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Europe et Union européenne - Page 357

  • Pour une préférence civilisationnelle

    Jean-Yves Le Gallou, créateur de la fondation identitaire Polémia, et cofondateur de l’Institut ILIADE, réfléchit aux conditions d'un avenir respectueux de ce que nous sommes, nous autres Européens. Il réfléchit à l’idée d'une préférence civilisationnelle.

    Entretien avec Jean-Yves Le Gallou

    Jean-Yves Le Gallou, vous proposez ces derniers temps le concept de « préférence civilisationnelle ». Pourquoi ne pas vous borner à la préférence nationale, dont on a beaucoup parlé ?

    La préférence nationale renvoie à un concept juridique qui est le concept de nationalité. C'est la préférence pour les détenteurs de la nationalité. Aujourd'hui, la nationalité est devenue un concept juridique, déconnecté du concept identitaire. Résultat ? Beaucoup de Français vont se sentir mieux à Prague, Budapest ou Porto qu'en Seine Saint-Denis par exemple. La préférence de civilisation renvoie à une identité culturelle commune et je crois que c'est un ressenti de plus en plus partagé que, justement, l'identité c'est la culture commune. Je vous en donnerais un exemple nous avons fait, avec Polémia, une vidéo intitulée "Être français" qui a recueilli 1 300 000 vues sur You tube. Nous avons lancé ensuite avec l'Institut ILIADE, une vidéo intitulée "Être européen ». L'opinion générale était que l'Europe n'aurait aucun succès et que nous n'atteindrions pas les chiffres de la précédente, que nous ferions trois ou quatre fois moins de vues. En réalité, elle en a fait trois fois plus : 3 750 000 vues, seulement en France. C'est un signe. Qu’est-ce qu’être un Français aujourd'hui ? Mohammed qui voile sa femme est français. La nationalité tend à devenir un concept purement juridique, sans prise sur la réalité.

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  • Exclusif ! Procès de Milan Premiers extraits, information censurée dans tous les médias français

  • Ma bonne semaine de mauvaise foi !

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    Par Patrice Lemaître

    Du Brexit

    Vos médias vous ont tous dit au sujet du Brexit (presque sans aucune exception) :

    • Que les Anglais, dans leur grande majorité, regrettaient leur vote.
    • Que la démocratie imposait que l’on refasse un référendum, pour annuler le « No » sacrilège, vainqueur du 1er référendum.
    • Que des centaines de milliers de chômeurs supplémentaires allaient payer cette folie démocratique : le « No » des Britanniques à l’Europe qui impliquait leur sortie de l’Union Européenne.
      • Que le Parlement britannique essayait de rattraper cette immense erreur historique, en empêchant, depuis deux ans, les conservateurs, favorables à la sortie (Brexit) de mener à bien cette décision voulue par une légère majorité du peuple anglais, etc.
      Vous vous attendiez donc logiquement à une déroute électorale du premier ministre Boris Johnson aux élections législatives de la semaine dernière. Et bien non, ce fut au contraire un score historique pour lui et son parti conservateur, partisans du Brexit, un score jamais atteint depuis… Margaret Thatcher ! Ce qui montre bien que cette Europe qui nous dirige, cette Europe de la finance et des technocrates asservis a de moins en moins la cote auprès des peuples. Mais cela, aucun média ne vous le dira.

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  • « Cette jonction naturelle entre le patriotisme et la vraie foi »

    Actuellement au service du diocèse de Toulon, Julien Langeila embrasse avec fougue ces deux adjectifs, si souvent réputés contradictoires : catholique et identitaire. Il vient de publier chez DMM, un livre sous ce titre.

    Dialogue avec Julien Langeila

    Julien Langeila, vous avez trente ans. Le titre de votre premier livre : Catholiques et identitaires, claque comme une bannière. Quel est votre parcours personnel ?

