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L’Occident, c’est-à-dire le monde européen et anglo-américain, s’est délibérément enivré du poison de l’égalitarisme au nom d’un utopisme qui confine, désormais, au nihilisme. On ne peut nier que c’est là le produit d’une sécularisation malheureuse et hérétique du christianisme, sur plus de quatre siècles, qui a fait le lit du virus socialiste.
Quiconque s’intéresse au cas français peut contempler les ravages de la superstition égalitariste, car c’est bien d’une superstition rageuse qu’il s’agit. Ce principe, faux de bout en bout, a ouvert la voie aux pires démagogues bourgeois qui ont progressivement remplacé l’ancienne aristocratie tout en singeant son penchant pour la fossilisation sociale. Peu importe la créolisation complète de la France – et de l’Europe – pour peu que ces escrocs en retirent leurs dividendes annuels. Pire : c’est devenu un article de foi.
Quand une classe politique subordonne l’avenir de son peuple au point de le mener à l’anéantissement complet, la voie révolutionnaire devient incontournable. Et généralement celle empruntée.
L’homme ouest-européen est aujourd’hui un parfait crétin qui s’aveugle volontairement sur les réalités humaines les plus élémentaires et les plus irréductibles. Le fanatisme religieux qui aiguillonne toujours la bourgeoisie croulante qui préside aux destinées de la France arrime chaque jour davantage ce pays aux profondeurs de l’Afrique.
Cette destruction du bon sens est observable partout. Il y a deux générations, un paysan gaulois dépourvu de certificat d’études comprenait d’instinct l’immensité qui le séparait d’un nègre. Aujourd’hui, une croûte de vieux bavards surnageant sur 71 ans de paix, opérant à tous les niveaux de la vie intellectuelle, répandent leurs insanités sur l’heureux développement que constituerait à leurs yeux le mélange du sang européen avec celui de toutes les peuplades puantes du tiers-monde. De l’Afghanistan au Congo, de la Colombie aux marges de l’Irak.
La plus grande tâche qui se place devant nous est celle du réapprentissage des réalités raciales. Je suis à ce titre un athée militant de la superstition égalitariste. Ce mythe s’articule sur des pulsions particulièrement tenaces parce que primitives et émotionnelles. Mais plus tenaces sont les réalités que ce mythe prétend abolir.
Parallèlement, je suis donc un optimiste résolu en ce sens que l’arrogance des demi-marxistes occidentaux adeptes de l’islamo-négrification de l’Europe doit nous rappeler qu’ils ont les yeux plus gros que le ventre. La vieille race européenne qui s’étend sur tout l’hémisphère nord – en plus de l’Océanie et de parts de l’Amérique du Sud – disposent d’atouts colossaux, malgré une politique migratoire – donc raciale – parfaitement destructrice.
Mais si les dommages sont significatifs, ils ne le sont pas au point changer les lois de la nature voulues par le Créateur.
Nous devons travailler inlassablement au réveil de nos populations pour qu’elles redécouvrent la boussole sans laquelle il n’est pas de navigation possible en ce monde. Cette boussole, c’est celle de l’inégalité de potentiel et de réalisation des individus comme des groupes humains. Il a fallu bien des combats intellectuels et politiques – et de morts – pour que chacun finisse par admettre que la terre est ronde. Il n’en va pas différemment des réalités raciales et culturelles.
Cette réalité doit servir d’étoile polaire à un ensemble politique qui reste à édifier. Le point faible de cet édifice est l’Europe péninsulaire tandis que l’imbécilité nord-américaine pousse la Russie dans les bras des Chinois. Nos querelles d’arrière-boutique, en Europe, nous ont ramené au rang de nains géopolitiques, offrant à des pays économiquement sous développés comme la Turquie orientalo-asiate des leviers exorbitants.
La fumisterie qu’est la superstition des droits-de-l’homme, qui codifie toute l’escroquerie, parvient à convaincre jusqu’à des docteurs ou des ingénieurs de ce qu’un aborigène est leur égal, malgré ses 60 points de QI !
A la différence de nombre de tenants de cette superstition destructrice, j’ai eu le privilège de fréquenter cette humanité archaïque sortie des déserts d’Australie et de devoir assurer l’entretien de leurs chambres d’hôtel gracieusement offertes par le prolétariat anglo-saxon de ce pays, sous l’égide éclairée des puritains convertis à l’antiracisme. Il suffit de voir une de ces tribus déféquer dans ses lits et manger à même le sol pour comprendre, en moins de 10 minutes, qu’on ne comble pas 60 000 ans avec des chèques et des bons sentiments.
La raison et la sagesse ne gouvernent plus l’Europe, seulement une litanie sans fin d’émotions de communiantes. Cette pâtisserie sentimentale a aboli le sens commun et met en confiance le barbare afro-musulman qui croit soudainement pouvoir revendiquer des droits sur nous.
