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Les députés portugais ont adopté un paquet législatif visant notamment à restreindre le regroupement familial et à lutter contre l’immigration illégale, à rebours de la politique migratoire très accueillante du précédent gouvernement socialiste. Fin 2024, le pays ibérique comptait 1,55 million d’étrangers, soit quatre fois plus qu’en 2017 et environ 15% de la population totale, selon des données officielles.
Le gouvernement Darmanin veut suspendre les prestations sociales que perçoivent ces étrangers obligés de quitter la France, les fameux OQTF. Pour les Français ordinaires, il tombait sans doute sous le sens que des gens expulsables ne touchaient plus rien, ce qui aurait été une pure logique. Et non, les étrangers présents sur le sol français, même les non désirés, même les délinquants, ont droit à toutes sortes d’aides, notamment pour le logement et la santé, particulièrement l’AME, l’aide médicale d’État, qui leur permet d’être mieux soigné qu’un retraité du fin fond du Morvan, ainsi que des facilités d’hébergement, ce qui fait que l’on retrouve ces gens dans des logements sociaux, voire dans des chambres d’hôtels. Le tout en sachant que quand ils sont dans des processus d’expulsion du territoire, ils ont droit à toutes les aides juridictionnelles possibles, permettant tous les recours imaginables, toujours avec notre argent évidemment. Le simple fait que l’on continue à engraisser des gens que l’on expulse explique largement le fait que seuls 7 % des OQTF soient finalement exécutées, comment pourrait-il en être autrement ? Cet état marche sur la tête, comment des politiciens ont-ils pu pondre un tel système ?
Assise près des portes de la rame, la dame de 91 ans n’a rien vu venir, mais elle comprend vite. Le fermoir résiste, elle se sent étranglée. Ses pendentifs finissent par céder, le voleur s’enfuit à toutes jambes. Des passagers coursent les voleurs dans le métro et en rattrapent un. L’autre se constitue prisonnier.
Selon La Provence, Rachel Legrain-Trapani, Miss France 2007 et comédienne de 36 ans, a été victime d’une agression sexuelle ce jeudi 17 juillet à Avignon, en marge du festival Off où elle joue actuellement Pas si Miss que ça. Lors d’une session de tractage rue de la République, la comédienne a été approchée par un homme alors qu’elle prenait des selfies avec des passants. « Il a commencé à me toucher. J’étais sur le cul, je ne m’attendais pas à ça », témoigne-t-elle sur Instagram.
En France, il est fréquent, quand un de nos jeunes est victime d’un assassinat sordide de la part de clandestins qui n’avaient rien à faire dans notre pays, que des groupes de patriotes, de manière pacifique, aient envie d’exprimer leur colère et de rendre hommage à la victime, tout en interpellant les autorités pour que cela ne se reproduise plus. Mais ces jeunes résistants sont souvent confrontés à un double harcèlement : celui de gauchistes capables de les agresser physiquement ou de perturber une minute de silence, comme à Vienne, après la mort de Philippine…
La nuit de ce jeudi 17 au vendredi 18 juillet a été marquée par des violences dans le quartier de la Houillère à Charleville-Mézières. Cinq personnes ont été interpellées. Des événements qui interviennent après la fermeture mouvementée d’un café du quartier mercredi.
Charles de Courson, mardi, était formel : supprimer l’AME ne serait « pas raisonnable », cette suppression coûterait finalement plus cher, à long terme, car l’AME, explique-t-il, évite les épidémies que pourraient propager les migrants arrivant chez nous.
L’agression décrite par cet homme d’une quarantaine d’années a pour cadre le quartier de Bellevue, mardi 24 juin 2025. Rue du Dauphiné, ce Brestois se rend à vélo au bureau de tabac, quand il croise un jeune homme de 14 ans à trottinette, refusant de le laisser passer. Au retour, il aperçoit, au même endroit, la même personne qui, une nouvelle fois, ne s’écarte pas.
La dentition de Moriba Konte est définitivement gravée. Dans le tissu du siège conducteur d’une Peugeot 3008 de la police nationale qu’il a mordu samedi 13 juillet en fin d’après-midi. Vers 17 heures ce jour-là en effet, des policiers en patrouille dans le quartier Mistral de Grenoble avaient vu un homme passer devant eux au guidon d’une petite moto de cross. Un jeune homme sans casque, sur cette moto dépourvue de plaque d’immatriculation et qui faisait des roues arrière sur la piste cyclable et le trottoir qui longent l’avenue Rhin-et-Danube. Dans leur procès-verbal, ces policiers expliquent avoir vu des passants s’écarter et des mères de famille saisir brusquement leur enfant par le bras pour éviter une collision avec le motard.
Lundi 14 juillet, aux alentours de 21 h, devant un snack situé Grand-Rue, à Florange, une jeune femme aurait été violemment agressée par un homme armé. Selon un témoin, il « aurait d’abord tenté de violer la victime dans la rue, avant de la frapper violemment au visage, de lui donner des coups de poing et de lui tirer les cheveux ». Il aurait ensuite quitté les lieux… pour revenir armé d’un couteau, menaçant de s’en prendre à d’autres personnes.