    Ce sujet me tient particulièrement à cœur parce que je suis un jeune converti. J'ai reçu le sacrement de confirmation en 2013. Je peux dire en grossissant un peu le trait que je me suis converti au catholicisme grâce à un pasteur protestant parlant provençal et célébrant la messe dans la forme extraordinaire (de fait, ce brave monsieur avait inventé sa propre religion) Même si je savais que l'Église n'était pas qu'une ONG pro-clandestins, et qu'il y avait encore des amoureux du Beau et du Vrai en son sein, son allure extérieure - bourgeoise, économiquement libérale ou « mili-pêchu-mytho » - me rebutait assez. Je ne viens pas de ce milieu : j’étais entré en politique sept ans auparavant, à l'Action française puis aux Identitaires, dans une démarche radicale (traiter les problèmes à la « racine » comme le dit bien l’étymologie latine et esthétique.

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  • "Le nationalisme antilibéral."

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    La presse Italienne titre aujourd’hui sur la question des concessions d’autoroutes et la volonté du gouvernement d’en changer les règles d’attribution et de gestion : « Conte et la normes sur les autoroutes : elle n‘est pas punitive » (Corriere della Sera), « Autoroutes va à l’affrontement » (La Repubblica), « Le dossier du gouvernement : Autoroutes, le pacte avec les citoyens a été violé » (La Stampa), « Etreinte concessions, Autoroutes en tranchée : ‘’ Prêts à abandonner ‘’ » (Il Messaggero).

    EDITORIAL, Corriere della Sera, E. Galli della Loggia : « Un grand bain de vérité » : « Depuis des années, l’Italie est dans l’attente de quelque chose de nouveau. Nous attendons quelqu’un depuis des années – un homme, une femme, une idée, un parti, un mouvement, un gouvernement – capable d’interrompre le grand vide qu’est devenu notre vie politique et de ressusciter l’Etat en décomposition dans lequel nous sommes obligés de vivre. L’attente dure au moins depuis 2011, c’est-à-dire depuis le naufrage du berlusconisme et de la mise hors-jeu de l’opposition par Giorgio Napolitano. C’est à partir de ce moment-là que nous assistons à la recherche d’un Messie ou, en alternative, d’un Mouvement, d’une rupture sociale qui le remplacerait.

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  • Russie - La tentation néolibérale

    3893029716.jpgEx: http://www.europesolidaire.com

    Cet ouvrage est de Karine Bechet Golovko. Il été publié par l'Harmattan le 31/01/2018. Il avait peu attiré l'attention à l'époque, mais il conserve une actualité suffisante pour que nous le présentions ici.

    Karine Bechet Golovko se décrit elle-même ainsi 
    Habitant à Moscou depuis une quinzaine d'années, j'observe avec une passion toujours renouvelée les élans de ce pays complexe. Par des articles dans la presse, des publications scientifiques et des ouvrages je tente de vous faire partager une certaine vision d'un monde qui se renouvelle en permanence sous nos yeux.
    « L'autorité des décisions de la CEDH à l'égard des juges constitutionnels », Revue Est-Europa, 2016, N°1
    « De l'instrumentalisation du droit et des Etats : constitutions et révolutions dans l'espace post-soviétique », in « Les Constitutions, des révolutions à l'épreuve du temps », sous la dir. M.-E/ Baudoin et M. Bothom, LGDJ Lextenso, 2016
    « Russie : la complexification des rapports entre l'Etat et la société civile », Revue d'études Est-européennes, 2014, N°1 spécial
    « La dyarchie de l'exécutif en Russie », RDP, 2013, N°2
    « Les présidentielles russes : les acteurs face à un choix de société », revue Politeia, n° 22 (2012)
    « Les élections parlementaires russes : la fin d'une époque ou juste un sursaut ? », Revue Politeia, n° 20 (2012)
    « Que reste-t-il du concept de « souveraineté » ? A l'occasion de la décision du Conseil constitutionnel sur le Traité de Lisbonne », Revue Politeia n°13 (2008)

    Présentation par l'éditeur

    La vague néolibérale mondiale a-t-elle échoué à atteindre la Russie ? Le calme de façade de la politique intérieure du pays couvre des turbulences que nous ne soupçonnons pas. Derrière la personnalité de V. Poutine, ce sont des clans néolibéraux et conservateurs qui s'affrontent à travers les organes de pouvoir, font passer des réformes, lancent des contre-réformes. Cette gouvernance russe s'est ouverte aux modalités néolibérales et revendique sa place dans la mondialisation.

