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Europe et Union européenne - Page 612

  • Un dossier sur la mission Defend Europe dans le magazine Identitaires

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    La mission Defend Europe fait la une du n° 25, daté de novembre-décembre, du magazine Identitaires, qui y consacre un dossier. Egalement au sommaire de ce magazine qui livre les « actualités de la résistance enracinée » :

    – Université d’été : Défenseurs de l’Europe ;
    – Chanas sans migrants ! ;
    – 30 mesures pour une politique d’identité et de remigration ;
    – Mouvements locaux : Face à l’invasion, les résistances locales s’organisent ;
    – Les identitaires s’enracinent en Allemagne.

    Un numéro à commander ici.

    https://fr.novopress.info/208481/un-dossier-sur-la-mission-defend-europe-dans-le-magazine-identitaires/

  • Harcèlement sexuel : Huffington Post, UNEF, Hollywood, les « féministes » complices des porcs

    Antiracistes, féministes et gauchistes, qui viennent d’ailleurs du même arbre vénéneux, rivalisent dans la distribution de moraline. En toute hypocrisie bien sûr, tant il est vrai qu’ils se contrefichent qui des minorités, qui des femmes et qui du peuple, leur obsession étant totalement centré sur leur bouc-émissaire : la France catholique. Les faits ne sont dénoncés que lorsqu’ils servent leur cause. Triple exemple tiré des derniers jours :

    • L’UNEF n’est pas seulement un syndicat étudiant qui fournit le PS en cadres, il semble aussi connaître des problèmes de harcèlement sexuels. Là encore la parole se libère. Il semblerait que les jeunes progressistes avaient inventé le terme de « castorer » (une allusion à Simone de Beauvoir, comparse du harceleur Sartre ?) quand ils avaient connus bibliquement une donzelle. On apprend par le témoignage d’une certaine Annaïg (Annette en breton) que cela cachait des faits extrêmement graves, comme des filles qui « ont dû avorter »et les « pressions voire les menaces qu’elles recevaient pour se taire »« Suis-je la seule à avoir été provoquée par un haut responsable de l’organisation qui savait que je vomissais ses pratiques ? (Pour moi, ce fut cette fois où il caressa publiquement l’entrejambe d’une camarade sans lui demander son avis en me disant, l’œil lubrique : “Ça te choque hein ?”). » Elle évoque aussi comment certains cadres utilisaient les rencontres nationales, et la montée de « camarades » provinciales, pour choisir qui ils hébergeaient et pouvoir en profiter sexuellement. Un autre témoignage publié sur Facebook le 16 novembre par Raphaëlle Rémy-Leleu décrit par le détail la façon dont les couples sont surveillés, épiés, mais aussi les pressions qu’elle a subies en raison de sa vie sexuelle. Elle l’assure : « Aucune [militante] n’a échappé à la violence sexiste de l’organisation. ». Or qui était la secrétaire générale de l’UNEF à l’époque ? La fameuse Caroline de Haas, la même qui disait que ce qui était choquant dans l’appel au viol contre des militantes nationalistes, ce n’était le viol mais le fait que cela fasse le jeu du FN… Parfaitement au courant des faits, elle n’a rien dit. Ils ne servaient pas la cause…
    • Le Huffington Post est un journal interpellé quelque part sur la question des prédateurs sexuels. N’est-il pas dirigé en France par Anne Schwartz « Sinclair », ex-Levaï, ex-Strauss-Kahn ? Ce cyberjournal d’extrême gauche, propre à vomir en permanence sur l’homme blanc chrétien (au point de nier toute connotation ethnique aux crimes de Weinstein) se voit démasqué dans sa propre hypocrisie. Mélanie Ehrenkranz a ainsi dénoncé la fondatrice Arianna Huffington, à l’état civil Ariádni-Ánna Stasinopoúlou, comme complice de prédateur sexuels, notamment du rédacteur franco-indo-américain Jimmy Soni, auteur de «comportements inappropriés » qui, en 2014, a été soudainement réaffecté pour aider à lancer HuffPost India et envoyé à New Delhi après que des rumeurs avaient circulé sur son attitude envers plusieurs femmes employées. La connaissance de Arianna Huffington de l’enquête sur Soni, ainsi que l’absence de reconnaissance des problèmes internes ou externes, ont mis en doute son engagement à défendre les droits des femmes. Une employée de Huffington Post qui était rédactrice à l’époque a dit que Huffington était «très protectrice envers ceux qui étaient dans son petit clan», ajoutant que «je ne doute pas une fraction de seconde qu’elle les protégerait que ce soit pour des harcèlements sexuels ou des fautes professionnelles. »
    • Hollywood L’affaire Weinstein a permis de démasquer trois gauchistes de la plus belle eau, qui « savaient », mais qui ont fermé leur clapet, car cela nuisait à la cause, par ailleurs trois animateurs de la haine anti-Trump connus pour leurs éternelles leçons de de morale : Jane Seymour Fonda « militante féministe », Mary Louise Streep, ferme soutien d’Hillary Diane Clinton (elle aussi grande « féministe » protectrice de harceleurs sexuels, quand ce n’est pas de pédophiles…) et, cerise sur le McDo’, Quentin Jerome Tarantino, donneur de leçons entre mille… Mais il y a maintenant un nouveau nom sur la liste des « balance ton porc mais touche pas à mon cochon » : Allison Mack, numéro deux de la secte NXIVM fondée par Keith Raniere, mais présidée par Nancy Salzman et financée par Sara et Clare Bronfman, sœurs du producteur de film Edgar Miles Bronfman Jr et surtout filles du patron du Congrès Juif Mondial Edgar Miles Bronfman Sr. Cette secte pratique l’esclavage sexuel, avec notamment marquage au fer rouge des adeptes féminins.

