Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 1488

  • Immigration : la comédie du pouvoir continue

    C'est reparti. Depuis mardi les députés examinent un nouveau projet de loi, le sixième depuis 2002, sur l'immigration. Rien de bien révolutionnaire ni de très inédit dans ce dispositif qui ne changera rien dans les faits. L'inflation législative depuis huit ans dans les domaines de la gestion des flux migratoires et de la répression de la délinquance et du crime suffit à montrer que les lois ne sont pas appliquées ou que, même quand elles le sont, elles n'apportent aucune amélioration sur le terrain.
    Comme toujours, les media et la gauche se focalisent sur une mesure purement symbolique, la déchéance de la nationalité pour les personnes naturalisées depuis moins de dix ans en cas d'assassinat de membres des forces de l'ordre. Mais outre que cette possibilité de déchoir un citoyen récemment naturalisé de sa nationalité existe depuis fort longtemps dans le code pénal, il ne fait aucun doute que cette mesure, si toutefois elle passe le filtre du Conseil constitutionnel, ce qui est très douteux, ce dernier arguant sans doute du viol du principe d'égalité des citoyens devant la loi, ne sera dans les faits quasiment jamais appliquée. Non seulement parce que la condition émise dans le texte est très ,restrictive (on ne voit pas pourquoi la i déchéance de la nationalité ne s'appliquerait pas à tous les crimes, quel que soit le statut de la victime) mais aussi parce que, compte tenu de la mentalité de l'actuelle magistrature, bien peu de juges prendront une telle décision. Tout cela, Sarkozy le sait très bien. Mais l'important pour lui n'est pas là. L'important est de faire semblant, de donner à croire à l'électeur de droite qu'il agit en faveur de sa sécurité, de sa tranquillité, qu'il est un homme de fermeté et de convictions. La politique aujourd'hui est devenue une vaste comédie où il s'agit d'être non pas un bon dirigeant mais un professionnel de la communication, non pas le guide d'un peuple mais l'aigrefin le plus doué, le charlatan le mieux à même de tromper et de séduire.
    Le socialiste Manuel Valls, dans un entretien sur le site < lepoint.fr >, reconnaît lui-même que le gouvernement qui a d'ailleurs fortement réduit les effectifs de la police et de la maréchaussée, le nombre de magistrats et retiré moult policiers des zones occupées - a été incapable jusque-là de maîtriser les flux migratoires et qu'il s'agit d'une opération purement politicienne à visée électoraliste : ce projet de loi, dit-il, « est l'aveu de l'échec de la politique de Nicolas Sarkozy en matière d'immigration. (...) Il s'agit par ailleurs, en plus, de transposer trais directives européennes dans le droit français. (...) On sait que le taux d'exécution des mesures d'éloignement du territoire, qui est au cœur du discours montrant la détermination du pouvoir, est très faible en raison de l'annulation des procédures par le juge des libertés et de la détention (JLD). (...) Ce texte banalise aussi la privation de liberté, avec le passage de la durée maximale de la rétention administrative de 32 à 45 jours, ce qui ne sert pas à grand-chose puisque la durée moyenne de la rétention est de 10,34 jours. Mais le problème n'est pas tant dans les mesures administratives que dans le discours politique que l'on entend depuis Grenoble. »
    En effet, augmenter de quelques jours la rétention administrative ne résoudra rien, n'empêchera rien. En 2003 Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur de Jacques Chirac, avait déjà rallongé la durée de rétention de 12 à 32 jours. Cela n'avait en rien augmenté le taux effectif d'éloignement du territoire ni empêché deux ans plus tard les émeutes du Ramadan dont de nombreux acteurs étaient des étrangers ou des jeunes fraîchement naturalisés.
    LE texte composé de quatre-vingt-dix articles et amendements qui concernent pour beaucoup d'entre eux la procédure d'expulsion elle-même prévoit également d'expulser plus facilement les ressortissants communautaires, y compris lors des trois mois où ils ont le droit de circuler librement. Mais là encore on voit mal les neuf gnomes de la rue de Montpensier donner leur feu vert à cette disposition contraire au droit européen, droit dont on sait qu'il prime juridiquement sur le droit interne, même constitutionnel. Donc là encore Sarkozy fait semblant. On ne peut à la fois être l'un des principaux initiateurs et propagandistes du traité de Lisbonne qui prévoit le droit de circulation, d'installation et d'établissement des ressortissants des différents Etats membres dans les vingt-sept pays de l'Union européenne et en même temps prétendre lutter, d'ailleurs très faiblement, contre les conséquences de ce que l'on a soi-même vanté et mis en place. Ce n'est ni plus ni moins qu'une filouterie, une imposture, une crapulerie.
    D'autant que, ce que se gardent bien de préciser les grands media, le projet de loi ne prévoit pas que des mesures (apparemment) répressives. Il vise aussi et surtout à faciliter « l'immigration qualifiée », la fameuse « immigration choisie » et à accélérer les procédures de naturalisation pour les étrangers présentant « un parcours exceptionnel d'intégration », dans les domaines « civique, scientifique, économique, culturel ou sportif ». Un intitulé suffisamment vague pour permettre de naturaliser à tour de bras une foultitude d'allogènes et ainsi précipiter le criminel processus de substitution de population dans notre pays.
    ENFIN le texte prévoit la « signature d'une charte des citoyens lors de l'accès à la nationalité »  visant à faire de « l'adhésion aux principes et valeurs essentiels de la République (...) un élément d'appréciation de l'assimilation du postulant à l'acquisition de la nationalité française ». Comme là encore les principes de la République sont aussi vagues qu'abstraits et arbitraires, gageons que la plupart des immigrés n'auront aucun mal à signer un papier qui n'est de toute façon qu'un bout de chiffon et que cela n'affectera en rien leur comportement ni ne policera leurs moeurs. D'ailleurs, le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux, qui avait proposé, sans doute plus par tactique politicienne que par conviction, d'étendre la déchéance de la nationalité aux naturalisés polygames, a aussitôt été désavoué par le chef de l'Etat. Non, décidément, ce n'est pas sur Sarkozy et ses sbires qu'il faut compter pour sauver du naufrage la maison France !
    J B Rivarol du 1 octobre 2010

