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immigration - Page 1133

  • JT du Mercredi 30 mars 2016 : Terrorisme / La radicalisation dans tous ses états

  • Dominiek Lootens-Stael (député Vlaams Belang) : « Le pouvoir a toujours été du côté de ces “nouveaux Belges” »

    Minute-couv-30-mars-2016.jpg

    PARIS (NOVOpress) : Dans un entretien à l’hebdomadaire Minute,Dominiek Lootens-Stael, unique député du Vlaams Belang au Parlement régional de Bruxelles, revient sur la responsabilité des élus socialistes dans l’islamisation de Bruxelles et des communes voisines. Extrait.

    Minute : Il y a vraiment autant d’étrangers que ça à Molenbeek ?

    Dominiek Lootens-Stael : Honnêtement, aujourd’hui, dans le vieux Molenbeek, il n’y a que des étrangers.

    En 1991, sur le parvis Saint-Jean-Baptiste, il y avait encore un bistrot européen. Après les émeutes de Molenbeek et de Forest (une autre commune de l’agglomération bruxelloise, Ndlr), cette année-là, les propriétaires du bistrot ont été chassés. C’est désormais une banque qui occupe les lieux : la Chaabibank, du Maroc ! Il n’y a plus rien pour les Molenbeekois de souche. Ils ont été chassés de leur quartier, parfois même de façon organisée.

    Le pouvoir politique a toujours été du côté de ces « nouveaux Belges ». Il n’y avait guère que le Vlaams Blok, aujourd’hui Vlaams Belang, pour les aider. Ce qui n’est pas facile quand on est dans l’opposition.

    Molenbeek n’est d’ailleurs pas la seule commune concernée. Cette situation se retrouve dans toutes les villes gérées par le Parti socialiste : Anderlecht, Saint-Gilles, Forest, etc. Dans toutes ces communes, il y a une forte immigration et une forte criminalité.

    Après ces attentats, sentez-vous une prise de conscience chez les Belges ?

    Une prise de conscience ? Dans la population, j’en ai vraiment l’impression. On le constate d’ailleurs au siège du Vlaams Belang, où nous recevons beaucoup de contacts. Je pense que beaucoup de gens vont se réveiller. L’autre jour, un journaliste m’a dit que nous allions « recueillir les fruits » de cette situation. Je lui ai répondu que pour moi, il était surtout très désagréable d’avoir eu raison trop tôt.

    En revanche, je ne vois pas de changement dans la classe politique. Au Parlement de Bruxelles, nous avons eu une minute de silence, puis nous avons eu… les mêmes discours qu’après les attentats de Paris. Dans un mois, tout le monde aura tout oublié… jusqu’aux prochains attentats. Cette fois c’était Bruxelles, après Londres, Madrid, Paris, etc. Pendant ce temps, la politique continue…

    http://fr.novopress.info/

  • Combien de Molenbeek français ?

    Quand Patrice Ribeiro président du syndicat de police Synergie l’a dit le premier, aussitôt appuyé par le spécialiste Thibaut de Montbrial, il a été violemment accusé de « stigmatisation malsaine ». Un commandant de police qui révèle l’existence de Molenbeek plein la France, d’enclaves musulmanes, laboratoires de l’islamisme et prêtes à cacher des terroristes, c’est lui qui est malsain !

    Et il a cité : « Trappes, Roubaix, Le Mirail à Toulouse où vivait Mohamed Merah ». Mais on peut ajouter Argenteuil, Clichy-sous-Bois, Vénissieux, Tourcoing, La Courneuve, Saint-Denis, Lunel etc. Ces quartiers où des racailles de droit commun ont tissé des liens étroits avec la mouvance djihadiste.

    « Ces quartiers où la police se heurte à l’omerta religieuse », décrit Ribeiro : « La première vraie émeute religieuse en France, ça a été à Trappes, lors d’une interpellation en 2013 d’une femme portant le voile intégral. »

    Le ministre de la Ville lui-même Patrick Kanner, vite recadré par Cambadélis, a confirmé l’existence « d’une centaine » de Molenbeek. Mais alors si c’est le cas, qu’attend-il pour réagir à la menace ? Lui dont le ministère, de Tapie en Borloo, a déversé 45 milliards d’euros sur ces zones pour le résultat que l’on voit.

    Que fait-il face à un quartier comme celui de la Reine-Jeanne à Avignon, aujourd’hui devenu « cité des salafistes » ? Avec ses mosquées aux prêches radicaux décrits par une récente enquête de Paris-Match, sa ségrégation sexuelle dans les commerces, ses bars sans alcool réservés aux hommes, ses cours coraniques dans la salle (municipale !) du château de Saint-Chamand, ses voiles noirs pour les femmes, ses pantalons à l’afghane et barbe du prophète pour les hommes et même son « tribunal islamiste »…

    « Je comprends qu’une partie de la classe politique, notamment locale, ait une cécité consentie parce qu’une ville est à majorité musulmane » a encore dénoncé Ribeiro.« Je comprends que des élus aient besoin que ces gens votent pour eux. »