    Quand les féministes parlent de « droits des femmes », elles ne sont pas plus crédibles que Bernard Madoff parlant d’honnêteté financière ou le bon docteur Eufemiano Fientes de lutte antidopage…

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/harcelement-sexuel-huffington-post-unef-hollywood-les-feministes-complices-des-porcs/83751/

  • L’ITALIE, PREMIER PAYS À RISQUE FINANCIER ET BANCAIRE DE LA ZONE EURO

    Marc Rousset

    Les ratios financiers d’un trop grand nombre de banques moyennes italiennes sont préoccupants. Le gouvernement italien doit 432 milliards de fonds « Target 2 » à la BCE. La dette publique représente 132 % du PIB italien. La Lombardie et la Vénétie demandent une plus grande autonomie financière et l’instabilité politique approche en Italie avec le succès du Mouvement 5 étoiles de Beppe Grillo.

    La plus ancienne banque du monde, la banque Monte dei Paschi di Siena, n’est toujours pas sortie d’affaire et vit peut-être ses derniers jours alors que le gouvernement italien a déjà injecté 3,85 milliards d’euros pour la maintenir en vie et a engagé 1,5 milliard supplémentaire pour protéger l’un des porteurs de dette junior de la banque. Et tout cela dans le contexte d’un plan de sauvetage de la banque avec le licenciement de 5.500 personnes, la fermeture de 600 agences d’ici 2021, le transfert d’actifs non stratégiques et de prêts non performants hors de la banque toscane pour la modique somme de 28,6 milliards d’euros.

    L’Association des banques italiennes confirme que les banques recapitalisées à hauteur de 60 milliards d’euros ces dernières années peinent à renforcer leurs fonds propres. Toutes les raisons ci-dessus mentionnées et le sauvetage des deux plus grandes banques de Vénétie, Banca Popolare di Vicenza et Veneto Banca, font craindre la disparition, au minimum, d’une dizaine d’établissements dans la tourmente italienne, l’État italien accordant parfois des prêts garantis mais ne voulant surtout pas entrer au capital beaucoup trop risqué des banques.

    Il n’y a pas que les entreprises et les investisseurs qui perdent confiance dans le système bancaire italien. C’est également le cas des particuliers. Seulement 16 % des Italiens font confiance à leur banque, selon un sondage réalisé par le groupe SWG de Trieste.

    Fin octobre 2017, le gouvernement italien, suite à la très généreuse politique de rachat de titres par la BCE, a été encore capable d’émettre 2,5 milliards d’obligations sur dix ans au taux miraculeux de 1,86 %, mais quel taux l’Italie devra-t-elle bientôt accepter à partir de 2018, en raison de l’atteinte des quotas maxima italiens dans les livres de la BCE et du changement de politique de l’institution francfortoise ?
     
    Quant à l’Union bancaire de l’Union européenne, on en parle beaucoup, mais elle n’est pas du tout achevée et n’a pas les moyens financiers suffisants pour assurer un véritable filet de sécurité en cas de crise grave dans un pays important. Le PIB de l’Italie (1.850 milliards d’euros) n’est pas très éloigné de celui de la France et représente neuf fois celui de la Grèce (194 milliards d’euros).