    P.S : Le gouvernement a supprimer le si peu qui était demandé aux immigrés, il est encore plus facile d'obtenir la nationalité française et de venir grossir le nombre d'électeur de la gauche !! Pat

  • « Sans-papiers » et Thénardiers

    GRANDE question d'actualité durant toute la seconde quinzaine du mois d'avril : la grève - organisée par une CGT en panne d'adhérents et des associations en mal de publicité menée dans une vingtaine d'établissements franciliens par 700 travailleurs clandestins, presque tous africains, exigeant leur régularisation... que le ministère dit de l'Immigration et accessoirement de l'Identité nationale, deux notions d'ailleurs totalement incompatibles, a promis d'examiner "positivement". Ce qui laisse en fait présager une régularisation non pas « au cas par cas » comme l'affirme Brice Hortefeux mais massive, puisque 50 000 clandestins seraient employés dans l'hôtellerie et la restauration et que se passer d'eux « tuerait le tourisme » comme l'a affirmé André Daguin, président de l'union patronale concernée.
    On veut nous faire pleurnicher sur des gens - sans doute sympathiques pris individuellement - entrés en France illégalement et qui manifestent impunément, en plein jour, sans être immédiatement expulsés. Ceux qui feignent bruyamment de s'offusquer des mesures "inhumaines" prises envers ces immigrés clandestins (qui profitent cependant gratuitement des écoles, des soins - souvent coûteux... -, d'une myriade d'aides sociales détournées des familles françaises, et même des prisons) qu'aurait engagées le terrible Sarkozy armé de son karcher en carton pâte, sont des imposteurs. Ceux qui les croient sont des idiots incurables (cocufiés une fois encore en mai 2007 ; mais ils en redemandent ; ça dépasse l'entendement...)
    Si le Français est sommé de se serrer la ceinture, de renoncer à se soigner ou de le faire au rabais comme le montrent certaines publicités télévisées, de payer une ruineuse Sécurité sociale spoliatrice, des mutuelles complémentaires toujours plus chères, des forfaits, et maintenant des franchises, les clandestins, illégaux « sans papiers » comme on répète stupidement pour nous émouvoir, eux, ont le droit de se soigner GRATUITEMENT sans bourse délier grâce à l'AME et à la CMU. Combien coûtent ces dispositifs ? Combien doivent les gouvernements des pays d'origine à nos hôpitaux ? Ne serait-il pas juste de soustraire tous ces frais des enveloppes offertes sans contrepartie â des gouvernements de pays dits "émergents", qui souvent nous haïssent ?
    L'idolâtrie des "drouadelom" est une imposture monstrueuse qui anesthésie tout esprit critique au pays de Descartes.
    Car nos compatriotes devraient réfléchir à ce fait : payer moins cher un "sans-papiers" dans la restauration, c'est faire perdurer les salaires de misère pour ceux qui y travaillent encore.
    Comme, dans les années 60 du XXe siècle, un certain patronal recrutait une main-d'œuvre docile et bon marché dans nos excolonies pour s'enrichir en évitant de former et de faire travailler les indigènes français en France, en laissant le pays se débrouiller depuis avec ces masses de déracinés inassimilables, les Thénardiers de 2008 n'ont plus honte - après avoir activement soutenu Sarkozy en 2007 - de réclamer pour des hors-la-loi des droits qui leur permettront d'accroître surtout leur propre richesse en s'abstenant ainsi de revaloriser l'ensemble des salaires versés dans la restauration et l'hôtellerie.
    .........
    Bertrand CHASSAGNE, Ecrits de Paris juin 2008

