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Europe et Union européenne - Page 893

  • Syriza au pouvoir: une victoire souverainiste?

    C'est l'avis de Jacques Sapir, lu ici. Extrait.

    "Mais, au-delà du symbole, il y a des actes. Et les premiers actes de Tsypras ont été des signaux très forts envoyés aux autorités de Bruxelles. Tout d'abord, il a constitué son gouvernement en passant une alliance avec le parti des « Grecs Indépendants » ou AN.EL. Beaucoup disent que c'est une alliance hors nature de l'extrême-gauche avec la droite. Mais ce jugement reflète justement leur réduction du combat de SYRIZA à la seule question sociale. Ce qui justifie l'alliance entre SYRIZA et les « Grecs Indépendants », c'est le combat pour la souveraineté. Tsypras, dans son premier discours, a d'ailleurs parlé de l'indépendance retrouvée de son pays face à une Union Européenne décrite ouvertement comme un oppresseur. Le deuxième acte fort du nouveau gouvernement a été de se désolidariser justement de la déclaration de l'UE sur l'Ukraine. Une nouvelle fois, l'UE condamnait la Russie. Tsypras a dit, haut et fort, que la Grèce n'approuvait pas cette déclaration, ni sur le fond ni dans sa forme, car elle avait été prise sans respecter les procédures internes à l'UE. Il est désormais clair que l'UE ne pourra plus raconter n'importe quoi sur la crise ukrainienne. La règle de l'unanimité s'applique encore. Le troisième acte a été la décision du gouvernement, annoncée par le nouveau ministre des Finances M. Varoufakis, de suspendre immédiatement la privatisation du port du Pirée. Cette décision signifie la fin de la mise à l'encan de la Grèce au profit de l'étranger. Ici encore, on retrouve la nécessité d'affirmer la souveraineté de la Grèce."

    Sur le même sujet, on pourra lire avec profit ceci.

    Paula Corbulon  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Grande Bretagne : la traite des adolescentes blanches à ciel ouvert !

    Courant août dernier, une enquête du Times révélait que pendant 16 ans, de 1997 à 2013, 1400 jeunes filles blanches, souvent des mineures, ont servi d’esclaves sexuelles à des bandes appartenant à la communauté pakistanaise de Rotherham, une cité du Yorkshire.

    Des centaines de nouveaux cas ont été rapportés depuis, comme l’a révélé hier un article d’un média en ligne britannique. « Ils sont intouchables » déplore l’une des victimes…
    Pendant ces 16 années, les viols de Rotherham avaient déjà été volontairement étouffés par la police et les services sociaux de la ville, qui craignaient de passer pour racistes. Comme le note le rapport de police qui a finalement révélé l’affaire« Les victimes sont en quasi-totalité des enfants britanniques, blancs. Quant aux auteurs, ils appartiennent à des communautés ethniques minoritaires ». Et le rapport de poursuivre : « Les membres des équipes d’investigation sont très souvent réticents à préciser les origines ethniques des auteurs, de peur de passer pour racistes ».

    Autrement dit, mieux valait laisser des adolescentes, parfois des enfants, être, comme on le lit dans le rapport, « victimes de viols collectifs, enlevés, battus et intimidés », plutôt que de risquer d’être catalogués de racistes…

    Rotherham n’est pas la seule agglomération de Grande Bretagne concernée. A Bradford, les forces de l’ordre n’ont pas osé arrêter les membres d’un réseau ethnique de proxénètes qui prostituait des adolescentes blanches, par crainte de provoquer des violences raciales et de perturber ainsi la campagne électorale locale. Entre 2008 et 2009, à Rochdale, près de Manchester, 47 jeunes Anglaises de souche, âgées de 13 à 15 ans, ont été violées et obligées de se prostituer par des gangs composé de huit Pakistanais et d’un Afghan. En 2008, une des victimes avait dénoncé ses tortionnaires à la police, qui a délibérément ignoré son témoignage. Pour l’ancienne députée travailliste Ann Cryer, les autorités étaient, là aussi, pétrifiées à l’idée d’être accusées de racisme.

    Mais il semble qu’on vienne de franchir un degré de plus dans la servitude

    Selon un article de l’édition en ligne du média britannique Sky News, publié avant-hier, c’est en toute impunité que les violeurs ethniques poursuivent leurs activités criminelles. Une des victimes, gardant naturellement l’anonymat, constate que ses agresseurs continuent à « cibler » des jeunes filles, sans être le moins du monde inquiétés par la police. « C’est encore pire à présent, affirme-t-elle, parce que, maintenant, ils ne se cachent plus (…) Il sont devenus intouchables ». La dhimmitude des Européens, c’est maintenant…

    http://fr.novopress.info/

  • La Grèce... ne nous fait pas peur !

