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immigration - Page 692

  • Islamisme : très peu de mosquées salafistes ont été réellement fermées en France

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    Les Républicains dénoncent l’inaction des autorités face à l’islamisme. Laurent Wauquiez affirme que seules sept mosquées salafistes ont été fermées par le gouvernement, sur une centaine recensées (mais en réalité les chiffres sont bien plus importants…).

    Des chiffres qui sont confirmés. Le ministère de l’intérieur recense en effet un peu plus de cent mosquées tenues par un imam salafiste. Et seules sept d’entre elles ont été fermées depuis octobre 2017, c’est à dire depuis l’adoption de la loi qui a mis fin à l’état d’urgence et qui autorise à fermer les lieux de culte en cas d’appel à la haine.

    Mais qu’est-ce qui explique que ces dernières soient encore en activité ? Déjà parce que le salafisme n’est pas interdit. Il s’agit d’un courant religieux certes intégriste, mais pas illégal. Pour fermer une mosquée, il faut établir que l’imam a tenu des propos punis par la loi, des appels au jihad ou un discours haineux. C’est loin d’être toujours le cas. Sans ces éléments, une fermeture de mosquée est jugée abusive et peut être annulée en justice.

  • Chute annoncée du « califat » de l’EI en Syrie : un simple épisode d’une guerre sans fin, par Franck Deletraz

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    Si la coalition arabo-kurde des Forces démocratiques syriennes et la plupart de ses alliés occidentaux se félicitent depuis plusieurs jours déjà de la « fin imminente » du « califat » de l’EI en Syrie, nous commettrions une grave erreur d’appréciation en pensant que ce conflit est non seulement terminé mais surtout gagné. De par sa nature et celle de notre ennemi, la faculté qu’a ce dernier à « disparaître » pour frapper à nouveau là où l’on ne l’attend pas, ses innombrables relais et bases arrière dans le monde entier, et notamment en Europe, tout porte à croire, au contraire, que la guerre de l’Occident contre la barbarie islamiste, à l’instar de celle du Bien contre le Mal, n’en finira jamais vraiment.

    « Victoire tactique » mais « défaite stratégique »

    Alors que les combats continuaient de faire rage dans Baghouz, dernier réduit officiel de Daech en Syrie, un commandant des FDS indiquait encore samedi que « la victoire sera annoncée dans quelques jours ». Or, tous les services de renseignement savent parfaitement que les djihadistes de l’EI ont, depuis longtemps déjà, minutieusement organisé leur retour à la clandestinité. C’est d’ailleurs là l’une des très justes observations faites récemment par le colonel Legrier, commandant de la Task Force Wagram, dans une tribune publiée par la Revue de la Défense nationale, dans laquelle il parle d’une victoire « tactique » de la coalition, mais d’une « défaite stratégique ». En effet, explique-t-il, « l’ennemi » n’a « pas été autant [détruit] qu’on a bien voulu le faire croire », et il n’a pas été atteint dans « son moral et sa volonté de combattre » puisqu’il a « déployé jusqu’au bout une combativité inébranlable ». En outre, poursuit le colonel Legrier, la « défaite devenue inéluctable, il s’est exfiltré vers des zones refuges pour poursuivre la lutte en mode insurrectionnel, ne laissant sur place qu’une poignée de combattants étrangers ».

    Comment importer une guerre chez soi

    Des combattants notamment « français » qui, faits prisonniers, continuent de bénéficier de la générosité suicidaire de notre pays. Ainsi, rappelons-le, alors que ces assassins ont pris les armes contre nos soldats, notre gouvernement, craignant de les voir tomber aux mains des autorités irakiennes qui n’hésitent pas à fusiller, se démène aujourd’hui pour obtenir leur rapatriement en France où, nous promet le secrétaire d’Etat à l’Intérieur, « ils seront tous judiciarisés, et incarcérés » dès leur arrivée. Au total, cela représenterait pas moins de 150 individus, dont 90 mineurs, pour la plupart tellement endoctrinés que certains experts les jugent « irrécupérables »… De quoi améliorer la situation en France où, comme l’a annoncé jeudi Nicole Belloubet, une trentaine de détenus, condamnés pour des liens avec le djihadisme et ayant séjourné dans la zone syro-irakienne, seront libérés en 2019. Evénement pourtant décrit par François Molins, ex-procureur de la République de Paris, comme constituant « un risque majeur » pour la sécurité de notre pays.

    Bref, une situation tellement ubuesque que l’on en vient aujourd’hui à se demander si l’Etat est à ce point stupide qu’il ne voit pas qu’il creuse aujourd’hui notre tombe.