    Des accusations extrêmement graves qui impliquent une complicité, à la façon du criminel maire de Molenbeek, avec ceux qui nous livrent une sanglante guerre de conquête. Au tribunal des islamo-collabos Marie-José Roig maire UMP d’Avignon pendant 20 ans jusqu’en 2014, qui a fait de la Cité des papes la ville aux neuf mosquées, doit rendre des comptes.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent n° 8576 daté du 30 mars 2016

    http://fr.novopress.info/199890/combien-molenbeek-francais/

  • « Les migrations méditerranéennes en 2015 » de Jean-Paul Gourévitch

    Jean-Paul Gourévitch est l’auteur de plusieurs monographies sur l’immigration et son coût et de Les migrations pour les nuls (1), dont Polémia a rendu compte au cours de l’été 2015 et qui a valu à la revue d’injustes avanies de la part de l’AFP et des médias de propagande.

    mediterrannee.jpgLa pression des événements l’a conduit à publier en mars 2016, pour la revue Les Etudes de Contribuables associés (2), une nouvelle enquête sur « Les migrations méditerranéennes en 2015. Chiffres et coûts, les réalités du présent, les scénarios du futur » qui fait un point, notamment, sur les chiffres du mouvement migratoire actuel. Nous tenons à souligner que, du fait d’une situation très évolutive et de données statistiques incertaines et parfois manipulées, il convient de prendre en compte les données chiffrées avec prudence.

    Polémia, dans sa ligne de veille attentive à ce qui n’est plus aujourd’hui une immigration mais une invasion-submersion – certains parlent de conquête – de l’Europe, présente à titre d’information à ses lecteurs un résumé factuel de cette intéressante étude.

    Esprit libre et indépendant, J.-P. Gourévitch dénonce avec véhémence la désinformation sur les migrations.

    -Manipulation par l’image

    La photo du petit Aylan Kurdi a servi, non à informer, mais à « formater l’opinion » pour déclarer l’Europe coupable alors que l’enfant est mort sur une plage de Bodrum en Turquie. Pourquoi ne pas avoir montré aussi des photos d’enfants chrétiens égorgés par l’Etat islamique ?

    -Manipulation par le reportage-documentaire

    C’est l’exemple du documentaire sur Le véritable coût de l’immigration diffusé le 13 octobre 2015 sur France 5. Le choix des invités ne s’est tourné que vers des immigrationnistes doctrinaires, à l’exclusion d’autres spécialistes ou de ceux qui ont affirmé leur positionnement à droite.

    A la télévision française participer à un débat sur ce thème c’est comme applaudir d’une seule main.

    -Manipulation malhonnête des chiffres

    L’INSEE a, en octobre 2015, publié des analyses chiffrées démontrant qu’en 2013 le solde migratoire français était en forte baisse et s’établissait à 33.000 personnes, ce qui a été répercuté par l’AFP et les médias.

    C’est une escroquerie intellectuelle d’une rare impudence, comme l’a démontré Polémia dans une étude de l’été 2015. En réalité il y a deux soldes migratoires :

    -celui de l’immigration que l’INSEE évalue à 140.000 personnes auxquelles il faut ajouter les clandestins que l’INSEE oublie allégrement et que J.-P. Gourévitch évalue à 50.000, soit 190.000 au total ;

    -celui de l’expatriation de Français que l’INSEE évalue à 120.000.

    Confondre au sein du même solde migratoire les chiffres d’une invasion africaine et ceux du départ provisoire ou définitif de Français constitue une offense à l’identité française.

    Un solde migratoire de l’émigration angoissant et, semble-t-il, en nette progression

    Dans sa monographie n°28 de 2013, J.-P. Gourévitch concluait à un départ annuel de 285.000 personnes, françaises pour la quasi-totalité, et à un retour de 205.000, soit un solde migratoire de 80.000 personnes parties définitivement.

    Ce chiffre déjà catastrophique est infirmé par celui de l’INSEE d’octobre 2015 qui, sur la base de 197.000 sorties et 77.000 retours s’élèverait à 120.000 départs.

    Peut-on croire ce chiffre que J.-P. Gourévitch juge vraisemblable ? Ce n’est pas certain car le nombre de sorties est difficile à appréhender par absence d’un outil statistique fiable. En revanche, il est clair que le solde migratoire de l’émigration des Français est énorme, en progression et angoissant. Nos gouvernants sont responsables et coupables. Ils ont transformé le pays de cocagne qu’est la France en un repoussoir pour ses propres nationaux.

    Une situation du stock migratoire de plus en plus pesante

    Jean-Paul Gourévitch se réfère à son chiffre d’immigrés de sa monographie n°27 de 2012 de 9.975.000 résidents, soit 15% de la population française. Celui-ci ne prend en compte les enfants d’immigrés nés de couples mixtes que pour une demi-part et tient compte des clandestins.

    Rappelons les chiffres des études de l’INSEE d’octobre 2015. Selon eux, en 2014, sur 65,8 millions de personnes, la France compte 5,9 millions d’immigrés, soit 9% de la population. L’INSEE, dans ces études, ne fait pas apparaître le nombre des descendants directs d’immigrés qui peuvent être estimés à environ 6,7 millions. Au total cela fait à peu près 12,6 millions d’immigrés au total, soit 19% de la population.

