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Europe et Union européenne - Page 677

  • Philippot quitte le FN, sénatoriales, percée de l’AfD, Corée du Nord, Irma…


    L’actualité de la semaine vue par Bruno Gollnisch :

    • Florian Philippot quitte le Front National
    • Élections sénatoriales françaises
    • Percée de l’AfD en Allemagne
    • Les transports « propres » se discutent au Parlement européen
    • Tentatives de calmer le jeu en Corée
    • Terrible insuffisance de l’État à l’occasion d’Irma

    https://gollnisch.com/2017/09/25/philippot-senatoriales-afd-coree-nord-irma/

  • Catalogne, grenouille de la fable

    Le parlement de Catalogne a donc voté le 6 septembre l'organisation du référendum conduisant à l'indépendance de la nation catalane. La sécession commence par un de ces artifices parlementaires dont les gauchistes ont le secret* (lire l'article de Pellistrandi dans Telos - clic) mais nul ne doute que le 2 octobre, au lendemain d'un éventuel scrutin, l'indépendance sera proclamée, si seuls les bulletins des Macaboundeu pur-sang sont validés. Le chef de l'ancienne generalitat et nouvelle république se coiffera-t-il d'un casque sur le balcon de la présidence comme le regretté Allende ? C'est toute la question de cette pitrerie qui commence à agacer sérieusement le Galicien Mariano Rajoy, premier ministre blasonné à l'anguille que l'on a connu plus ondoyant. Il a compris que les cojones de l'insurrection - quand on aura terminé la sardane des tapettes - sont finalement les finances qu'il prend à pleines mains. S'il coupe... les virements l'affaire est pliée, du moins c'est le résultat de la simulation sur ordinateur. En attendant il se fait traiter de franquiste par les bébés-phoques de l'Indignación, ce qui lui en touche une sans faire bouger l'autre® (l'expression est déposée).
    La Catalogne se voit indépendante et riche au sein d'une Europe revisitée où émergeront les Nations sans Etat libérées enfin des Etats-nations. Elle est bien la seule, nul en Europe ne l'attend ! La Catalogne n'a rien laissé encore dans l'imaginaire collectif rhénan [le lecteur peut donner sa liste dans la section "commentaires"], sauf pour les chauffeurs routiers qui la connaissent comme le bas-ventre du Sud. La Jonquera (prononcez le Ji) est le plus formidable bordel d'Europe occidentale. Aller au Paradise ou au Lady Dallas marque une vie de camionneur...
    [fin de la séquence amorçage]
    Il y a deux ans, Albert Gea, reporter Reuters à Barcelone, émettait des doutes sur les lendemains de l'indépendance. Autant revenir à son article publié sur RFI :