  • LA RAGE ET L'ORGUEIL D'ORIANA FALLACI

    Une fois de plus, certains ont voulu décider ce que les Français avaient le droit de lire ou de ne pas lire. En attendant la décision de la justice, on peut toujours acheter ce livre qui est le cri d'une Italienne, d'une femme (pas forcément féministe).
    Lorsqu'on arrive à la fin, on ne trouve dans le fond que ce que dit le Front national depuis des années, avec même plus de véhémence de la part de la journaliste. Comme Oriana Fallaci est de gauche, antifasciste, cela passe mieux, enfin presque.
    Ce livre rappelle à sa façon le choc des civilisations ! de Samuel Huntington mais ici les choses sont dites de façon instinctive, passionnelle alors que le livre de l'Américain était l'œuvre d'un professeur, d'un universitaire. Le livre « La rage et l'orgueil » traite du choc Islam-Occident. En tant que correspondant de guerre, elle a vu les fils d'Allah au travail. « Je les ai vus détruire les églises, je les ai vus brûler les crucifix, je les ai vus souiller les statues de la Vierge, je les ai vus pisser sur les autels, transformer les autels en chiottes, je les ai vus à Beyrouth ... » Si elle reconnaît être athée, elle est culturellement très catholique. Lorsqu'elle va dans un temple, elle trouve cela bien froid. Son rapport avec l'argent est aussi très catholique Elle ne renie en rien l'héritage chrétien sur le plan intellectuel et esthétique. « La musique des cloches me plaît tellement. Elle me caresse le cœur ».
    « D'ailleurs, soyons honnêtes les cathédrales que le catholicisme nous a laissées sont belles. A mon avis, plus belles que les mosquées et les synagogues. Elles sont belles aussi les petites églises de campagne. Plus belles que les temples protestants .. »
    Si Oriana Fallaci adore son pays l'Italie et même toute la culture occidentale, elle n'aime pas l'islam, ce qui pour certains n'est pas correct. Elle le dit, elle l'écrit, elle le crie. En tant que femme, elle ressent de toutes ses tripes que cette religion n'apporte rien de bon pour les femmes et même pour les Occidentaux.
    Pour elle, les musulmans qui vivent en Italie ne sont que des envahisseurs. Chaque construction d'une mosquée dans son pays fait saigner son cœur. L'adjectif « raciste-raciste » pour qualifier ce qu'elle pense ne la terrorise pas. Cela est dit parfois en des termes un peu crus mais ce n'est quand même pas « Bagatelles pour un massacre » de Louis-Ferdinand Céline. Ce livre a déjà été vendu à plus d'un million d'exemplaires en Italie et commence déjà à bien se vendre en France. Pour Oriana Fallaci, ceux qui bêlent dans le politiquement correct sont des « sans couilles ». En tout cas, elle en a. Elle le dit d'ailleurs. L'italienne a de la personnalité, du caractère, certains diront même de la mégalomanie. Elle a même un humour grinçant sur elle-même lorsqu'elle rapporte que certains disent qu'il est facile d'avoir du courage lorsqu'on a déjà un pied dans la tombe. Selon la journaliste, les musulmans jaloux de l'Occident et de ses réussites ne cherchent qu'à s'étendre et s'imposer en Europe et ailleurs.
    « Vous ne comprenez pas, vous ne voulez pas comprendre, qu'une Croisade à l'envers est en marche. Une guerre de religion qu'ils appellent Djihad, guerre Sainte. Vous ne comprenez pas, vous ne voulez pas comprendre que l'Occident est pour eux un monde à conquérir. A châtier, soumettre à l'Islam ».
    Elle enrage que nos hommes politiques, des eunuques selon elle, se couchent devant n'importe quel immigré ou sans-papiers par commodité ou lâcheté.
    À propos, cela fait penser au maire vert de Saumur qui, six mois après les attentats de New-York, organise une exposition sur l'Islam-religion-de-paix-et-d'amour. Ceci avait quelque chose d'indécent et d'obscène En conclusion, nous dirons que si certains refusent la mise en garde de l'Italienne, les événements lui donneront néanmoins raison.
    par Patrice GROS-SUAUDEAU (2002)

  • [Vidéo] Charles Aznavour et l’immigration

    Des paroles que l’on n’ose plus prononcer dans notre société de dictature politiquement correcte.

    Vu sur le blog de l’Action française Provence

    http://www.actionfrancaise.net

  • Faits divers de l’Europe envahie” par Flavien Blanchon

    PARIS (NOVOpress) - Le fait divers marche. Apportant depuis deux ans, pour les informations étrangères, ma modeste contribution à Novopress, j’observe que les violences, délits, crimes commis par des immigrés, a fortiori si ces immigrés sont musulmans, intéressent toujours. Les articles de ce genre, que je ne fais guère que traduire de l’anglais, de l’allemand, de l’italien surtout, sont vus, « aimés », « tweetés », repris sur d’autres sites beaucoup plus que le reste de ma production. Je ne m’en réjouis certes pas – je préférerais, par vanité d’auteur, que l’intérêt se portât sur des textes qui m’ont coûté un peu plus de temps et de réflexion –, mais je le constate.

