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  • Le mouvement "Q" pro-Trump contre l'Etat profond

    Le 31 juillet, lors du meeting politique de Donald Trump à Tampa en Floride, de nombreux soutiens du président américain arboraient un t-shirt et des pancartes portant la seule lettre «Q». Ce nouveau mouvement trouve son origine en octobre dernier, lorsqu'un utilisateur du forum 4chan se présente comme un haut responsable gouvernemental, proche de l'équipe de Donald Trump et disposant d'une habilitation de sécurité «Q», l'une des plus élevées aux Etats-Unis. Dans une série de messages sibyllins, souvent en forme de questions, cet internaute entreprend d'apporter un éclairage radicalement différent de l'actualité politique et géopolitique présentée par les médias traditionnels, en donnant ce qu'il prétend être des informations sensibles. La particularité du forum 4chan étant l'anonymat de ses utilisateurs, impossible dès lors de savoir qui se trouve derrière ces messages. Les internautes décident de le baptiser simplement «Q». Un nom qu'il endosse rapidement, et qui par la même occasion, fait des internautes qui le suivent des «QAnon», en référence à leur anonymat.

    La thèse principale de «Q» est que le président américain – et plus largement le monde – fait face un ennemi intérieur, l'Etat profond, contre lequel Donald Trump mène une lutte de tous les instants. «Q» interprète l'actualité à cette aune, assurant que l'objectif ultime du locataire de la Maison Blanche serait de libérer son pays des griffes de cet ennemi. «Q» dénonce la corruption totale de l'Etat profond qui n'hésiterait pas, selon lui, à recourir aux pires moyens pour arriver à ses fins. Dans la multitude de sujets qu'il aborde, «Q» soutient par exemple qu'il existerait un réseau international qui trafiquerait et abuserait d'enfants dans lequel serait impliquée la Fondation Clinton, notamment à travers ses activités à Haïti. Il assure, pêle-mêle, que l'Etat profond perpétuerait des attaques sous faux drapeau ou encore pratiquerait constamment une forme de chantage sur les personnalités publiques qui se verraient contraintes de le servir.

    Selon «Q», la candidate démocrate à l'élection présidentielle Hillary Clinton, le sénateur républicain John McCain ou encore le milliardaire George Soros seraient quelques-uns des visages de cet Etat profond qui comprendrait diverses organisations, en premier lieu desquelles la plupart des agences de renseignement américaines. «Q» soutient que les médias agiraient dans leur immense majorité sous l'influence de celles-ci.

    Michel Janva

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  • Le Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire est un totalitarisme (3e partie)

    Chronique de Paysan Savoyard (n° 205 – juillet 2018)

    Le présent article, qui sera publié en plusieurs parties au cours de l’été, se propose de montrer que le Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire présente toutes les caractéristiques du totalitarisme. La première partie traitait le point suivant : « Un système où l’idéologie prédomine ». La deuxième :  » Un système de pouvoir qui permet de contrôler les principales organisations et institutions« . Voici la troisième partie :

    • La propagande omniprésente

    Un système totalitaire se caractérise également par l’existence d’une entreprise de propagande omniprésente. Tel est bien le cas du Système aujourd’hui au pouvoir : il développe une propagande incessante, assène et développe ses thèmes et ses slogans sans relâche, dénonce ses ennemis et diffuse à jet continu ses menaces et ses mises en garde.

    La propagande mobilise l’ensemble des institutions et organisations

    Pour conduire sa propagande, le Système mobilise toutes les institutions et organismes qu’il contrôle. Médias, pub, télé, cinéma, institutions culturelles diverses : tous ces vecteurs permettent au Système de diffuser sa vision du monde et de modeler les mentalités et les comportements. La propagande est donc multiforme. Elle est également omniprésente. Chaque titre d’article de journal, chaque fragment du journal télévisé, chaque documentaire, chaque film, chaque téléfilm et série, chaque publicité, chaque événement culturel : rares sont les séquences qui ne sont pas des occasions de propagande (voir cette chronique).

    Pour ce faire, le Système dispose tout d’abord de la quasi-totalité des moyens d’information et de communication. Les grands groupes capitalistes sont propriétaires des journaux nationaux et locaux, quotidiens, hebdos, revues ainsi que des radios et télévisions privées. Le Système contrôle tout aussi directement les médias publics, dont il nomme les directeurs. Les journalistes sont recrutés dans ces différents médias à la condition d’être en phase avec les thèses du Système.

    Les agences de publicité sont elles-aussi la propriété des grands groupes et des principaux oligarques. La propagande publicitaire est bien entendu axée sur la promotion de la société de consommation, qui est au cœur du Système. Mais elle effectue également la réclame des autres éléments de l’idéologie systémique : l’homosexualité, le métissage et l’immigration en particulier. Depuis au moins vingt ans, la quasi-totalité des publicités mettent ainsi en scène au moins un métis ou une personne d’origine immigrée au milieu d’un groupe de personnes d’origine européenne. On peut au passage remarquer qu’il s’agit presque toujours de personnes originaires de l’immigration africaine ou orientale. La présence dans les publicités des Asiatiques, pourtant nombreux en France, est manifestement considérée par le Système comme moins obligatoire (sans doute parce les Asiatiques constituent des communautés nettement moins revendicatives et agressives). On constate la même chose dans les séries et les films.

    Le cinéma de même est sous contrôle : les sociétés de production et de diffusion appartiennent au Système, qui contrôle également les mécanismes de financement. Les films, séries et téléfilms, qu’ils soient américains ou made in France, répondent tous aux mêmes codes de propagande. On met en scène des couples homosexuels comme si la chose était banale et normale. Les vies en solo et les familles recomposées sont présentées comme étant le cadre de vie normal. La famille traditionnelle est mise en scène pour s’en moquer ou pour faire valoir qu’elle est le lieu de la stupidité patriarcale, de l’oppression machiste ou de l’hypocrisie des couples qui se trompent. Les fictions, séries, téléfilms ou films célèbrent avant toute chose la société multiraciale et multiculturelle. Les rôles de héros sont équitablement répartis entre les acteurs d’origine européenne, les Juifs, les acteurs de couleur et, dans une moindre mesure les Asiatiques. Les personnes de couleur se voient attribuer des rôles valorisants et au sommet de la hiérarchie. C’est ainsi que Hollywood a préparé le terrain pendant des décennies à l’arrivée au pouvoir d’un président américain noir. De même le cinéma et la télé s’efforcent le plus souvent possible de mettre en scène des délinquants blancs et des redresseurs de torts de couleur. De façon générale, télé, cinéma et pub cherchent à présenter la société multiraciale et multiraciale comme une évidence, un état de fait normal et de toute façon déjà entré dans les faits (voir également cette chronique)

    Le Système contrôle également, par le biais des nominations, des recrutements et des subventions, tous les dispositifs de propagande culturelle : l’école, l’université, l’édition, le monde de la culture et de la production artistique. L’école et l’université sont bien entendu des lieux de propagande déterminants dans la mesure où ils s’adressent à des publics malléables. Les programmes scolaires établis par le Système sont articulés autour des thèmes de la propagande. Des disciplines comme l’histoire-géographie et la philo sont les domaines les plus sensibles. On sait quelle place prend dans les programmes la dénonciation de l’esclavage, de la colonisation et du nazisme, la célébration de l’Humanisme et des Lumières et des valeurs de la République, la promotion de l’immigration, de la mondialisation et des sociétés ouvertes et plurielles. De façon générale toutes les manifestations culturelles (le théâtre en particulier) sont des occasions de propagande. Les associations théâtrales et d’animation qui interviennent dans les écoles jouent un rôle de propagande de terrain. Dans tous ces milieux, les dissidents sont très peu nombreux et contraints à la discrétion pour pouvoir continuer à y vivre. Dans le même registre, l’éducation nationale organise régulièrement au cours de l’année scolaire des « journées » consacrées aux thèmes de propagande du Système (éloge de la diversité et du vivre-ensemble, lutte contre le sexisme et l’homophobie, promotion du « handicap »…).