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  • La Hongrie commence à parler de Hunxit!

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    Hunxit, c’est ce que mon cœur me dicte, je me réjouirais si cela pouvait se concrétiser.

    C’est en ces termes que Zsolt Bayer, membre fondateur du Fidesz, s’est exprimé dimanche passé sur Hirtv.hu.

    Zsolt Bayer: Alors que les Britanniques viennent d’approuver pour la deuxième fois le Brexit, le débat en cours à Bruxelles, portait sur le droit d’un enfant de quatre ans à se masturber..

    L’Angleterre a dit assez… et à Bruxelles les absurdités continuent.

    Puis il a cité en exemple l’artiste subventionné norvégien, qui peint en éjectant de la peinture de son anus, pour illustrer le degré de putréfaction avancé de l’Europe, putréfaction à laquelle la Hongrie ne veut plus être associée.

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  • L’Allemagne persiste et signe : « Les Pays-Membres de l’UE Devront Tous Accueillir des Migrants »

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    • Derrière le débat migratoire, c’est la question du fédéralisme qui est posée : jusqu’où l’Union européenne sera-t-elle autorisée à décider à la place des 28 États membres ?
    • Si tout se déroule comme prévu, le projet de loi sera adopté au Parlement européen au second semestre 2020 sous présidence allemande de l’UE. Le texte sera ensuite ratifié par le Conseil européen, composé des dirigeants des États membres de l’UE.
    • « Nous sommes fondamentalement opposés à toute migration illégale. Nous refusons que des gangs de passeurs décident de qui est autorisé à vivre en Europe. » – Le Premier ministre tchèque Andrej Babiš.

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  • Ce discours de Bellamy qui en dit long sur Macron, Soros, Malte, la Pologne et la Hongrie

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    Au Parlement européen, mardi 17 décembre, François-Xavier Bellamy s’attaquait violemment au 1er ministre maltais, Joseph Muscat, et demandait sa démission immédiate. Une telle charge venant d’une personne aussi pondérée que Bellamy peut surprendre, mais elle est justifiée. Surtout elle nous permet d’éclairer la collusion de certains progressistes en Europe.

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  • Les Décodeurs décodés : condamnation de Samuel Laurent et du Monde pour diffamation

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    Vous connaissez les Décodeurs, financés par Facebook, et animés jusqu’il y a peu par Samuel Laurent. Samuel Laurent et son employeur Le Monde viennent d’être condamnés pour diffamation envers Olivier Berruyer, animateur du site Les Crises.

    Rappel des faits

    Le 16 février 2017, Samuel Laurent traitait Olivier Berruyer de faussaire, reprenant sans aucune vérification les accusations d’une universitaire de Rennes, Cécile Vaissié, dans son livre Les Réseaux du Kremlin en France. Un mois plus tard, s’appuyant sans doute sur le même livre, le 17 mars 2017, Adrien Senecat publiait dans Le Monde un dossier sur « l’industrie de la désinformation », accusant Olivier Berruyer d’approximations, d’erreurs volontaires et d’avoir supprimé 600 de ses articles que l’on pouvait supposer fautifs. Le 16 juin 2019 Cécile Vaissié était condamnée à verser à Olivier Berruyer 4.500 € au titre des dommages et intérêts et remboursement des frais de justice.

    Les arroseurs arrosés

    Le tribunal de Paris a condamné Adrien Senecat, Samuel Laurent et Le Monde par un jugement du 17 décembre 2019 pour diffamation. Louis Dreyfus, directeur de la publication et Adrien Senecat à 1.500 € d’amende et 3.500 € de dommages et intérêts. Samuel Laurent est condamné à 500 € d’amende et 2.500 € de dommages et intérêts. Ces sommes incluent une partie des frais de justice.

    Samuel Laurent qui s’était illustré par un article fameux sur le Pacte de Marrakech que nous avions décortiqué ici a depuis quitté les Décodeurs pour des enquêtes dans le même quotidien du soir.

    Article repris du site OJIM

    https://fr.novopress.info/216404/les-decodeurs-decodes-condamnation-de-samuel-laurent-et-du-monde-pour-diffamation/