    Ces articles nous valent régulièrement aussi, depuis qu’il est possible de commenter sur Novopress, des commentaires peu amènes, y compris de la part de lecteurs qui ne semblent pas être des maniaques ou des salariés de l’antiracisme. « Ce genre de fait divers n’apporte strictement rien à votre ligne éditoriale… »« Hé bien, Novopress ne s’arrange pas ! les faits divers du Parisien libéré. Bravo les gars, vous allez faire triompher les idées d’enracinement comme cela ! »

    Pareilles protestations sont d’abord une réaction de classe. Le fait divers est traditionnellement associé à la presse populaire. Le terme même, qui n’a pas d’équivalent littéral dans les autres langues, apparut en français sous le Second Empire – on parlait jusque là de canards –, en même temps que Le Petit Journal, le premier quotidien français à un sou, spécialisé dans le sang à la une. Jusqu’au milieu du XXème siècle voire plus récemment encore, un journal de faits divers, c’était ce qu’on appelait dédaigneusement un « journal de concierge », tandis que les quotidiens bourgeois donnaient les vraies informations : les débats à la Chambre des députés, les cours de la Bourse, le carnet mondain…

    Mais nous n’en sommes plus là. Les historiens, qui l’avaient longtemps méprisé avec les autres, ont découvert l’intérêt du fait divers, à la fois en lui-même et par la mystérieuse fascination qu’il exerce. Il y a déjà trente ans, en 1983, que les Annales ESC, comme elles s’appelaient alors, une des plus prestigieuses revues historiques françaises, publiaient un numéro spécial, « Fait divers, fait d’histoire ». Marc Ferro soulignait en introduction : « Le fait divers constitue un objet d’histoire privilégié. Comme révélateur, il signale les crises du tissu social, économique, politique, ou du système des valeurs. Il joue le rôle, en quelque sorte, d’un indicateur de santé ». Le fait divers de l’immigration révèle, tout simplement, que les sociétés européennes sont malades de l’immigration. Perçant un instant le voile de mensonge persévéramment tissu par les politiciens, les journalistes et les archevêques, il donne à voir ce que vivent tous les jours les autochtones, les injures, les agressions, les viols, les lois qu’on refuse à dessein d’appliquer, le racisme anti-blanc, les capitulations toujours plus abjectes et jamais suffisantes devant les revendications islamiques : bref, la chronique de l’invasion.

    Les « littéraires », qui se sont penchés sur le phénomène avant les historiens, ont analysé la « structure du fait divers » – titre d’un célèbre article de Barthes, repris dans ses Essais critiques de 1964. Ils ont montré que le fait divers suppose deux termes, entre lesquels la relation normale, régulière, raisonnable est dérangée ou inversée. Les journalistes anglo-saxons parlent de man-bites-dog items : il y a fait divers quand l’homme mord le chien, quand il y a antithèse, paradoxe, disproportion, rapprochement de deux contenus qui devraient être séparés, inversion des moments et des lieux. Quelques exemples de Barthes : une femme met en déroute quatre gangsters, un juge disparaît à Pigalle, des pêcheurs islandais pêchent une vache, le chef de la Police tue sa femme. Les faits divers, dit de son côté Georges Auclair (Le Mana quotidien : structures et fonctions de la chronique des faits divers), ne font jamais « que noter un écart par rapport à la norme sociale, morale ou naturelle ».

    Le fait divers de l’immigration porte cette incongruité au carré. Qu’une mère morde sa fille, qu’un homme viole un chien, qu’un dealer soit surpris par la police en train de vendre de l’héroïne derrière une église, qu’un plat à la sauce bolognaise provoque une émeute, ce sont typiquement des faits divers. Mais cette mère est une immigrée musulmane qui a attaqué à coups de dents, à côté de Rome, sa fille « trop occidentale ». Ce violeur de chiens est un immigré clandestin, déjà connu des services de police pour des faits de vols et de violences. Ce trafiquant de drogue est un Tunisien à peine débarqué de Lampedusa et qui venait d’obtenir un « permis de séjour à but humanitaire ». Cette émeute est le fait de familles musulmanes, installées en priorité, au détriment des Italiens, dans un camp pour sinistrés en Émilie-Romagne, et auxquelles des volontaires de la Protection civile venaient servir un repas chaud. Vous avez des faits divers de l’immigration. Le plus anormal, le plus aberrant, le plus absurde, ce n’est pas ce que font tous ces gens mais qu’ils le fassent chez nous : c’est qu’on les ait laissé rentrer et qu’on ne les mette pas dehors, c’est le déferlement de l’Afrique, c’est l’Islam en Europe.

    Le fait divers de l’immigration, en dernière analyse, raconte la folie de l’immigration extra-européenne de masse. Il est la vignette du grand renversement de tout ordre et de toute raison, du suicide collectif imposé aux peuples d’Europe. Voilà bien pourquoi les séides du Système ne sauraient raconter le moindre fait divers sans le « normaliser », sans inverser l’inversion : Jihad (qui éblouissait avec un laser les pilotes d’avions à Orly) devient Sébastien, l’assassin Souleymane Vladimir, le massacre sauvage d’un petit Blanc par une bande ethnique, une bagarre entre « jeunes » qui a mal tourné.

    Ces procédés ont un précédent. Marc Ferro, en 1983, à l’époque où l’URSS existait encore, relevait qu’il n’y avait pas de faits divers en URSS. « Dans la réalité sociale, ils persistent sans doute, mais le régime, en contrôlant la presse, les nie, les efface de la chronique ». « Le silence est opaque sur les accidents, sur les catastrophes, celles notamment dont le système pourrait être considéré comme responsable ». On a « recours à un vocabulaire banalisé : on parle de hooliganisme ».