    Le Système subventionne et organise le monde des associations et des ONG : par le biais de leur publicité, de leurs prises de position publiques, de leur présence « de terrain », il s’agit-là de relais de propagande actifs. Il existe de nombreux acteurs importants de ce type dans tous les secteurs de l’action publique : le social (Secours Catholique, Emmaüs…), l’immigration (France-terre d’asile, Cimade…), la santé (les associations spécialisées dans le domaine du handicap), les vacances et loisirs (Léo-Lagrange…). Soulignons l’importance de ce secteur « associatif », dont l’essentiel des ressources est formé de subventions de l’Etat ou des collectivités territoriales, qui constitue un instrument de l’action publique et qui emploie 900 000 salariés.

    L’administration elle-même participe directement à l’entreprise de propagande. La communication publique des ministères et des différents instruments d’action publique respecte ainsi tous les codes de l’idéologie systémique. Par exemple toutes les photos mises en ligne ou insérées dans les documents de communication mettent en scène la « diversité ». L’administration mène également des actions de communication institutionnelles qui sont souvent des chefs d’œuvre de propagande. On peut citer la campagne anti-fraude de la RATP menée plusieurs années au moment de l’été, qui mettait en scène trois personnages de fraudeurs, tous blancs. On peut également rappeler cette campagne de communication conduite pendant plusieurs années à propos de la propreté des lieux de vacances, où là-encore les trois personnages ayant jeté des déchets dans la nature, Léo, Léa et Marie, étaient très peu « divers » (voir cette chronique).

    Les entreprises, elles-aussi, contribuent activement à la propagande du Système. Elles recrutent dans « la diversité » pour se conformer au politiquement correct, parce que leurs propriétaires l’exigent et que l’Etat fait pression. De même elles sont conduites à adopter les codes du Système dans leur organisation et leur communication interne. On peut citer à titre d’exemple ces « chartes d’entreprise », qui, sur le modèle américain, célèbrent les valeurs de la diversité, du respect et de la tolérance religieuse. Ces mêmes entreprises organisent sur ces thèmes force séminaires et formations internes.

    Terminons cette liste avec les principaux lobbys idéologiques ou religieux, qui jouent bien entendu un rôle important de propagande. Protestants et catholiques, Francs-maçons, militants cosmopolites, et leurs relais associatifs alimentent activement la propagande du Système.

    Les thèses dissidentes sont exclues du débat public

    Cette entreprise de propagande s’accompagne d’une mise à l’écart des opposants et des thèses dissidentes. Les thèses dissidentes sont soit dénoncées, moquées et vilipendées, soit passées sous silence. Les dissidents eux-mêmes sont tenus à l’écart et ne peuvent venir exposer leur thèse. Donnons l’exemple du journal Le Monde, porte-parole de référence du Système, dont le directeur annonçait en 2016 qu’il ne donnerait jamais la parole à l’extrême-droite et à ses représentants.

    Ces dernières années quelques dissidents ont cependant réussi à se faire une place au sein des médias. Leur présence a été permise et reste pour l’heure tolérée parce que les opposants présentent plusieurs garanties de représentation : E. Zemmour et A. Finkielkraut sont juifs ; M. Onfray vient de la gauche. La plupart de ceux qui critiquent le Système doivent toutefois, pour pouvoir continuer à exister, choisir de rester en deçà de certaines limites bien précises (comme c’est le cas de N. Polony, Y. Rioufol ou A. Finkielkraut). Ceux qui les franchissent sont mis à l’écart partiellement (E. Zemmour) ou totalement (R. Camus). De même le Système tolère la présence dans les médias des opposants politiques lorsque celle-ci reste sans danger pour lui.  J. Chirac qui redoutait J.M. Le Pen a refusé de débattre avec lui entre les deux tours de 2002, contrairement à l’usage. En revanche E. Macron a débattu avec Mme. Le Pen, qu’il ne craignait pas, et pour cause.

    Signalons que le Système développe fréquemment la technique du jeu-de-rôles, qui consiste à organiser dans les médias un débat factice entre deux représentants du Système, l’un radical, l’autre « modéré et réaliste ». Cette technique permet d’exclure des médias les dissidents, qui sont présentés comme extrémistes et déraisonnables (voir cette chronique).

    Cette technique est tout particulièrement utilisée concernant le sujet de l’immigration. Les « associations », ONG et autres intellectuels rivalisent dans le registre de « l’humanisme » et de l’immigrationnisme radical. La fausse droite se charge, elle, de faire entendre un discours plus dur. Le président, E. Macron aujourd’hui, peut alors prendre la posture arbitrale et de juste milieu, raisonnable et réaliste, mariant humanité et fermeté. Sous ce masque de la position « raisonnable et équilibrée », il peut poursuivre et même amplifier la politique immigrationniste tout en réussissant à abuser une partie significative de l’opinion. Quant aux dissidents, ils sont accusés d’être nuisibles à la paix civile et mis sur le même plan que les terroristes : le Système dénonce ainsi fréquemment « les extrêmes », islamistes et populistes, « qui se renforcent l’un l’autre ».

    La technique est également utilisée au sein même du gouvernement. Est ainsi mis en scène dans chaque gouvernement un jeu-de-rôles entre le ministre de la justice, favorable à des positions humanistes et bienveillantes sur les questions d’immigration et de sécurité, et un ministre de l’intérieur dans la posture de la fermeté. Chacun des deux acteurs (les couples Dati-Hortefeux sous Sarkozy, Taubira-Cazeuve sous Hollande, Belloubet-Collomb sous Macron), est chargé de mobiliser une partie de l’opinion et d’en exaspérer une autre. Le président peut alors intervenir et paraître opérer, au-dessus de la mêlée, une synthèse raisonnable et équilibrée.

    Le trucage des données et des chiffres

    Le trucage massif des données constitue un autre élément de la propagande du Système. C’est ainsi que, sur le sujet le plus sensible qu’est l’immigration, les chiffres sont cachés ou truqués.

    Pour dissimuler les données, le Système s’appuie d’abord sur le prétexte des « valeurs » : les statistiques ethniques sont ainsi proscrites en France « afin de ne pas donner prise aux théories racistes ». Dès lors, à la différence de ce qui se passe aux Etats-Unis, on ne dispose d’aucune donnée sur le nombre total de personnes originaires de l’immigration présentes en France (les données communiquées par l’INSEE n’étant que partielles ; voir plus loin). De même il n’existe pas de données, bien entendu, concernant la présence des immigrés dans le logement social ou l’importance des immigrés dans le volume des prestations sociales. Pas de données non plus, cela va sans dire, sur les liens entre immigration et résultats scolaires et moins encore sur les liens entre immigration et délinquance.