    Forte économiquement aujourd'hui, la Catalogne pourra-t-elle encore le rester une fois indépendante ? En cas de victoire, Artur Mas (ndlr : aujourd'hui disparu) n'a pas l'intention de déclarer l'indépendance au lendemain des élections. Il se donne 18 mois pour entamer le processus de séparation. Dans un premier temps, il souhaite négocier avec Madrid une séparation en douceur et discuter avec Bruxelles de son maintien dans l'Union. Si les trois parties parvenaient à un accord, la Catalogne assumerait alors sa part de la dette espagnole. En revanche, faute d'accord, elle n’aurait plus aucune obligation, ce qui mettrait Madrid en difficulté, tout autant que la Catalogne qui sortirait alors de l'Union monétaire. Une menace à laquelle les indépendantistes ne croient pas. Selon eux, Bruxelles n'a aucun intérêt à exclure la Catalogne.
    Pourtant, des voix s'élèvent pour contrer l'optimisme des indépendantistes. Le gouvernement espagnol bien sûr, mais surtout les milieux d'affaire catalans. Ils agitent le chiffon rouge et mettent en garde l'opinion publique contre des conséquences dramatiques pour l'économie de la région. Chute du PIB, flambée des dépenses, explosion du taux de chômage, sans oublier la fuite des capitaux vers l'étranger. Une séparation de l'Espagne serait un choc pour le pays, et pour l'Europe... Certains patrons catalans sont sortis de leur réserve et prédisent un avenir assez sombre à la Catalogne. Les entreprises subiraient une perte de leur compétitivité, ralentissant les exportations. De leur côté, les banques préviennent qu'en cas de sortie de la zone euro, elles reverront l'opportunité de rester ou non en Catalogne. De plus, Barcelone sera confrontée à la question cruciale : à quel prix pourra-t-elle se financer sur les marchés, et pourra-t-elle encore bénéficier des financements de la BCE ?
    Un économiste distingué, le professeur Ferran Brunet de l'Université Autonome de Barcelone (UAB), prévoyait un avenir sombre en cas d'indépendance : L'économie catalane perdrait 14,2% de son PIB dans le meilleur des cas, et 23,5% dans pire des scénarios ; elle perdrait aussi 16% des emplois et son taux de chômage atteindrait 34% de la population active. Principale explication de cette évolution catastrophique supposée : la chute annoncée de 50% des ventes sur le marché espagnol où la Catalogne exporte plus de 40 milliards d'euros. Les économistes pro-indépendance rétorquent que le soulagement fiscal que représentera la cessation des transferts vers l'Espagne boostera l'économie au plan intérieur et résoudra tous les problèmes agités pour effrayer l'électeur. C'est faire peu de cas de l'environnement européen qui est indispensable à la Catalogne et de l'hostilité d'autres provinces aujourd'hui clientes, et surtout, de la phase de transition où les virements mensuels du Trésor madrilène des salaires publics, pensions, frais médicaux et allocations vers la Catalogne peuvent se tarir.
    Il n'y a pas une vague de submersion des positions castillanes en Catalogne. Après l'attentat islamique des Ramblas, le couple royal fut applaudi sur le parvis de la Sagrada Familia après la messe de requiem plus ou moins improvisée. Mais quand la mairie indignée organisa plus tard une manifestation de recueillement Place de Catalogne les sifflets et huées fusèrent à l'endroit du roi et du président du Gouvernement, les militants indépendantistes ayant été convoqués à dessein. Assez bolivarien en somme ! 

    Carte folklorique extraite de l'Atlas des Nations sans Etat de Mikael Bodlore-Penlaez

    A côté du républicanisme de saison, c'est bien une question de fric qui va régler l'affaire. Les indépendantistes "durs", minoritaires, ne sont pas les plus motivés par le succès économique de la République industrielle mais plutôt par leur chance d'accéder aux prébendes subalternes alors que dans la masse des suiveurs il y a beaucoup d'ouvriers, employés, petits patrons dont la perplexité va croître. Tant que la Catalogne restera branchée sur les tuyaux européens rien ne se dégradera réellement sauf la dispute avec Madrid sur la Dette souveraine et les crédits de développement ; mais la République risque bien de trouver guichets clos (BCE, BERD, BIRD), sinon des taux offshore très élevés pour placer sa dette non classée par les agences de notation. Nul doute que des régions en effervescence comme le Pays basque, l'Ecosse voire la Pandanie suivront de près la guerre picrocholine entre Madrid et Barcelone, sauf s'il y a un match de Champions League à la télé.
    Partir à la guerre sur la base de 50% de sympathisants locaux contre une Espagne revenue dans le concert de nations de référence est osé. Entre la mairie Podemos de Barcelone et la Generalitat c'est un vacarme de surenchères lancées sur des portées romantiques qui peut aboutir au chaos si les réticences finales de la majorité raisonnable sont trop fortes et désespèrent les partis gauchistes. Carles Puigdemont voudra-t-il sa page d'histoire à tout prix ? Ce grand lider n'est pas connu des bataillons de l'opinion au nord des Pyrénées et son sort indiffère ! On a trouvé mieux pour le martyre et Barcelone n'est pas Santiago. 

    https://royalartillerie.blogspot.fr/

  • Grand remplacement : Mohamed est le prénom le plus donné aux garçons en Angleterre

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    Mohamed est désormais le prénom le plus donné aux nouveau nés mâles en Angleterre et au Pays de Galles, devant Oliver, Harry, Georges ou encore Jack.

