La chronique de Philippe Randa
La menace de Donald Triump de faire sortir les États-Unis d’Amérique de l’OTAN avait « bouleversifié » la grande majorité des dirigeant de l’Union européenne. Comment osait-il ?
Comment ? On l’a vu !
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La chronique de Philippe Randa
La menace de Donald Triump de faire sortir les États-Unis d’Amérique de l’OTAN avait « bouleversifié » la grande majorité des dirigeant de l’Union européenne. Comment osait-il ?
Comment ? On l’a vu !

par Patrick Reymond
«La classe dirigeante européenne, ainsi qu’une majorité encore considérable de ses électeurs, vit depuis bien trop longtemps dans un pays imaginaire, et les récents résultats des élections en Allemagne montrent que le réveil n’est pas encore arrivé… Le continent poursuit son chemin, somnambule, vers un désastre économique majeur».

Ursula Von-der-Leyen vient de dévoiler son plan de réarmement de l’Europe avec deux jours d’avance. Cette précipitation est sans doute la conséquence du discours que Trump doit prononcer demain. Il se murmure qu’il devrait lever le voile sur Zélensky, le Churchill en bleu et jaune. Il devrait, preuves à l’appui, démontrer toute la corruption de l’homme et de son entourage, mettre l’accent sur les détournements de fonds colossaux, révéler au monde entier que la démocratie n’était qu’un alibi et cette guerre une grande lessiveuse pour blanchir de l’argent au profit d’une poignée d’initiés. Des centaines de milliers de morts pour cette mauvaise farce. Cette réalité devrait déplaire une fois de plus. Il devrait également confirmer que les livraisons d’armes qui devaient être effectuées en ce moment sont toutes arrêtées. Zélensky ne recevra plus rien. Mais le pire n’est pas là, si ces révélations pouvaient ouvrir les yeux de certains responsables et les faire changer d’avis, personne ne s’en plaindrait, mais il y a fort à parier qu’il n’en sera rien, tant nos politiciens seront des girouettes mal graissées, ou simplement des fantoches au service de la macronie et de son plan de destruction des nations, au bénéfice d’un fédéralisme dont il se rêve en patron.
C’est notre grand mamamouchi Stéphane Séjourné, seul dyslexique souffrant d’un trouble oral de cette maladie qui ne touche que l’écrit, mais c’est un autre sujet, s’est vu affublé d’un titre sacrément ronflant.
Monsieur Séjourné est Vice-président exécutif à la Prospérité et la Stratégie Industrielle !
Hahahahahahahahaha…. Dans cette Union Européenne devenue aussi dystopique qu’Orwellienne, nous sommes en pleine inversion des mots. Par exemple la paix c’est la guerre. Ou l’absence de gaz c’est trop d’énergie. Ou pour être vraiment libre il faut réduire la liberté de parole. Alors quand on nomme un Vice-président exécutif à la Prospérité et la Stratégie Industrielle, c’est que plutôt que de la prospérité, car tout le monde sait bien n’est-ce pas que l’Europe c’est la paix et la prospérité, et bien vous aurez plutôt de la misère… et aucune stratégie industrielle puisque l’Union Européenne détruit consciencieusement toutes nos capacités industrielles depuis 30 ans en accélérant depuis 10 ans.
Thomas Joly, président du Parti de la France
Depuis trois ans, les chancelleries occidentales et leurs médias aux ordres répètent inlassablement le même mantra : si la Russie n’est pas arrêtée en Ukraine, elle envahira l’Europe. Ce narratif, digne d’une propagande de guerre, n’a qu’un objectif : justifier la poursuite d’un conflit absurde qui ravage l’Ukraine et angoisser les peuples européens. Pourtant, un examen sérieux des faits et de l’Histoire démontre que cette thèse relève du fantasme pur et simple.
Compte tenu de la pression fiscale exercée dans notre pays, qui est devenu une véritable violence fiscale d’Etat,
Compte tenu des services rendus par rapport à la pression fiscale qui n’est plus en relation avec la qualité de nos services publics qui s’effondrent.
Compte tenu de la médiocrité crasse de la classe politique actuelle qui ne sait qu’augmenter les impôts,

par Régis de Castelnau
Au-delà de la schadenfreude qu’il a procuré à ceux qui essaient de résister depuis trois ans à l’inepte propagande russophobe et aux conséquences de l’aveuglement des élites à la réalité du monde, le traquenard tendu à Zelensky dans le bureau ovale appelle quelques observations.

Une voiture a foncé sur la foule à Mannheim, en Allemagne, faisant deux morts et 25 blessés, dont 15 grièvement. Une femme a eu la jambe arrachée. Les faits se sont déroulés dans une rue commerçante alors que de nombreuses personnes se rassemblaient pour des défilés à l’occasion de l’ouverture de la saison du carnaval.

Il y a quelques mois Glenn Diesen parlait de cet occident qui vivait sans honte et sans humiliation. A ce jeu il ne reste que l’Europe : comme à l’époque nazie, mais toujours dirigée par des Allemands (Schwab, Leyen, BCE-Francfort, Scholz, en attendant Merz que Vance va essayer de briefer cette semaine), l’Europe se retrouve contre l’Amérique et la Russie, et dans une position matérielle et surtout morale toujours aussi inadmissible : elle est criminellement liée aux nazis de Kiev depuis son non-respect des accords de Minsk, et comme les nazis elle cherche à détruire ses propres populations avec une dictature bureaucratique abominable, des vers et des cafards dans les assiettes, une presse de propagande comme au temps de Goebbels (et ce dans tous les pays), des vaccins meurtriers obligatoires, un racisme à rebours pratiqué contre des populations blanches vieillies, avilies et avachies, et un pataquès de mesures wokistes qui évoquent les personnages nazis sexuellement détraqués des films de Luchino Visconti. Fermez le ban ou plutôt ne le fermez pas, car on n’est pas sortis de l’auberge.