    La deuxième technique de dissimulation consiste à « oublier » de collecter certaines données significatives. C’est ainsi  que, sans même donner d’explications, la France omet de comptabiliser les  sorties du territoire, alors que l’opération pourrait être effectuée sans difficulté. Il est dans ces conditions impossible de calculer un solde migratoire, c’est-à-dire une différence entre le nombre d’entrées d’immigrés et le nombre de sorties (le « solde migratoire » de l’INSEE ne peut dès lors être qu’estimé). De même il est impossible de connaître le nombre d’immigrés autorisés à entrer pour un court séjour et qui n’ont pas quitté le territoire à l’expiration de leur visa, ce qui constitue l’une des sources de l’immigration irrégulière. De même encore il est impossible de connaître le nombre des étudiants étrangers qui quittent le territoire à l’issue de leurs études. La non comptabilisation des sorties permet ainsi au Système d’entretenir la plus grande opacité dans le domaine de l’immigration. L’absence de chiffres permet également au Système de diffuser des contre-vérités sans qu’il soit possible de le contredire. Par exemple les gouvernements prétendent que la grande majorité des 90 000 nouveaux étudiants étrangers qui entrent chaque année en France repartent après leurs études, alors que la réalité est très probablement exactement inverse.

    Troisième technique de trucage : le travestissement des concepts. L’INSEE met ainsi en avant un soi-disant « solde migratoire » qui mélange en réalité les Français et les étrangers. Par exemple encore, les statistiques de l’INSEE adoptent une acception très restrictive de la notion d’immigration : c’est ainsi qu’une personne issue de l’immigration africaine ou maghrébine mais née en France n’est pas considérée et comptabilisée comme « immigrée » ; de même elle n’est considérée comme « descendant d’immigré » que si l’un de ses deux parents au moins est immigré. Les immigrés de la troisième génération, dont les parents sont nés en France, ne sont donc considérés ni comme immigrés ni comme descendants d’immigrés. L’INSEE peut ainsi annoncer que le nombre des immigrés en France n’est que de 6 millions. Quant aux « descendants d’immigrés » les chiffres donnés par l’INSEE ne distingue pas entre les immigrés d’origine européenne et non européenne. Autrement dit le chiffre essentiel, c’est à dire le nombre des personnes résidant en métropole qui sont originaires de l’immigration non européenne est occulté (ce chiffre se situe selon nous entre 15 et 18 millions, probablement dans le haut de la fourchette). De la même manière l’attribution massive de la nationalité française par droit du sol permet de réduire fortement le nombre des « étrangers » (qui est selon l’INSEE de 4,2 millions). (voir également cette chronique)

    Le trucage des chiffres concerne avant tout le domaine de l’immigration, qui est le plus sensible. Mais il est utilisé également dans d’autres domaines. On se rappelle par exemple que le Système avait truqué grossièrement les chiffres de la « Manif pour tous ».

    Une désinformation massive

    Le Système met en œuvre une grande variété de techniques de désinformation.

    Le mensonge pur et simple constitue la technique la plus basique. Le Système prétend ainsi, par exemple, que le nombre des musulmans présents en France est d’environ 5 millions, alors que ce chiffre est celui qu’il mettait en avant déjà il y a 30 ans et que le chiffre réel est au moins trois fois supérieur.

    Le Système ment, par omission cette fois, au sujet de la délinquance. L’ampleur de la délinquance est passée sous silence par les grands médias ou fortement minimisée : les émeutes de banlieues, les voitures brûlées, les pompiers, médecins et policiers agressés ne figurent dans les JT que dans les cas les plus graves, alors que ces faits sont quotidiens. Les quelques crimes commis par des Blancs sont au contraire mis en exergue.

    Dans le registre de la désinformation, le Système use grandement de la technique de « l’enfumage ». La question de l’immigration est ainsi camouflée grâce à l’utilisation de concepts paravents, relevant du registre de la Novlangue (voir plus loin) : « jeunes », « milieux populaires », « quartiers populaires », « difficultés sociales »… De façon générale toutes les difficultés auxquelles sont confrontés les pouvoirs publics et la société française sont abordées par le Système et par ses médias en passant sous silence le lien de cause à effet avec l’immigration (délinquance, violence à l’école, baisse du niveau scolaire…). Relève également de l’enfumage la technique qui consiste à traiter le sujet de l’immigration sous l’angle de questions subalternes sinon dérisoires, telles que l’apprentissage de la langue, le port du burkini ou la déradicalisation des djihadistes, afin d’éviter tout débat sur l’immigration elle-même, son principe et ses conséquences (voir également cette chronique).

    Une autre technique consiste à multiplier des contre-vérités manifestes, répétées par tous les vecteurs de propagande. Le Système prétend ainsi depuis des décennies que « le niveau scolaire monte » ou que la délinquance est provoquée par « le chômage et l’exclusion ». Dans le même registre le Système, à l’aide d’arguments spécieux, met en cause des études pourtant incontestables : il a nié ainsi pendant des années la pertinence du classement PISA qui rend compte du niveau scolaire dans les différents pays et dans lequel la France est mal classée. Il continue à nier la pertinence du classement des universités, qui là encore est très défavorable à la France, en prétendant que les concepts sur lesquels sont bâtis ces classements ne correspondent pas aux caractéristiques des dispositifs français. Toujours dans le domaine éducatif, le Système va jusqu’à fabriquer un « classement des lycées » qui place les lycées de banlieue avant les grands lycées parisiens, au motif  que les établissements de banlieue parviendraient à améliorer les résultats des élèves davantage que ne le font Louis-le-Grand ou Henri-IV !

    La désinformation est particulièrement active dans le domaine qui touche à « la question raciale ». Les découvertes génétiques de ces dernières années ont confirmé ce que la simple observation des phénotypes permettait déjà de constater : il existe bien 7 « groupes humains » différents, et en leur sein de nombreuses ethnies (voir par exemple les conférences de vulgarisation d’E Heyer, du Muséum, notamment à partir de la minute 21« Le discours (…) selon lequel les généticiens montrent qu’il n’y a pas ou très peu de différences entre les populations humaines n’est pas exact »). L’examen des caractéristiques génétiques permet de constituer des groupes humains clairement identifiés : la propagande du Système passe sous silence ces résultats et continue à affirmer le contraire.