    Si l’antiracisme, selon la formule fameuse, est le communisme du XXIème siècle, il n’est pas surprenant qu’il déteste lui aussi les faits divers, comme, du reste, les faits tout court. L’Italie est, pour l’instant, un peu moins avancée sur cette voie que la France, mais il est révélateur que les campagnes toujours plus virulentes qu’y mènent les politiciens et les médias du Système « contre le racisme sur Internet », visent en priorité le site « Tous les crimes des immigrés », qui ne fait rien d’autre que donner des liens vers les journaux locaux : Tartuffe-Riccardi, ministre de la Coopération internationale et de l’intégration de feu le gouvernement Monti, lui vouait une haine dévote toute spéciale. Le temps n’est sans doute pas loin où, partout en Europe, la censure aura entièrement aboli le fait divers de l’immigration. En attendant, nous en parlons.

    Flavien Blanchon http://fr.novopress.info

  • Inquiétudes sur la fin des restrictions aux frontières dans l’Union Européenne

    BRUXELLES (NOVOpress via Bulletin de réinformation) La date du 1er janvier 2014 avait été fixée par l’Union européenne comme date limite d’application des restrictions aux frontières pour les travailleurs en provenance de la Roumanie et de la Bulgarie.

    Depuis l’entrée de ces pays dans l’Union européenne, les autres pays membres étaient autorisés à appliquer aux ressortissants de ces pays les dispositions prévues en matière d’immigration pour les pays extracommunautaires. Malgré cette « régulation » aux frontières, plus de trois millions de Roumains ont déjà quitté la Roumanie pour des pays de l’Union européenne depuis 2007, comme l’a souligné le Premier ministre roumain Victor Ponta dans un entretien accordé au Times ce lundi.

    Pourtant de nombreux pays européens s’inquiètent à l’approche de cette date

    L’Allemagne, la Belgique et le Royaume‑Uni, ont à nouveau exprimé leurs inquiétudes face aux conséquences d’une telle mesure. Selon l’étude menée par l’organisme Migration Watch 50.000 Roumains et Bulgares pourraient quitter chaque année leur pays. Suite à ces interrogations, Bruxelles a cependant réaffirmé qu’une complète liberté de mouvement serait garantie dès le 1er janvier 2014 aux Roumains et aux Bulgares. De plus, à cette occasion, la commission européenne a redéfini l’ouverture à l’Est comme  « Une grande chance pour l’Europe ».

    A priori, ce n’est pas un avis partagé par les Britanniques qui ont vu en moins de dix ans l’arrivée massive de « Roumains » (en fait, des Roms) sur leur île

    Face à ce constat, le Premier ministre David Cameron a fait de la lutte contre l’immigration l’une de ses priorités. Le gouvernement britannique a souligné les problèmes engendrés par l’immigration liés au logement, à l’insécurité mais aussi au déficit public. Il étudie actuellement un projet de loi qui permettrait de limiter l’accès des nouveaux arrivants aux allocations sociales. En France, peu de voix se sont élevées pour exprimer de telles inquiétudes. Pourtant, selon le quotidien Le Monde, les « Roumains » font partie depuis 2007 des dix nationalités obtenant le plus de titres de séjour français.

