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insécurité - Page 591

  • Robert Ménard a été agressé en présence d'élus locaux

    Suite à son agression, Robert Ménard a été interrogé sur Boulevard Voltaire.

    "J’arrivais à cette réunion un quart d’heure avant pour préparer mon intervention. Il y avait quelques dizaines de ces personnes qui se définissent comme des antifas. Ce sont en réalité des fascistes de gauche. Ils ont commencé à m’insulter, à me donner des coups, des coups à la tête, me faire tomber, continuer à me taper dessus et taper sur les gens qui m’accompagnaient. Il s’agit de véritables comportements de voyous. De surcroît, tout cela s’est passé en présence d’élus locaux. Ils n’ont pas bronché. Ni eux, ni même les forces de l’ordre ne sont intervenus. Je suis pourtant un élu de la République. Au final, cet incident montre qu’un élu de la République peut se faire taper dessus, renverser, se faire rouer de coups sur la tête sans que ni les élus locaux, de la majorité locale, ni même les forces de l’ordre considèrent qu’il faut intervenir immédiatement. Qu’est-ce que ça veut dire ?

    Avez-vous l’impression d’être un élu de seconde zone ?

    Je ne sais pas. Je ne veux pas porter d’accusations, mais je constate les faits. Avant même ma venue, certaines personnes du PS local, du MoDem, des écologistes et de la République en marche avaient appelé à manifester. Ils avaient fait des déclarations prétendant que j’avais développé des milices à Béziers. Vous m’entendez, on me reproche d’avoir monté des milices ! Quelle folie ! Il n’y a évidemment rien de tout cela à Béziers. Ces gens-là portent aussi la responsabilité de ces actes de violence. J’espère que ces partis se rendront compte de la responsabilité qu’ils prennent en tenant des propos inadmissibles sur d’autres élus quand bien même ce sont des adversaires politiques. Nous sommes en République, en démocratie. On peut s’engueuler, mais pas se taper dessus. Or, c’est pourtant bien ce qui s’est passé.

    Avez-vous été blessé et qu’avez-vous fait ?

    Je sors à l’instant de la gendarmerie où j’ai déposé plainte, comme l’on fait d’ailleurs les élus qui m’accompagnaient et qui ont été tabassés. Évidemment, je vais de ce pas à la clinique voir ce qu’il en est des douleurs que je ressens. Quand vous êtes tapé et jeté à terre, ça laisse des traces. C’est ce que je vais faire constater par un médecin.

    Vous sembliez accuser les gendarmes de passivité. Qu’en est-il exactement de leur réaction ?

    Je constate qu’ils n’étaient pas là au moment où ils devaient y être. Quand on sait que des antifas vont manifester, avec la violence qui les caractérise, contre un élu qui vient faire une intervention, il me semble que leur devoir est de protéger cet élu. On m’a demandé si j’avais des gardes du corps. Évidemment que non ! J’attends que les forces de l’ordre me protègent en qualité d’élu, comme ils doivent protéger chaque citoyen.

    Cela vous est-il arrivé depuis que vous êtes maire de Béziers ?

    Jamais dans ma ville, quelqu’un ne m’a agressé. Jamais, lorsque je me promène dans une ville, qui que ce soit ne m’a agressé. C’est la première fois. C’est le fait de gens d’une violence extrême, par ailleurs encouragés de fait par une classe politique qui explique que telle ou telle personne ne serait pas le bienvenu dans tel ou tel endroit. Qu’est-ce que c’est que cette conception de la démocratie ?

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Analyse spectrale du marigot !

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    Le billet de Patrick Parment

    Il regarde en haut, il regarde en bas.Il regarde à droite, il regarde à gauche et il ne voit que l’horreur. C’est le drame d’un peuple à un moment donné, il n’y a personne. Henry de Montherlant

    Entre les défilés du 1er mai qui ont acté la mésentente des syndicats et la « fête à Macron » initiée par François Ruffin, thuriféraire des Insoumis vivement soutenu par Jean-Luc Mélenchon, on assiste à des manifs d’arrière-garde d’une France qui refuse que ça bouge, d’une France figée. La plupart des participants à ces deux manifs sont des nantis qui ont non seulement la sécurité de l’emploi mais de surcroît les avantages de leur profession qu’il s’agisse des cheminots, des électro-gaziers ou des fonctionnaires divers et variés. A une exception toutefois, les agents hospitaliers qui sont véritablement des laissés pour compte de la fonction publique. Ce qui est proprement scandaleux.