Quand ce simulacre prendra fin, Mohammed et Mamadou tomberont soudainement du haut de leurs illusions. Ces masses, gouvernées par leur psychologie infantile, ont déjà perdu la tête à l’idée alléchante et naïve de ce qu’ils seraient sur le point de nous dominer. De la complainte poussive de la victime les voilà hurlant leurs récriminations, préalables à l’émeute meurtrière.
Il ne faudra pas grand chose pour que la déconvenue soit au rendez-vous et que les espoirs de fainéantise éternelle ne fondent comme neige au soleil. Le pullulement de cette basse humanité au cœur de l’Europe n’est du qu’aux subsides colossaux que leur accorde l’oligarchie dégénérée qui gouverne les démocraties occidentales.
L’anarchie continuant de se répandre, les efforts du fanatisme antiraciste finiront par épuiser tous leurs effets au sein des masses. Nos efforts pour en finir avec la terreur antiraciste seront progressivement couronnés de succès à mesure que la réalité et le bon sens conforteront nos avertissements.
Paradoxalement, nous devons avoir la patience de ceux qui voient plus loin que les hystériques de notre époque. L’effondrement du système actuel comme de ses valeurs préfigure de la victoire de nos conceptions.
Une cinquantaine de migrants du Sud-Est de l'Europe et d'Afghanistan ont agressé des jeunes femmes russes dans une boîte de nuit russe. Mais à la différence de l'Union européenne, l'histoire a eu lieu à Mourmansk et les hommes russes ont défendu leurs femmes.
Résultat, après avoir agressé ces femmes, on recense 18 migrants à l'hôpital et 33 au centre de détention avec "un brûlant désir de rentrer chez eux".
Lire l'article intégral en anglais.
Malgré les efforts déployés lors du sommet européen de Bruxelles, aucune solution n’a été trouvée.
Tout ça pour ça. Au terme d’une longue soirée, les Européens se sont séparés, dans la nuit de jeudi à vendredi, sans réelle percée sur les deux principaux sujets qui occupaient les esprits. S’ils ont pu afficher un communiqué relativement consensuel au sujet des migrants, c’est au prix de renoncements : peu d’annonces nouvelles et une note de bas de page ménageant, une fois de plus, les susceptibilités des pays opposés à l’idée d’être obligés d’accueillir sur leur sol des réfugiés.
Au sujet de la Russie, ils ont certes dégagé une ligne commune, faisant montre de fermeté en demandant l’arrêt des bombardements sur Alep , la prolongation de la trêve et l’acheminement d’une aide humanitaire. Mais à ce stade, pas la moindre mention d’éventuelles sanctions – le Premier ministre italien, Matteo Renzi, s’étant farouchement opposé à cette idée. Malgré tout, a averti François Hollande devant les médias, « si se perpétuaient de nouvelles atrocités, toutes les options seraient envisagées « .
Efforts diplomatiques
Mais c’est au sujet de l’accord de libre-échange avec le Canada (CETA) que la déception était palpable. En dépit des efforts des diplomates et des chefs d’Etat , aucune issue n’a été trouvée au blocage de la Wallonie, bien décidée à ne pas signer ce texte qu’elle juge contraire à ses intérêts.
Pour conjurer le scénario d’un échec, une rencontre s’était déroulée, avant l’ouverture du sommet, entre le président du Conseil européen, Donald Tusk, et le Premier ministre belge, Charles Michel. Celui-ci affirmait que le « moment de vérité est proche ».
A vingt heures, les ambassadeurs de tous les Etats se réunissaient pour chercher une solution. Plus tard dans la soirée, on apprenait que le Parlement wallon allait être réuni, ce vendredi matin, pour se prononcer à nouveau sur la déclaration politique qui accompagne le texte, laquelle avait subi de substantielles modifications. Mais en fin de soirée, le ministre président de la Wallonie, Paul Magnette, rejetait la nouvelle version du texte. « Il y a des améliorations mais le texte est encore clairement insuffisant », lâchait-il.
Pour certains observateurs, ce dernier n’aurait aucun intérêt politique à lâcher prise durant le sommet, car cela permettrait au Premier ministre belge, un adversaire politique, d’empocher un succès diplomatique. Pour autant, s’il obtient de réelles concessions, il pourrait céder dans les tout prochains jours, et emporter par la même occasion une belle victoire politique.
Angoisse des responsables européens
Si cette épée de Damoclès était levée, ce serait un soulagement majeur pour les Européens. Donald Tusk, le président du Conseil européen, connu pour ne pas cacher son pessimisme, avait donné le ton, à l’ouverture du sommet, prévenant que si l’Union européenne se révélait incapable de signer le CETA, cela signifierait que celui-ci « pourrait être notre dernier accord de libre-échange ».