    Le champ historique est l’un des domaines où la désinformation se déploie avec l’énergie la plus grande. L’Histoire est ainsi présentée de façon systématiquement biaisée ou reconstruite. Selon l’Histoire officielle, les racines culturelles de la France sont « judéo-chrétiennes » (alors qu’elles ne sont que chrétiennes). De même l’Histoire officielle affirme qu’il faut attendre 1789 pour voir apparaître la protection des droits et les institutions sociales telles que l’école et les hôpitaux, ce qui est grossièrement faux. L’Histoire écrite par le Système vante les mérites de l’Espagne arabo-andalouse, modèle d’ouverture et de tolérance, alors que les juifs et les chrétiens s’y voyaient appliquer un statut de dhimmis, qui les tenait à l’écart. De même encore, l’Histoire officielle énonce que l’épisode des croisades peut expliquer l’état d’esprit revanchard du monde musulman, en omettant de préciser que ces croisades étaient elles-mêmes une réaction à la conquête arabe de la Méditerranée. Toujours dans la même veine, l’Histoire du Système insiste sur le crime qu’a constitué la traite des noirs : elle omet d’indiquer que les Africains eux-mêmes ont été des acteurs de la traite, les tribus vaincues étant vendues aux négriers par leurs vainqueurs. L’Histoire officielle omet également de préciser que l’esclavage a existé de tous temps et dans toutes les civilisations ; que la traite arabe a duré bien plus longtemps que celle organisée par les blancs ; que l’esclavage des noirs existe toujours dans plusieurs pays arabes ; que pendant des siècles les Arabes ont réduit en esclavage les Européens qu’ils capturaient lors des raids pirates ; et que les Européens ont été les premiers à abolir l’esclavage. De même toujours, l’Histoire officielle présente la colonisation comme un crime contre l’Humanité. Alors que la colonisation, si elle a constitué sans aucun doute une erreur, avait tout de même produit certains bienfaits (réalisation d’infrastructures, interruption des guerres ethniques et raciales…). Au passage l’Histoire officielle oublie de préciser que la colonisation a été voulue par les républicains et condamnée par l’extrême-droite. Concernant la guerre d’Algérie, l’Histoire officielle met en avant les exactions françaises. Elle passe en revanche rapidement sur le massacre des harkis et occulte tout à fait les massacres de Pieds-noirs après la signature des accords d’Evian. Elle cache également le fait que l’expulsion en quelques semaines de 1,5 millions de Pieds-noirs constituait une violation manifeste de ces mêmes accords d’Evian. Selon l’Histoire officielle, enfin, la France a toujours été un pays d’immigration (alors que l’immigration de travail, exclusivement européenne qui plus est, ne date que de 1850, l’immigration non européenne n’ayant commencé elle qu’au début des années 1960). (voir cette chronique). Un sommet  de désinformation vient d’être atteint avec l’ouvrage de l’Historien officiel J. M. Boucheron, venu expliquer que la construction, le développement et le prestige de la France doivent tout à l’apport des étrangers et du reste du monde.

    La Novlangue omniprésente

    Autre caractéristique d’un régime totalitaire, le Système a mis en place une Novlangue. Une partie du lexique de la Novlangue est destinée à désigner le camp du Bien et les bons comportements : « citoyen » ; « solidaire » ; « durable » ; « humaniste » ; « engagé » (c’est-à-dire engagé à gauche : « artiste engagé », « femme engagée »)….  Tous ces termes désignent les comportements conformes, favorables à l’ouverture au monde, à l’immigration, à la bienveillance envers les « exclus », au féminisme et à l’égalité des droits des homosexuels.

    D’autres termes sont eux destinés à camoufler la réalité et en particulier les difficultés liées à l’immigration. Pour éviter de désigner et de « stigmatiser » les immigrés, la Novlangue utilise plutôt les termes de « jeunes », de « quartiers populaires », de « milieux populaires ». De même en Novlangue, les expressions comme le « vivre-ensemble » ou la « diversité », à connotation positive, servent à désigner la cohabitation entre autochtones et immigrés tout en évitant de la nommer.

    Un troisième volet de la Novlangue comprend les termes destinés à désigner l’ennemi, c’est-à-dire les dissidents, qui sont hostiles à l’immigration et s’insurgent contre le grand remplacement. Les dissidents sont désignés par des termes destinés à les déprécier : « extrême-droite » ; « extrémistes » ; « populistes ». Ils sont accusés d’être adeptes de « la théorie du complot ». De multiples expressions toutes faites visent à discréditer l’extrême-droite et ses partisans. Leurs idées sont « nauséabondes » et « renvoient aux heures les plus sombres de notre Histoire ».  Ils « surfent sur les attentats… ; font leur miel des faits divers… ; jouent avec les peurs… ; jettent de l’huile sur le feu… ». Le terme-clé dont use la Novlangue pour discréditer les opposants est celui-ci : « la haine ».  L’extrême-droite est accusée d’être « mue par la haine… ; d’attiser la haine… ; de répandre la haine… ». Signalons également que le Système utilise aussi dans le même esprit le langage graphique. Sur les dessins des caricaturistes du Système, les représentants de l’extrême-droite portent chemise brune et croix gammée. On notera de même que, les lendemains d’élection, les graphiques qui rendent compte des résultats utilisent systématiquement les couleurs noire ou brune pour représenter les scores de « l’extrême-droite » (voir cette chronique, celle-ci , celle-ci et encore celle-ci).

    Enfin la Novlangue  invente des expressions et des slogans qui travestissent délibérément la réalité.  C’est ainsi que pour évoquer les émeutes de banlieues, la Novlangue parlera d’un « affrontement entre jeunes et policiers », placés sur le même plan, comme s’il s’agissait de bandes rivales. Notons au passage que le Système manifeste ainsi l’hostilité qu’il éprouve vis-à-vis de la police, nous y revenons plus loin.  Selon la même technique, les islamistes radicaux et l’extrême-droite sont mis sur le même plan et présentés comme « deux extrêmes à combattre l’un et l’autre » (comme si l’extrême droite commettait elle aussi des attentats).

    Ce point enfin mérite d’être souligné. La Novlangue est utilisée par le Système pour tenter sur les points les plus sensibles d’inverser vérité et mensonge. Les immigrationnistes, parce qu’ils luttent contre « le danger de l’extrême-droite », se présentent comme étant les « résistants », alors qu’ils approuvent et favorisent l’invasion du pays. Et ce sont ceux qui dénoncent l’invasion migratoire qui sont traités de « collabos ». Cette inversion du vrai et du faux est une caractéristique de la Novlangue (et plus généralement d’ailleurs une caractéristique des systèmes totalitaires eux-mêmes).

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    La 4e partie de l’article à suivre : « Neutraliser la société et pourchasser les dissidents »

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/2018/07/30/le-systeme-mondialiste-immigrationniste-et-liberal-libertaire-est-un-totalitarisme-3e-partie/

  • La croissance ne redémarrera pas

    Selon François Billot de Lochner :

    "[...] Le développement économique d’un pays dépend de quelques règles simples qui, si elles sont appliquées, produisent mécaniquement des effets positifs, et qui, si elles sont ignorées, produisent mécaniquement d’insolubles problèmes. Or, depuis plusieurs dizaines d’années, la France a pris la décision de s’exonérer de toute règle économique de base, et en paye aujourd’hui, comme elle en paiera demain, les plus graves conséquences.

    Les règles de base sont, entre autres et pêle-mêle, les suivantes : le coût du travail en France ne doit pas être supérieur à celui des autres pays, sauf à accepter la ruine de nos industries ; la dépense publique doit être ajustée à des recettes fiscales raisonnables, sauf à accepter soit un déficit public non maîtrisé, soit une ponction fiscale insupportable, soit les deux à la fois ; le rôle de l’État doit se limiter à assurer les fonctions régaliennes et uniquement celles-ci, sauf à accepter qu’en se mêlant de tout, l’État n’ait prise sur rien ; le maintien et la protection d’une zone économique nationale homogène implique le contrôle de l’essentiel outil monétaire et la régulation des flux migratoires, sauf à accepter que ne soient plus pilotés par la nation les finances nationales et le maillage démographique.