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 18 février 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Faux papiers, allocations touchées par les djihadistes… La fraude à l’argent public fait encore des ravages

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    La sénatrice centriste Nathalie Goulet organisait lundi un débat au Sénat sur le thème de la fraude à l’argent public. La mission sénatoriale a auditionné différents experts et responsables administratifs. Le moins que l’on puisse dire, c’est que la fraude, si elle est combattue, reste importante.

    C’est particulièrement le cas de la fraude aux prestations sociales.

    Il y a quelques mois, le magistrat Charles Prats avait dénoncé l’existence de plus d’1,8 million de comptes de sécurité sociale frauduleux. Selon lui, ces comptes permettraient une fraude de 14 milliards d’euros chaque année. Le ministre de la santé, Agnès Buzyn, a tenté de faire valoir que ces chiffres étaient faux et que tous ces comptes, s’ils n’étaient pas en règle sur le plan administratif, n’étaient pas forcément frauduleux.

    Pourtant, l’utilisation de faux papiers serait très répandue dans notre pays.

    Pour le commissaire de police honoraire Luc Retail, « 6,5% des pièces d’identité en circulation en France sont fausses ». En outre, l’immigration facilite les fraudes documentaires, dans la mesure où les pays d’émigration n’émettent pas tous des pièces d’identité authentifiables.

    Les mouvements de fonds sont, en plus, peu surveillés.

    Toute personne qui prétend résider en France a droit à un compte bancaire. Les sommes peuvent ensuite être aisément transférées à l’étranger, seuls les virements d’au moins 10.000 € faisant l’objet d’une surveillance poussée. Or, comme l’a rappelé le commissaire Luc Retail, « de nombreux djihadistes français ont continué à toucher des allocations alors qu’ils étaient partis combattre ». Ceux qui seront rapatriés en France pourront d’ailleurs à nouveau les demander

    https://fr.novopress.info/213697/faux-papiers-allocations-touchees-par-les-djihadistes-la-fraude-a-largent-public-fait-encore-des-ravages/

  • Salvini prévient un bateau allemand repéré près de la Libye : votre « cargaison de clandestins » n’arrivera jamais chez nous

    Le ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini (Ligue) a menacé l’organisation allemande d’aide aux réfugiés Sea-Eye. « Un homme averti en vaut deux : On a attiré ce matin mon attention sur le fait qu’un bateau d’une ONG allemande se trouvait tout près de la Libye : Ces gens devraient savoir qu’ils n’arriveront jamais avec leur cargaison d’immigrés illégaux », a fait savoir Salvini sur Facebook et Twitter.

    Le bateau en question est le Alan Kurdi. Il avait été rebaptisé début février du nom d’un jeune garçon syrien qui s’était noyé en Méditerranée. Ce bateau avait auparavant navigué en Méditerranée sous le nom de « Professeur Albrecht Penck ».

    (Traduction Fdesouche)

    Junge Freiheit

    http://www.fdesouche.com/1162829-salvini-previent-un-bateau-allemand-repere-pres-de-la-libye-votre-cargaison-de-clandestins-narrivera-jamais-chez-nous

  • Non, nous n’avons de leçons à recevoir!

    soumission-300x229.jpgQu’y-a-t-il de plus immonde dans la volonté de blesser, de souiller les croyances ou de nier l’élémentaire respect dû aux morts que de profaner un lieu de culte ou des sépultures? De mémoire, nous n’avons jamais vu récemment  un président de la république se rendre dans une Eglise vandalisée. Mais Emmanuel Macron, les plus cyniques ou les plus lucides c’est selon, y verront peut-être la marque d’un président en campagne médiatique permanente, a cependant jugé bon, accompagné du grand rabbin de France Haïm Korsia, de se recueillir hier au cimetière de Quatzenheim ( Bas-Rhin) où des dizaines de tombes juives ont été  profanées par un ou  plusieurs  lâches salopards. De son côté, en présence de Jordan Bardella, Bruno Bilde, Sébastien Chenu, Ludovic Pajot, Philippe Olivier, Franck Allisio, Marine Le Pen déposait hier une gerbe devant la stèle (récemment dégradée) érigée à la mémoire de Ilan Halimi à Bagneux (Hauts-de-Seine); ce jeune juif avait été séquestré et torturé à mort en 2006 par le sinistre gang des barbares de Youssouf Fofana. Place de la république hier, le rassemblement contre l’antisémitisme initié par le PS et à l’appel de quatorze partis, mais auquel n’était pas convié le RN,  a réuni entre 8000  et 20 000 personnes selon les sources.