    La France périphérique, autrement dit la France profonde qui est la grande victime ou plutôt la grande ignorée des pouvoirs et donc des bonheurs du système libéral, ne figurait pas au rang des manifestants. Pas plus que les immigrés que nos bonnes consciences de gauche s’évertuent pourtant à défendre et à faire descendre dans la rue quand ça sert leurs intérêts idéologiques. Marrant d’ailleurs comme la télévision ignore ces populations hormis les nègres qui parsèment les sujets d’actualité, histoire de montrer que la France est bien un réceptacle multiracial. A ce petit jeu, le pouvoir est bien évidemment complice vu que ça conforte la tambouille libérale.

    Donc, il s’agit de marquer une opposition à Emmanuel Macron qui a entrepris de réformer, à sa manière, le pays et ses institutions au sens très large du terme. J’entends bien que quand on n’est pas macro-jupitérien-compatible on ait envie de manifester son opposition en criant au loup ! Mais que nous proposent toutes ces oppositions ? Rien. Que dalle !

    A droite la mère Le Pen est en plein délire existentiel car peu remise de sa raclée présidentielle ! Le camarade Laurent Wauquiez s’escrime à asseoir son pouvoir face à une opposition de moins en moins feutrée. Il a remis entre les mains de Luc Ferry et Virginie Calmels le soin d’élaborer un programme ! Autant demander à Groucho Marx de réécrire Le Capital.

    A gauche, même Bérézina. Le camarade Mélenchon s’est pris le melon mais n’a aucun programme sérieux et son anticapitalisme ne se manifeste guère en dehors de ses saillies oratoires. Côté Benoît Hamon, on est plein de bonne volonté mais y a personne pour exprimer cette volonté. Quant à Olivier Faure, il gît sur les ruines du socialisme à la sauce hollandaise.

    Au final, tout ça donne quoi ? Rien.

    Emmanuel Macron peut continuer peinard ses réformes, les Français ne moufteront pas, quitte à en prendre plein la figure. Et si, comme me le suggère un ami, Macron arrive à baisser les impôts d’ici la prochaine échéance présidentielle, il a en poche son ticket pour un deuxième mandat.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • 1er mai : Face à la gauche radicale, les syndicats ne font plus le poids

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    Ce qui s'est passé à Paris le 1er mai - un terrorisme en action en plein centre-ville - ne nous renseigne pas seulement sur la virulence de l'ultragauche mais aussi sur la déchéance syndicale.

    On se paye de mots, en effet, avec le syndicalisme français qui n'a de représentativité que celle qu'on lui reconnaît par habitude, facilité et lâcheté. (5% d'adhérents dans le secteur privé, 7% dans le secteur public !). 

    Les troupes ont fondu, vieilli, les militants sont partis au Front National ou chez Mélenchon, les ex-gros bras de la CGT d'antan sont de vieux messieurs démotivés. Comme le PCF somme toute, qui n'a pour ainsi dire plus d'électeurs ni d'organisations militantes dignes de ce nom. Et encore moins de capacité révolutionnaire comme jadis. Tout cela ce sont des souvenirs. Ne restent plus que des bureaux, des apparatchiks à hauts salaires et des services comptables pour gérer les subventions et les aides diverses. Des coquilles vides. Le décompte des manifestants des grandes démonstrations de force se faisait jadis pour Paris et quelques grandes villes. Pour produire des chiffres de participation un peu moins ridicules, les syndicats, la police et les médias donnent désormais des résultats nationaux. 250 000 ? 140 000 ? Pour toute la France, cela ne fait plus grand chose. Le mythe révolutionnaire du Grand soir a fait long feu et le syndicalisme français, divisé, discrédité et exsangue, est une immense faillite, même s'il conserve, par le jeu de quelques minorités, un pouvoir de nuisance résiduel dont Emmanuel Macron fait en ce moment l'expérience. 