    Comment la France agit-elle par rapport à ces règles de base ? Le coût du travail dépasse très largement celui des autres pays du monde entier, ce qui a pour conséquence de réduire progressivement les exportations et d’accroître massivement les importations : il en résulte un déficit massif et permanent de notre commerce extérieur, de plusieurs dizaines de milliards d’euros chaque année, ainsi qu’une destruction massive de notre tissu industriel, qui ne représente plus qu’un huitième de la production intérieure brute, contre un quart au début du siècle. La dépense publique évolue en dehors de tout contrôle : le déficit budgétaire, compris chaque année entre 50 et 100 milliards d’euros, semble définitivement  immaîtrisable, et la dette publique atteint des sommets chaque année plus élevés, de l’ordre de 2300 milliards d’euros actuellement. Tout cela sur fond d’une pression fiscale insupportable. L’outil monétaire, permettant de réguler l’équilibre économique, a été abandonné entre les mains des argentiers de Francfort, qui mènent une politique allemande et non une politique européenne, et qui fragilisent donc durablement la France. La régulation nationale des flux migratoires a, de son côté, été abandonnée à Bruxelles, avec des conséquences économiques, pour ne parler que de celles-ci, totalement déstabilisantes pour la France, qui accueille désormais plus de 400 000 immigrés chaque année, à qui elle ne peut offrir ni logement, ni travail, et à qui elle ne veut offrir une quelconque assimilation. Le coût annuel de cette folie est de l’ordre de 70 milliards d’euros, chiffre colossal qui déstabilise complètement l’équilibre économique de notre pays.

    De tout cela, il résulte que la croissance ne redémarrera pas, et qu’il est impossible, dans le contexte actuel, d’envisager qu’elle redémarre. Le chômage va donc se maintenir à un niveau inégalé (23 % de la population active, toutes catégories de chômeurs confondues), la pression fiscale ne pourra que s’accentuer, la paupérisation de la population ne pourra que s’accroître. Le rééquilibrage économique de notre pays n’est pas pour demain. Seul un changement radical d’orientation de notre politique économique et sociale permettrait à la croissance de repartir : un tel changement, attendu depuis plusieurs dizaines d’années, ne semble pas être à l’ordre du jour et donc, comme la guerre de Troie, la croissance n’aura pas lieu…"

    Fin juillet, Bercy a constaté que l'objectif annoncé de 2% de croissance économique en 2018 ne sera pas atteint...

    Michel Janva

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  • Les derniers combattants de Daech lancent un raid meurtrier dans le sud de la Syrie

    Analyse d'Antoine de Lacoste :

    L’Etat islamique agonise dans le sang. Quelques centaines de ses combattants ont lancé une série de raids éclairs le 25 juillet dernier contre plusieurs villages du sud de la Syrie, dans la province de Soueïda, faisant plus de 250 morts.

    Cette province avait été épargnée par les combats jusqu’à présent. Mais sa proximité avec le désert la met maintenant en danger car c’est là que se cachent les lambeaux de Daech ; d’autres résidus sont actifs plus à l’est, de part et d’autre de Deir ez-Zor.

    La tactique utilisée a été classique : des kamikazes conduisant des camions (ou à pied parfois), se font sauter à proximité d’un barrage de soldats ou de villageois armés puis, profitant de la confusion, les autres islamistes entrent dans les maisons et assassinent leurs habitants ou mitraillent dans les rues, au hasard.

    Ce sont les druzes qui ont payé le plus lourd tribut cette fois. De nombreux villages de cette région sont en effet  habités par cette communauté, très présente dans le sud de la Syrie, jusqu’au plateau du Golan et en territoire israélien.

    Les druzes ont toujours été à part en Syrie, comme ailleurs. Très soucieux de leur identité et de leurs traditions, ils forment un clan soudé. La guerre en Syrie a pourtant été l’occasion de désaccords en son sein. Une grande partie est restée neutre ou fidèle à Bachar, mais d’autres ont participé aux premières manifestations anti Bachar à Deraa en 2011. Un groupe rebelle a même été constitué, mais l’assassinat d’un dignitaire druze par le très islamiste Front al Nosra en 2012 a tout changé.

    Aujourd’hui les druzes défendent leur territoire face aux islamistes avec détermination. Ils acceptent d’épauler l’armée mais refusent d’être déployés hors de leur région, refus que l’armée syrienne se garde bien d’enfreindre.

    Cette attaque de Daech va renforcer leur détermination face aux islamistes. Les aviations russes et syriennes ont mené plusieurs raids contre les agresseurs faisant une cinquantaine de morts, mais nul doute que le pouvoir de nuisance de Daech reste important.

    Une voix dissonante s’est faite entendre au sein de la communauté druze. Le triste Joumblat, un des chefs de la communauté druze libanaise (un homme qui a beaucoup de sang chrétien sur les mains), a accusé Damas d’être responsable de cette tragédie. En effet, après la reprise de Yarmouk au printemps dernier (banlieue de Damas), une enclave de Daech a fait l’objet de négociations. Plusieurs centaines de combattants ont été autorisés à partir ce qui a épargné de lourdes pertes à l’armée syrienne qui, on le sait, a d’importantes difficultés à combler les vides provoqués par sept ans de guerre.

    Joumblatt pense que ce sont eux qui ont attaqué les villages druzes et accuse le régime syrien d’imprudence.

    Rien n’est sûr, mais ce qui l’est, c’est qu’à quelques kilomètres de là, la base américaine d’Al Tanf n’a jamais rien organisé contre les hommes de Daech.

    Alors pourquoi a-telle été construite ?

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/les-derniers-combattants-de-daech-lancent-un-raid-meurtrier-dans-le-sud-de-la-syrie.html

  • Le Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire est un totalitarisme (2e partie)

    Chronique de Paysan Savoyard (n°204 – juillet 2018)

    Le présent article, qui sera publié en plusieurs parties au cours de l’été, se propose de montrer que le Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire présente toutes les caractéristiques du totalitarisme. La première partie traitait le point suivant : « Un système où l’idéologie prédomine ». Voici la deuxième partie :

    • Un Système de pouvoir qui permet de contrôler les principales organisations et institutions

    Un régime totalitaire se caractérise également par un système de pouvoir qui comprend trois éléments : l’existence d’un parti unique ; une confusion entre ce parti et l’Etat ; l’absence de barrière entre sphère politique et sphère privée, qui permet de placer tous les secteurs de la société sous contrôle. Le Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire relève bien de ce type de régime.

    Une démocratie factice

    Il n’existe pas, certes, dans le cas de la France, de parti unique mais au contraire un certain nombre de partis différents qui couvrent tout l’arc politique, l’extrême-gauche, la gauche, le centre, la droite, l’extrême-droite. Cependant ce pluripartisme n’est qu’une apparence : en réalité, l’extrême-droite mise à part, qui est rejetée du Système et se vit elle-même comme anti Système, tous les partis ne sont que les différentes facettes du même système de pouvoir.

    Les différents partis, tout d’abord, partagent les points essentiels de l’idéologie du Système. Jusque dans les années quatre-vingt, il existait une droite et une gauche nettement opposées : la droite était libérale sur le plan économique et conservatrice sur le plan sociétal. La gauche à l’inverse était dirigiste sur le plan économique et libertaire quant aux mœurs. Dans les années quatre-vingt, la gauche de gouvernement a abandonné les idées dirigistes et est devenue libérale sur le plan économique, quand de son côté la droite tournait le dos au conservatisme sociétal pour s’aligner sur la gauche et devenir « humaniste » et sociétalement libertaire. Depuis lors les deux camps, qui se remplacent à la faveur des alternances, partagent les mêmes valeurs et mènent des politiques identiques. E. Macron, à la tête d’un parti nouveau qui couvre à la fois le spectre de la gauche et celui de la droite, incarne cette synthèse.