    Une preuve de plus, s’il en faut, que le Grand Remplacement est bien en marche en Europe.

    Avec ses différentes orthographes, Mohamed est le prénom le + donné aux garçons en Angleterre & Pays de Galles
     
    L’islamisation, ce fantasme…
      

    https://fr.novopress.info/

  • Entrée massive de la droite nationale au Bundestag – par Guy Rouvrais

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    8953-20170927.jpgC’est la plus grande défaite d’Angela Merkel depuis qu’elle est au pouvoir. La CDU a perdu plus de sept points par rapport à 2013, et son allié de la CSU 1,4. Le pire résultat depuis 1949, quand Adenauer prit la tête d’un gouvernement de collaboration dans l’Allemagne occupée par les Alliés. Quant au SPD, avec lequel elle a longtemps gouverné, il faut remonter à 1933 pour que les sociaux-démocrates connaissent un score aussi bas, avec 20 % des voix.

    Certes, Merkel arrive en tête, mais sa victoire est amère ! C’est une claque pour les partis de l’établissement. Car ce désaveu s’accompagne d’une percée sans précédent de la droite nationale, incarné par l’AfD qui, avec 13 % des suffrages, triple ses voix et devient la troisième force politique du pays : elle aura 90 députés au Bundestag alors qu’elle n’en avait aucun.

    Dès les résultats connus, ce sont des cris effrayés qui sont montés de la classe politique, répétant que c’est la première fois « depuis 1945 » que « l’extrême droite » sera au Parlement, or nous n’avons pas souvenir qu’il y ait eu des élections en RFA en 1945. Mais il s’agit évidemment d’accréditer la calomnie selon laquelle les « nostalgiques » du IIIe Reich relèvent la tête, comme le hurlaient dimanche soir des excités haineux qui, méprisant la démocratie, contestaient le verdict des urnes.

    Tout cela pour refuser de voir la vérité qui saute aux yeux : Angela Merkel, ses alliés et ses complices, paient là leur politique de ville ouverte aux « migrants » : un million ! Tout comme les viols de Cologne et leur camouflage, l’insécurité, l’implantation de foyers de « migrants » dans tout le pays. Le chancelier croyait sans doute que ses compatriotes s’étaient fait une raison, s’étaient inclinés avec fatalisme devant cet envahissement, puisque l’Allemagne était prospère. Mais cette prospérité, tout le monde n’en bénéficie pas. Sept millions d’Allemands vivent de mini-jobs à 450 euros par mois et, au bout de 45 ans de cotisations, les retraités, grands oubliés du « miracle » allemand, perçoivent moins de 50 % de leur ancien salaire, ce qui les contraint à reprendre un travail.

    Face à ce recul électoral et au succès de la droite nationale, les compères d’hier se déchirent. Martin Schulz accuse Angela Merkel d’avoir nourri l’AfD : « Le déni systématique du débat a créé un vide que l’AfD a rempli. Angela Merkel en porte en grande partie la responsabilité. » L’ancien président du Parlement européen ne veut plus gouverner avec elle, qui doit se trouver de nouveaux partenaires : les Verts et les libéraux ? Sachant que ces derniers ont mené une dure campagne contre les écolos.