    Place donc dans la rue aux terroristes de la gauche radicale face à laquelle, désormais, les appareils syndicaux ne font plus le poids. Finis, en effet, les grands services d'ordre musclés de la C.G.T. ou du P.C.F. qui, il fut un temps pas si lointain, les auraient expulsés sans coup férir, ce premier mai.

    Nous n’avons plus affaire aujourd’hui à la révolution prolétarienne mais à la violence pure, aveugle et nihiliste.   

    Retrouvez l'ensemble de ces chroniques en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • DISSOLUTION DE TOUTES LES BANDES GAUCHISTES ET DE LEURS COMPLICES : UN TRACT DE SYNTHÈSE NATIONALE À DIFFUSER

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    Imprimez ce tract, reproduisez-le et diffusez-le autour de vous, soutenez notre campagne pour la dissolution des bandes gauchistes, c'est un acte de résistance nationale...CLIQUEZ ICI

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  • L’extrême gauche doit rendre des comptes, par Ivan Rioufol

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    “Je vais toujours au conflit”, aime à rappeler le chef de l’Etat. A l’entendre, il refuse l’esquive. Mardi, néanmoins, c’est depuis Sydney (Australie) que le président a été tenu informé des prévisibles déferlements de violence qui ont submergé, à Paris, les défilés syndicaux du 1 er mai. Une extrême-gauche déchaînée, représentée par 1200 anarchistes encagoulés du black bloc, a mis à sac le quartier Austerlitz. 31 commerces ont été dégradés, dont deux incendiés. Des voitures ont été brûlées. Il n’y a eu cependant que quatre blessés légers, dont un CRS qui a reçu un pavé dans le dos. 109 personnes ont été placées en garde à vue. Emmanue Macron avait sûrement d’excellentes raisons de se rendre à Sydney. Reste les images, cette arme que chérit le président : elles ont montré la prise de possession d’un quartier par des milices fascistoïdes se moquant bien de l’autorité d’un Etat dont le chef était absent. Les forces de l’ordre sont apparues craintives face à ces jeunes déterminés à casser du flic.

    Le choix préfectoral de laisser la horde briser librement tout ce qui lui tombait sous la main ne s’explique que par la peur de l’affrontement direct. Cette même crainte est à l’origine de l’évacuation très partielle de la ZAD de Notre Dame des Landes, défendue par des militants également déterminés. Bref, ce qui se laisse voir est un Etat pusillanime, qui recule devant des minorités se disant dominées et justifiant leur violence comme une réponse à la “violence sociale”. Parmi les slogans des black blocs : “A bas la hess”, mot venant de l’arabe et qui désigne la misère. Le scénario catastrophe serait bien sûr que les cités se joignent à cette insurrection de la haine.

    Reste aussi cette autre évidence : c’est à l’extrême gauche que se trouve, pour la démocratie, la source des dangers. En son sein fermentent le nouvel antisémitisme et la violence politique. Pierre-André Tagueiff avait constaté, dès le début des années 2000 “de notables convergences, dans les thèmes idéologiques et dans les pratiques militantes, entre islamistes et néo-gauchistes” (1). Depuis, les exemples des black blocs, des antifas ou des zadistes, c’est-à-dire des mouvements alternatifs qui cousinent dans la lutte brutale (mais sans armes à feu pour l’instant) contre le capitalisme et la société libérale, sont venus compléter un tableau peu ragoûtant.