    La démocratie n’est donc qu’une apparence. Les partis qui se succèdent au pouvoir étant en réalité d’accord, les alternances sont factices. L’opposition entre eux, que les deux camps mettent en scène, est également factice. Elle permet de donner à l’électorat l’illusion d’un choix démocratique, alors que, sous différents masques, c’est le même Système qui gouverne et suit son cap, en tenant à l’écart toute opposition réelle.

    Le caractère factice de la démocratie découle également d’un autre élément : le Système se garde bien d’organiser des référendums et récuse toute démocratie directe. Lorsqu’il commet l’erreur d’organiser un référendum et que les résultats de celui-ci sont négatifs contrairement aux prévisions, le Système choisit alors de ne pas en respecter les résultats. C’est ainsi qu’en dépit du « non » majoritaire en France lors du référendum de 2005 portant sur les institutions de l’Union européenne, les dispositions que le Système souhaitait voir adopter ont tout de même été mises en œuvre, par le traité de Lisbonne. De même le Système s’efforce actuellement de ne pas donner suite au Brexit choisi par la majorité des Anglais.

    Les « extrêmes », de gauche et de droite, jouent dans ce contexte un rôle utile. Leur présence vient tout d’abord renforcer l’illusion démocratique : la gauche et la droite s’étant ouvertement rapprochées, il est utile de mettre en scène des partis qui jouent le rôle d’opposants du Système. Ces partis extrêmes permettent également de canaliser les opposants en les conduisant à entrer dans le jeu politique. La présence de ces extrêmes est sans risque pour le Système, les suffrages qu’ils recueillent étant stérilisés. S’agissant de l’extrême-gauche, ses dirigeants choisissent en effet finalement d’appeler à voter au second tour pour le Système, pour « barrer la route à l’extrême-droite ». L’extrême-droite ne constitue pas davantage un danger politique pour le Système, qui réussit à limiter son influence en la diabolisant et en la présentant comme un danger pour les libertés et pour la paix civile. Surtout le Système est jusqu’ici parvenu à forcer l’extrême-droite à mettre un frein à son opposition au Système, en la menaçant d’interdiction dans le cas où elle enfreindrait les règles et les principes majeurs. C’est ainsi que le Front national a été amené à déclarer régulièrement son attachement à la démocratie, à la république et à ses valeurs. Le Front national a dû également accepter le principe de la présence en France des immigrés et de l’islam, se contentant, comme les autres partis, de dénoncer « l’islamisme » et « l’immigration clandestine ». S’il en allait autrement et que l’extrême-droite décidait d’appeler à renverser le Système, elle serait probablement immédiatement interdite, au nom des « valeurs » et du principe selon lequel il ne doit pas y avoir de liberté « pour les ennemis de la liberté ». Les poursuites et les condamnations des leaders de l’extrême-droite, telles que les condamnations pénales répétées de Jean-Marie Le Pen, la récente levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen ou encore les poursuites engagées contre le FN sous le prétexte d’une utilisation irrégulière de ses assistants parlementaires, sont là pour rappeler à l’extrême-droite qu’elle ne doit pas franchir certaines lignes.

    Il faut mentionner, sur cette question de la démocratie, un dernier élément. En cas de risque de basculement de l’électorat en faveur d’un parti anti Système, ce dernier conserve différents moyens grâce auxquels il maintiendrait son pouvoir. Il pourrait d’une part, comme il vient d’être dit, interdire les partis anti Système, en arguant de la nécessité de défendre les valeurs de démocratie et de liberté. Il faut souligner en outre que le Système a le complet contrôle de l’organisation des scrutins, par le biais des élus locaux, de l’administration préfectorale et des juges : il pourrait donc sans difficulté et en toute discrétion organiser une fraude des résultats suffisamment massive, si d’aventure les sondages faisaient apparaître un risque d’arrivée au pouvoir d’un parti anti Système.

    Le contrôle de tous les lieux de pouvoir et institutions

    Un autre élément du régime totalitaire est également présent dans les constituants du Système au pouvoir : il n’existe pas aujourd’hui de séparation réelle entre les partis politiques principaux, l’Etat, les différents lieux de pouvoir et les différentes institutions et organisations qui innervent la société et la travaillent de l’intérieur.

    Politiciens, hauts-fonctionnaires, juges, syndicalistes, médias, cinéma, publicité, intellectuels, monde de la culture, université et éducation nationale, grandes voix morales (les églises, les Francs-maçons…), ONG et associations, tout cet ensemble forme un continuum et un bloc. Toutes ces organisations sont financées sur crédits publics : soit directement parce qu’elles appartiennent à la structure étatique ; soit par le biais de subventions et de dispositifs ad hoc pour les associations, ONG, monde de la culture, médias, cinéma et syndicats. Les nominations à la tête de toutes ces organisations et institutions sont dès lors contrôlées par le Système, qui les finance. Ce maillage dense d’institutions et d’organismes, qui ont des ramifications nationales aussi bien que locales, permet au Système d’intervenir dans tous les secteurs de la société pour la contrôler, y diffuser l’idéologie, repérer et neutraliser les dissidents.

    De la même manière le champ économique est lui aussi contrôlé par le Système. L’économie est structurée de façon croissante par de grands groupes. Ces groupes, qui sont multinationaux, appartiennent le plus souvent à des capitaux privés mais un certain nombre d’entre eux, parmi les plus importants, sont des entreprises publiques (SNCF, EDF…) ou des groupes dans le capital desquels l’Etat est présent voire majoritaire (tels que Renault). Que ces entreprises soient privées ou publiques, ce sont souvent des technocrates qui sont placés à leur tête. Qu’ils soient privés ou publics, ces groupes vivent pour partie de commandes publiques. Ces groupes enfin sont propriétaires de la plupart des médias. On le voit, il n’y a pas de solution de continuité entre ce monde économique et le monde politique et médiatique.

    Relevons également que ces groupes forment en réalité un bloc, au sein duquel la concurrence est en fait limitée. Leurs conseils d’administration sont interpénétrés. Leur taille leur donne la possibilité d’asphyxier les entreprises de plus petite taille ou de les racheter. Ces groupes contrôlent en outre une myriade d’entreprises sous-traitantes, qui sont dans leur dépendance étroite. Leur puissance leur permet également de circonvenir et de soudoyer élus et fonctionnaires. Ils passent entre eux des accords pour se répartir les marchés et s’entendre sur les prix. Ces groupes forment en réalité un ensemble homogène et cohérent, partie intégrante essentielle du Système.

    On voit par-là que le Système domine l’ensemble de la société : la politique ; les rouages de l’Etat ; les médias ; et l’essentiel de l’économie.

    Un système décentralisé, informel, plastique, insaisissable

    Le système de pouvoir est doublement remarquable. Il est d’une part extrêmement puissant et  efficace puisqu’il contrôle comme on vient de le voir les ressorts essentiels du fonctionnement de la société. Il occupe d’autre part une position presque inexpugnable : il est en effet presque totalement informel.

    Le système de pouvoir qui est à l’œuvre ne ressemble pas en effet à une espèce d’organisation secrète, pyramidale ou par cercles concentriques, avec ses réunions occultes et ses ordres donnés de façon codée. Il est beaucoup plus solide qu’une organisation de type complotiste ou mafieux, qui peut toujours être identifiée et démantelée.