    http://fr.novopress.info/

  • Tribalat, la démographe rebelle

    Le Figaro Magazine - 20/03/2010
     Spécialiste de l'immigration, Michèle Tribalat est en froid avec son milieu professionnel. En cause, la propension de cette chercheuse à préférer les faits à l'idéologie.
     Ces « yeux grands fermés » appartiennent-ils à ceux qui ne peuvent pas voir ou à ceux qui ne veulent pas voir ? Michèle Tribalat a donné ce titre énigmatique à son livre (1), par allusion au film de Stanley Kubrick, Eyes Wide Shut (1999), dont l'intitulé l'avait marquée. Dans cette fiction, à partir d'un fantasme amoureux, les personnages naviguent entre rêve et réalité. Cet écart entre le réel et l'illusoire, Tribalat le vit à propos de son objet d'étude : l'immigration en France. Les uns déplorent qu'il y ait beaucoup d'immigrés, d'autres s'en réjouissent, mais tous réagissent subjectivement. Or, Michèle Tribalat, incriminant « l'insuffisance de l'appareil statistique français pour étudier l'immigration et les populations d'origine étrangère », voudrait que cet enjeu de société soit discuté à partir de faits vérifiés et quantifiés, et non d'impressions.
    Cela fait plus de trente ans qu'elle se penche sur la question. Dans les années 70, après des études d'économétrie, elle s'oriente vers la démographie. En 1976, elle est recrutée par l'Institut national d'études démographiques (Ined), dont le conseil scientifique veut pousser la recherche sur les flux migratoires : ce sera son domaine d'activité. « Pendant longtemps, se souvient-elle, j'ai travaillé loin de tout écho médiatique. » A la fin des années 80, ayant pris la tête d'une enquête sur les comportements des immigrés et de leurs descendants, elle met en place un outil prenant en compte l'« appartenance ethnique », définie à partir de la langue maternelle, et l'« origine ethnique », fondée sur le lieu de naissance des individus et de leurs parents. Cette référence aux origines, contraire à la pratique des organismes officiels français, ne va pas sans opposition pour obtenir les renseignements nécessaires, mais la publication des résultats, en 1995, ne rencontre pas de difficultés.
    Le coup de tonnerre arrive trois ans plus tard, quand Hervé Le Bras, un chercheur attaché à l'Ined, lance la charge. « La démographie française est en passe de devenir un moyen d'expression du racisme », clame-t-il dans Le Démon des origines. Dans cet essai, Le Bras accuse les méthodes de Michèle Tribalat de conduire à la notion de « Français de souche » et, partant, à la « xénophobie ». L'affaire manquera se traiter en justice et amènera l'intéressée à se justifier : une partie de l'opinion regardant comme étrangers des gens qui sont français, le critère juridique de la nationalité ne suffit pas, en science sociale, pour élaborer des remèdes aux réflexes discriminatoires. En somme, comme aux Etats-Unis ou dans de nombreux pays européens, les données ethniques devraient jouer un rôle dans la conception d'une politique d'accueil des migrants.
    À la même époque, Michèle Tribalat publie, avec Pierre-André Taguieff, un livre destiné à contrer le Front national. Mais rien n'y fait, elle est désormais suspecte aux yeux des bien-pensants. Aujourd'hui, dénonçant « l'antiracisme idéologique (qui) structure l'expression savante et ordinaire sur l'immigration », elle ironise : « Travailler sur l'immigration, c'est partir en mission contre ceux qui pensent mal, mais aussi, pour faire bonne mesure, contre ceux qui doutent. »
    Nommée au Haut Conseil à l'intégration, elle en démissionne en 2000, reprochant à cette instance de faire le jeu des islamistes. En 2002, avec Jeanne-Hélène Kaltenbach, elle fait paraître La République et l'islam, où l'action des fondamentalistes musulmans est mise en cause. « Pourrions-nous publier un tel livre maintenant ?, s'interroge-t-elle. Nous avons tellement perdu de liberté d'expression sur le sujet. Quand on pense que le livre de Christopher Caldwell (2) ne trouve pas d'éditeur en France... »
    Directrice de recherche à l'Ined, Tribalat travaille chez elle, hors unité et sans budget. Autrement dit, elle est placardisée. « Mes articles ne sont même pas cités par les publications de la maison », déplore-t-elle. Avant d'ajouter, comme pour conjurer la tristesse : « Mais je vis très bien comme cela. Après la décennie que je viens de traverser, je suis de fer. »
    Les Yeux grands fermés n'a rien d'un pamphlet. L'auteur donne les vrais chiffres de l'immigration, soulignant une « très forte croissance après 1996 », et considère les effets économiques et démographiques du phénomène. Ce sont des pages nourries de chiffres, un peu arides. La lecture coule mieux quand Tribalat explique comment les droits de l'homme se mettent au service d'une vision du monde où tout devrait s'ordonner aux courants migratoires, jugés inéluctables et bénéfiques par principe. Ou encore quand la démographe analyse le climat idéologique dans lequel s'élaborent les discours sur l'immigration à partir des sondages sur le racisme commandés par la Commission nationale consultative des droits de l'homme.
    Mais Michèle Tribalat se veut une scientifique : il est difficile de lui tirer un commentaire qui échappe à sa spécialité. Elle n'a pas aimé le débat sur l'identité nationale, pour une raison de forme, parce qu'elle croit que ce genre d'initiative ne doit pas relever de l'Etat. Quant au fond, le concept d'identité ne la choque pas. Elle consent d'ailleurs à observer que le multiculturalisme a conduit à répudier le concept d'assimilation, alors que l'assimilation, précisément, « fait partie de l'identité nationale française »
    Jean Sévillia http://www.jeansevillia.com
    (1) Les Yeux grands fermés. L'immigration en France, de Michèle Tribalat, Denoël.
    (2) Paru aux Etats-Unis en juillet 2009, l'ouvrage du journaliste Christopher Caldwell, Reflections on the Revolution in Europe: Immigration, Islam, and the West, est consacré à la progression de l'islam en Europe et à ses conséquences sur la cohésion politique et culturelle du continent. L'auteur, rédacteur en chef du Weekly Standard et chroniqueur au Financial Times, est un libéral.

  • Leur « changement de civilisation » n’est pas une menace en l’air

    Lors du débat à l’assemblée et dans les médias sur le mariage et l’adoption pour les couples homosexuels, le ministre de la Justice, Christiane Taubira, avait affirmé aux Français,  comme une sourde  menace, que la gauche prônait un « changement de civilisation ». Lequel sera rendu possible par la dérive orwellienne que subissent beaucoup de nos nations en Europe, et la France en particulier, où le champ d’expression des dissidents à la pensée unique, au Big Brother immigrationniste et mondialiste,  se réduit comme peau de chagrin.