    Pourtant, c’est le spectre de l’extrême droite qui continue d’être agité par ceux qui, à gauche, n’osent observer les monstres qu’ils couvent. En mars 2013, lors d’une forte mobilisation familiale organisée par la Manif pour tous, Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, avait accusé “des militants d’extrême droite qui jetaient des boulons”. Samedi, Libération a fait sa une sous le titre : “Cette ultradroite qui inquiète les services secret”. Le quotidien, râclant les fonds de tiroir, est revenu sur l’arrestation de Logan N., en juin 2017, dont Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur, avait dit : “Ce n’est franchement pas la bande la plus sérieuse qu’on ait arrêtée ces derniers temps >. Quant à Jean-Luc Mélenchon, il a tweeté mardi : “Insupportables violences contre la manifestation du 1 er mai. Sans doute des bandes d’extrême droite”. Les parrains de l’extrême gauche ont des comptes à rendre.

    (1) Judéophobie, la dernière vague, Fayard

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 2 mai 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/210697/lextreme-gauche-doit-rendre-des-comptes-par-ivan-rioufol/

  • Manifestation : les enjeux de la “fête à Macron” - Journal du Vendredi 04 Mai 2018

  • L’armée de l’air russe attaque les djihadistes le long de la frontière turque

    Sans relâche, l’aviation russe traque les terroristes 

    By Leith Aboufadel

    BEYROUTH, LIBAN, 19h40 – Les forces aérospatiales russes ont repris leurs frappes aériennes sur le district de Jisr Al-Shughour, ce soir, en frappant plusieurs zones contrôlées par les djihadistes étrangers du Parti islamique du Turkestan TIP.

    Selon un rapport militaire de Lattaquié, les forces aérospatiales russes ont ciblé spécifiquement les bases du Parti islamique du Turkestan dans la campagne de Jisr Al-Shughour.

    Parmi les localités visées par les frappes aériennes des Forces aérospatiales russes se trouvaient les villes de Jisr Al-Shughour, d’Al-Shughur, d’Al-Ghassaniyeh, de Halouz et d’Ishtabraq.

    Dans le même temps, cinq combattants de la TIP auraient été blessés vendredi soir lorsque leurs véhicules auraient été percutés par un engin explosif improvisé placé le long de la route menant à Tal Dahab, au nord de Jisr Al-Shughour.

    La raison de l’augmentation de l’activité aérienne dans cette zone par les forces aérospatiales russes est due à la prochaine offensive de l’armée syrienne qui devrait avoir lieu après avoir terminé leur tâche dans le nord de Homs.

    almasdarnews.com

    Cette après-midi, les Forces aérospatiales russes ont poursuivi leurs bombardements intensifs sur le nord de Hama, ciblant plusieurs zones contrôlées par Jaysh Al-Izza, à l’intérieur de leurs bastions d’Al-Lataminah et de Kafr Zita.

    https://infosdanyfr.wordpress.com/2018/05/05/larmee-de-lair-russe-attaque-les-djihadistes-le-long-de-la-frontiere-turque/

  • BLACK BLOCS : LES CRIS D’ORFRAIE ARRIVENT UN PEU TARD !

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    Suite au carnage matériel – dans l’attente qu’ils tuent un jour, puisqu’ils aspirent à casser du flic et à la guerre civile – perpétré par les Black Blocs, mardi 1er mai à Paris, les ténors politiques y sont allés de leur couplet réprobateur et de leurs invectives contre le gouvernement.

    « Gérard Collomb mais aussi Emmanuel Macron se sont rapidement retrouvés sous les feux de l’opposition, et notamment des Républicains » (Le Huffpost).

    Une pluie de tweets s’est donc abattue sur l’exécutif, accusé de n’avoir pas mesuré l’ampleur de la situation. « Terribles images aujourd’hui pour notre pays. Faillite de l’État régalien », s’est insurgé Laurent Wauquiez. « Jamais de telles violences n’avaient été commises à Paris lors d’une manifestation », a exagéré Éric Ciotti, omettant les nombreux saccages perpétrés par la diversité de banlieue dans la capitale, et ce, depuis plusieurs années. Nadine Morano a frappé encore plus fort : « Ni anticipation, ni réactivité efficace, changement de direction de la manifestation dans l’improvisation totale, effectifs sous-dimensionnés, ordres inadaptés. Démissionnez ! »

    C’est bien, mais que n’ont-ils été aussi fermes lorsqu’ils avaient le pouvoir, ces gens de droite ! On n’oubliera pas, par exemple, la non-intervention de Jacques Chirac, alors président de la République, pendant les émeutes de 2005.