    Enfin, notons qu’en 2013 l’Europe comptait 72 millions de migrants sur son territoire, soit 10% de sa population.

    Les chiffres incertains et terrifiants de l’immigration-submersion dans un futur proche

    L’année 2015 a été marquée par un changement d’échelle des migrations.
    Selon un communiqué de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) du 23/12/2015, 1.005.504 migrants seraient déjà entrés de façon irrégulière en Europe en 2015.

    Concernant l’avenir, des commentateurs évoquent 2,2 millions de candidats à la migration en Syrie et 300.000 en Irak et évaluent entre 1million et 1,6 million le chiffre de l’invasion en Europe en 2016.

    D’autres prévisions que ne cite pas J.-P. Gourévitch sont encore plus marquantes :

    -le FMI, relayé par le quotidien The Telegraph, a prédit que quatre millions de migrants, hommes et musulmans en majorité, arriveraient en Europe en cette année 2016 ;

    -selon le ministre allemand Gerd Müller, seulement 10% des migrants sont arrivés actuellement en Europe. Cela voudrait dire que notre continent pourrait en attendre 10 millions dans un avenir proche.

    Les réactions dérisoires de l’Union européenne

    La première réponse a été celle des quotas qui ne peut résorber le flux actuel de migrants et qui oubliait que l’Espace Schengen est ouvert et que, si l’envahisseur n’est pas content, il peut changer de pays.

    L’UE a pensé à séparer les réfugiés politiques des migrants économiques en mettant en place des centres d’accueil. Mais comment distinguer les uns des autres ? Où implanter ces centres ? Comment faire respecter les décisions prises ?

    L’UE, en réalité la chancelière allemande, a décidé sans concertation avec ses partenaires de se tourner vers la Turquie notamment par un accord du 29/11/2015. Celle-ci maintiendrait sur son sol 2 millions de réfugiés syriens en échange de 3Md€ et d’une attribution plus facile de visas pour l’Europe. Depuis, la Turquie, avec la complicité de Merkel qui engage l’Europe sans mandat, exerce un chantage permanent sur l’UE et fait monter les enchères.

    Enfin, l’UE fait appel aux bonnes volontés et demande aux particuliers, aux collectivités locales et aux associations d’accueillir des réfugiés. Il s’agit en fait de disséminer ceux-ci sur le territoire européen et de répartir la charge et le coût entre les sites d’accueil. Cependant un tel choix est celui d’une minorité et qu’arrivera-t-il quand déferleront les bénéficiaires du regroupement familial ?

    Stimulés par des opinions publiques exacerbées les pays européens se ferment

    De nombreux pays européens se ferment. C’est le cas de la Serbie et de la Macédoine. La Hongrie est porte close. L’Autriche et la Slovénie ont édifié des clôtures. La Tchéquie et la Slovaquie refusent d’accueillir des migrants, la dernière parce qu’il n’existe pas de mosquée chez elle. Il fallait y penser ! La Pologne ne veut ni quotas ni garde-frontières sans son accord. La France a rétabli les contrôles aux frontières.

    Il semblerait que du fait de la fermeture de la route des Balkans, sous l’impulsion unilatérale de pays comme l’Autriche, le flux de demandeurs d’asile en Allemagne soit en cours de réduction (Le Figaro du 18 mars 2016). C’est à confirmer.

    La crise migratoire consacre le règne des passeurs

    Selon l’OCDE il y aurait dans le monde 30.000 passeurs, dont 3.000 opérant en Méditerranée. Les Allemands affirment avoir détruit 3.000 réseaux en 2014-2015. En réalité ce nombre, au lieu d’être voisin de zéro, semble avoir augmenté.

    Selon J.-P. Gourévitch, le tarif de passage depuis le littoral sud se situe entre 3.000 et 8.000 euros. Il considère que les passeurs constituent des organisations pyramidales qui fonctionnent comme de véritables holdings.

    La lutte contre les passeurs malgré des succès ponctuels manque d’efficacité et semble marquer le pas.

    Les migrations méditerranéennes coûtent plus cher que ce qui a été affirmé

    J.-P. Gourévitch a tenté d’évaluer les coûts des immigrations méditerranéennes. Nous répercutons ses chiffres pour information mais sans contrôle et sous toutes réserves.

    1°) Le coût des 24.000 réfugiés supplémentaires promis par Hollande.

     Hollande a promis d’accueillir 24.000 réfugiés supplémentaires sur 2 ans. La Cour des comptes a évalué le coût d’un demandeur d’asile à 13.724€ pour un demandeur d’asile et à 5.528€ pour un débouté. Sur cette base le coût des 24.000 réfugiés peut être évalué à 0,324Md€ sur 2 ans. J.-P. Gourévitch indique qu’il ne s’agit que d’un ordre de grandeur d’autant plus que sa propre estimation du coût d’un débouté se monte à 26.370€.

    2°) Le coût des demandeurs d’asile de 2015

     Selon l’Ofpra, 79.130 demandes d’asile ont été enregistrées en 2015. Sur une base minimale du chiffre allemand de 12.500€ du coût d’un demandeur d’asile, J.-P. Gourévitch estime le coût d’accueil de ces demandeurs à 1,3Md€.