    Antisémitisme qui est aussi une équation électorale en Israël. Les observateurs ont noté le rapprochement diplomatique initié par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou avec les pays européens  qui se sont dotés de gouvernements clairement opposés à l’immigration, notamment ceux du groupe de Visegrád (« V4 », Hongrie, Pologne, République Tchèque et Slovaquie). Le dirigeant d’extrême-droite verrait paraît-il d’un bon oeil une Union européenne abandonnant son angélisme cosmopolite et multiculturaliste au profit d’un populisme identitaire en  pleine assomption électorale,  manifestant  son refus de l’islamisation;  bref, plus en phase avec ses propres convictions et celles de sa majorité (?).

    Mais M. Netanyahou, en diffculté dans les sondages,  doit aussi composer avec l’opinion publique israélienne. Une dépêche de l’Afp reprise par Euractiv   rapporte ainsi que le gouvernement polonais « (a) annoncé dimanche que (son) Premier ministre, Mateusz Morawiecki, n’irait pas en Israël pour la réunion du groupe de Visegrád avec (..) Benjamin Netanyahou (qui s’est tenue hier, NDLR)  et serait remplacé par son ministre des Affaires étrangères. La Pologne avait réagi ainsi à des déclarations de Benyamin Netanyahou, citées dans la presse de son pays et portant sur le rôle des Polonais dans l’Holocauste. L’affaire ne s’est pas arrêtée là. Lundi, le chef du cabinet de Mateusz Morawiecki a dit à la radio publique que le déplacement du chef de la diplomatie Jacek Czaputowicz était maintenant  un gros point d’interrogation  en raison des déclarations de son homologue israélien Israel Katz. Ce dernier a dit à la chaîne israélienne i24 que  de nombreux Polonais avaient collaboré avec les Nazis et, comme l’a dit (l’ancien Premier ministre israélien) Yitzhak Shamir, les Polonais sucent l’antisémitisme avec le lait de leur mère (…). Benyamin Netanyahou (actuellement en campagne électorale, NDLR) avait assuré vendredi que la presse de son pays avait déformé ses propos, portant sur les responsabilités de ou des Polonais dans les crimes nazis contre les Juifs.»

    C’est aussi vieux que la politique politicienne, les discours des personnalités politiques changent en fonction de leurs  interlocuteurs, sont souvent a géométrie variable.  Pour autant,  donnons au moins crédit en France à Emmanuel Macron d’avoir dès le départ annoncé clairement la couleur. En tout cas d’avoir été moins hypocrite que les Mitterrand, Chirac, Sarkozy ou Hollande dans la présentation de sa fuite en avant, de son projet européiste de soumission de la France au mondialisme, à la feuille de route bruxelloise. Ce projet indépassable reçoit l’assentiment, plus ou moins éclairé et conscient, d’un Français sur quatre voire d’un Français sur trois. Il est donc totalement logique, nous l’avions dit, que la macronie, qui s’emploie dans cette période de tensions sociales de  manière tactiquement habile à cliver fortement le débat entre  pro et anti européens pour mordre sur l’électorat de la droite libérale, fasse le plein de se ses soutiens à l’approche des élections européennes. D’autant que les autres partis traditionnellement européistes sont marginalisés et/ou déchirés par des contradictions internes sur ces questions

    La dernière enquête Ifop-Fiducial pour Paris Match, CNews et Sud Radio indique ainsi que la liste de la majorité présidentielle LREM/ MoDem serait créditée de 24% (+1) des intentions de vote. Elle serait clairement en tête le 26 mai prochain des élections européennes devant le Rassemblement National (20%, -1), LR (10%, =), EELV (9% , +2,5), LFI (7,5%, -2), DLF (6% , =), le  PS (6% , =); une liste Gilets Jaunes  récolterait 3,5 % des voix, contre 7,5% dans le précédent sondage de janvier.

    GJ qui sont aussi de manière récurrente accusés de nuire à l’économie Française. Nous pouvons entendre parfaitement l’argument selon lequel blocages et manifestations nuisent au commerce. C’est notamment ce qu’explique dans La tribune le  président de CCI FrancePierre Goguet,  « qui s’alarme d’un possible changement de comportement des consommateurs avec la prolongation du mouvement des Gilets jaunes.» Mais interrogé sur l’impact des  «mesures annoncées par Emmanuel Macron» pour «booster le pouvoir d’achat d’une bonne partie des Français»  il répond: «Il peut y avoir un effet mais le risque est que cela favorise surtout l’importation de produits étrangers. Le pouvoir d’achat peut aussi se transformer en épargne. Beaucoup de Français observent que la sortie de crise n’est pas pour demain, que les problématiques liées à la fiscalité sur la taxe carbone ne sont pas finies. Les foyers modestes, qui ont une propension à consommer, pourraient s’orienter vers des produits moins coûteux et donc pas nécessairement ceux fabriqués en France. Du côté des entreprises françaises, il faut encore que l’appareil productif soit capable de répondre à la demande sinon on risque de favoriser des produits importés. Je pense que c’est dans la proximité des territoires que l’on trouvera des solutions adaptées.»  Bref, constate Bruno Gollnisch,  M. Goguet décrit ici les résultats en France  de décennies  de  politiques de désindustrialisations,  de fiscalisme confiscatoire, de soumission à  l’euro, aux diktats ultra libre-échangistes, aux mots d’ordre de  Bruxelles. Et de cela,  les GJ ne sont pas responsables…

