Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

international - Page 534

  • Marion Maréchal : “Peut-on continuer avec cet Etat inapte à remplir ses missions fondamentales, alors qu’il prélève 50 % de la richesse nationale ?”

    Marion Maréchal : “Peut-on continuer avec cet Etat inapte à remplir ses missions fondamentales, alors qu’il prélève 50 % de la richesse nationale ?”

    De Marion Maréchal :

    Depuis mon lieu de confinement, j’observe avec attention et inquiétude ce que cette crise du coronavirus révèle de l’état de notre pays. Occultant totalement la pression migratoire aux portes de la Grèce ou le débat sur les retraites, cette pandémie ébranle nos certitudes et met en lumière nos multiples faiblesses. Au-delà des mesures immédiates qu’imposent l’extinction de cet incendie sanitaire, il sera aussi temps de nous pencher sur les solutions structurelles qui devront suivre ce drame.

    La France, le jour d’après

    J’assiste, heure après heure, au défilé des experts, politiciens, journalistes sur les plateaux de télévision.

    Je les entends constater et déplorer la désindustrialisation de la France devenue incapable de produire des masques et des respirateurs sur son territoire. La menace de dizaines de milliers de morts leur ouvre enfin les yeux sur les vertus de l’indépendance nationale. Cet objectif politique, recherché par toute grande nation, n’est pas un simple slogan réactionnaire mais la liberté de ne pas être soumis au bon vouloir de pays étrangers pour sa survie. La France, sixième puissance mondiale, se voit contrainte de quémander l’aide de la Chine pour recevoir en urgence 1 million de masques. Que serait-il advenu de cette précieuse livraison si les chinois n’étaient pas parvenus à endiguer l’épidémie sur leur sol ?

    Gouverner c’est prévoir. Exercer le pouvoir, c’est anticiper dans sa globalité et non se contenter d’appliquer à la lettre, et en dernière minute, les préconisations « des scientifiques », pour reprendre un élément de langage inlassablement déroulé par nos ministres depuis plusieurs jours. L’Elysée n’est pas l’académie des sciences, pas plus qu’il ne devrait être une chambre de commerce. Nos gouvernants apprennent, à leurs dépends, ce qu’est l’action politique, la vraie. Eux qui espéraient que l’économie, ouverte de préférence, puisse pacifiquement régenter le monde et organiser les sociétés redécouvrent que c’est la décision humaine et non les flux livrés à eux-mêmes qui font l’Histoire et le devenir d’une Nation.

    Lire la suite

  • L’accord de libre-échange UE-Mexique révolte les agriculteurs français.

    (Un grand merci à nos amis du GAR d'avoir relayé cette information et d'y avoir apporté une réponse politique)

    Pendant le confinement, l'Union Européenne continue ses mauvais coups contre la souveraineté alimentaire française et nos producteurs agricoles ! Alors que la mondialisation et le libre-échange sans limites ont prouvé qu'ils étaient dangereux pour les équilibres économiques et sociaux locaux, l'UE fait l'inverse de ce qu'il faudrait faire, au nom du "tout-marchand" et du "tout-échangeable"...
    Notre riposte commence par le fait d'acheter français et le plus local possible, et bio, si cela se peut ! Aidons nos agriculteurs et faisons échouer le libre-échangisme qui n'est bon ni pour l'environnement ni pour nos producteurs !

    Sources : https://www.ouest-france.fr

    https://reporterre.net

    Mardi 28 avril, l’Union européenne et le Mexique ont conclu les négociations d’un nouvel accord commercial de libre-échange, en discussion depuis 2016. « La lutte que nous menons mobilise toute notre énergie, mais nous avons aussi fait progresser notre programme en faveur d’un commerce ouvert et équitable, qui n’a rien perdu en importance », s’est réjoui le commissaire au Commerce, Phil Hogan, dans des propos relayés par le journal Ouest-France.

    Lire la suite

  • Le battage médiatique contre le coronavirus est le plus grand canular politique de l’histoire

    Le battage médiatique contre le coronavirus est le plus grand canular politique de l’histoire

    C’est une analyse que l’on découvre dans le Washington Times du 28 avril. Extraits

    Le nouveau coronavirus est réel.

    La réponse au coronavirus est médiatisée. Et avec le temps, ce battage médiatique sera révélé comme un canular politique. En fait, COVID-19 sera considéré comme l’une des plus grandes exagération du monde politique, la plus honteusement exagérée, excessivement et irrationnellement gonflée avec des réponses faussement trompeuses à un problème de santé.

    Les faits sont les suivants: COVID-19 est une véritable maladie qui rend malade certains, se révèle mortelle pour d’autres, surtout les personnes âgées – et ne fait rien à la grande majorité.
    C’est ça.

    En un mot, c’est tout.

    Ou, selon Dan Erickson et Artin Massih, médecins et copropriétaires de Accelerated Urgent Care à Bakersfield, en Californie: rouvrons le pays – et maintenant.

    «Avons-nous encore besoin d’un abri sur place? Notre réponse est catégoriquement non. Faut-il fermer des entreprises? Non catégoriquement. … [L] es données montrent qu’il est temps de lever ».