    La Grèce fait peur, une fois de plus : non pas que les Hellènes nous menacent d’une invasion mais plutôt d’une implosion du système de l’union monétaire européenne, à en croire les élites libérales et la Commission européenne elle-même qui oscille entre ton d’une rare fermeté et une certaine prudence, comme pour ne pas insulter l’avenir mais en se préparant à une confrontation musclée avec le gouvernement de la Gauche radicale issu des urnes grecques.

     

    Bien sûr, et c’est le discours officiel que l’on entend partout dans les sphères bruxelloises, les Grecs ont exagéré, par le passé : ils ont cru que la société de consommation que venait leur « offrir » la Communauté économique européenne (devenue Union européenne au début des années 1990) était un cadeau que l’on n’oserait pas leur reprendre puisque « l’Europe », c’était la paix, la prospérité et, surtout, la solidarité, et qu’ils en profiteraient toujours... Cadeau empoisonné car la société de consommation et de croissance ne fait jamais rien gratuitement et ce qu’elle « offre » un jour devient la dette du lendemain. Les Grecs, tout heureux d’être acceptés dans cette Europe à laquelle ils avaient donné son nom à travers un mythe ancien, ont joué les cigales et, croyant les européistes qui annonçaient à longueur de colonnes la fin des États remplacés par une Europe fédérale bruxelloise, n’ont rien fait pour construire un État, des institutions et un appareil politiques dignes de son histoire et de son destin. Mais, quand manque l’État, le chaos n’est pas loin, conjugué à l’injustice et à la corruption : c’est d’ailleurs une leçon que la Grèce, depuis l’Antiquité, nous donne à travers sa propre histoire.

    La Grèce fait peur, une fois de plus : non pas que les Hellènes nous menacent d’une invasion mais plutôt d’une implosion du système de l’union monétaire européenne, à en croire les élites libérales et la Commission européenne elle-même qui oscille entre ton d’une rare fermeté et une certaine prudence, comme pour ne pas insulter l’avenir mais en se préparant à une confrontation musclée avec le gouvernement de la Gauche radicale issu des urnes grecques.

    Bien sûr, et c’est le discours officiel que l’on entend partout dans les sphères bruxelloises, les Grecs ont exagéré, par le passé : ils ont cru que la société de consommation que venait leur « offrir » la Communauté économique européenne (devenue Union européenne au début des années 1990) était un cadeau que l’on n’oserait pas leur reprendre puisque « l’Europe », c’était la paix, la prospérité et, surtout, la solidarité, et qu’ils en profiteraient toujours... Cadeau empoisonné car la société de consommation et de croissance ne fait jamais rien gratuitement et ce qu’elle « offre » un jour devient la dette du lendemain. Les Grecs, tout heureux d’être acceptés dans cette Europe à laquelle ils avaient donné son nom à travers un mythe ancien, ont joué les cigales et, croyant les européistes qui annonçaient à longueur de colonnes la fin des États remplacés par une Europe fédérale bruxelloise, n’ont rien fait pour construire un État, des institutions et un appareil politiques dignes de son histoire et de son destin. Mais, quand manque l’État, le chaos n’est pas loin, conjugué à l’injustice et à la corruption : c’est d’ailleurs une leçon que la Grèce, depuis l’Antiquité, nous donne à travers sa propre histoire.

    La Grèce a connu une véritable descente aux enfers durant ces dernières années : bien sûr, elle avait fauté mais le châtiment n’était-il pas, en fait, injuste car frappant tous les Grecs et non, d’abord, les responsables politiques et économiques du pays qui l’avaient, par démagogie et carriérisme, mené à la catastrophe ? Certains me rétorqueront que les électeurs étaient tout aussi coupables que ceux qu’ils avaient élus, justement parce que, par le simple jeu démocratique et électoral, ils les avaient portés au pouvoir... Certes ! Mais, dans ce cas, que la démocratie est brutale ! Or, la politique n’a pas pour seul but de sanctionner mais de décider, de guider, mais aussi d’accorder les citoyens entre eux, de leur apporter les « hautes conditions du bonheur », non le Bonheur totalitaire d’un Saint-Just, mais celui qui permet l’harmonie du corps social et des citoyens avec le monde environnant, ce bonheur qui se conjugue au pluriel... [....]

