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géopolitique - Page 275

  • Ukronazis, l'abjection totale. Les mines pétales, des jouets pour mutiler

    Le terrorisme à l'état pur 
    Même après 8 années de bombardements ukrainiens ininterrompus sur ses familles, le Donbass n'avait pas vu de la part des ukro-atlantistes une telle haine et lâcheté criminelles, et je laisse à chacun le soin de trouver dans les bas-fonds du vocabulaire les pires qualificatifs injurieux pour tenter d'approcher la nature de ces rebus de l'humanité qui viennent un fois encore de répandre par bombardement terroriste des centaines de mines antipersonnelles au coeur de Donetsk.
    Lors des combats pour Lisichansk, les forces ukrainiennes avaient disséminé devant les progressions des forces alliée contournant la ville d'où ils tentaient de s'échapper. Cette pollution de zone, réalisée par l'artillerie et les drones afin de freiner une progression adverse est une technique militaire acceptable lorsqu'elle reste dans le domaine du combat. Mais ce que nous observons depuis quelques jours à Donetsk où il n'y a aucun combat urbain ni objectif militaire en ville, relève juste d'un terrorisme à caractère génocidaire.
    Le 20 juillet, les "ukrops" dispersent avec des roquettes de 220mm "Uragan" à sous munitions sur les quartiers Ouest de Yasinovataya (secteur de la gare ferroviaire) plus de 200 mines antipersonnelles Pf1 .
    Le 29 juillet, nouveau nouveau bombardement ukro-atlantiste dispersant des mines antipersonnelles, cette fois sur le quartier "Textile" à l'Ouest du centre ville de Donetsk. 8 morts et des dizaines de blessés pour cette seule journée.
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  • Guerre d’Ukraine – Jours 152-158 – Emmanuel Macron n’est pas content – Sergueï Lavrov lui a volé la vedette en Afrique – par Edouard Husson

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  • Les céréales et la guerre

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    par Stefan Schmitt

    Source: https://www.nachdenkseiten.de/?p=86359

    Les médias ukrainiens, comme nous l'expliquent nos propres médias depuis quelques semaines, rapportent que l'artillerie russe bombarde délibérément les champs de céréales ukrainiens prêts à être récoltés et y met le feu. Le 15 juillet, par exemple, la Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ) a écrit que les céréales étaient enlevées en masse des zones occupées (selon les médias ukrainiens). Les agriculteurs locaux ont déclaré qu'ils devaient donner gratuitement leurs céréales aux occupants. La phrase suivante de l'article illustre la manière dont les médias nationaux traitent les affirmations de Kiev: "Des tensions sont apparues entre l'Ukraine et la Turquie à propos des céréales volées par la Russie". Les affirmations et les insinuations deviennent des faits. Ce que l'on ne dit pas, c'est que depuis mars, les médias ukrainiens sont placés par décret sous le contrôle du ministère de l'Intérieur. Dans le conflit actuel, il est fait référence, de manière consciente ou subliminale, à la menace d'extermination que les nationalistes ukrainiens brandissent depuis 100 ans et selon lequel l'Union soviétique ou la Russie souhaiterait asservir ou détruire les Ukrainiens. La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, s'inscrit également dans ce scénario en déclarant de manière fanatique que la Russie utilise la faim comme arme de guerre. C'est démagogique, car elle connait mieux la situation que quiconque. Un article invité de Stefan Schmitt.

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  • L’Inde remet les USA à leur place

    Bien que l’Occident collectif, et plus particulièrement Washington, avait vivement souhaité faire basculer l’Inde dans le camp occidental, New Delhi démontre que son agenda n’est pas celui de l’Occident. Une démarche indienne souveraine qui ne fait que renforcer l’axe de la multipolarité.

    L’Inde a reproché aux Etats-Unis d’avoir « suggéré » directement aux autorités portuaires de la ville de Mumbai une interdiction d’entrée de navires russes. Les autorités indiennes ont rappelé avoir le droit souverain de traiter avec tous les partenaires mondiaux. L’indécence étasunienne a été vivement critiquée aussi bien au niveau du ministère indien des Affaires étrangères, qu’au niveau de l’opinion publique du pays.

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  • Ukraine : les Russes peuvent neutraliser sans problème les drones et missiles de l’OTAN

    Depuis le temps qu’on entendait parler d’eux, ils arrivent enfin, les S-400 Trioumf.

    Tout beaux tout nouveaux, version 2022 à peine sortis d’usine, avec la peinture qui sent encore le neuf.  Et toutes les options sans supplément.

