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Europe et Union européenne - Page 352

  • Des milliers d’Espagnols dans la rue à l’appel de Vox contre le gouvernement d’union des gauches

    Des milliers d’Espagnols ont manifesté dans plusieurs villes du pays ce dimanche à l’appel du parti nationaliste Vox afin de dénoncer l’accord conclu entre le futur gouvernement de Pedro Sanchez et certains indépendantistes catalans.

    «España Existe»

    «L’Espagne existe» : c’est sous ce slogan que des milliers de personnes ont manifesté dans plusieurs villes d’Espagne ce 12 janvier, selon l’agence AFP et la presse ibérique. Ils entendaient dénoncer un gouvernement d’union des gauches «entre les mains des séparatistes».

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  • «La Croatie va continuer de refouler les migrants à la frontière» malgré l’élection d’un président social-démocrate

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    Trop divisée, la droite pourtant puissante en Croatie, a perdu l’élection présidentielle à la faveur des sociaux-démocrates emmenés par Zoran Milanovic. Un revirement politique qui devrait, sur le court terme, avoir peu d’incidence sur la politique migratoire en Croatie. Explications.

    Il prône un retour à une «Croatie normale» par opposition à la «Croatie authentique» et nationaliste défendue par la présidente conservatrice sortante Kolinda Grabar-Kitarovic : le social-démocrate Zoran Milanovic a été élu président de la Croatie, dimanche 5 janvier, à la surprise générale.

    D’après les résultats quasi définitifs de la Commission électorale, cet ancien diplomate de 53 ans a obtenu 52,7% des voix contre 47,3% pour sa rivale dont la rhétorique nationaliste et patriotique n’a pas su convaincre les nombreux électeurs ayant voté au premier tour pour un chanteur populiste de revenir dans le giron conservateur.

    Ex-premier ministre de décembre 2011 à janvier 2016 avec le parti social-démocrate (SPD), Zoran Milanovic est présenté comme un homme ambitieux, tolérant et tourné vers l’avenir promettant de faire de la Croatie une «République pour tous».

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  • L'Europe jusqu'à Vladivostok

    Histoire et géopolitique (1992)

    L’histoire connaît les cités-états : Thèbes, Sparte, Athènes, plus tard Venise, Florence, Milan, Gênes. Aujourd’hui elle connaît les Etats territoriaux : la France, l’Espagne, l’Angleterre, la Russie. Finalement elle découvre les Etats continentaux, tels que les Etats-Unis d’Amérique, la Chine actuelle et l’URSS d’hier. [1] L’Europe d’aujourd’hui subit une période de transformations. Elle doit passer du stade plus ou moins stable des Etats territoriaux au stade de l’Etat continental. Pour la majorité des gens, cette transition est entravée par l’inertie mentale, sans parler de la paresse de l’esprit.

    Bien que n’étant pas plus grande qu’un morceau de tissu, Sparte avait une forte vitalité, d’un point de vue historique, vivant avant tout dans son aspect militaire. Ses dimensions et ses ressources étaient suffisantes pour contenir une armée capable de gagner le respect de tous ses voisins.

    Nous approchons ici le problème basique de la vitalité des Etats. La cité-état historique fut supplantée par l’Etat territorial. L’Empire romain supplanta Athènes, Sparte, Thèbes. Et sans grand effort [2]. Aujourd’hui la vitalité historique de l’Etat dépend de sa vitalité militaire, qui à son tour dépend de sa vitalité économique ; ce qui nous conduit à l’alternative suivante :

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  • La crise des réfugiés n’est pas un phénomène naturel

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    Pourquoi plus de combattants de la liberté patriotiques sont nécessaires.

