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Europe et Union européenne - Page 681

  • Alexandre Del Valle : "l'Occident se trompe d'ennemi"

    Première partie d'un entretien avec Alexandre Del Valle à propos de son livre Les Vrais ennemis de l'Occident :

    Vous considérez que l'Occident se trompe d'ennemi. Pourquoi?

    6a00d83451619c69e201b8d26f4ba3970c-200wi.jpgNous faisons depuis plusieurs décennies une incompréhensible erreur stratégique sur l’ennemi comme sur l’ami, avec de très graves conséquences partout dans le monde ! Les ennemis de l’Occident sont objectivement ceux qu’il désigne comme des amis alors que la Russie, désignée comme le pire ennemi, est en réalité un allié potentiel. En réalité, l’ennemi n’est pas celui qui est différent de nous, qui ne nous convient pas, ou qui est dictatorial chez lui ou y défie nos valeurs. L’ennemi est celui qui, au sens militaire et stratégique du terme, s’en prend 1°/ à notre population, 2°/ notre territoire et 3°/ à notre gouvernement, institutions et donc valeurs fndamentales. De ce fait, l’islamisme est un véritable ennemi, à ces ennemis totalitaires des démocraties occidentales que furent le nazisme et le communisme, car il répond à toutes les caractéristiques fondamentales de l’ennemi (qui menace nos valeurs qu’il subvertit et combat, nos institutions qu’il veut remplacer par la Charià, notre population qu’il veut retourner ou tuer et notre territoire qu’il veut conquérir à terme au nom du Califat), et il veut donc s’imposer chez nous de façon tantôt violente, tantôt subversive. Quant au terrorisme, il n’est pas l’ennemi en soi: ce n’est qu’un mode d’action, un moyen actionné par nos véritables ennemis totalitaires. Ces ennemis véritables qui actionnent et forment les terroristes jihadistes et d’autres, sont les pays ou entités transnationales (Organisation de la Coopération islamique, OCI ; Ligue islamique Mondiale LIM) et Etats totalitaires wahhabites comme l’Arabie Saoudite et le Qatar, sans oublier le Pakistan, la Turquie néo-ottomane et les Frères musulmans, qui promeuvent tous d’une certaine manière un projet de conquête global. Nos ennemis ne sont donc pas les pays ou gouvernements que nous avons combattus ou renversés à tort depuis la fin de la guerre froide (ex-Yougoslavie, Irak baathiste, Libye, Syrie de Bachar, etc).

    Il n’est pas inutile de lister sur les dernières décades l’ensemble de toutes les erreurs stratégiques auxquelles ces erreurs de jugement fondamentales ont conduit, avec des résultats objectivement contraires à nos intérêts et des conséquences géopolitiques absolument catastrophiques partout dans le monde, depuis l’Afghanistan jusqu’à la Syrie, en passant par le Pakistan, la Turquie, le Kosovo, l’Irak, la Tchétchénie, la Libye, l’Ukraine, la Géorgie, etc.

    Lorsque l’Occident laisse l’islamisme subversif et prosélyte totalitaire proliférer sur notre sol par compromission avec les pôles de l’islamisme qui sont ses propagandistes et appuis externes, mais qu’en même il temps il tente de répandre au nom du « droit d’ingérence » son modèle universel-libéral dans les pays musulmans ou ailleurs par l’interventionnisme, l’arrogance et la guerre, il fait d’une pierre deux coups-erronés : 1°/ il est trop tolérant chez lui avec l’islamisme mais en même temps 2°/ il discrédite ses propres valeurs à l’extérieur en les mêlant avec une entreprise impériale ! Nous avons donc tenté de répandre chez les autres des valeurs que nous avons trahies et laisser menacer sur notre propre sol, notamment dans nos « banlieues de l’islam » de non-droit et de non-France… 

    L’Occident fait l’inverse de ce qu’il devrait faire : il impose son modèle ailleurs mais il ne le défend pas chez lui !