    3°) Le coût des hypothèses de J.-P. Gourévitch

    L’auteur est convaincu que les dirigeants européens devront s’accorder sur la répartition des arrivées prévues pour 2016. Sur une base minimale de 1 million de « réfugiés » et selon les clefs de calcul de l’UE, la France devrait en recevoir 192.500. En supposant qu’elle parvienne à réduire ses délais d’instruction à 12 mois, ce qui est douteux, le coût serait de 12.500 x 192.500 = 2,41Md€, en fait probablement 1,5 fois plus, soit 3,6Md€.

    Les solutions concrètes de J.-P. Gourévitch

    Pour J.-P. Gourévitch il n’existe pas de solution miracle de quelque côté qu’elle vienne. Il croit qu’il existe des moyens concrets propres à ralentir les flux migratoires :

    -lutter contre la fraude identitaire ;
    -faire contribuer les migrants aux frais de santé et de justice ;
    -réduire les subventions aux associations d’aide aux migrants irréguliers ;
    -supprimer les avantages particuliers offerts aux migrants irréguliers ;
    -appliquer les décisions concernant les déboutés.

    Ces remèdes ne peuvent que retenir notre approbation. Mais ils représentent des solutions à caractère technique qui devraient s’inscrire dans une politique d’ensemble plus large et plus ambitieuse contre l’invasion-submersion dont l’objectif serait la survie de notre pays et de notre civilisation. Citons quatre exemples :

    -supprimer les pompes sociales aspirantes ;
    -abolir le regroupement familial ;
    -appliquer les règles de la priorité nationale notamment en matière d’emploi ;
    -affirmer notre souveraineté et refuser que l’UE ou quelque pays que ce soit, notamment l’Allemagne qui n’a aucun titre pour nous donner des leçons d’humanisme, nous dicte notre conduite en matière d’immigration.

    André Posokhow, Consultant, 20/03/2016

    Voir aussi
    (1) Les migrations pour les nuls
    (2) Les Etudes de Contribuables Associés / Les migrations méditerranéennes en 2015

    http://www.polemia.com/les-migrations-mediterraneennes-en-2015-de-jean-paul-gourevitch/

  • Pâques sanglantes, les Français dans l’arène ?

    Les chrétiens du monde entier fêtaient Pâques cette fin de semaine, à l’exception des orthodoxes qui, pour cause de calendrier julien, célébreront la résurrection du Christ le 1er mai. Chrétiens qui ont été de nouveau visés dimanche par les fanatiques islamistes. En Syrie, alors que les troupes légalistes reprenaient  la cité antique de Palmyre des mains de l’Etat Islamique, une femme portant une ceinture d’explosifs, s’est fait sauter dimanche à Ra’s al-‘Ayn (province d’Hassaké),  devant l’église syriaque orthodoxe Saint-Georges, tuant et blessant plusieurs fidèles. Au Pakistan, le même jour, c’est à Lahore dans le parc d’attraction de Gulshan-e-Iqbal, près de l’aire de jeux pour enfants, qu’un commando de fous d’Allah a déposé une bombe  dans ce lieu  fréquenté par des familles chrétiennes et musulmanes. L’attentat a été revendiqué par  Ehansullah Ehsan, porte-parole du groupe islamiste local Tehreek-e-Taliban, affilé au Jamaat ul Ahrar: « Nous voulions attaquer les chrétiens qui célébraient Pâques.» Le dernier bilan fait état de 72 morts et 350 blessés hospitalisés  au chevet desquels ce sont rendus notamment  le Premier ministre Nawaz Sharif et le ministre de l’Intérieur Chaudhry Nisar. Le quotidien pakistanais The Nation s’est indigné du peu de protections dont bénéficient les chrétiens dans le pays et a rappelé que l’année dernière  plus de 115 attentats islamistes ont été recensés au Pakistan, entraînant le mort de plus de 1700 personnes.

    C’est dans ce contexte de terrorisme accru en Europe même que le successeur de Myriam el Khomri à la tête du ministère de la Ville, Patrick Kanner, a manifesté officiellement son inquiétude. Invité dimanche du Grand rendez-vous Europe 1-iTELE-Le Monde, M. Kanner a déclaré que les émeutes de 2005 dans les banlieues françaises «ont permis manifestement un développement du salafisme» dans les quartiers pluriels, où des «prédateurs» se sont incrustés. Il a affirmé qu’«une centaine de quartiers en France»  présentaient «des similitudes potentielles avec Molenbeek», cette  commune bruxelloise dont sont issus les membres de la cellule  de l’EI responsables des attentats de Paris et Bruxelles.   

    Hier, interrogé dans Le Parisien, le ministre de la Ville a enfoncé le clou : «Nous avons 1 500 quartiers prioritaires — soit 5,5 millions de Français — qui ne sont pas des Molenbeek, mais où il faut être extrêmement vigilant. Il ne faut pas faire d’amalgame — ce serait scandaleux pour ceux qui y vivent — mais pas d’angélisme non plus, car il y a une volonté claire des salafistes de prendre le pouvoir dans certains de ces quartiers.»