    Une vérité qu’il est bon de rappeler, quand bien même l’expression d’opinions ou de vérités non conformes n’amusent pas toujours les milieux dits économiques, médiatiques et même les  humoristes professionnels. Hier le macroniste Yassine Belattar,  nommé récemment par l’Elysée  au Conseil présidentiel des villes , malgré sa proximité avec  le  Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) dans l’orbite des Frères musulmans, ne s’est pas contenté de fustiger les députés LREM,  «un ramassis d’incompétents avérés» selon lui.

    M. Belattar a annoncé sa démission de son poste de chroniqueur qu’il assurait depuis septembre dans l’émission  Audrey & Co sur  LCI. Il entend par là protester contre les opinions exprimées par Eric Zemmour hier dans la matinale sur cette même antenne.  «Il y a une différence entre la liberté d’expression et la liberté de provocation.  Bon courage dans votre surenchère.» a-t-il affirmé sur twitter.   « Zemmour est nul, c’est un menteur. Je rappelle qu’il a été condamné pour provocation à la haine raciale. C’est devenu impossible de cautionner de tels propos sur un plateau. »

    En cause,  le passage ou M. Zemmour  fait un lien entre antisémitisme et immigration musulmane: « On nous a expliqué que l’Islam est une religion de paix et d’amour alors qu’on sait bien que cet antisémitisme-là est le produit d’une culture islamique qui vient de très loin ». L’essayiste-polémiste a également pris la défense du Conseiller régional et cadre RN Philippe Vardon, qui a milité dans sa prime jeunesse au Bloc Identaire et qui est de ce fait régulièrement attaqué  par la gauche et Chrisian Estrosi. Eric Zemmour a  ainsi expliqué  qu’il «  (faisait une distinction)  entre les groupuscules identitaires et les groupuscules nazis. Les identitaires ne sont pas nazis. Ils essayent de défendre l’identité de la France contre l’islamisation. Ce n’est pas nazi, ça! ».

    Notons d’ailleurs que le spécialiste es extrême droite Jean-Yves Camus  a pris lui aussi très factuellement et très  honnêtement   la défense de P. Vardon devant l’abracadabrantesque  commission d’enquête parlementaire sur la lutte contre les groupuscules d’extrême droite en France présidée par l’élue LFI  Muriel Ressiguier.  Le nom de notre camarade  avait été cité  par  ladite commission  comme une pseudo preuve de la collusion entre le RN et la bête immonde. Patatras, encore raté!

    https://gollnisch.com/2019/02/20/non-nous-navons-de-lecons-a-recevoir/

  • Les champions du pasdamalgame: diversion et sidération

    agora.jpgNous vivons décidemment une période bien trouble. Plus le constat de la faillite de ce Système  apparaît  clairement aux yeux de nos compatriotes, plus ses acteurs s’ingénient à faire diversion,  n’hésitent pas à manier les pires invectives contre l’alternative portée par l’opposition nationale. Dernier exemple en date,  le ministre de la Santé, Agnès Buzyn, déclarait cette fin de semaine que Marine« est contre l’antisémitisme mais elle a plein de néonazis dans son entourage(…). Dès qu’elle peut aller en Autriche ou à Bruxelles rejoindre les néo-nazis et mouvements d’extrême droite d’Europe et du monde entier, elle y court. Elle mange à tous les râteliers.». Propos grotesques, démentis mille fois par les faits, puisque rien dans les paroles, le programme, les analyses,  les activités politiques  du FN puis du RN et de sa présidente  ne peuvent étayer une telle assertion.  A moins qu’Agnès Buzyn  considère que  notre  défense vigoureuse mais parfaitement pacifique de notre identité et souveraineté nationales est assimilable au (néo)nazisme  ou à un  crime contre l’humanité.  « ( Mme Buzyn) répondra devant la justice » de ses « propos infâmes » ; « ce gouvernement est de plus en plus indigne, en plus d’être totalement incompétent ! » a réagi la présidente du RN sur  twitter. Wallerand de Saint-Just a précisé  que la plainte sera déposée pour «injure publique. »