    Oui, exactement. Ceci peut paraître fou, et très incohérent, mais ce n’est là que le résultat logique du destin des « sociétés ouvertes » qui se sont ouvertes sans réciprocité à tous les vents y compris à ceux portés par leurs pires ennemis géocivilisationnels, à savoir l’islam conquérant et revanchard néo-califal. Le concept de « société ouverte » vient de Karl Popper qui précisait qu’une société ouverte « ne peut pas s’ouvrir à ses ennemis sinon elle va à sa propre perte », ce que Popper a nommé « le paradoxe de la tolérance » et développe de façon brillante et si actuelle dans son ouvrage politique de référence : « La Société ouverte et ses vrais ennemis ». Ce « paradoxe de la tolérance » n’a hélas pas été compris par nos élites qui se contre-fichent du devenir ou de la périssabilité de notre civilisation judéo-chrétienne et qui ne croient qu’au pouvoir des sondages, des médias et de l’économie. Ainsi, lorsque le célèbre milliardaire philanthrope mondialiste-immigrationniste islamophile antisioniste et anti-russe Georges Soros se prétend héritier de Popper en promouvant la mort des nations chrétiennes, la fin des frontières et l’islamisation de l’Europe, il a en réalité trahi son maitre Popper dont il a repris l’expression (sa Fondation s’appelle « Open Society »), car dans sa haine de l’Etat-nation occidental que défendait Popper, Soros - qui finance le Collectif contre l’Islamophibie, les ONG de défense de clandestins et les No-Borders - ne parle jamais du danger des ennemis de nos démocraties et de la nécessité de leur résister, bien au contraire, les adeptes du cosmopolitiquement correct comme lui font primer la haine de soi occidentale et la xénophilie qui en découle sur l’instinct de défense collective et de survie de nos démocraties. Soljénitsyne avait raison de dénoncer cet occident repentant « capitulard » dont les bombes atomiques ne serviront à rien si ils renient leurs racines et identité et aident leurs ennemis déclarés…

    Comment définiriez-vous l'Occident?

    Globalement, il y a deux Occident au moins… et ces deux sont totalement opposés. Il faut revenir aux fondamentaux : l’Occident au sens non identitaire (« Mc World »), qui nie son identité judéo-chrétienne et européenne au profit d’une idéologie mondialiste et « cosmopolitiquement correcte », a pour but de détruire toutes les identités nationales et traditionnelles pour assoir son Village Glolbal. Ainsi défini, l’Occident est une entité néo-impériale anti-identitaire et se définit non plus de façon culturelle et civilisationnelle mais en fonction 1. De son appartenance à l’OTAN ; 2. Son adhésion au libre échangisme et son essence consumériste 3. Son messianisme des droits de l’Homme et de l’individualisme hédoniste. 

    Inversement, si l’Occident était encore une entité civilisationnelle, ce qu’il est en réalité dans son essence originelle et dans ses masses non privilégiées, on le définirait comme une entité géocivilisationnelle européenne marquée par la pensée gréco-romaine et le message humaniste judéo-chrétien. Cet Occident là, façonné par le christianisme héllénisé, n’a rien à voir avec le premier qui se construit contre lui, et il considèrerait évidemment la Turquie néo-ottomane, l’Arabie Saoudite, le Qatar, les Frères musulmans et la Ligue islamique mondiale (OCI, etc) non pas comme des alliés/amis, contrairement à Mc World et à l’OTAN, mais comme de véritables ennemis géocivilisationnels puisque ceux-ci veulent islamiser-conquérir l’Europe et le monde. 

    En fait, le but des eurocrates de Bruxelles et des promoteurs anglo-amériains de Mac World est de faire de cet Occident riche et moderne le laboratoire de leur nouvelle tour de Babel. C’est là qu’entre en scène le terrorisme psychologique du « cosmopolitiquement correct » : pour créer cette identité planétaire néo-impériale consumériste et déracinée, l’Occident-McWorld a culpabilisé jusqu’à la pathologie masochiste l’Occident chrétien-blanc-européen sommé de se fondre dans l’immigrationnisme et le multiculturalisme au nom d’une tolérance et d’une repentance toujours à sens unique. 