    L’aveu de Patrick Kanner a créé l’émoi, bien hypocrite,  de la classe politicienne.  Le premier secrétaire du PS,  Jean-Christophe Cambadélis,  a  tenu à minorer la situation décrite par le ministre: il n’y a «pas de quartiers»  présentant le profil de celui de Molenbeek . «Je ne suis pas pour ce discours »,  il ne faut pas  « dissoudre la concorde nationale ». «On doit avoir une stratégie vis-à-vis du terrorisme, c’est de ne pas isoler les musulmans, mais d’isoler (les terroristes islamistes).»

    Un discours lénifiant, une volonté d’occulter une réalité qui ne cadre pas avec le dogmemulticulturel qui a été repris par Julien Dray lors de son passage au Grand jury » RTL-LCI-Le Figaro: «Depuis 20 ans, il y a une ghettoïsation sociale qui donne lieu (…) à une montée de la délinquance et puis aussi à des noyaux islamistes qui essaient d’instrumentaliser des points sociaux.» «Ce sont des points communs» avec Molenbeek,  mais «je n’aime pas qu’on stigmatise car la majorité de la population de ces quartiers en a assez d’être désignée à la vindicte populaire» a ajouté le très décrié amateur d’horlogerie suisse et cofondateur de SOS racisme.

    Même son de cloche du président de l’UDI, Jean-Christophe Lagarde qui,  sur RMC,  s’est dit «très agacé» par la franchise des propos de Patrick Kanner, «parce que c’est le genre de formule qui débilise, qui mutile le débat politique français» (sic). «Je ne crois pas du tout qu’il y ait des centaines de Molenbeek en France. La vérité, c’est qu’on a des quartiers qui sont ghettoïsés.»

    Certes, dirigeants socialistes, centristes, républicains se retrouvent  autour du vœu, formulé plus ou moins explicitement, de ne pas de stopper l’immigration, mais de la disperser, comme le suggère  le discours de certains « spécialistes » .

    Moins de trois semaines après les attentats contre Charlie-Hebdo,  le JDD mettait en ligne Le 26 janvier 2015, un article sur cette France  urbaine  marquée par l’immigration : «En restructuration urbaine depuis trente-cinq ans, quelque 500 quartiers ont bénéficié d’une succession de dispositifs, avec chacun son acronyme (ZUS, Cucs, ZRU, ZFU…). Intégrer une immigration massive est un processus long, rapporte (la géographe)  Béatrice Giblin. Depuis quelques années, on commence à dédensifier les cités. Pour le sociologue Éric Maurin , ces logements sociaux ne doivent pas être concentrés aux mêmes endroits, au risque de reproduire les mêmes erreurs, mais disséminés partout dans la ville, voire saupoudrés dans des immeubles, par étages. »

    «La poursuite d’une immigration massive pousse les pouvoirs publics à cette dissémination, les immigrés eux-mêmes faisant le choix de la mobilité.  Le géographe Christophe Guilluy, cité dans ce même article, rappelait  que «ces quartiers  produisent tout de même une classe moyenne. La population bouge, dire que rien ne change est une erreur. Le jeune chômeur d’aujourd’hui n’est pas celui de demain, mais les meilleurs partent et sont remplacés par des plus précaires. L’immigration aussi a changé, avec une population d’abord européenne puis maghrébine et africaine, maintenant sri-lankaise.»

    «Dans les 80 ZSP (zones de sécurité prioritaires), créées depuis 2012 », «la proportion de Français d’origine étrangère et d’immigrés se situe entre un tiers et 50% de la population »  affirmait alors Myriam El Khomri. « =Elle atteint même les deux tiers en Île-de-France« , précisait  encore (l’ex) secrétaire d’État à la Ville. Maghrébins et Africains subsahariens constituent la majorité de ces populations, la plupart de culture musulmane (…) . Si les services publics n’investissent pas le terrain, ce sont les barbus qui assurent le service social, résume un policier, qui souligne que la carte des ZSP recoupe aussi en partie celle des départs pour le djihad syrien…».

    Il est de tout de même consternant constate Bruno Gollnisch,  que les Français soient obligés d’attendre que le sang coule pour qu’un ministre ose dire ce que tous les citoyens un peu informés savent déjà. Faudra-t-il attendre de  nouvelles Pâques  sanglantes, cette fois  sur notre territoire,  pour que cette certains politiciens du sérail aillent encore plus loin dans la confession?  A droite, les propos de M. Kanner ont été le prétexte à des tentatives, bien  maladroites, d’exonérer les années de gouvernance Chirac et Sarkozy de toutes responsabilités dans la montée d’un communautarisme islamiste qui se nourrit mécaniquement de l’immigration-invasion. Le phénomène bien sûr, ne date pas de l’élection de François Hollande. Il prend sa source dans l’accumulation  de  toutes les démissions, de tous les reniements, de toutes les aberrations à la tête de l’Etat et dans les assemblées depuis le septennat de Giscard d’Estaing.

    http://gollnisch.com/2016/03/29/paques-sanglantes-francais-larene/

  • Où l'on reparle des frontières...