    • L’AfD allemande est le seul parti à proposer une solution aux migrants
    • DS: Les communautés doivent être détruites par le chômage et l’immigration de masse
    • Causer le chaos économique et social dans toute l’Europe
    • Protéger les Européens natifs

    La crise des réfugiés a suscité d’énormes inquiétudes dans des pays européens comme la Hongrie, l’Autriche et la Pologne. En réponse à l’arrivée de 7 000 migrants par jour sur le territoire hongrois en 2015, le gouvernement hongrois a rétabli le contrôle des frontières afin d’empêcher les hordes de réfugiés d’entrer dans le pays.

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  • La droite condamnée au populisme ?

    La droite en France joue actuellement son avenir. Il avait fallu rien de moins que Charles de Gaulle pour la réintroduire dans la vie politique. La nullité de ses épigones semble siffler la fin de l’intermède. Y aura-t-il encore une droite capable remporter les élections dans les décennies qui viennent ?

    Il existe une particularité de la vie politique française qui depuis des années frappe tous les commentateurs : c’est l'absence d'un vrai parti conservateur. Les Torries en Angleterre structurent la vie politique et même, lorsque passe un Churchill, déterminent la stature internationale de la perfide Albion. De leur côté, les chrétiens démocrates font, avec leurs alliés bavarois du CSU, la pluie et le beau temps Outre Rhin. Dans l'Hexagone, rien de tel. Les conservateurs existent à la marge dans un parti comme le Centre National des Indépendants et Paysans, le parti d'Antoine Pinay, qui est aujourd'hui un parti résiduel. Ils ne parviennent pas à s'organiser longtemps, victimes sans doute de la Révolution française, victimes de cette identification fantasmée entre la France et sa Révolution, qui empêche toute perspective contre-révolutionnaire, tout conservatisme, d'émerger de manière durable.

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  • Les deux populismes

    Numériser.jpegLes experts es Sciences politiques s'exercent à construire rhétorique-ment un monstre, contre lequel ils appellent à la haine, en le nommant « populisme » ou même, comme Ilvo Diamant! et Marc Lazar, « peuplecratie », c'est-à-dire, dans leur langue italienne d'origine, ce mixte inélégant de latin et de grec « popolocratia ». Pouvoir du peuple ? Peuple au pouvoir ? Dictature du référendum ? Exaltation autoritaire d'une identité fantasmée ? "Nous" contre "les autres" ? Le populisme vu par les experts, c'est un peu tout cela une horreur. Un anti-modèle que l'on peut stigmatiser tranquillement sans jamais être injuste. Une figurine spécialement fabriquée pour aimanter toutes les fléchettes, pour mériter toutes les critiques. Viviane Forester parlait de « l'horreur économique ». Le populisme aujourd'hui serait, sans qu'il y ait besoin de plus ample examen, « l'horreur politique ». Comment expliquer cette inflation médiatique des qualificatifs négatifs au sujet d'une réalité politique que personne (et pas même les spécialistes) ne se donnent la peine de définir « C'est l'un des mots les plus cornus de la science politique, un terme exceptionnellement vague » note par exemple la professeure de théorie politique Margaret Canovan. Nous comprenons très bien pourquoi ce vague et ce flou parce que le populiste, c'est l'autre, celui qui n'est pas en accord avec le système quoi qu'il pense. Celui donc que les tenants du système ne peuvent que détester, sans même éprouver le besoin de savoir ce qu'il pense.

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  • Katalin Novak : Une femme politique qui défend son peuple

    Numériser.jpegPopuliste ? Katalin Novak est ministre de la famille dans le gouvernement de Viktor Orban et vice-présidente de son Parti le Fidesz. Elle défend la famille et la sociabilité hongroise. Avec pragmatisme, elle veut la stabilité de la Hongrie au sein de l’UE.

    Propos recueillis par Jeanne Smits et Olivier Figueras

    La Hongrie est en tête de l'investissement dans la politique familiale pour les pays de l'OCDE. Croyez-vous cet investissement favorable à l'économie ?