    Mac World a l’audace de croire qu’en faisant venir en Europe des immigrés par millions, notamment des immigrés musulmans, ceux-ci seront happés par le consumérisme et peu à peu désislamisés par l’hédonisme car Mac World est foncièrement matérialiste et il sous-estime la puissance des idées, la foi, et la recherche d’absolu. Mac World orchestre l’islamisation de l’Occident sans même le désirer mais uniquement pour détruire l’identité de l’Occident avec cette « culture Benetton ». Les forces antichrétiennes et de la haine de soi ont parfaitement compris par ailleurs que favoriser une immigration et un prosélytisme radical islamique sur le sol européen et occidental peut contribuer à détruire cette civilisation judéo chrétienne qu’ils détestent autant que les islamistes. En ce sens l’islamophilie est une sorte de haine de soi qui consiste à aimer ceux qui nous détestent le plus, ce qui est logique si on se déteste soi-même.

    A suivre 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/03/alexandre-del-valle-loccident-se-trompe-dennemi.html

  • Zoom - Marek Jurek (député européen) : « Les Polonais ont décidé de rompre le système libéral »

  • Marine Le Pen : l’Union européenne “est une passoire à gros trous” pour les produits comme pour l’immigration

    Après François Fillon, Jean-Luc Mélenchon ou encore Benoît Hamon, Marine Le Pen était d’être l’invitée ce lundi de la matinale spéciale présidentielle de 7h30 à 9 heures.

    Si Marine Le Pen est élue, elle proposera dans un délai de six mois un référendum sur le maintien dans la zone Euro. Avec un enjeu très clair. “Si c’est non, je partirai“, assure-t-elle.

    Les Français auront choisi un modèle de gouvernance imposé par l’Union européenne et 70% de mon projet ne pourrait pas être mis en œuvre. Et je leur laisserai la possibilité de se choisir un nouveau président.

    Pour Marine Le Pen, “il est évident que la France a un héritage chrétien. C’est une réalité. Et cet héritage appartient à tous les Français, quelle que soit leur croyance“, assure Marine Le Pen.

    Il faut accepter l’intégralité de l’histoire de France. C’est l’héritage chrétien, romain, grec. C’est une structuration de notre pensée, de nos institutions. C’est refuser de faire le tri dans cette histoire. On ne trie pas, comme le font certains, comme M. Macron. C’est avoir des codes communs, se scandaliser pour les mêmes choses.

    Par ailleurs, Marine Le Pen condamne avec fermeté les prières de rue de musulmans de Clichy-La-Garenne privés de lieux de culte.

    Je trouve ça profondément scandaleux. C’est une violation de la loi et une provocation. On peut réclamer des choses, mais quand on ne les obtient pas, on n’organise pas des manifestations de ce type.



    Marine Le Pen : l'Union européenne "est une… par Europe1fr

    https://fr.novopress.info/

  • Selon un sondage, une majorité d'Européens veulent une interdiction de l'immigration venant des pays musulmans