    La série d'attentats islamistes en Europe occidentale renforce le parti du combat de tranchée. Quoi de plus naturel pour attraper les Freux d'Allah que de remettre partout les barrières douanières laissant ensuite à chaque pays la responsabilité de la chasse sur son territoire. C'est tellement évident que pointe au fond du cortex reptilien du Néanderthal Nouveau le doute métaphysique : Et si c'était trop simple ? Une fois les frontières blindées et le Mur de l'Atlantique relevé - comment, par qui et à quel prix? - nous nous sentirons à nouveau chez nous. Sauf que...
    On apprenait jadis au collège que le territoire métropolitain faisait 550.000 km², soit mille kilomètres en hauteur, de Dunkerque à Tamanra au Perthus et autant de Brest à Strasbourg. Ce grand pays est troué partout de nids à rats* où s'avère gésir la menace la plus menaçante, auquel cas il ne faudra pas attendre longtemps pour que le principe de l'infranchissable relève aussi les octrois des villes et barrent les routes de postes de gendarmerie cantonale, et ailleurs de portiques capables de faire un fond d'œil des conducteurs à transmettre en temps réel au commandement central de la Vallstasi, enfoui dans les carrières de gypse de Taverny (Val d'Oise). C'est une amélioration sensible du dispositif de coercition que connut la France occupée par nos cousins germains.

    (*) M. le Ministre de la Ville en compte une centaine en métropole.
    Des voix s'élèvent du camp de la frilosité pacifiste pour annoncer un coût économique sensible pour la France et ses voisins et au-delà. Ce qui tombe mal pour un Etat en faillite incapable d'impulser aucune amélioration mais ayant tout fait pour gélifier l'emploi chez nous quand il croît partout ailleurs. Se sont penchés sur le problème le Commissariat français à la stratégie, mieux connu à l'enseigne de France Stratégie, et la Fondation allemande Bertelsmann qu'on ne présente plus.
    France Stratégie chiffre à dix milliards d'euros par an (source FS) l'abandon du dispositif Schengen. La généralisation des contrôles permanents serait équivalente à une taxe de 3% sur le commerce entre les pays de la zone Schengen, qui diminuerait structurellement de 10 à 20%.
    La Fondation Bertelsmann (épaulée par l'Institut Prognos) voit grand. Son travail couvre 42 pays qui représentent 90% du commerce mondial. On y apprend que le rétablissement des contrôles au sein de l'espace de libre circulation Schengen entraînerait dans l'Union européenne un surcoût des échanges commerciaux situé entre 470 et 1400 milliards d'euros en dix ans selon l'hypothèse dérivée (Source FB). La France en serait pour 80-244 Mds€ et l'Allemagne pour 77-237 Mds€ selon l'hypothèse dérivée. Mais c'est la Grande Bretagne qui douillerait le plus avec une fourchette de 87-264 Mds€ sans prendre en compte le Brexit. Tous les autres pays seraient touchés jusqu'aux Etats-Unis et en Chine.
    On savait l'Union européenne première zone économique mondiale mais sans doute pas à ce point ! Le Big Bizness va-t-il laisser faire ? Inutile d'envisager une quelconque opposition musclée des miquets que nous nous sommes choisi comme gouvernants. Les "gros cigares" ne se laisseront pas impressionner par qui vous savez, sauf à laisser les démagogues s'agiter dans les lucarnes bleues, la main sur le cœur et le menton haut. Alors quoi ?
    La menace est l'espèce humaine, pas les bocaux de Nutella

    La libre circulation des marchandises doit être maintenue le plus possible afin de préserver nos atouts : import-export, investissements industriels et logistiques, agriculture commerciale sont les atouts européens. Notre compétitivité internationale n'est pas un slogan, elle induit l'emploi et par ricochet le financement de nos modèles sociaux ; elle est donc primordiale pour tous ceux qui n'émargent pas au payroll public. Dans le mensuel NPI, Nathaly Stey nous précise que les contrôles aux frontières intérieures de l'UE, en diminuant la fiabilité des délais de livraison, mettrait à mal les schémas de production décentralisée faisant appel à des produits semi-manufacturés en provenance de plusieurs pays européens. A terme, une telle évolution aurait des conséquences sur l'accueil d'investissements sur le territoire européen. L'abandon de Schengen aurait surtout un effet très lourd sur les travailleurs frontaliers (source NPI).
    La logique voudrait donc que l'on sépare les flux - le fer d'un côté, le steak de l'autre - et que l'on privilégie pour y atteindre le fret massifié et le report modal. C'est bien la route ouverte à tout le monde qui crée le problème "Schengen". Deux vecteurs hors-route sont convoqués à cette spécialisation, la voie d'eau et la voie ferrée. Par chance elles participent à l'équation environnementale. Favoriser le report modal consiste à mettre côte-à-côte le navire de haute mer, la barge fluviale et le train-bloc au détriment du camionnage qui atomise le transport et suscite les contrôles (comme à Calais). L'Europe occidentale a tout le savoir-faire nécessaire pour améliorer son report modal et elle peut investir dans la séparation des flux routiers en approche des frontières si on en reste au schéma de frontières intérieures blindées. Les passagers seront, eux, bombardés de rayons dans les gares, aérogares, et postes douaniers jusqu'à la généralisation de la biométrie partout. Nous vivrons alors une époque formidable de flicage global comme ne pouvaient l'imaginer les polices communistes dans leurs rêves les plus fous. Non ? Alors quoi ?
    Passer à l'offensive serait plus économique et moins liberticide