    Sur le plan politique, la situation risque de devenir rapidement très instable. Le Partito Democratico de Matteo Renzi, avec seulement 24 % des voix, est en train de s’écrouler face à la montée des partis populistes, nationalistes, souverainistes, antilibéraux de gauche. Le Mouvement 5 étoiles, de Beppe Grillo, dépasse le PD de 5 % des voix avec un score probable de 29 % et exige un référendum sur l’appartenance à l’euro si l’Allemagne refuse la mutualisation des dettes. Forza Italia, de Silvio Berlusconi, et la Ligue du Nord de Matteo Salvini, soit ensemble 15 % des votes, estiment que l’euro est surévalué pour l’économie italienne et demandent l’instauration de l’euro monnaie commune qui permettrait la dévaluation de la monnaie nationale, en lieu et place de l’euro monnaie unique. Ces trois blocs politiques au Parlement italien seront incapables de constituer une majorité stable, encore moins que la coalition Jamaïque de madame Merkel, qui a du plomb dans l’aile.

    Il apparaît que le système financier et la zone euro godillent dans le monde avec de très fragiles esquifs entre de trop nombreux récifs. Il serait surprenant qu’une voie d’eau n’apparaisse pas un jour quelque part pour l’un d’entre eux. Malheureusement, toutes ces fragiles embarcations sont interconnectées. En 1929, la faillite du Kreditanstalt à Vienne donna le signal d’un écroulement bancaire en chaîne dans le monde. En 2018 ou dans un très proche avenir, suite aux premiers effets du ralentissement de l’assouplissement quantitatif de la BCE, le signal de déclenchement d’un krach bancaire et financier mondial pourrait bien être donné par une banque italienne.

  • La secousse d’Ostie

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    Georges Feltin-Tracol

    Le 5 novembre dernier, des élections administratives se déroulaient en Italie. Outre l’élection du gouverneur et de l’assemblée régionale autonome en Sicile, les électeurs étaient conviés à plusieurs scrutins municipaux.

    En Sicile, le candidat des droites unies (Forza Italia de Berlusconi, Frères d’Italie issu de l’éclatement de l’Alliance nationale post-fasciste, Ligue du Nord), Nello Musumeci, lui-même néo-fasciste dans sa jeunesse, remporte le mandat avec 39,8 % devant le candidat du Mouvement 5 Étoiles de Beppe Grillo (34,7 %). À 18,7 %, le centre-gauche au pouvoir à Rome subit un vrai revers électoral. Mais le coup de tonnerre politique est venu de la banlieue de Rome, d’Ostie plus précisément.

    Arrondissement portuaire de la capitale italienne, Ostie était depuis le printemps 2015 sous la tutelle directe de l’État afin d’éradiquer toute emprise mafieuse sur la municipalité. Le second tour, très ouvert, qui va élire au suffrage universel direct le maire opposera la grilliniste Giuliana Di Pillo à Monica Picca de l’« union des droites ». Là encore, le centre-gauche gouvernemental ne réalise que 14,09 % des suffrages. Alors que la participation ne s’élève qu’à 36,15 %, 5 944 électeurs, soit 9,08 %, ont apporté leur voix à Luca Marsella de CasaPound. Stupeur et consternation des journalistes ! Le candidat « fasciste du IIImillénaire » franchit les 20 % dans certains quartiers.

    Mouvement politique, associatif et culturel, CasaPound a choisi de se présenter aux élections à partir des législatives de 2013 où il obtint moins de 50 000 voix. En juin dernier, lors des précédentes élections municipales, ses candidats ont réuni 0,33 % à Padoue, 0,68 % à Lecce, 0,96 % à L’Aquila, 1,02 % à Vérone, 1,15 % à Cumeo et à La Spezia, 1,34 % à Pistoia, 1,72 % à Lazio et 1,79 % à Padoue. On observe néanmoins que le débat sur l’adoption du droit du sol et l’arrivée massive d’immigrés clandestins radicalisent une partie de l’opinion italienne. À Todi, CasaPound atteint 5 %, à Bolzane 6,70 % et même 7 % à Luca !

    Partant de très bas, la tortue, symbole du mouvement de Gianluca Iannone, engrange peu à peu quelques succès électoraux. Pour la première fois, deux élus locaux, le maire de Trenzano et le vice-maire de Montelibretti, viennent d’adhérer à CasaPound. Les législatives du printemps 2018 lui assureront-elles une modeste représentation parlementaire ? En attendant, Avanti CasaPound !