    A la différence d’un complot ou d’une mafia, le Système, tout d’abord, agit à visage découvert. Ses intentions sont parfaitement publiques et connues de tous : elles sont clairement exposées dans les agendas et mémorandums des grandes institutions publiques et privées tels que l’OCDE ou la Commission européenne. Ces intentions et objectifs sont relayés par les médias (voir cette chronique).

    Deuxièmement, un certain nombre de lieux de décisions sont parfaitement identifiés et pour certains connus même du grand public : les conseils d’administration des groupes financiers et capitalistes ; les conseils des instances publiques telles que la Fed aux Etats-Unis ou les institutions de l’Union européenne ; les clubs, tels que Bilderberg aux Etats-Unis ou Le Siècle en France ; les réunions de Young Leadersorganisées par les Etats-Unis ; les rencontres internationales telles que Davos.

    Il n’y a donc pas, troisièmement, de conseil d’administration du Système, pas de gouvernement mondial, pas d’organisation suprême chargée de donner des ordres et de les faire appliquer : le système de décision est décentralisé, éclaté, diffracté. Chaque acteur du Système, politicien, capitaliste, fonctionnaire ou journaliste, quel que soit son niveau hiérarchique, agit pour l’essentiel de son propre chef, sans recevoir d’instruction précise ni d’ordre secret. Il agit spontanément en fonction des objectifs du Système, et ce pour deux raisons. Parce que, premièrement, il y adhère personnellement. Et parce que, deuxièmement, sa carrière en dépend.

    L’une des principales armatures du Système est ainsi constituée de l’armée des fonctionnaires et agents des services publics, qui font marcher l’ensemble en fonction de motivations diverses mais convergentes : par carriérisme ; par adhésion plus ou moins franche ; par conscience professionnelle et amour du travail bien fait ; par habitude de l’obéissance et manque de réflexion.

    Il reste que l’essentiel du pouvoir appartient à un faible nombre de tireurs de ficelles : les capitalistes, en petit nombre, reliés aux autres capitalistes occidentaux. Les principaux centres de pouvoir se trouvent bien entendu aux Etats-Unis : GAFA, grands groupes capitalistiques, institutions financières privées et publiques. Ces décideurs les plus puissants se tiennent souvent en retrait et sont bien moins médiatisés que les politiciens, les journalistes ou les intellectuels, qui sont pourtant leurs instruments.

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    La 3e partie de l’article à suivre : « La propagande omniprésente »

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/2018/07/23/le-systeme-mondialiste-immigrationniste-et-liberal-libertaire-est-un-totalitarisme-2e-partie/

  • La Maison Rothschild, puissance financière suprême

    Grâce à ses spéculations juteuses, le Baron Nathan Mayer de Rothschild, comme il se faisait désormais appeler, régna sur Londres en tant que puissance financière suprême. Un jour, lors d’une réception qu’il donnait à son hôtel particulier, il s’était exclamé avec arrogance : « Je me fiche de savoir quelle marionnette est placée sur le trône d’Angleterre pour diriger l’Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais. L’homme qui contrôle la masse monétaire de la Grande-Bretagne contrôle l’Empire Britannique, et je contrôle la masse monétaire britannique. » 

         Son frère James, à Paris, avait lui aussi réussi à dominer la finance française. Dans Baron Edmond de Rothschild, David Druck écrit : « La fortune de (James) Rothschild avait atteint la barre des six cents millions. Un seul homme en France possédait plus : c’était le Roi, dont la fortune s’élevait à huit cents millions. La richesse combinée de tous les banquiers de France était inférieure de cent cinquante millions à la fortune de James Rothschild. Celle-ci lui conférait naturellement des pouvoirs phénoménaux, pouvant même aller jusqu’à renverser des gouvernements chaque fois qu’il le décidait. Il est bien connu, par exemple, qu’il renversa le gouvernement du Président du Conseil [Louis Adolphe] Thiers. » 

         L’expansion de l’Allemagne sous Bismarck s’accompagna de sa dépendance envers Samuel Bleichroder, banquier à la cour du roi de Prusse et connu pour avoir été, depuis 1828, un agent des Rothschild. Le Dr von Bethmann Hollweg, qui deviendra plus tard chancelier d’Allemagne, était le fils de Moritz Bethmann de Francfort, qui avait pratiqué l’intermariage avec les Rothschild. L’Empereur Wilhelm 1er se reposait lourdement sur Bischoffsheim, Goldschmidt et Sir Ernest Cassel de Francfort, lequel émigra en Angleterre et devint le banquier personnel du Prince de Galles, devenu plus tard Edouard VIILa fille de Cassel épousa Lord Mountbatten, donnant à cette famille un lien direct avec la couronne britannique actuelle

         Josephson expose que Philip Mountbatten était parent avec les Meyer Rothschild de Francfort à travers les Cassel. La Maison des Windsor avait donc un lien familial direct avec les Rothschild. En 1901, lorsque le fils de la Reine Victoria, Edouard, devint le Roi Edouard VII, il rétablit les liens avec Rothschild. 

    Voici ce que dit Paul Emden, dans Behind The Throne : « La préparation d’Edouard à ce métier était assez différente de celle de sa mère, d’où le fait qu’il fut moins « dirigiste » qu’elle. Par reconnaissance, il conserva auprès de lui des hommes qui s’étaient trouvés à ses côtés à l’époque de la construction du chemin de fer de Bagdad [...] Furent ajoutés à la liste de conseillers, Léopold et Alfred de Rothschild, divers membres de la famille Sassoon et surtout, son conseiller financier personnel, Sir Ernest Cassel. » 

         « L’énorme fortune que Cassel amassa en relativement peu de temps lui conféra un pouvoir immense dont il ne fit jamais mauvais usage. Il réunit la firme Vickers Sons avec la Naval Construction Company et la Maxim-Nordenfeldt Guns & Ammunition Company, une fusion qui fit naître la firme mondiale Vickers Son & Maxim. Dans un registre entièrement différent de celui de Cassel, se trouvaient des hommes d’affaires, comme les Rothschild. Leur firme était gérée sur des principes démocratiques et les divers associés devaient tous être membres de la famille. C’est avec une grande hospitalité et de manière princière qu’ils menaient des vies de grands seigneurs et il était naturel qu’Edouard VII les trouvât sympathiques. Grâce à leurs relations familiales internationales et à des liens d’affaires toujours plus étendus, ils connaissaient le monde entier, étaient bien informés sur tout le monde et avaient une connaissance sûre de sujets qui n’apparaissaient jamais à la surface. Depuis le tout début, cette combinaison de finance et de politique avait été la marque de fabrique des Rothschild. La Maison Rothschild en savait toujours plus que ce que l’on pouvait trouver dans les journaux et même encore davantage que ce que l’on pouvait lire dans les rapports qui arrivaient au Foreign Office. Dans les autres pays, les relations des Rothschild s’étendaient également en coulisse, derrière les trônes. Il fallut un grand nombre de publications diplomatiques dans les années qui suivirent la guerre pour qu’un public plus large apprenne à quel point la main d’Alfred de Rothschild avait fortement affecté la politique de l’Europe Centrale durant les vingt années qui précédèrent la [première] guerre [mondiale]. » 

         Avec le contrôle monétaire arriva le contrôle des moyens d’information. Kent Cooper, à la tête d’Associated Press, écrivait dans son autobiographie, Barriers Down [Bas les masques] : « Les banquiers internationaux subordonnés à la Maison Rothschild acquirent une participation dans les trois principales agences de presse européennes. » 

         Ainsi, les Rothschild avaient acheté le contrôle de l’agence internationale de presse Reuters, dont le siège est à Londres, de l’agence française Havas et de l’agence allemande Wolf, qui contrôlaient la diffusion de toutes les informations en Europe. 