    En l’espèce, Agnès  Buzyn contestait la sincérité de la condamnation, par Marine et les cadres du RN, des insultes dont a été victime l’académicien Alain Finkielkraut en marge d’un cortège des Gilets jaunes, samedi à Paris lors de l’Acte XIV de cette mobilisation. Selon la vidéo qui a circulé sur les réseaux sociaux, M. Finkielkraut n’a apparemment pas été traité de « sale juif » comme l’a affirmé le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux, mais  injurié avec force rapportait France tv.info : « Tu es un haineux et tu vas mourir, tu vas aller en enfer », « Barre-toi, sale sioniste de merde ! ,  Nique ta mère, crie un autre, tandis que l’on entend certains crier : Palestine !,  Facho ! Palestine ! Rentre chez toi, rentre chez toi en Israël mais aussi : « La France est à nous. Rentre à Tel-Aviv ,  Tu vas mourir »…. . Finkielkraut a précisé qu’il avait reçu un bon accueil de plusieurs Gilets Jaunes, mobilisation pour laquelle il a confessé sa sympathie, mais que d’autres voulaient » lui casser la gueule ».  Le Parisien a indiqué que  « l’homme qui apparaît sur la vidéo en train d’insulter le philosophe a été identifié et est connu des services de renseignement (…)pour avoir évolué en 2014 dans la mouvance radicale islamiste, d’obédience salafiste », n’en déplaise à Mme Buzyn… Marine  avait  pointé la présence dans ce cortège des GJ  d’éléments infiltrés en provenance de la mouvance d’extrême-gauche.  Francis Kalifat, président du Conseil Représentatif des Institutions Juives de France CRIF), qui a  apporté son soutien à M. Finkielkraut,  a de son côté  jugé comme ce dernier que le ou les  auteurs des insultes  appartenai(en)t à la  nébuleuse   « islamogauchiste ».

    Nous savons qu’au nombre des 3.721.798 crimes et délits recensés en 2018 par  l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP),  les atteintes volontaires à l’intégrité physiques (homicides, violences, viols, harcèlements et agressions sexuelles…) sont en hausse de 4 % par rapport à l’année précédente. Mais les actes de violences racistes contre les  blancs, les  chrétiens , les  Français de souche , ne sont pas officiellement comptabilisés. A contrario, il existe  les chiffres du Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme (BNVCA) présidé par Sammy Gozlan et  validés par le ministre de l’Intérieur. Selon ceux-ci,  la communauté juive de France – forte de 450 000 à 600 000 âmes d’après  les statistiques de la North America Jewish Data Bank et/ou duBureau central des statistiques (CBS) israélien-, auraient eu à subir en 2018  541 faits antisémites, dont 81 actions violentes, chiffres en  progression de 74% par rapport à 2017, après deux années consécutives de baisse. Selon l’enquête réalisée par l’Agence européenne des droits fondamentaux au sein des communautés juives de  l’UE, rendue publique en décembre dernier, la situation serait plus problématique. «  Environ 90 % des répondants, est-il relaté,  estiment que l’antisémitisme est en expansion dans leur pays. (…). Près de 30 % d’entre eux ont été harcelés, ceux qui sont visiblement juifs étant les plus touchés. (…). Près de 80 % des répondants ne signalent pas les incidents graves à la police ni à un autre organisme, parce qu’ils pensent souvent que cela ne changerait rien. »

    Les actes antisémites médiatisés ces derniers jours ont réactivé  le souhait formulé par certains milieux  d’assimiler, en le criminalisant, l‘antisionisme à l’antisémitisme. En 2016 déjà, Manuel Valls, remplaçant François Hollande lors du traditionnel diner du CRIF -auquel se rendra demain Emmanuel Macron– avait déclaré que l’antisionisme est « tout simplement le synonyme de l’antisémitisme et de la haine d’Israël ». Une affirmation qui avait  fait bondir l’extrême gauche qui avait condamné cette déclaration, notamment dans les colonnes de L’Humanité. «  En marge des commémorations du 75e anniversaire de la rafle du Vél d’Hiv auxquelles participait Benjamin Nétanyahou », indique  Le Figaro, «  Emmanuel Macron a lui-même semblé s’inscrire dans les traces de l’ancien Premier ministre et alors que le caractère antisémite de l’assassinat de Sarah Halimi tardait à être retenu par la justice, le président avait considéré que l’antisionisme était la forme réinventée de l’antisémitisme».