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 53, diffusée sur Radio-Libertés, le 17 novembre 2017.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/11/20/la-secousse-d-ostie-6000936.html

  • Louis Aliot : “Sur l’Europe, Laurent Wauquiez vient sur notre terrain”

    Invité ce lundi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Louis Aliot a évoqué la présidence des Républicains et la candidature de Laurent Wauquiez.

    Pour le vice-président du FN :

    Sur l’Europe, aujourd’hui, Monsieur Wauquiez vient sur notre terrain (…) Il a un discours qui pourrait apparaître comme pseudo-souverainiste.

     

  • EN HONGRIE, LES JEUNES ET LES ACTIFS ONT CHOISI LEUR CAMP : ANTI-IMMIGRATION

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    Selon un récent sondage, les 18-44 ans hongrois devraient voter à plus de 80 % pour des partis anti-immigration lors de leurs élections législatives en 2018.

    Ce sondage s’inscrit dans une continuité politique depuis 1998, date à laquelle Viktor Orbán, président du Fidesz, devient Premier ministre pour la première fois. Réélu en 2010, celui-ci œuvre pour faire passer la Hongrie avant l’Union européenne dans toutes les décisions qui concernent le territoire national. En particulier sur les questions d’immigration. En mars, le Parlement a d’ailleurs choisi de retourner à une politique d’asile encadrée, ce qui se traduit par l’interdiction de la libre circulation des demandeurs d’asile dans le pays. Il semblerait absurde qu’un demandeur ait les mêmes droits que celui qui a obtenu l’asile. En septembre, c’est le projet de grande consultation populaire contre le « plan Soros » qui a été lancé. Dans les jours qui viennent, les Hongrois seront amenés à se prononcer sur ce plan, détaillé en sept points argumentés pour cette consultation. 

    Si un gouvernement mène une certaine politique depuis plus de sept ans et que 80 % de la population sont prêts à appuyer cette politique par leur vote, il semble que la conclusion à laquelle il faille arriver et que le mode d’action et les décisions prises soient bons.

    Ce qui est intéressant, c’est que ce sont les plus jeunes, c’est-à-dire l’avenir du pays, qui plébiscitent majoritairement une politique nationale et identitaire. C’est le sursaut des peuples qui refusent que d’autres choisissent pour eux. Ils refusent qu’un milliardaire né hongrois, émigré aux États-unis, ayant fait fortune par la spéculation, grand mécène d’organisations opaques telles que Human Rights Watch (organisme cité par tous les grands journaux français pour attaquer la politique hongroise), instigateur du chaos (afin d’en profiter par la suite pour faire plus d’argent), bref, un pourri, puisse du haut de sa fortune tirer les ficelles du monde.

    Cette jeunesse consciente des grands enjeux de notre siècle est un formidable espoir en comparaison avec nos 18-44 ans français, désintéressés de tout, surtout de l’essentiel. Décidément, en ce centenaire de Fátima, il devient de plus en plus évident que le salut viendra de l’Est !

    http://www.bvoltaire.fr/hongrie-jeunes-actifs-ont-choisi-camp-anti-immigration/

  • Devant le Parlement européen, Nigel Farage dénonce la «véritable» ingérence : celle de George Soros

    Pour l'ancien chef du UKIP, les enquêtes sur les Paradise Papers ou sur l'ingérence supposée de la Russie pourraient avoir été commanditées par l'Open Society Foundation. L'ONG exerce en tout cas un lobbying intense auprès des décideurs européens. 
    L'eurodéputé britannique Nigel Farage a encore mis les pieds dans le plat ce 14 novembre 2017 au Parlement européen de Strasbourg. Le fondateur du Parti pour l'indépendance du Royaume-Uni (UKIP) a dénoncé l'influence à Bruxelles du milliardaire américain d'origine hongroise George Soros et de son réseau d'ONG chapeauté par sa fondation Open Society (OSF). «Son influence, ici à Bruxelles, est absolument extraordinaire», a-t-il ainsi lancé dans son temps de parole imparti, réclamant l'ouverture d'une enquête. A l'appui de son assertion, le flamboyant élu eurosceptique, avance que l'OSF serait le principal bailleur de fonds de l'enquête sur les Paradise Papers. 
    Nigel Farage rappelle également qu'au Royaume-Uni, la commission électorale a ouvert début novembre une enquête sur un hypothétique financement offshore, voire précisément russe, de la campagne en faveur de la sortie du pays de l'Union européenne. La décision a fait suite à la requête d'un parlementaire britannique travailliste, Ben Bradshaw. Or, toujours d'après l'ancien dirigeant du parti UKIP, ce même Ben Bradshaw est en lien... avec la fondation de George Soros. 
    Open Society liste ses «alliés fiables» au sein des institutions européennes
    Manœuvre de diversion visant à détourner l'attention de l'activisme et du lobbying de l'OSF dans les institutions européennes et de la reporter sur la Russie et son ingérence supposée ? C'est ce que Nigel Farage tend à démontrer, citant notamment un document édité par l'OSF elle-même et titré «Alliés fiables au Parlement européen (2014-2019)». 
    Sous forme de répertoire, la fondation de George Soros recense en effet les décideurs, députés et dirigeants européens en fonction de leur adhésion aux idéaux de la «société ouverte», notamment l'ouverture des frontières et l'accueil des migrants. «La présence d'un député européen dans cette énumération indique qu'il est susceptible d'apporter son soutien aux valeurs de l'Open Society», souligne cet annuaire en introduction, ajoutant : «On doit les approcher avec un esprit ouvert.» 
    «C'est là que se trouve la véritable collusion politique internationale», a encore martelé Nigel Farage devant ses collègues, rappelant aussi que George Soros avait transféré en octobre 2017 vers l'OSF et la constellation d'ONG qu'elle irrigue quelque 18 milliards de dollars de sa fortune personnelle.