De fait, l’angoisse de tous les responsables européens est que le sacrifice d’un accord dans son ultime ligne droite, alors que celui-ci a donné lieu à cinq années d’intenses négociations, envoie au monde entier un signal déplorable, démontrant que la Commission européenne n’a plus les moyens de son action en la matière. L’Union ne serait plus, dès lors, un partenaire fiable, ni même une entité capable d’agir collectivement. Ce dont Paul Magnette, professeur de sciences politiques et spécialiste des questions européennes, se dit conscient.
http://www.voxnr.com/4850/les-wallons-ne-lachent-rien-sur-laccord-avec-le-canada
Ce 23 octobre à Budapest, le chef du gouvernement présidait une cérémonie à haute valeur symbolique. Il s'agissait de célébrer le souvenir, à l'occasion de son 60e anniversaire, de la révolution hongroise anticommuniste de 1956.
Ceci est considéré dans ce beau pays, le plus romantique d'Europe, comme une fête nationale. Et si cette commémoration a été marquée par des affrontements entre Magyars, ce qu'on peut évidemment regretter, comme on peut s'interroger sur le contexte général d'un pays si symbolique de l'actuelle situation ambiguë, et à certains égards explosive, de l'Europe centrale on doit avant tout déplorer que cet événement ne soit pas envisagé du point de vue du destin de l'Europe dans son ensemble
Seul le chef de l'État polonais Andrzej Duda était venu rendre hommage aux insurgés de 1956. Il les a logiquement comparés aux grévistes de Gdansk de 1980.
Il est donc devenu hautement nécessaire désormais de rappeler, à une opinion qui l'a oublié, ce qu'a signifié l'événement d'ensemble.
On l'évoque aujourd'hui comme une sorte d'accident architectural puisqu'on appelle"chute du mur".
Mais c'est bien en effet la lutte de Solidarnosc en Pologne, considérablement encouragée par le pape Jean-Paul II élu le 16 octobre 1978, lequel, le 22 octobre 1978, place Saint-Pierre, lancera son fameux "N'ayez pas peur", qui permit de balayer les accords de Yalta de 1945.
Ronald Reagan, premier président des États-Unis à remettre explicitement en cause le système de condominium américano-soviétique contribuera plus tard puissamment au processus.
Militant anticommuniste depuis ma jeunesse, ayant moi-même été profondément bouleversé, à ma petite échelle, lors d'un voyage en Hongrie, en 1966, par le rejet, par tout un peuple, du régime et de l'occupant qui l'opprimaient, je puis témoigner de ce que cela signifiait pour toute une partie de ma génération.
Dans le "stade du peuple" de Budapest le premier stade de 100 000 places construit en Europe j'éprouvai l'émotion d'assister à l'entrée d'une délégation soviétique saluée, si l'on peut dire, par le silence unanime, glacial, méprisant, immense, de 100 000 personnes, venues, elles, de toute la partie de l'Europe sous diktat moscovite.
Que des commémorations officielles puissent aujourd'hui diviser l'opinion hongroise, on peut le regretter. Ces débats ne sont pas nouveaux, et le fond de la controverse existait déjà en 2006, il y a dix ans jour pour jour, lorsque le gouvernement, alors de gauche, avait violemment réprimé les manifestations commémoratives jugées trop à droite pour le goût des bien-pensants et des gouvernants.
Très démocratiquement l'alternance s'est produite lors des élections législatives de 2010, les deux-tiers des sièges à l'Assemblée étant acquis au parti conservateur.
Ce 23 octobre 2016, Gyula Molnár, chef du parti socialiste a certes pu rassembler quelque 3 000 ou 4 000 partisans. Il a pu leur dire du premier ministre actuel qu'il "n’est pas l’héritier d’Imre Nagy", héroïque chef du gouvernement hongrois de 1956 qui fut liquidé par les Soviétiques auquel il avait osé tenir tête.
Voilà une contre manifestation qui a sans doute rempli de joie la diplomatie luxembourgeoise, qui demande des sanctions contre la Hongrie, et quelques autres politiciens.
Mais qu'un tel pays-symbole soit aujourd'hui mis au ban du continent, qu'il puisse faire l'objet de véritables menaces venant du grand-duché du Luxembourg, on ne doit pas seulement le déplorer on peut s'en indigner et, en tout état de cause, on devrait s'en préoccuper.
Les insurgés de Budapest de l’automne 1956 et leurs trois mille martyrs tinrent tête avec tant d'héroïsme aux tanks soviétiques, ces patriotes européens, qui lancèrent un appel aux autres peuples d'Europe, et qui furent hélas abandonnés, voila ce dont nous avons le devoir de nous souvenir.
JG Malliarakis
Pierre Lellouche, député de Paris, préside la mission d’information sur l’extraterritorialité du droit américain, mission créée en mars 2016 par les commissions des affaires étrangères et des finances de l’Assemblée nationale.
Le rapport de cette mission a été présenté le 5 octobre dernier à ces deux commissions.
Pierre Lellouche donne quelques exemples de cette instrumentalisation du droit au seul profit des intérêts des États-Unis et, évidemment, aux dépens des nôtres.
Huit heures après la fin du délai pour faire appel de la décision de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, les Gavroches dénonçaient ce matin, devant le Ministère des Affaires Sociales et de la Santé, l’inaction de notre GouverneMENT concernant la GPA.