    Un sondage mené par le think tank britannique Chatham House révèle que 55% des Européens veulent que l'immigration en provenance de pays musulmans soit stoppée. 
    Une étude réalisée par le think tank britannique Chatham House, également connu sous le nom de Royal Institute of International Affairs, démontre que 55% des Européens veulent une interdiction de l'immigration venant des pays de confession musulmane, rapporte The Independent. 
    Les Français favorables à une interdiction 
    Le sondage, réalisé auprès de dix pays européens avant que le président américain Donald Trump ne signe son décret interdisant l'entrée sur le territoire des Etats-Unis aux ressortissants de sept pays musulmans, révèle en outre que huit sur dix des pays consultés sont opposés à cette immigration. 
    Dans le détail, la Pologne est le pays où cette opposition est la plus forte, avec 71% des Polonais favorables à cette interdiction. Viennent ensuite l'Autriche (65%), la Hongrie (64%), la Belgique (64%) et la France (61%). Les Britanniques, eux, sont 47% à être favorables à ce genre de blocage.
    L'Espagne, plus fort taux de désapprobation 
    A noter que seuls 16% des Français se disent opposés à une telle mesure, contre 32% des Espagnols. L'Espagne est le pays interrogé où l'idée d'une interdiction de l'immigration musulmane rencontre le plus faible taux d'approbation (41%). 
    L'étude des résultats par catégorie d'âge démontre que les personnes les plus âgées sont les plus favorables à une interdiction de l'immigration des musulmans, tandis que les moins de 30 ans y sont les plus opposés. 

  • Succès de la Marche pour la vie à Bruxelles

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    3000 fleurs déposées pour défendre les fleurs coupées avant de naître,  devant le palais de justice:

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    Stéphane Mercier, le philosophe fustigé par l'Université catholique de Louvain pour avoir osé dire la réalité de l'avortement témoigne :

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Marine Le Pen, François Fillon et la « clause Molière »

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    A la une du quotidien l’Opinion de ce matin, ce dessin de Kak, sur Marine Le Pen et François Fillon conversant de la « clause Molière ». Le journal publie une étude de l’Ifop pour la Fondation Jean-Jaurès indiquant que 43 % des ouvriers voteraient pour Marine Le Pen au premier tour de la présidentielle !

    « La gauche, écrit Béatrice Houchard, qui atteignait 66 % des suffrages en 1981 lors de l’élection de François Mitterrand, a bel et bien perdu les ouvriers au profit du Front national : en 2017, près d’un ouvrier sur deux (43 %, selon les études de l’Ifop) est tenté par un vote en faveur de Marine Le Pen. Environ 17 % se tourneraient vers Emmanuel Macron, 15,5 % vers Jean-Luc Mélenchon, 12 % vers Benoît Hamon et seulement 8 % vers François Fillon. En 2012, l’année de sa défaite, Nicolas Sarkozy avait tout de même atteint 14 % au sein de cet électorat. »

    http://fr.novopress.info/

  • Orly, Londres, Anvers : La logique terroriste de l'islam

  • Le Freespeechbus, contre l'idéologie du gender, dérange les extrémistes LGBT

    Depuis début mars, un bus de l’association HazteOir parcourt les routes d’Espagne en rappelant les simples caractéristiques physiques d’un garçon et d’une fille. Une façon comme une autre de lutter contre l’idéologie du genre… mais l’association est accusée d’homophobie et d’incitation à la haine – le bus a été violemment caillassé à Pampelune mardi.

    Le même bus, mis en place par le National Organization for Marriage, a été vandalisé à New York :

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    Bus-damaged3

    Brian Brown explique dans cette vidéo en anglais l'intérêt de cette campagne (à laquelle Le Salon Beige participe).

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    Ou comment un simple bus parvient à déranger les militants LGBT. Toute la presse étrangère en parle

    Ignacio Arsuaga, président de l’association HazteOir, (« Fais-toi entendre », en espagnol), explique à Anne Isbeth dans Présent :

    "Notre campagne, « The Bus of Freedom » (Le bus de la liberté), fait référence à l’existence, dans dix communautés autonomes ou régions d’Espagne, de lois faisant la promotion d’un modèle affectif et sexuel particulier, spécifiquement de l’idéologie du genre, pour tous les élèves de toutes les écoles. Il est évident que ces lois violent le droit fondamental des parents à éduquer leurs enfants conformément à leurs convictions et leurs valeurs.

    Pourquoi faire cette campagne maintenant ?