  • JEAN-YVES LE GALLOU : « LE MOULE DE RÉSISTANCE EUROPÉENNE SE TROUVE DANS LES PAYS DE L’EST, QUI ONT SOUFFERT ! »

    Source : Boulevard Voltaire cliquez ici

    Les médias ont beaucoup glosé sur la foule du 11 novembre en Pologne. Jean-Yves Le Gallou pointe du doigt une montée en puissance du dénigrement de toute la presse internationale pour ce qui n’était rien d’autre qu’une grosse manifestation populaire dans un pays ayant, comme ses voisins de l’Est, une culture de résistance.

    Le 11 novembre dernier, de grandes manifestations se sont déroulées en Pologne à l’occasion de la fête de l’Indépendance. Cela a généré un emballement médiatique sur le thème de « fierté patriotique et d’extrême droite néonazie ». Que s’est-il passé en Pologne le 11 novembre ?

    Depuis un certain nombre d’années, un traditionnel défilé patriotique est organisé le 11 novembre en Pologne. Il y a une dizaine d’années, il attirait quelques centaines ou quelques milliers de personnes. Depuis quelques années, il touche un assez grand nombre de Polonais.

    Les organisateurs parlent de 120 000 personnes, la police parle de 60 000 personnes. C’est donc une très grande manifestation patriotique polonaise.

    Cette manifestation de l’identité polonaise peut-elle s’inscrire dans la montée de l’extrême droite dans les pays européens ?

    Non, je crois que cette manifestation est polonaise tout simplement.

    L’identité polonaise est européenne, chrétienne et catholique. C’est normal que cela se retrouve dans les slogans et dans les drapeaux.

    En revanche, l’attitude des médias occidentaux (États-Unis, Grande-Bretagne, France, Allemagne…) est nouvelle. Elle consiste à interdire toutes expressions identitaires et patriotiques en utilisant un vocabulaire de dénigrement et diabolisation.

    Ce qui est intéressant comme ils n’hésitent pas à monter en puissance dans le dénigrement. Ils parlent de manifestations d’extrême droite. Ils qualifient l’AFD en Allemagne de néonazi, les patriotes polonais sont des néonazis. Tout cela relève du délire médiatique.

    La Pologne a une histoire assez particulière. Cette histoire la place dans un contexte antinazi et anticommuniste. Où se situe la Pologne aujourd’hui sur l’échiquier européen ?

    La Pologne espère rester polonaise.

    Il est très significatif que les Polonais, les Hongrois et les Tchèques, qui sont encore très peu touchés par l’immigration aujourd’hui, aient compris qu’il fallait bloquer le phénomène dès son arrivée. Si jamais ils entrouvraient un petit peu la porte à l’immigration, alors, à ce moment-là, comme les autres, ils seraient submergés.

    Le moule de résistance européen, le moule de résistance d’identité européenne se trouve aujourd’hui dans les pays de l’Est. Ils ont beaucoup souffert, ils ont subi les effets de la Seconde Guerre mondiale et de l’occupation soviétique.

    Ils ont développé une culture de résistance qu’ils utilisent aujourd’hui contre les délires immigrationnistes de l’Union européenne.

