Lors des combats pour Lisichansk, les forces ukrainiennes avaient disséminé devant les progressions des forces alliée contournant la ville d'où ils tentaient de s'échapper. Cette pollution de zone, réalisée par l'artillerie et les drones afin de freiner une progression adverse est une technique militaire acceptable lorsqu'elle reste dans le domaine du combat. Mais ce que nous observons depuis quelques jours à Donetsk où il n'y a aucun combat urbain ni objectif militaire en ville, relève juste d'un terrorisme à caractère génocidaire.
Le 20 juillet, les "ukrops" dispersent avec des roquettes de 220mm "Uragan" à sous munitions sur les quartiers Ouest de Yasinovataya (secteur de la gare ferroviaire) plus de 200 mines antipersonnelles Pf1 .
Le 29 juillet, nouveau nouveau bombardement ukro-atlantiste dispersant des mines antipersonnelles, cette fois sur le quartier "Textile" à l'Ouest du centre ville de Donetsk. 8 morts et des dizaines de blessés pour cette seule journée.