    Descriptif succinct des S-300 et 400

     Version améliorée des S-300 Favorit (Code OTAN SA-20B) le système mobile S-400 de missiles sol-air (code OTAN SA-21 Growler) était initialement destiné à assurer une protection aérienne des frontières de la Russie avec l’Eurocrature.

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  • La Russie va bientôt commencer l’opération en Ukraine « pour de vrai »

     PAR Planetes360

    par Peter Yermilin.

    Les journalistes de Russkaya Vesna se demandent pourquoi la Russie se comporte en Ukraine de manière relativement galante, ne frappant pas les centres de décision et ne donnant pas aux Forces armées ukrainiennes la possibilité de recevoir des armes occidentales.

    La publication cite une explication de l’expert militaire Mikhail Khodarenok, qui a déclaré que la stratégie consiste à épuiser les ressources des Forces armées ukrainiennes, à mettre hors d’état de nuire la partie de l’armée ukrainienne prête au combat, après quoi « les choses iront plus vite ».

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  • Missiles hypersoniques et intercepteurs de HIMARS: le retard pris par l’OTAN sur l’armée russe est-il rattrapable? – par Edouard Husson

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  • L’Arabie saoudite, les Etats-Unis et le pétrole russe. L’Union Européenne dindon de la farce ?

     Le 27 juillet 2022

    Depuis que le président américain Joe Biden a pris ses fonctions en janvier 2021, il tente de ramener l’Arabie saoudite dans le giron de l’Occident politique. 

    Ces tentatives se sont considérablement intensifiées après que la Russie a lancé sa contre-offensive contre l’empiètement rampant de l’OTAN. M. Biden a fait de nombreuses et vaines tentatives pour contacter les dirigeants saoudiens, qui ont culminé avec une visite ratée le 15 juillet.

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  • Les sanctions, quoi qu’il nous en coûte ?

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    Philippe Villin

    L’objet de cette opinion n’est pas de savoir si l’on doit soutenir M. Zelensky sans limite, comme nos politiques et nos eurocrates, mais de s’étonner qu’un tel choix ait été fait sans débat démocratique. Pire, même, ceux-ci n’ont pas jugé utile de nous consulter, ni sur l’escalade militaire, ni sur les terribles conséquences des sanctions pour nos économies. Parlons de ces conséquences !

    Alors que nous sortions à peine du Covid et que la Chine faisait déjà gravement problème (« zéro Covid » totalitariste, Taïwan menacée, arrêt de l’ « usine chinoise » et donc crise d’approvisionnement et logistique), leur choix – sans débat – de telles sanctions jamais vues sur un fournisseur vital entraîne déjà des conséquences dramatiques pour nous. Le prix de l’énergie a déjà flambé, faisant exploser les dépenses de chauffage et de transport des ménages et les appauvrissant.

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  • Guerre d’Ukraine – Jours 147-151 -Les buts de guerre de la Russie sont élargis à Kharkov et Odessa – par Edouard Husson

    On ignore souvent que Chateaubriand fut la principale source d'inspiration du Général de Gaulle en matière diplomatique. Au coeur de la vision d'une politique étrangère forgée par la monarchie et qui pût être utilisée, sans modification, par la République, il y avait la nécessité de s'entendre avec la Russie, telle que l'auteur des Mémoires d'Outre-Tombe, qui fut aussi Ministre des Affaires Etrangères sous la Restauration, l'expose.
    Faute d'avoir adhéré à ces "piliers de la sagesse diplomatique" française, notre actuelle diplomatie est en train d'être engloutie dans le désastre d'une guerre occidentale qui n'est pas la nôtre, au risque de voir notre pays écarté pour longtemps des affaires du monde - alors que notre géographie nous met en position idéale, sur tous les océans de la planète.
    Il faudra sans aucun doute du temps pour réparer les énormes erreurs de l'actuelle (absence de) stratégie française. Ce n'est pas une raison pour ne pas comprendre le monde tel qu'il change: non seulement l'évolution de la bataille d'Ukraine mais le retour à l'équilibre des puissances avec, au coeur du nouveau dispositif, la Russie et l'Eurasie.

    La Bataille d’Ukraine 

    + Il est toujours utile, pour commencer, de se rappeler les distances dont nous parlons. La ligne de front établie par l’armée russe au début de son offensive était aussi longue que la distance d’un trajet automobile entre Barcelone et Varsovie.  Même réduite de moitié à partir du début avril (après que l’armée russe eut fixé suffisamment longtemps des troupes ukrainiennes autour de Kiev et Soumy pour pouvoir s’emparer du sud du pays et préparer la bataille du Donbass), la ligne de front est extrêmement étendue.  Plus de 1000 kilomètres. C’est à rappeler à tous les stratèges de plateau télévisé. 

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