    Lire la suite

  • En attendant le Grand Soir ! La Chine peut dire merci au Covid 19

    la-chine-communiste-celebre-ses-diaporama.jpg

    La chronique de Michel Malnuit

    Même si depuis quelques semaines plusieurs critiques contestent l’attitude de Pékin face au Covid 19 – voire mêmes des attaques l’accusant d’en être à l’origine volontairement ou non –, l’empire du Milieu sort grandi sur le plan politique et économique.

    Le pangolin n’aura pas la peau de Pékin. Alors que la plupart des pays touchés par le Covid 19 auraient pu accuser la Chine, aucun ne le fait (à l’exception notoire de Donald Trump) ou alors à demi-mots, usant du plus beau langage diplomatique.

    Et si l’empire du Milieu a critiqué sans langue de bois toute critique de son action ou toute allusion à une responsabilité dans la création et/ou la diffusion du virus, il ne peut que se satisfaire de la situation en ce début mai. En effet, les allusions aux mensonges de Pékin sur le nombre de réel de morts sont passées par pertes et profits – idem pour le matériel plus que défectueux envoyé par la Chine –, le confinement à Wuhan érigé en modèle, sans parler des hôpitaux construits en peu de jours.

    Lire la suite

  • Covid-19 et Chinoiseries ou comment se présenter en sauveur !

    17390770lpw-17390766-article-jpg_5658778.jpg

    Bernard Plouvier

    Nul ne l’ignore, la 3e épidémie de coronavirose, devenue pandémie (assez peu meurtrière pour l’instant : 7% de morts sur un peu moins de 3,4 millions de cas répertoriés et traités), nous vient de l’ex-Céleste Empire.

    En bonne logique, la République communiste-capitaliste de Chine devrait être mise au ban de la politique internationale pour plusieurs excellentes raisons.

    D’abord, par l’absence d’hygiène régnant dans ses campagnes et villes arriérées, d’où nous viennent des épidémies. C’est le devoir d’un État moderne que d’assurer l’hygiène partout dans le territoire du pays. Ce fut réalisé en Occident, de 1880 à 1960. Aux Chinois de démontrer qu’ils sont capables de faire entrer leurs recoins les plus attardés dans le XXe siècle, avant de prétendre diriger quoi que ce soit dans notre XXIe siècle.

    Lire la suite

  • En Chine, un possible vaccin au Covid-19 se fabrique déjà à grande échelle

    Sinovac Biotech, premier au monde à avoir mis sur le marché un vaccin contre la grippe H1N1, se dit prêt à produire 100 millions de doses par an pour combattre le virus.

    Il tient peut-être le remède tant attendu. Dans un laboratoire du nord de Pékin, un homme en blouse blanche exhibe l’un des tout premiers vaccins expérimentaux contre le nouveau coronavirus.

    L’Express

    https://www.tvlibertes.com/actus/en-chine-un-possible-vaccin-au-covid-19-se-fabrique-deja-a-grande-echelle

  • Macron demande l’annulation de la dette de l’Afrique !

    lugan.jpg

    par Bernard Lugan*

    Le président Macron appelle à effacer la dette africaine, étape selon lui « indispensable pour aider le continent africain à travers la crise du coronavirus ». Les PME, les TPE, les professions libérales et les commerçants français qui vont, eux, devoir rembourser  les emprunts qu’ils vont être contraints de faire pour tenter de survivre, apprécieront !

    Trois remarques :

    1) Si une telle mesure était réellement prise pour aider l’Afrique à lutter contre la pandémie, l’on pourrait la juger comme légitime. Mais, au moment où cette unilatérale proposition présidentielle était faite, et fort heureusement, le continent africain était quasiment épargné par le coronavirus.

    2) Depuis des décennies, les pays "riches" ne cessent de consentir à l’Afrique des allègements et des suppressions de dette. Au début des années 2000, les PPTE (Pays pauvres très endettés) ont ainsi bénéficié de considérables remises par les créanciers bilatéraux. Or, à peine sauvés du gouffre de l’endettement, ils y ont replongé...

    Lire la suite

  • L’Afghanistan, ou 1.000 milliards de dollars pour rien, par Antoine de Lacoste.

    Crédit photo : Boulevard Voltaire

    La plus longue guerre de l’histoire de l’Amérique est-elle en train de se terminer ? Le 29 février dernier, à Doha, l’Américain (d’origine afghane) Zalmay Khalilzad et le mollah Abdul Ghani Baradar, cofondateur des talibans, ont signé un accord prévoyant le retrait définitif de toutes les troupes étrangères d’, et notamment des 12.000 soldats américains.

    C’est en 2001 qu’une coalition internationale menée par les États-Unis envahissait ce pays pour en chasser le régime des talibans, au pouvoir depuis 1996. C’était, bien sûr, une des conséquences du 11 septembre et de l’affront subi par l’Amérique. Deux coupables furent désignés et châtiés : l’Irak, qui n’avait rien à voir dans l’histoire (d’ailleurs, les motifs avancés pour son invasion évolueront largement ensuite), et l’Afghanistan, qui abritait de nombreuses cellules d’Al-Qaïda.

    Lire la suite

  • Le Coronavirus Covid-19 peut dire merci à la mondialisation, à l'Union européenne, et à Macron