    Effectivement, on pourrait moins se défendre et attaquer plus. En commençant par chez nous ! Quand un gouvernement, normalement monté, décidera-t-il de purger les "quartiers" de leur armement ? On sait faire parce que l'histoire nous a montré comment faire. On sait aussi spécialiser la procédure aux populations intéressées. Expliquer cela dans ce blogue contreviendrait aux lois, mais...
    Priorité au renseignement : le renseignement offensif doit être ciblé par économie des moyens et commandé par des gens intelligents et non par des courtisans. Lesrésultats doivent être traités à part selon des procédures légales adaptées, supervisées par des parquets spécialisés. Ces résultats doivent être mis hors d'état de nuire et leur environnement neutralisé pour de bon tout en préservant les ratières utiles. Autant dire que le cadre légal pourrait mieux faire. Mais ceci serait un chapitre supplémentaire qui nous départirait de notre sérénité proverbiale.
    En conclusion, pour mettre efficacement nos concitoyens en sûreté, nous avons le choix entre le flicage global qui a la faveur des esprits simples et l'attaque frontale de la menace. Pourrons-nous attendre treize mois ? Peut-être !

    http://royalartillerie.blogspot.fr/

  • Philippe Bilger : «Les hommes politiques seront-ils à la hauteur de la guerre contre l’islamisme ?»

    Après les attentats qui ont ensanglanté Bruxelles, Philippe Bilger considère – dans une tribune publiée sur FigaroVox – qu’il faut sortir des polémiques stériles et des gémissements sur nos libertés prétendument en péril.

    Pour le président de l’Institut de la parole, le risque est grand de voir le découragement s’emparer de ceux qui sont sensés nous protéger :

    Il y a une guerre des esprits, des consciences et des volontés qu’il ne faudrait perdre à aucun prix. Pourtant la force implacable, pour l’instant, de ce mouvement international islamiste de tuerie, se rapporte à l’impression d’omnipotence qu’il donne, d’inéluctabilité meurtrière qu’il impose. Comme il veut, quand il veut. Il paraît, à sa convenance, agir ou réagir, prendre les devants ou se venger. Cette immense latitude est un poison qui stérilise: que faire contre cette hydre?

    Les massacres classiques laissaient au moins l’espoir technique de leur prévention possible. Avec la multiplication de ces attentats suicide, le découragement saisit même les services les plus compétents et les mieux formés à cause de l’horrible liberté et puissance que procure à ces délirants l’aptitude à sacrifier leur propre vie pour une cause indigne.

    Philippe Bilger réclame des actes plutôt que des paroles :

    Ne répétons pas à tout bout de champ que le terrorisme sera vaincu car cet enthousiasme, trop souvent démenti, devient à la longue plus déprimant que créateur.

    http://fr.novopress.info/

     

  • Bruxelles : un millier de patriotes dans une manifestation surprise, refusant le « padamalgam »

    Traduit de l’article de New Observer par Blancheurope :

    « Un peu plus de milliers de patriotes ont organisé une apparition surprise à un rassemblement pacifiste au centre de Bruxelles dimanche, suscitant une confrontation tendue avec une foule de la même taille de gauchistes et de non-blancs venus proclamer « paix et amour » après les attaques terroristes musulmanes dans la ville.

    Bien que les patriotes n’aient fait que chanter, la police les a attaqué avec des canons à eau et des matraques.
    Le millier de gauchistes et de non-blancs étaient les premiers sur les lieux, place de la Bourse à Bruxelles, où un grand nombre de fleurs avaient été déposées en commémoration des attaques. Ils murmuraient les platitudes habituelles pour la « paix » et la « tolérance » caractérisant ceux qui n’ont aucune compréhension de la cause démographique et raciale de ces violences.

    Cependant, aux environs de 14h, selon la RTBF, environ 1000 patriotes sont arrivés, portant des bannières et chantant des slogans les identifiant comme appartenant à une organisation précédemment inconnue appelée « la nation ».

    Certaines de ces bannières paraissaient être d’origine anglaise, en particulier l’une d’entre elle où l’on pouvait lire « Casuals against terrorism ». Le mot « casuals » est d’usage courant en Grande-Bretagne pour désigner les fan des clubs de football.

    Casuals against terrorism

    Parmi les slogans chantés par les patriotes, on trouvait « on est chez nous » et « l’État, complice de Daesh », ce dernier slogan indiquant leur opinion selon laquelle l’État belge est responsable des attaques terroristes en ayant autorisé l’invasion musulmane en premier lieu.

    Certains des non-blancs dans la foule gauchiste, clairement choqués par l’ampleur de la présence patriote, on tenter d’agresser les contre-manifestants, mais ils ont été retenus par d’autres membres de la foule. Alors que la tension augmentait, la police belge a été déployée pour former une ligne entre les deux groupes, bloquant les patriotes contre le bâtiment de la Bourse.