    J'apprécie beaucoup que vous parliez d'« investissement », parce qu'habituellement, on utilise le mot « dépense ». Quant à moi, je n'utilise jamais l'expression « dépense » à propos du budget de la famille parce que je pense qu'il s'agit du meilleur investissement possible. C'est un investissement dans notre avenir, dans nos enfants.

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  • François Asselineau sur le Brexit : « Boris Johnson est en train de montrer aux peuples d’Europe qu’il y a une vie après l’UE » (Vidéo)

    François Asselineau sur le Brexit : « Boris Johnson est en train de montrer aux peuples d’Europe qu’il y a une vie après l’UE ». Le président de l’Union populaire républicaine (UPR) était interrogé au sujet du vote par la Chambre des communes, largement dominée par les conservateurs, du texte traduisant dans la loi l’accord du Brexit ce 9 janvier (RT).

  • Autriche : malgré une alliance avec les Verts, le chancelier Sebastian Kurz n’a pas l’intention d’assouplir sa politique migratoire

    Réélu en septembre à la tête de l’Autriche, le jeune chancelier Sebastian Kurz a prêté serment mardi. Malgré une surprenante coalition gouvernementale formée avec les Verts, le dirigeant ultra-conservateur n’a pas l’intention de faire des concessions sur sa politique migratoire.

    (…) Avec l’arrivée surprenante des Verts au gouvernement, Sebastian Kurz admet avoir fait des compromis. L’accord de coalition prévoit notamment la mise en place d’une vaste politique de lutte contre le changement climatique afin d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2040, mais aussi l’amélioration de la transparence gouvernementale et administrative. Pour autant, s’il y a bien un point sur lequel Sebastian Kurz ne compte pas déroger, c’est sa politique migratoire extrêmement ferme.

    “Avec ce nouveau gouvernement nous reprendrons beaucoup d’éléments de notre programme comme les allègements fiscaux pour les travailleurs ainsi qu’une ligne cohérente dans les domaines de la sécurité et de la migration”, a expliqué Sebastian Kurz lors de son discours d’investiture, tenant à rassurer son électorat de droite face à l’arrivée des Verts positionnés clairement à gauche sur l’échiquier politique. Le jeune dirigeant a également rappelé qu’il était important pour l’Autriche « d’aider l’Union européenne à se développer dans la bonne direction » et qu’il était toujours opposé à un mécanisme de distribution en Europe des migrants secourus en Méditerranée. Pour l’heure, seuls quatre pays européens y participent : la France, l’Allemagne, l’Italie et Malte.

    (…) Info Migrants

    https://www.fdesouche.com/1321343-autriche-malgre-une-alliance-avec-les-verts-le-chancelier-sebastian-kurz-na-pas-lintention-dassouplir-sa-politique-migratoire

  • Iran – Etats-Unis : la guerre sans la vouloir ? – Journal du mercredi 8 janvier 2019

     

    Iran – Etats-Unis : la guerre sans la vouloir ?

    L’Iran riposte après l’assassinat ciblé du général Qassem Soleimani. Dans la nuit de mardi à mercredi, la République islamique a envoyé des missiles sur deux bases américaines en Irak. Une réponse que beaucoup espèrent être la dernière dans un face à face qui fait redouter le pire.

    Carlos Ghosn : des justifications en attendant la suite

    Après sa fuite du Japon, Carlos Ghosn s’est exprimé publiquement ce mercredi pour clamer son innocence. Une communication millimétrée alors que l’ancien patron de Renault-Nissan est désormais seul contre tous.

    Avec Pedro Sanchez, l’Espagne voit rouge

    Une coalition socialiste avec Podemos à la tête de l’Espagne ! Le président du gouvernement Pedro Sanchez a obtenu le vote de confiance de justesse à la faveur d’un compromis controversé avec les séparatistes catalans.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/iran-etats-unis-la-guerre-sans-la-vouloir-journal-du-mercredi-8-janvier-2019