormais 99 ans de prison. En Georgie ou dans le Tennessee, le délai pour avorter est désormais de 6 semaines. Sur les 50 Etats américains, 28 sont engagés dans des démarches de limitation de l’avortement. L’objectif est que la Cour Suprême change la jurisprudence nationale, qui autorise l’avortement depuis 1973 et le célèbre arrêt Roe contre Wade. La Cour Suprême devrait rendre sa décision en juin.
Aujourd’hui, les deux juges les plus âgés de la Cour Suprême (où ils sont nommés à vie) sont des magistrats progressistes, ils ont 86 et 81 ans. Donald Trump (qui a déjà nommé 2 juges conservateurs) pourrait, s’il est réélu, miser sur leur disparition pour les remplacer et ancrer la Cour pour 10, 20, 30 ans.
https://www.lesalonbeige.fr/de-litalie-aux-etats-unis-le-combat-pour-la-vie-avance/