     Une preuve, une nouvelle preuve, une parmi tant d’autres,  en a été apportée  hier par  le verdict rendu par le  tribunal correctionnel de Nîmes à  l’encontre du très dynamique conseiller régional FN du Gard, Julien Sanchez, que les internautes connaissent aussi en tant qu’animateur du blog de Jean-Marie Le Pen et qui assure au sein du FN la fonction de  Secrétaire National à la communication numérique.

     4.000 euros d’amende, dont 1.000 euros avec sursis ont été requis contre lui -Julien Sanchez a interjeté appel.   Il lui est reproché  d’avoir laissé passer sur son mur Facebook, en accès libre, les commentaires en octobre 2011  de deux internautes, MM. Roux  et Baudet.

     C’est en tant que directeur de publication que l’élu frontiste était poursuivi et a été condamné. Il a pourtant expliqué, ce que tous les possesseurs d’une page facebook très fréquentée comprennent, qu’il n’avait pas le temps matériel de vérifier tous les commentaires, manque de temps qui s’expliquait alors par le fait qu’il était en campagne électorale

     La justice a  jugé  à  connotation raciste  les deux  commentaires en question, jugez-en vous-même : « Des bars à chicha et des voilées. Voilà ce qu’est Nîmes ville romaine. (….). Prout (diminutif donné ici à l’UMP Franck Proust premier adjoint  au maire de Nîmes, NDLR ), c’est l’élu au développement économique hallal, rue de la République islamique », avait écrit un d’eux. L’autre avait poursuivi : « Ce Grand Homme a transformé Nîmes en Alger. Dans chaque rue des kebabs et des mosquées. Les dealers et les prostituées règnent en maître. Pas étonnant qu’il ait choisi Bruxelles, capitale du nouvel ordre mondial et de la charia. Merci Franck et kiss à Leïla. »

    Se sentant visée, Leïla Tella, la compagne de Franck Proust,   avait porté plainte. Ces deux internautes ont été condamnés à verser 4.000 euros de dommages et intérêts à cette dame,  partie civile dans ce dossier, dont 3.000 euros avec sursis.

    Lors de l’audience, le 18 janvier, le procureur de la République avait réclamé trois ans d’inéligibilité et 8.000 euros d’amendes à l’encontre de Julien Sanchez et 5.000 euros pour les deux autres prévenus !!!  Une demande à comparer avec le laxisme d’une certaine justice quand il s’agit de sanctionner la racaille délinquante multirécidiviste.

    Julien Sanchez a d’ailleurs été obligé d’écrire au ministre de la justice pour demander que le vice-procureur soit sanctionné. Celui-ci  avait  dit à l’audience en s’adressant à lui : « vous êtes à la démocratie ce que l’éjaculation précoce est à la sensualité ». Une «saillie» qui avait peut être sa place sur le plateau d’une émission  d’Arthur ou de Cyril Hanouna, mais dans un prétoire…

    Bruno Gollnisch apporte bien  sûr tout son soutien à Julien et aux internautes victimes de  cette vindicte. Le jeune conseiller régional FN, épaulé pour l’occasion par plus de 150 militants qui avaient fait le déplacement, et qui ont bruyamment exprimé leur indignation quand le verdict a été rendu, a bien évidemment relevé la nature politique du procès qui lui est fait.

    Leïlla Tella est en effet, nous l’avons vu, la concubine de M Proust, lequel fut  l’ adversaire du conseiller régional FN  aux dernières cantonales. Et il n’est pas anodin non plus que  cette dernière ait choisi de se faire assister à ce procès  par Maître Michèle El Baz, conseillère municipale PS de Nïmes,  éliminée aux cantonales par…Julien Sanchez.

    Jean-Marie Le Pen, a réagi sur TV Sud à ce  verdict  en jugeant que les commentaires qui ont entraîné le déclenchement de cette répression judiciaire n’étaient pas faux : « Je suis député européen depuis trente ans. Je m’aperçois que Bruxelles est une ville qui devient une ville musulmane. Je ne suis pas sûr qu’elle ne devienne pas un jour majoritairement musulmane 

    Avocat de Julien Sanchez, Wallerand de Saint-Just a posé la question de fond : « combien de temps encore, des peines pénales très sévères seront-elles réclamées contre des élus du FN qui ne font qu’user de leur liberté d’expression ou permettent à des citoyens d’en user ?En tout état de cause, ce procès est une tentative d’empêcher la progression fulgurante du FN dans le Gard et d’intimider son responsable local »

    Mais si le peuple  Français vote mal et reste arc-bouté su son désir de préserver son identité et se souveraineté, la tentation de changer le peuple reste plus que jamais une idée qui poursuit son chemin au sein de nos élites mondialisées.

    En atteste  le rapport  sur l’intégration des immigrés, commandé par Jean-Marc Ayrault à Thierry Tuot, conseiller d’Etat, qui a été publié la semaine dernière. Il ne manque pas d’inquiéter alors que le Premier ministre a précisé que  « les préconisations» de celui-ci  « seront mises à l’étude dans le cadre de la réflexion interministérielle visant à proposer une profonde refondation de notre politique d’intégration ».