    La suite sur le blog de Jean-Philippe Chauvin

  • Reportage sur la résistance à l’islamisation de l’Europe

    Suite aux récents attentats islamistes en France, Le Point Quotidien a consacré un reportage à la montée de l’”islamophobie” en Europe…
    Le Point Quotidien est une production VICE Media France avec la participation de France Télévisions.

    http://fr.novopress.info/

  • La Cour européenne des droits de l’homme valide la vente d’enfant !

    D’un crime naît un droit.

    Le 27 janvier, dans l’affaire Paradiso, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a condamné l’Italie pour avoir retiré à un couple l’enfant qu’il a acheté 49.000 euros à Moscou en 2011. L’Italie doit leur verser 30.000 euros de dommages.

    L’enfant, conçu par GPA, n’ayant aucun lien génétique avec le couple, l’Italie refusa de reconnaître l’acte de naissance russe qui indiquait le couple comme parents de l’enfant, leur retira l’enfant et le confia à l’adoption.

    Saisie par le couple, la CEDH a jugé, par cinq voix contre deux, que l’Italie pouvait refuser de reconnaître la filiation russe, mais que le retrait de l’enfant a porté atteinte à leur vie privée et familiale. La Cour a estimé que les acquéreurs se sont comportés comme des parents pendant six mois et qu’ils méritent la protection accordée à la vie familiale, puis elle a jugé que l’interdiction de la GPA et de la vente d’enfant ne justifie pas le retrait de l’enfant au regard de l’intérêt de celui-ci à rester avec ses parents d’intention.

    L’achat d’un enfant confère ainsi aux acquéreurs un droit sur cet enfant au nom de l’intérêt de l’enfant tel que déterminé par les juges.

    Lire la suite

  • Juncker s'assoit sur la souveraineté des peuples

    Interrogé dans Le Figaro, Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, qui avait appelé à voter pour la coalition battue aux élections en Grèce, déclare :

    «on ne peut pas sortir de l'euro sans sortir de l'Union européenne»

    Puis à la question « comment l'Europe doit-elle traiter un pays qui décide démocratiquement de sortir du rang ? », réponse :

    « Il ne peut pas y avoir de choix démocratique contre les traités européens ».

    Michel Janva

  • De Charlie à SYRIZA : la grande désillusion de la gauche française

    La gauche française, depuis qu’elle ne fait même plus semblant de défendre les classes populaires, s’est enfermée dans la négation systématique du réel.

    La gauche française, depuis qu’elle ne fait même plus semblant de défendre les classes populaires, s’est enfermée dans la négation systématique du réel. Ce réel, elle ne peut s’empêcher de le repeindre en gris ou en rose au gré de son humeur. Rue de Solférino comme dans les studios de France 2, on ne cherche plus à comprendre le monde : on fantasme, on maquille, on délire dans l’entre-soi.

    Il y avait eu l’élection d’Obama, sauveur du monde en 2008, les Printemps arabes, victoire de la démocratie dans le monde musulman en 2011, et en 2013 le mariage pour tous, avancée sociétale que la France entière attendait depuis 2.000 ans. Avec les affaires Charlie et SYRIZA, on a renoué avec les grandioses illusions presque aussitôt déçues.

    Dans l’affaire Charlie, l’illusion ne fut pas dans la rengaine sur l’absence totale de lien entre les terroristes et l’islam, mais dans l’interprétation des manifestations de masse du 8 au 11 janvier.

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  • Envolée du franc suisse : menace sur les communes françaises

    Les taux d'emprunts souscrits par les communes indexés sur la parité entre l'euro et le franc suisse vont parfois être encore bien supérieurs à ceux annoncés (jusqu'à + de 30 % pour l'instant).

    Le barème du fonds de soutien aux collectivités locales ayant souscrit des emprunts toxiques sera "revu" afin de répondre à la "nouvelle donne" provoquée par l'envolée du cours du franc suisse, a assuré le 29 janvier le secrétaire d'Etat au budget. "La brutale appréciation du franc suisse, que personne n'avait anticipée, provoque une inquiétude au sein des collectivités locales", a déclaré Christian Eckert au Sénat. Le coût de l'envolée de la monnaie helvétique pour les collectivités françaises ayant dans leur encours de dette des prêts indexés sur cette devise "peut atteindre plusieurs centaines de millions d'euros, voire un milliard d'euros, j'espère pas plus", a-t-il précisé. Le fonds de soutien doté de 1,5 milliard d'euros sur dix ans "est sous-dimensionné et ne permet pas de faire face aux échéances de remboursements", a estimé Elisabeth Doineau, sénatrice UDI-UC de la Mayenne. Le 21 janvier, le secrétaire d'Etat au Budget avait révélé que "près d'un millier de collectivités" et "plusieurs dizaines d'hôpitaux" ont souscrit de ces emprunts indexés sur la parité entre l'euro et le franc suisse.