    RAPPEL :

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/11/17/jean-yves-le-gallou-le-moule-de-resistance-europeenne-se-tro-6000108.html

  • LUEURS À L’HORIZON… TOUT NE SERAIT DONC PAS POURRI AU ROYAUME DE FRANCE ?

    Nouvelle, cette impression que « ça » bouge, que les lignes frémissent, les positions flottent, les endormis ouvrent un œil, les muets retrouvent de la voix, les trouillards se redressent.

    Ainsi l’affaire des prières de rue venant juste après la suppression de la croix sur la statue de Jean-Paul II. Ces prières se répètent à Clichy-la-Garenne depuis huit mois, mais enfin des protestations s’élèvent et des élus, pourtant très conventionnels, se massent, écharpe bien visible, pour chanter « La Marseillaise » (quelles que soient leurs arrière-pensées, ils sont là). Il semble désormais permis de dire que trop, c’est trop, qu’il ne faut cesser de tolérer ce qui est intolérable, que le deux poids deux mesures est inadmissible. On ose parler, s’étonner, même s’indigner quand des crèches sont interdites dans les mairies à Noël, alors qu’Hidalgo et autres fêtent la fin du ramadan en mairie. Et même Mme Autain n’est pas d’accord quand l’immunité parlementaire de Gilbert Collard est levée pour une image. Où allons-nous si la vérité n’est plus mise sous le boisseau ?

    Ainsi l’affaire Ramadan, qu’il soit coupable ou non, fait s’écharper des membres hautement respectés de la gauche, de l’extrême gauche : lutte de titans entre Charlie Hebdo et Mediapart, duel sanglant entre Riss et Plenel sous nos yeux goguenards. Quand des menaces de mort, que nous savons n’être pas vaines, s’y ajoutent, le combat devient vraiment sérieux. Les porcs balancés jusqu’ici étaient des porcs « blancs », et voici une figure reconnue de l’islam, jugée respectable par beaucoup, interlocuteur privilégié des journalistes et intellectuels, devenu un cochon comme les autres. Du coup, les femmes qui essayaient de parler AUSSI du harcèlement de rue, dans les banlieues sensibles, dans les quartiers où il ne fait pas bon marcher seule, donnent de la voix et se font mieux entendre. 

    Ainsi en va-t-il des féministes : on leur emboîte le pas quand elles attaquent les hommes, leur désir envahissant, leurs mœurs douteuses, leur virilité exhibée. Les malheureux battent leur coulpe, prêts à se dénoncer eux-mêmes et à expier… Mais qu’elles touchent à notre langue, nous balancent de l’écriture inclusive qui porte mal son nom puisqu’elle exclut l’Histoire de notre langue française, alors enfin des voix autorisées (Académie) s’élèvent, et des voix tout court, celle du bon sens, celle du respect de la langue, de l’amour de la littérature, de la lecture, de la diction qui seront aussi atteintes. Même Mme Schiappa trouve que les féministes ont poussé le bouchon trop loin. Peut-on espérer qu’elles en subissent le contrecoup dans d’autres domaines. Car outre la langue sont aussi en cause les rapports particuliers entre hommes et femmes dans notre pays : il me souvient que, au début des années 80, une amie canadienne accompagnée de son mari déclarait, au cours d’un dîner, à quel point elle aimait venir en France où dans la rue, dans le métro, elle sentait le regard des hommes, alors qu’une réserve toute puritaine (et frustrante) régnait dans son pays. Elle n’était ni contente d’elle, ni provocante, ni aguicheuse, mais se sentait exister comme femme à Paris. C’était un autre siècle !

    Ainsi certains qui avançaient des horreurs sans jamais être inquiétés, qui niquaient la France, interdisaient des manifestations aux Blancs, minimisaient les crimes du terrorisme islamique, exhibaient leur haine sur les écrans et les réseaux sociaux, commencent à être mis en cause, critiqués publiquement, obligés de se défendre. Quand on entend Raphaël Enthoven régler leur compte à ceux qu’il n’appelle pas « islamo-collabos » mais qu’il décrit comme tels (Europe 1), quand Riss ose « islamo-gauchistes » dans Le Figaro, quand sur Canal+, le couturier Lagerfeld dit « On ne peut pas tuer des millions de juifs puis faire venir des millions de leurs pires ennemis après », alors on se prend à penser que peut-être tout n’est pas entièrement « pourri au royaume de Danemark »…

    http://www.bvoltaire.fr/lueurs-a-lhorizon-ne-serait-pourri-royaume-de-france/