    Eustace Mullins, Les secrets de la Réserve fédérale

  • La révolte populiste contre l’Europe de Macron et Merkel a déjà ses leaders, tous chrétiens

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    « Viktor Orbán se pose en recours contre Emmanuel Macron en vue des européennes », s’inquiétait-on dans les colonnes du Monde, le 30 juillet. Pire, encore, le dirigeant hongrois prévenait les Allemands dans un entretien pour le journal allemand Bild : « Les Allemands en particulier doivent se montrer très attentifs » car « l’idée des Français, fondamentalement, c’est d’imposer un leadership français, tout en le finançant par de l’argent allemand. Je rejette un tel projet. Nous ne voulons pas d’une Union dirigée par la France. »

    À force de donner des leçons de morale à droite et à gauche, le Président français est devenu, comme Merkel, l’homme à abattre, et on le sait lui aussi en situation de faiblesse. Sur la chancelière allemande, le Premier ministre hongrois a dit aux journalistes du Bild que s’il avait lui-même la même politique des réfugiés qu’elle, ses concitoyens le mettraient à la porte le jour-même. Il a remis le couvert le lendemain, c’est-à-dire le 28 juillet, devant les Hongrois de Roumanie en critiquant le manque de démocratie en Europe de l’Ouest, où la liberté d’expression est toujours plus restreinte.

    À cette Europe post-soixante-huitarde, Viktor Orbán oppose la nouvelle génération, à laquelle Emmanuel Macron n’appartient que par l’âge biologique, mais pas par l’esprit : « La génération anticommuniste, chrétiennement engagée, de sensibilité nationale arrive maintenant dans la politique européenne. Il y a trente ans, nous croyions encore que l’Europe était notre avenir. Nous croyons aujourd’hui que c’est nous qui sommes l’avenir de l’Europe. »

    Orbán promet, dans un premier temps, une vague populiste aux élections au Parlement européen de mai qui permettra de nommer une Commission européenne moins partiale, moins engagée aux côtés des libéraux-libertaires. « L’élite européenne a fait faillite, et le symbole de cette faillite est la Commission européenne. C’est une mauvaise nouvelle. La bonne nouvelle, c’est que les jours de cette Commission sont comptés », a-t-il promis.

    Matteo Salvini, catholique pratiquant comme Orbán est calviniste pratiquant, a l’ambition de fédérer les populismes en Europe, de créer « une Ligue des Ligues » pour répéter ailleurs son succès en Italie. Il adopte les mêmes accents que le Premier ministre hongrois et que les dirigeants polonais quand il dit, dans une interview publiée le 28 juillet, qu’« un pays qui ne fait pas d’enfants est destiné à mourir » et que la trop faible natalité sert « d’excuse » à la gauche pour « importer des immigrants ».

    Et le ministre de la Famille Lorenzo Fontana, qui appartient aussi à la Ligue de Salvini et est lui aussi catholique pratiquant, d’annoncer des mesures en faveur de la natalité qui ressemblent fort à ce qui se fait en Pologne et en Hongrie, y compris dans le but de réduire le nombre d’avortements. Fontana souligne d’ailleurs, à l’opposé de ce qui existe depuis peu en France, qu’il est le ministre de LA Famille et non pas DES Familles : son rôle est de promouvoir la famille avec un père, une mère et des enfants.

    Steve Bannon, l’ancien rédacteur en chef de Breitbart – également catholique pratiquant – censé avoir fortement contribué à la victoire du populiste Donald Trump aux États-Unis, se voit en Soros de droite et a annoncé, dans le Daily Beast, la création de sa fondation, The Movement, pour contribuer à la révolte populiste à travers tout le continent contre l’imposition par les élites sorosiennes d’une société sans frontières multiculturelle et libérale-libertaire. Il expliquait, le 20 juillet : « Je n’avais pas eu cette idée jusqu’à ce que Marine Le Pen m’invite à prendre la parole à Lille au Front national. Je lui ai dit : que voulez-vous que je dise ? » Et Marine Le Pen lui aurait alors répondu : « Tout ce que vous avez à dire, c’est que nous ne sommes pas seuls. »

    http://www.bvoltaire.fr/la-revolte-populiste-contre-leurope-de-macron-et-merkel-a-deja-ses-leaders-tous-chretiens/

  • Un “raclette gate” pour le président de l’Assemblée – Journal du Jeudi 2 Août 2018

    1) Politique / Un “raclette gate” pour le président de l’Assemblée

    Petites raclettes entre amis, ballades en vélo, chauffeurs… le président de l’Assemblée Nationale est loin de montrer le chemin à suivre pour faire des économies. Une illustration supplémentaire qui prouve que le monde d’après d’Emmanuel Macron est tout bonnement un mirage.

    2) International / Trump : l’étonnante réussite économique

    Avec 4,1 % de croissance au deuxième trimestre, l’Amérique de Donald Trump carbure… en dépit des critiques souvent excessives le trublion milliardaire devenu président est en passe de réussir son pari en matière d’économie.

    3) Espace / A la découverte des météorites

    4) L’actualité en bref

    Pour ceux qui n’arrivent pas à lire cette vidéo, regardez là sur RuTube (juste après)

    Lien Rutube :
     
  • Paul Jorion à propos de la saisie de notre épargne lors de la prochaine crise

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    Au cours d’une émission économique de Boursorama, Paul Jorion, spécialiste de la Finance, déclare que « lors de la prochaine crise, les gens qui ont de l’argent devront renflouer les caisses ». Il parle des épargnants, bien sûr, pas des banksters et autres usuriers internationaux.

  • Taxe carbone : la « défense du climat » menace de plonger une partie du monde dans la famine, montre l’IIASA

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    La taxe carbone et l’attirail interventionniste qui s’abat sur nos économies sous prétexte de « défense du climat » pourraient bien avoir l’effet inverse de celui (prétendument) recherché, montre une étude de l’International Institute for Applied Systems Analysis (IIASA). Cet institut basé à Laxenburg en Autriche, fondé en 1972 par un accord américano-soviétique pour réfléchir sur les problématiques mondiales, a établi qu’une mesure générale contraignante censée combattre le supposé réchauffement climatique d’origine humaine, telle qu’une taxe carbone étendue au monde entier, pourrait avoir des conséquences graves sur l’agriculture. Au point d’engendrer davantage de famine et d’insécurité alimentaire que l’impact supposé du changement climatique lui-même.

    La « défense du climat », prétexte pour imposer la taxe carbone 
    Le jacobinisme mondial prend prétexte de l’effet supposément réchauffant de la hausse du taux de carbone dans l’atmosphère – sans jamais considérer que son augmentation entraîne une accélération de la croissance des plantes – pour généraliser la taxe carbone. Premier pas vers un changement de cap, l’IIASA prône des politiques plus « participatives », en d’autres termes plus adaptées et plus souples. C’est un coin enfoncé dans le dogme de « défense du climat », d’autant plus remarquable qu’il provient d’une institution globaliste avant l’heure.

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