    Cependant, à la défense du ministre de l’Intérieur, les Black Blocs sont des groupes éphémères qui se volatilisent aussitôt leurs forfaits accomplis. C’est en amont qu’il fallait traiter ce coup de force annoncé par les intéressés, qui « promettaient une journée d’enfer pour Macron » (Le Parisien).

    On pourrait, par exemple, envisager de ficher les extrémistes de gauche, comme on le fait pour les musulmans radicaux, et les surveiller plus activement. Il faudrait aussi admettre que la violence d’État est parfois nécessaire pour éviter « que nous ne roulions à travers la guerre civile, aux aventures et aux usurpations les plus odieuses et les plus ruineuses » (général de Gaulle, allocution du 24 mai 1968).

    Quant aux forces de l’ordre, accusées de tous les maux dans cette affaire, elles ont fait preuve d’un sang-froid remarquable, eu égard à leur faible marge de manœuvre. Comme d’habitude, elles ont nettoyé le « merdier » laissé par les pouvoirs publics et, quelque part, par les médias et intellectuels bon teint qui regardent avec une certaine bienveillance l’extrême gauche et agitent la peste brune comme le père Fouettard. Ce que n’a pas manqué de faire Jean-Luc Mélenchon en pointant spontanément des « bandes d’extrême droite », malgré les portraits de Marx et Che Guevara brandis par cette horde.

    Pour finir, le McDo qui a été détruit est très fréquenté par les familles emmenant leur progéniture au Jardin des Plantes. C’est, décidément, une constante chez les ultra-gauchistes de frapper l’enfance, après avoir canardé le bâtiment Laennec de l’hôpital Necker-Enfants malades, en juin 2016, où sont soignés notamment des bébés prématurés !

    http://www.bvoltaire.fr/black-blocs-cris-dorfraie-arrivent-tard/

  • ROMAIN ESPINO : LES GRANDS DÉFENSEURS DE LA LIBERTÉ D’EXPRESSION ET DE LA DÉMOCRATIE ONT DE CURIEUSES MÉTHODES

    Les comptes Facebook et Instagram de Génération identitaire ont été suspendus après une campagne massive de signalement. Génération identitaire a fait appel et étudie les procédures par voie d’avocat. C’est ce que révèle Romain Espino, son porte-parole – qui a fait lui-même l’objet d’une violente campagne de dénonciation personnelle sur les réseaux sociaux – à Boulevard Voltaire.

     porte-parole Génération Identitaire

    http://www.bvoltaire.fr/grands-defenseurs-de-liberte-dexpression-de-democratie-ont-de-curieuses-methodes/

  • L'inutile violence des Black Blocs

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    Le billet de Patrick Parment

    On pourrait souscrire au combat anticapitaliste des Black Blocs si d’aventure leur violence débouchait sur une prise de pouvoir. Or, c’est loin d’être le cas. La violence fasciste comme celle des nazis dans les années 1920 a débouché sur une prise de pouvoir parce qu’elle reposait avant tout sur le soutien du peuple. On omet trop souvent de rappeler que Mussolini comme Hitler ont pris le pouvoir le plus légalement du monde.

    La situation est tout autre aujourd’hui et ces nigauds de Black machins qui rêvent de je ne sais trop quel lendemain qui déchante sont très en retard sur la violence qu’exerce le libéralisme sur le corps social. Et l’apparent régime démocratique qui nous gouverne masque mal la réalité ploutocratique de ce pouvoir.

    Cette violence sociale a d’autant plus de facilité à s’exprimer que la société de consommation a détruit la solidarité des communautés naturelles et l’homogénéité du peuple. Au sein d’un paysage social littéralement dévasté, fragmenté et en partie communautariste, le libéralisme a tout lieu d’imposer sa loi d’airain.

    Le vrai problème, ce n’est pas la violence aussi désuète qu’inutile des Black machins, c’est de savoir comment, au sein de cette société dite libérale, un peuple reprend son destin en main.

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