    La campagne a débuté en novembre avec la sortie du livre Savez-vous ce qu’ils veulent enseigner à votre enfant à l’école ? Les lois d’endoctrinement sexuel en font partie. Début mars nous avons lancé « The Bus of Freedom » parce que ces lois dont nous parlons vont être renforcées l’an prochain. Donc, ces mois sont décisifs pour informer la société espagnole de ce problème, spécialement les parents."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Commission européenne cherche à créer en Pologne un précédent dangereux

    Un conflit et un projet de réforme où le commissaire Timmermans prend parti pour l’opposition sans être citoyen du pays ni même en connaître la langue.

    Le socialiste hollandais Frans Timmermans ne baisse toujours pas les bras. Comparaissant mercredi devant la commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures du Parlement européen, il a affirmé vouloir que le Conseil de l’Union européenne, et donc les ministres des nations membres de l’UE, s’occupent de la situation de la démocratie et de l’État de droit en Pologne.

    Parmi les domaines dans lesquels Timmermans souhaite exercer des pressions sur Varsovie, il y a notamment le conflit autour du Tribunal constitutionnel polonais entre la majorité parlementaire du parti conservateur Droit et Justice (PiS) et son opposition libérale. Il y a aussi le projet de réforme du Conseil national du pouvoir judiciaire (Krajowa Rada Sądownictwa), selon lequel ce sera désormais le Parlement, et non plus les juges, qui en choisira les membres. Un conflit et un projet de réforme où le commissaire Timmermans prend parti pour l’opposition sans être citoyen du pays ni même en connaître la langue.

    Certes, Timmermans a aussi affirmé ne pas vouloir dès maintenant engager une procédure de sanction au titre de l’article 7 du traité de l’Union européenne (qui suspendrait, entre autres, les droits de vote de la Pologne au sein des institutions européennes), dont il estime qu’elle serait contre-productive pour le moment. Bien évidemment, car pour engager une telle procédure, il faut l’unanimité (hormis le pays incriminé) et la Commission sait déjà que la Hongrie s’y opposera, et sans doute aussi plusieurs autres pays.

    Mais le commissaire voudrait que les États membres de l’Union l’assistent dans ses pressions et fassent fléchir le gouvernement polonais.

    Les traités européens ne prévoient l’application de la Charte des droits fondamentaux que dans le domaine d’action des institutions de l’Union européenne ? Qu’à cela ne tienne, M. Timmermans nous explique que, sans respect de l’État de droit dans un pays membre, ces traités de l’Union européenne ne peuvent pas s’appliquer correctement et que, donc, toute atteinte supposée à l’État de droit à l’intérieur d’un des pays de l’Union européenne entre dans sa sphère de compétence. Par le biais du Hollandais Frans Timmermans, la Commission européenne cherche donc à créer un dangereux précédent qui lui permettrait de décréter en toute occasion et de manière arbitraire quels sont les gouvernements nationaux qui respectent leur propre État de droit et quels sont ceux qui ne le respectent pas. Une manière, pour la Commission européenne, de se transformer en une sorte de Cour constitutionnelle suprême dont les verdicts, s’ils sont appuyés par la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), pourront s’imposer aux législateurs nationaux.

    Pourtant, si les électeurs polonais décident, comme Timmermans, que le gouvernement du PiS a bien violé l’État de droit, ils pourront le sanctionner dans les urnes. S’ils estiment que l’actuelle majorité parlementaire menace la démocratie en cherchant, conformément à ses promesses électorales, à réformer l’institution judiciaire polonaise dans son ensemble, ils se choisiront une autre majorité en 2019. Mais que pourront-ils faire s’ils estiment majoritairement que c’est la Commission européenne qui a eu tort dans ce dossier ? Rien. Et c’est là toute la différence entre une démocratie et une dictature.

    http://www.bvoltaire.fr/commission-europeenne-cherche-a-creer-pologne-precedent-dangereux/

  • La Vérité sur les Attaques Terroristes de Londres (VOSTFR)