    L’un des nombreux non-blancs retenus d’agresser les patriotes

    À ce moment là, les médias contrôlés, présents pour couvrir le rassemblement de « paix », étaient occupés à envoyer des brèves expliquant que des « néo-nazis » étaient arrivés au rassemblement et faisaient des « saluts nazis » (bien que les photographies n’indiquent rien de la sorte)

    Puis la police a reçu l’ordre d’attaquer les patriotes, et est intervenue avec des forces anti-émeutes, des matraques et des canons à eau. Une poignée de patriotes ont répliqué contre cette action de police totalement imméritée et excessive, et une douzaine d’entre eux ont été interpelés dans la mêlée qui a suivi.

    La plupart cependant se sont dispersés aussi rapidement qu’ils s’étaient rassemblés, laissant la police protéger les gauchistes, comme elle le fait toujours lorsqu’il y a une confrontation de la sorte.

    patriotes contre police

    Ironiquement, alors que les patriotes étaient chassés par la police à Bruxelles, dans d’autres parties du pays, neuf autres non-blancs ont été interpelés lors d’une série d’interventions à l’aube, à travers la Belgique.

    Les interventions, à Bruxelles, Mechelen et Duffel, étaient toutes liés à des accusations de terrorisme, a indiqué un procureur. »

    http://www.contre-info.com/bruxelles-un-millier-de-patriotes-dans-une-manifestation-surprise-refusant-le-padamalgam#more-41472

  • Contre le terrorisme et les lamentables pleurnicheries des bisounours : 500 jeunes patriotes bruxellois sauvent l'honneur de la Belgique

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    NATION soutient les jeunes patriotes de la Bourse !

    Ce dimanche 27 mars, 500 jeunes patriotes sont venus crier à la Bourse leur colère face aux attentats de Bruxelles du 22 mars dernier qui ont provoqué la mort de plus de 30 personnes.

    Loin des niaiseries auxquelles nous ont habitué les bobos de tous poils, ces jeunes patriotes ont exprimé leur haine des djihadistes et leur attachement à leur pays avec des slogans tels que 'On est chez nous !".

    Ce politiquement incorrect leur a valu d'être repoussés puis chargés par la police sous les beuglements de la gauche bien-pensante qui criait "Non à la haine !".

    Il est dommage que cette même gauche n'ait pas crié ce slogan aux islamistes, toutes les années où elle les a protégé.

    Le Mouvement NATION soutient les jeunes patriotes qui ont manifesté ce jour et reprend avec eux, ce slogan évident : "On est chez nous !"

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • « Le cosmopolitisme, c’est la guerre ! »

    L’Europe est à nouveau frappée par des attentats meurtriers.

    Pendant ce temps, le gouvernement français inonde le peuple d’une honteuse propagande dénonçant ses prétendues tendances « racistes », « islamophobes », « antisémites », etc.
    Une campagne de culpabilisation et de diversion très coûteuse et parfaitement contraire à la réalité.

    déchéance
    Des agressions, viols et meurtres à connotation raciste ont lieu en effet en grand nombre en France, mais ce sont les Français qui en sont victimes et quasiment jamais les auteurs.
    Une guerre se fait jour sur le sol d’Europe (et il y a en France de nombreux « Molenbeek »), mais elle n’est pas initiée par les Blancs, qui ont été trop gentils et accueillants.
    Le principe de réalité se rappelle douloureusement aux Européens, qui doivent garder en tête, comme l’histoire le prouve, qu’une société multiraciale est une société multi-conflictuelle.

    La « campagne antiraciste » du gouvernement, si déconnectée des réalités, signifie qu’il a peur. Peur non pas du terrorisme et des véritables menaces – dont il est responsable -, mais peur d’un réveil populaire qui s’opposerait à l’idéologie de l’Oligarchie politico-médiatique et in fine à sa domination.

    Le rejet de l’invasion migratoire, le refus de l’entreprise de culpabilisation et de reniement national, et plus encore l’essor du nationalisme sont en effet les vrais sujets d’inquiétude de la caste dominante.

    Jamais l’antagonisme entre l’idéologie cosmopolite au pouvoir et les intérêts du peuple n’a été aussi palpable.

    aristote

    S’il y a encore des Français qui croient de bonne foi – sous les coups des médias et de l’« Éducation nationale » – que le « nationalisme c’est la guerre » et que l’abolition des frontières est l’assurance de la paix, il nous revient de leur ouvrir les yeux au plus vite, aidés hélas par des faits qui confirment évidemment les analyses du mouvement national depuis des décennies.

    La seule issue est le rétablissement de pouvoirs publics animés d’un sain nationalisme, c’est-à-dire qui ont en tête ce qu’est réellement une nation et qui ont à cœur de défendre ses intérêts, au premier rang desquels sa sécurité, sa souveraineté, son identité, sa cohésion, son homogénéité.
    Clamons haut et fort que « le cosmopolitisme, c’est la guerre » …et que«le nationalisme, c’est la paix » !

    Thibaut de Chassey
    Directeur du Renouveau français

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/le-cosmopolitisme-cest-la-guerre_156658.html#more-156658