    M. Tuot  part  du principe que la lutte contre l’immigration clandestine menée avec le laxisme que l’on sait par l’UMPS depuis quarante ans,   n’empêche pas des dizaines, des centaines de milliers de clandestins de s’installer en France chaque année. Aussi, préconise-t-il l’extension  de la doctrine du laisser faire laisser passer qui sert de philosophie existentielle à la caste  libérale-socialiste.

     Il   révèle par là que  la politique de régularisation au « cas par cas » que le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, avait annoncé vouloir mettre en œuvre n’était qu’un propos d’estrade, une promesse n’engageant à rien.

    Le conseiller d’Etat indique ainsi  que comme « de nombreux étrangers sans papiers ne sont pas expulsés »,  puisque, « de toute façon, dans cinq ans, on va finir par leur donner un titre (aux clandestins, NDLR), eh bien commençons tout de suite » avec des « titres de tolérance » ouvrant droit à  une régularisation progressive sur cinq ans. Bref accélérons le processus !  Une annonce qui sera reçue comme on l’imagine par les populations concernées.

     Le seul critère retenu ici est l’obligation de l’apprentissage du français…que maîtrise déjà, rappelle Bruno Gollnisch,  les dizaines de millions de candidats potentiels au départ vers la France qui vivent au Maghreb ou en Afrique noire.

     Décidément oui, ce changement de civilisation annoncé  par Mme Taubira n’était pas une parole en l’air…

    http://www.gollnisch.com

  • Retour à la barbarie près de Lille

    Nous évoquions tout à l’heure l’insécurité grandissante dans l’un des quartiers de Lille, et les nouvelles mesures policières mises en place pour y faire face. Hé bien, dans la banlieue lilloise cette fois ci, dans la nuit du vendredi au samedi 23 février dernier, vers 5H00 du matin, les « Barbares » sont entrés dans Houplin-Ancoisne, petite ville d’un peu plus de 3000 habitants. L’objectif de ces vandales ? Piller la réserve de bouteilles de gaz sur le parking d’un petit supermarché situé à proximité.

    Sans doute déranger dans l’exercice de leur « profession », ou bien incapables de forcer la cage où étaient entreposées les bonbonnes, les « Barbares » ont pratiqué comme leurs ancêtres jadis, la politique de la terre brulée : ils ont mis le feu aux bonbonnes ! Par miracle, celles-ci n’ont pas explosé !

    Ce n’est pas là un acte de délinquance si banal. Si l’explosion avait eu lieu, en plus d’y laisser leurs vies, ces criminels -car il s’agit d’un acte délibérément criminel- auraient entrainé avec eux dans la mort, tous ceux qui auraient eu le malheur de se hasarder sur le parking. C’eût été un terrible spectacle de désolation ! Mais que se passe-t-il à Lille, que la criminalité soit à ce point à la hausse ? On aurait bien quelques éléments de réponse, mais bon …

    http://www.contre-info.com/

  • Lille : l’insécurité grandissante suscite de nouvelles mesures policières

    A Lille, dans le quartier festif de Masséna-Solférino, l’insécurité galopante,  la recrudescence des agressions et des vols, contraint aujourd’hui la police à prendre de nouvelles mesures et à multiplier ses patrouilles pédestres de lutte contre la délinquance.

    Masséna-Solférino est en train de perdre L’ambiance bon enfant qui a fait La réputation de Masséna-Solférino est en train de disparaître : vols avec violence, bagarres, coups gratuits sur des fêtards ou des policiers en service, voire agressions sexuelles sur des jeunes filles, voilà le lot de ces dernières semaines… Les agresseurs visent en particulier les fêtards rendus vulnérables par l’alcoolisation massive. Et les témoignages sont nombreux.

    « Je revenais seul de Masséna, lorsqu’un individu m’a fait une clé de bras par surprise pendant qu’un autre me prenait mon téléphone dans ma poche« , se rappelle Guillaume, un habitué du quartier dont deux autres amis proches ont vécu une mésaventure similaire durant ces dernières semaines. « Passé certaines heures, il y a des racailles qui nous attendent pour nous dépouiller. Ça devient grave !« , indique-t-il.

    Un tel phénomène fait réagir la police.  « Nous voulons agir avant qu’un drame important n’ait lieu. Ce secteur est devenu un véritable terrain de chasse pour de plus en plus de prédateurs. Ils attendent leurs proies alcoolisées, qui ne sont plus en mesure d’anticiper les agressions« , explique en effet le commissaire Christian Wulveryck. « Certains riverains n’en peuvent plus des nuisances et des dégradations. On est arrivé à un stade où il faut agir. Il va falloir s’habituer à voir régulièrement des patrouilles pédestres », prévient le commissaire.

    C’est ainsi que les patrouilles policières pédestres sont appelées à se développer : la semaine dernière, cinq interpellations pour vols et une dizaine pour ivresse sur la voie publique ont ainsi été réalisées.

    Bref, le lien social se disloque en France. Les causes sont multiples : on peut ainsi évoquer l’absence de politique familiale, berceau de l’éducation et de l’affection donnée. Mais on remarquera également que ces phénomènes de délinquance se développent en particulier dans les ville, comme Lille, où les la population n’est plus perméable à des codes communs…

    http://www.contre-info.com/