    Cette fois, « Présidé par Sylvain Maillard (LREM), le groupe d’étude de l’Assemblée nationale sur l’antisémitisme » va se réunir ce soir pour réclamer «la reconnaissance officielle de l’antisionisme comme antisémitisme». Nous l’avons dit, il est difficilement contestable que l’antisionisme, dans un certain nombre de cas,  puisse couvrir de son ombre un antijudaïsme qui ne peut s’avouer ou se dire comme tel. Mais ce n’est bien évidemment pas toujours le cas. On peut être juif et antisioniste, comme certains juifs religieux pour qui la création de l’Etat d’Israël relève du blasphème, ou de juifs d’extrême-gauche, internationalistes. antiracistes, altermondialistes ou de libéraux sans-frontièristes clairement mondialistes comme George Soros. Il existe aussi des antijuifs qui sont sionistes en ce qu’ils considèrent que  les juifs n’ont pas droit de cité dans leur pays depuis qu’ils ont un Etat à eux. Dans la définition très classique qu’en donne wikipedia, «Le sionisme est une idéologie politique fondée sur un sentiment national juif, décrite comme nationaliste par les uns et comme émancipatrice par les autres.» Dans les faits, il existe des sionistes de gauche, « modérés », partisans de la création d’un Etat palestinien et/ou d’un Etat israélien multiculturel ; et des sionistes de droite et d’extrême droite beaucoup plus intransigeants. A cette aune le sionisme peut aussi être appréhendé par ses adversaires ou au contraire par ceux qui se réclament de cette idéologie, comme une doctrine messianique et/ou impérialiste   donnant des droits à Israël sur des territoires voisins pour la création d’un Grand Israël, et donnant du  peuple juif une définition strictement ethnico-religieuse dont sont exclus les palestiniens musulmans ou chrétiens.  Autant dire que la volonté exprimée par ce député LREM Maillard et ses collègues est intellectuellement boiteuse et aggravera encore les atteintes à la liberté d’expression et d’opinion. Souvent  qui veut faire l’ange fait la bête… Emmanuel Macron a en tout cas joué la carte de la  prudence pour dire  son désaccord  avec  cette initiative

    Si «l’antisémitisme est le socialisme des imbéciles » selon la célèbre formule d’Auguste Bebel, Ovier Faure, premier secrétaire de qu’il reste du  PS  s’est voulu intelligent en lançant l’idée d’un rassemblement contre l’antisémitisme qui se déroulera à Paris ce soir ,  en présence de François Hollande,  d’Edouard Philippe, de 22 ministres,   dont Jean-Michel Blanquer et Benjamin Griveaux.  Quatorze  partis politiques   participeront à cette manifestation  , du PC à DLF,  de LREM à EELV en passant par LR et LFITous les partis sauf le RN avait indiqué M. Faure, au nom paraît-il de l’histoire sulfureuse du FN,  avant de réviser sa condamnation à la marge  et de dire que  finalement,  pourquoi pas, à titre individuel,  Marine le Pen et les sympathisants du mouvement national pourraient d’y rendre.

    Mais la décence a conduit le RN, qui l’a rappelé dans un communiqué,  à ne  « pas défiler aux côtés de formations et de dirigeants politiques qui soit n’ont rien fait depuis trente ans (contre la multiplication de ce type de violences), soit les ont encouragés ».  Raphaël Nisand, chroniqueur  sur Radio judaica, a eu lui aussi des mots très durs sur cette manif  de pompiers-pyromanes.  Invitée de ce matin d’Europe 1,  Marine a précisé  qu’elle ne souhaitait pas  «  participer à une instrumentalisation politicienne  ».  « Aujourd’hui, la politique qui a entraîné cette situation est de la responsabilité des partis qui vont manifester ce soir (…).  La vraie question, aujourd’hui, c’est d’où provient cet antisémitisme, c’est la question essentielle » sachant que les partis dits de gouvernement ont  « laissé s’installer un fondamentalisme islamiste qui est incontestablement à l’origine de l’antisémitisme aujourd’hui.  » Alors oui nous se sommes pas dupes  de cette manip et plus largement, note Bruno Gollnisch,  de l’entreprise de sidération de l’opinion par les  champions du  pasdamalgame à géométrie variable,   qui vise  aussi, avec beaucoup de malignité, à tenter de refiler le mistigri de la bête immonde aux Français qui rejettent simplement, souvent avec colère, mais sans haine ni violence, les politiques euromondialistes.

    https://gollnisch.com/2019/02/19/les-champions-du-pasdamalgame-diversion-et-sideration/

  • Alain Finkielkraut ose le dire : le Rassemblement national est un parti républicain !