    Mais, au Bundestag, la donne n’est plus la même. Il y aura une opposition résolue à défendre les vrais intérêts des Allemands. « Nous allons changer ce pays », a proclamé le leader de l’AfD, Alexander Gauland, en ajoutant : « Nous allons pourchasser Angela Merkel », tandis que l’autre visage de l’AfD, Alice Weidel, promet de « contrôler » le gouvernement en prenant la tête du groupe parlementaire. L’exercice du pouvoir pour Merkel ne sera plus un long fleuve tranquille.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 26 septembre 2017

    https://fr.novopress.info/207447/entree-massive-de-la-droite-nationale-au-bundestag-par-guy-rouvrais/

  • Contre l'immixtion de l'UE dans notre politique d'exportation d'armes

  • Indépendance de la Catalogne : coalition des gaucho-libertaires, des marxistes, des islamistes et des séparatistes

    6a00d83451619c69e201b7c9240bcf970b-800wi.jpgLu sur Réinformation.tv :

    "Quel est le point commun entre Younès Abouyaaqoub, le tueur islamiste des Ramblas, Arnaldo Otegi, le marxiste et ancien membre de l’ETA à la tête du parti séparatiste d’extrême gauche basque EH Bildu, Nicolás Maduro, le président-dictateur, également marxiste, du Venezuela, Pablo Iglesias, le chef du parti espagnol d’extrême gauche (financé à l’origine par Chávez puis Maduro) et les indépendantistes catalans ? Leur engagement, à des degrés divers, en faveur d’un référendum d’autodétermination en Catalogne. A cette coalition des gaucho-libertaires, des marxistes et des séparatistes, il faut ajouter, comme dans les années 1930, les nationalistes basques de centre droit (PNV).

    D’après la mère du terroriste islamiste des Ramblas qui a parlé au journal italien Corriere della Serra, Younès Abouyaaqoub se sentait catalan et était favorable à l’indépendance de la Catalogne. Il avait même fait du travail bénévole en faveur du « Oui » au référendum illégal prévu pour le 1er octobre. Surprenant ? Pas du tout, cela fait des années que les séparatistes catalans encouragent l’immigration musulmane, font obstacle à la lutte contre l’immigration illégale menée par la police espagnole dans leur région et ferment les yeux sur l’activité des très nombreuses mosquées salafistes.

    On ne rappellera jamais assez les mots prononcés en 2010 par Abdelwalhab Houizi, imam de la mosquée Ibn Hazn de Lérida, devant des fidèles musulmans (l’enregistrement avait été diffusé sur Internet) : « Ils [les indépendantistes catalans] cherchent notre soutien pour obtenir des votes, mais ce qu’ils ne savent pas, c’est que quand ils nous laisseront voter, nous voterons tous pour les partis islamiques, car nous ne raisonnons pas en termes de gauche et de droite. Ceci nous fera gagner les mairies, et à partir de là, avec les compétences étendues des collectivités territoriales, l’islam commencera à s’implanter. » Lors de la « Consultation populaire » de 2014, les séparatistes catalans avaient encouragé – avec succès – les musulmans à voter et ils avaient même autorisé les résidents sans nationalité espagnole à se prononcer eux aussi sur la séparation de la Catalogne du reste de l’Espagne.

    L’extrême gauche en faveur de l’autodétermination de la Catalogne

    Pour le président vénézuélien Maduro, dont on connaît l’attachement à la démocratie et à l’État de droit, le Premier ministre espagnol, en refusant un référendum aux Catalans, agit en dictateur. Son allié et ami en Espagne, Pablo Iglesias, du parti d’extrême gauche Podemos, considère que les hauts fonctionnaires arrêtés la semaine dernière par la Garde civile dans le cadre de perquisitions du gouvernement de la Généralité de Catalogne sont des prisonniers politiques. Iglesias ne reconnaît pas en revanche la qualité de prisonniers politiques aux opposants de Maduro emprisonnés au Venezuela. S’il ne soutient pas directement le référendum illégal du 1er octobre (contrairement à sa branche catalane Podem), le parti Podemos se prononce en faveur d’un référendum d’autodétermination convenu avec Madrid en Catalogne et dans toute région d’Espagne qui pourrait vouloir se prononcer sur la question de son appartenance à une nation commune. Même chose pour la très gauchiste Ada Colau qui dirige la mairie de Barcelone. La non moins gauchiste maire de Madrid, l’ancien juge Manuela Carmena, va encore plus loin en soutenant ouvertement la tenue du référendum illégal. Et au sein même du camp séparatiste catalan, il y a bien sûr le parti d’extrême gauche CUP, et ses milices violentes. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Allemagne : Angela Merkel coupable d’avoir ouvert la porte aux migrants