    1300 communes seraient concernées. "Avec un taux d'intérêt passé d'un coup de 13,7% à près de 26%, ce sont 700 000 euros d'annuité d'emprunt que nous devrions rembourser jusqu'en 2038", s'alarme par exemple Gérard Gicquel, le maire d'Elven. Serge Brosolo, adjoint aux finances de Quiberon, autre commune morbihannaise dans la tourmente :

    "Avec un taux d'intérêt qui atteint aujourd'hui 29%, c'est comme si on avait emprunté des dizaines de millions d'euros et non 2,8 millions".

    La commune d'Avion au lieu de devoir rembourser un prêt de 3,5M € (montant initial), aura un boulet de 9,5 M€. Chambéry voit le taux de deux de ses emprunts passer de 14% à 26%.

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le 20 novembre 2013, à la Rada (parlement) le député Oleg Tsarev faisait d’étonnantes révélations…

    TRANSCRIPTION :
     
    - Le député Oleg Tsarov a la parole! 
     
    Honorables collègues,
    Honorable Vladimir Vasilievitch,
     
    Dans mon rôle en tant que représentant du peuple ukrainien, des militants de l’organisation se sont adressés à moi et m’ont fourni des preuves claires que sur notre territoire, avec le soutien et la participation directe de l’ambassade américaine à Kiev le projet « TechCamp » est mis en place en vertu duquel des préparatifs sont en cours pour une guerre civile en Ukraine. 
     
    Le projet « TechCamp » prépare des spécialistes pour une guerre de l’information utilisant les médias modernes pour discréditer les institutions étatiques et des révolutionnaires potentiels pour organiser des manifestations et le renversement de l’État de droit. 
     
    Le projet est actuellement supervisé et sous la responsabilité de l’ambassadeur américain en Ukraine: Geoffrey R. Pyatt. 
     
    Après ma conversation avec l’organisation « Volya », j’ai appris qu’ils ont réussi à accéder aux installations du projet  » TechCamp » en se faisant passer pour une équipe de spécialistes de l’informatique.À leur grande surprise, des séances d’information sur les particularités de l’utilisation des médias modernes ont eu lieu.
     
    Des instructeurs américains leur ont expliqué comment les réseaux sociaux et les technologies de l’Internet peuvent être utilisés pour la manipulation ciblée de l’opinion publique ainsi que pour activer le potentiel de protestation et pour provoquer des troubles violents sur le territoire de l’Ukraine par la radicalisation de la population et le déclenchement de luttes intestines.
     
    Les instructeurs américains montrent des exemples d’utilisation réussie des réseaux sociaux pour organiser des manifestations en Égypte, Tunisie et Libye.

     

    Les représentants de « TechCamp » délivrent actuellement des conférences à travers toute l’Ukraine.

    Un total de cinq événements ont eu lieu jusqu’à présent.

    Environ 300 personnes ont été formées comme agents, et sont maintenant actifs dans toute l’Ukraine.

    La dernière conférence « TechCamp » a eu lieu les 14 et 15 Novembre 2013 en plein cœur de Kiev sur le territoire de l’ambassade des États-Unis!

    Vous me dites quel pays dans le monde permettrait à une ONG de fonctionner à l’ambassade des États-Unis? C’est irrespectueux envers le gouvernement ukrainien et envers le peuple ukrainien !

    Je lance un appel aux autorités constitutionnelles de l’Ukraine avec la question suivante:

    Est-il concevable que des représentants de l’ambassade des États-Unis organisent les Conférences « TechCamp » en abusant ainsi de leur mission diplomatique ?

    Laissez-le parler!

    continuez!

    La Résolution de l’ONU du 21 Décembre 1965 réglemente le caractère inadmissible de toute ingérence dans les affaires intérieures d’un État de façon à protéger son indépendance et sa souveraineté conformément aux paragraphes un, deux et cinq.

    Je vous demande de considérer cela comme une requête de mener une enquête sur cette affaire.

    Merci!

    Source -