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    Sur l’affaire Alain Finkielkraut, tout ce qu’il y avait de censé à dire l’a été sur ce site. Mais le « mieux-disant » revient pourtant au principal intéressé, sur France Info, le 18 février dernier : « Quelque chose me gêne dans la mobilisation […] On revient, on se mobilise contre, si j’ose dire, le vieil antisémitisme, celui qu’on aimait détester. […] Or, ce n’est pas lui qui était à l’œuvre contre moi. Est-ce ce “bon vieil antisémitisme” qui est à l’œuvre de manière générale en France ? Je ne le crois pas. »

    Loin de nous l’idée de faire dire à Alain Finkielkraut ce qu’il n’a pas dit ; mais tentons, au moins, cette sorte de synthèse selon laquelle les derniers lecteurs d’Édouard Drumont, certes antisémites dans leurs lectures, le seraient finalement moins dans leurs actes. En effet, prétendre que les assassins d’Ilan Halimi et Mireille Knoll aient pu être disciples d’Henri Coston consisterait à un peu trop charger le chameau.

    De même, du mouvement lepéniste, le philosophe affirme : « Alors, on va dire qu’il ne faut surtout pas que le RN participe au rassemblement de demain. Mais c’est un problème, parce que tous les partis républicains devrait être représentés. Et c’est un parti républicain, qui représente un nombre considérable d’électeurs. »

    De cet antiracisme dévoyé, le mensuel Actualité juive, relayant les propos de l’empêcheur de penser en rond, rappelait déjà, le 22 avril 2015 : « Alain Finkielkraut laisse entendre que SOS Racisme était responsable de la montée du racisme en France. » Mieux, toujours à en croire cet estimable périodique, on apprenait encore ceci : « SOS Racisme – SOS Baleines. Ambiguïté : dans un cas, c’est pour dénoncer le racisme, dans l’autre, pour sauver les baleines ? Et si, dans le premier cas, c’était aussi pour sauver le racisme ? »

    Il est un fait que pour que survivent les ligues de vertu, il faut bien que le vice subsiste ; faute de quoi, les subsides pourraient bien venir à manquer. Les antiracistes ont besoin des racistes pour boucler leurs fins de mois, surtout quand l’argent du contribuable vient à manquer. Le premier des aigrefins sait ça. Alain Finkielkraut aussi.

    De son côté, Claude Askolovitch, pourtant pas le moins borné de nos confrères – la preuve par son très honnête essai, Voyage au bout de la France, le Front national tel qu’il est –, s’en prend désormais à Alain Finkielkraut, sur le site Slate, ce même 18 février : « Un décent, modéré, de bon sens, un Raymond Aron de nos déconstructions, cet homme qui honore de sa malice fatiguée les bien-pensants de l’identité nationale, les petits veilleurs du Figaro Vox, les inquiets de la civilisation ? Doutons-en, pour lui-même et des opportunistes qui ne lui ressemblaient pas, trop heureux que ce juif hirsute et tourmenté qui composait des odes à l’identité française et se faisait l’avocat du “Français de souche”, qui, mieux que lui, enfant d’immigré, était de ce pays. » Pour doucereuse qu’elle soit en apparence, la charge est lourde de violence cachée.

    Qu’il nous soit seulement permis d’objecter qu’Alain Finkielkraut, qui vient d’accorder un entretien passionnant à Éléments, est avant tout un philosophe d’envergure, au même titre qu’un Alain de Benoist, par ailleurs fondateur de ce bimensuel. Que sa voix, aussi claire que sa pensée, n’est pas de trop en ces temps de flou intellectuel. Et que ses origines, si elles paraissent passionner activistes musulmans exaltés et journalistes juifs en perte de repères, ne nous importent finalement que peu.

    Car Alain Finkielkraut n’est rien d’autre qu’un estimable compatriote français. Rien de plus ; mais, surtout rien de moins.

    Nicolas Gauthier

    http://www.bvoltaire.fr/alain-finkielkraut-ose-le-dire-le-rassemblement-national-est-un-parti-republicain/

  • Les djihadistes divisent l’Europe – Journal du 19/02/2019

     

    1) Les djihadistes divisent l’Europe

    VO : Alors que le président américain Donald Trump a demandé aux Etats européens d’accueillir leurs ressortissants partis faire le djihad en Syrie, les différents pays du Vieux Continents demeurent divisés sur la question. Derrière la demande étasunienne plane en effet le risque de multiplication des cellules terroristes partout en Europe.