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    La chancelière reste en place mais obtient un score plus faible qu’attendu. Ses ex-alliés du SPD s’effondrent, et refusent de participer à une nouvelle coalition, ouvrant la voie à une nouvelle alliance, avec les libéraux et les Verts.

    «Nouvelle Allemagne», vraiment? L’entrée des patriotes de l’AfD au Parlement, pour la première fois depuis la Seconde guerre mondiale, ferait surtout ressurgir «les fantômes du passés», d’après Der Spiegel, qui prédit que la percée de l’AfD, désormais troisième force politique du pays, sera synonyme de «dérapages, de provocations, et de mise en scène de scandales» dans les mois à venir (sic).

    En Belgique, Le Soir, qui voit dans le bon score des populistes «la fin de l’exception allemande» face à la vague populiste en Europe, évoque une chancelière «victorieuse mais très affaiblie», condamnée à «montrer son vrai visage».

    Au Royaume-Uni, The Independent s’inquiète des «problème grandissants» auxquels la chancelière allemande se retrouve confrontée, tandis que Politico évoque déjà le «crépuscule» d’Angela Merkel, le début d’un «long auf wiedersehen», d’un long «au revoir». Le site américain, qui situe le début de la rupture entre la chancelière et l’opinion allemande au moment de sa décision d’ouvrir la porte aux réfugiés, voit le consensus politique outre-Rhin «érodé», les réformes d’envergure de l’eurozone «enterrées», et la patience allemande à l’égard des autres pays européens, peu empressées de prendre leur part dans la crise des réfugiés, «terminée».

  • Allemagne : la droite anti-immigration entre au Parlement

    6a00d83451619c69e201bb09c6b172970d-250wi.jpgLa Chancelière allemande et son parti CDU/CSU arrivent en tête des élections législatives avec un score situé entre 32,7% et 33,3% des voix selon les estimations, soit le plus mauvais score jamais enregistré par la famille démocrate-chrétienne allemande. Angela Merkel a très largement raté l'objectif que son parti s'était fixé en interne, à savoir 40% au moins.

    Avec 13% des voix, la droite nationaliste de l'AfD fait une entrée historique au Parlement et devient la troisième force poitique du pays. L'AfD fait mieux qu'espéré et peut escompter près de 90 députés.

    Evolution depuis le dernier scrutin :

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Élections législatives en Allemagne : score historique de la droite nationaliste (AfD), la CDU de Merkel en tête

    Sans surprise, la CDU d’Angela Merkel remporte les élections législatives allemandes, avec 32,5 à 33,5% des suffrages, selon les premières estimations des chaînes de télévision publiques, dimanche 24 septembre.

    32,5% pour la CDU/CSU. Merkel remporte l'élection avec un score historiquement bas. Un avertissement

    Les sociaux-démocrates sont deuxièmes avec 20 à 21%, devant la droite dure AfD (13-13,5%) et la gauche radicale Die Linke (9%). Les autres formations à entrer au Bundestag sont les Libéraux du FDP et les Verts, selon les estimations basées sur des sondages réalisées à la sortie des bureaux de vote par ARD et ZDF.

    Avec 13,5% et peut-etre 89 députés l'AfD réalise un score meilleur que prévu. Un choc pour l'Allemagne

    Franceinfo

    http://www.fdesouche.com/887375-elections-allemagne-score-historique-de-droite-nationaliste-afd-cdu-de-merkel-tete