    2) PMA : une catastrophe de santé publique en devenir

    VO : La Procréation Médicalement Assistée, future bombe sanitaire ? De plus en plus d’études scientifiques mettent en avant la corrélation positive entre des troubles physiques ou mentaux chez les enfants nés d’une PMA.

    3) Orthographe : la chute libre se poursuit

    VO: Les Français toujours plus mauvais en orthographe. Selon un sondage, le niveau est en chute libre dans les CV.

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/jt-du-19-02-2019-les-djihadistes-divisent-leurope

  • Immigration : Vous avez le droit de savoir ce que Bruxelles prépare

    Immigration : Vous avez le droit de savoir ce que Bruxelles prépare

    Affiche publiée sur la page Facebook du gouvernement hongrois avec cette légende

    « Vous avez le droit de savoir ce que Bruxelles prépare. Ils veulent introduire des quotas obligatoires de relocalisation. Ils veulent affaiblir les droits des Etats de protéger les frontières. Les visas de migrants faciliteraient l’immigration. »

    « Le gouvernement lance une campagne d’information sur les plans de Bruxelles pour l’immigration. Tout le monde a le droit de connaître les propositions actuelles qui mettent fondamentalement en danger la sécurité de la Hongrie. »

  • Le véritable « cancer social qui ronge la France »

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    Bernard Plouvier

    Ce serait, pour les Juifs de France, ce qu’ils nomment, de façon totalement erronée, « l’Antisémitisme ». C’est, en réalité, une affaire bien plus complexe et surtout infiniment plus grave pour l’avenir de notre Nation.

    D’abord, il faut une bonne fois pour toutes abandonner les termes de sémitisme et d’antisémitisme tels qu’ils sont employés usuellement et pour d’excellentes raisons.

    Après des millénaires de brassages des quatre races fondamentales et de leurs sous-variétés, il est évident qu’il n’existe plus de rameau sémitique pur de tout métissage, même chez les Juifs. Les études génétiques ont démontré de façon indubitable l’existence de croisements entre populations de tout le Proche-Orient (populations caucasiennes et touraniennes inclues), sauf peut-être chez les Yézidis du Kurdistan et les Samaritains.

    En outre, pour le cas français, seuls les mahométans font quotidiennement usage d’une langue sémitique, au moins pour leurs prières : celle de leur prophète, l’arabe. Et c’est de ce bord que proviennent la quasi-totalité des attentats contre les personnes juives et la très grande majorité des insultes, pour des raisons de haines religieuses et en représailles des mesures politiques de l’État d’Israël, ce qui est généralement appelé de « l’antisionisme ».

    Effectivement, depuis plusieurs décennies, les politiciens israéliens pratiquent des actions que l’on peut objectivement qualifier d’impérialistes, usant parfois de méthodes terroristes, que leurs partisans justifient par l’expression : « contre-terrorisme ».

    Ce jeu pervers et auto-entretenu, opposant sionistes et antisionistes, gâche la vie de millions de citoyens plus ou moins passifs d’Israël et des États voisins, mais il ne devrait en aucun cas perturber la vie quotidienne de la Nation française, installée en Europe occidentale, donc loin de cette zone de haine hyperactive, dépourvue de tout bon sens.

    Que ces Proche Orientaux s’étripent mutuellement est une triste réalité qui démontre la persistance de tout ce qu’il y a de destructif dans les comportements de l’être humain : le fanatisme, la violence aveugle, la haine, le mépris d’autrui et de ses droits les plus élémentaires. Mais cela ne concerne en aucun cas les Français.

    Le cancer social français est bien différent et beaucoup plus complexe, protéiforme. Il se nomme : dénatalité autochtone, aggravée par une loi ignoble favorisant l’avortement de complaisance ; désertification industrielle du pays ; chômage de masse et de longue durée ; inadaptation de l’enseignement général et professionnel ; immigration-invasion inassimilable de millions d’individus d’origine extra-européenne ; islam djihadiste ; corruption politico-administrative ; déni de la notion démocratique par excellence, celle de l’égalité de tous devant la Loi – par la multiplication des passe-droits d’origine familiale, ethnique ou tribale, maçonnique et politique, ou encore par l’effet de la pure prostitution.    

    Cessons d’accepter passivement les écrans de fumée répandus par les membres très agités de lobbies antidémocratiques et les glapissements des politiciens en difficulté, oublions cette mousse médiatique et d’une manière générale tout ce qui nous cache les vrais problèmes, qui sont d’autant plus angoissants qu’ils obèrent l’avenir de nos descendants. 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/02/19/le-veritable-cancer-social-qui-ronge-la-france-6129848.html