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  • L'Hebdo Politique avec J-C Martinez et B. Lugan : Macron en Afrique, le one man show du startuper

  • L’Intelligence Artificielle, la médecine, les transports et le secteur financier

    Korbo. Faire face. 10.03.2015.jpg

    Pieter Kersrtens

    Les climatologues prévoient la disparition des glaciers et des pôles glaciaires, les géopoliticiens, quant à eux, n’envisagent pas une guerre nucléaire, mais plutôt d’importants conflits liés à la répartition de l’eau potable sur les cinq continents et alors que certains démographes nous annoncent 10 milliards d’individus sur la planète en 2050, on nous laisse supposer que ces problèmes pourraient aussi être résolus grâce à l’Intelligence Artificielle (I.A).

    DEMAIN, PLUS BESOIN DES HUMAINS ?

    Les progrès techniques, scientifiques et sanitaires ont conduit ces 30 dernières années à une très nette amélioration du niveau de vie de l’espèce humaine et à une prolongation de son existence qui s’accroît particulièrement en Europe d’une année par tranche de 4 ans pour chacun d’entre nous. (durée de vie moyenne de 84 ans pour les femmes et 80 ans pour les hommes).

    Dans ce contexte il pourrait y avoir plusieurs millions de centenaires à l’horizon 2050 vivant dans notre « vieille Europe ».

    Le système des retraites, qui date d’un demi-siècle, ne pourra plus supporter ces charges car déjà en déficit chronique. Prétendre maintenir la retraite à 60 ans, diminuer la durée hebdomadaire du travail ou réduire le niveau des cotisations sociales, relève de l’utopie et du fantasme.

    En examinant le bond fantastique des technologies de pointe dans les pays asiatiques en particulier, on peut constater que -mise à part la Chine qui dispose d’une main-d’œuvre gratuite dans les Laogaïs- la numérisation, les robots et l’Intelligence Artificielle ont maintenant remplacé une partie du prolétariat dans toutes les industries à forte main d’œuvre non qualifiée. Chez nous, peu de responsables politiques nous en expliquent les conséquences.

    Acheter aujourd’hui des produits asiatiques à bon marché, c’est supprimer l’emploi de nos enfants et petits-enfants, demain. Car il faut en être conscient : le nier, c’est les condamner !

    Et accepter les directives de la Commission Européenne sans broncher, c’est aussi se sacrifier sur l’autel du mondialisme financier qui rêve d’un homo-consuméris au niveau mondial !

    BLACK FRIDAY, BLACK MONDAY … BLACK IS NOT BEAUTIFUL!

    Le Nouvel Ordre Mondial tisse sa toile mortifère jour après jour dans la totale indifférence des citoyens d’Europe, totalement tétanisés par les sirènes de la démocratie totalitaire, de l’hédonisme débridé et du politiquement correct. Sans réflexion et animé par un désir de consommation irraisonné par simple réflexe de paraître ou d’avoir l’air de …

    Rare sont ceux qui osent penser puis osent agir.

    C’est pourquoi, dans cette fin de civilisation (initiée vers 1920), l’I.A fera des ravages en utilisant la généralisation du numérique et de la robotique parmi les emplois de la médecine, des transports et de la finance, après ceux de l’industrie européenne déjà sinistrée aujourd’hui.

    Si à cette perspective on ajoute l’usage exclusif de la carte plastique dans tous les domaines de la vie courante, nous entrons dans l’Empire de Big Brother, cher à Georges Orwell.

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  • La phobie des frontières de la superclasse mondiale

    Leur objectif, c’est la disparition des frontières et tout particulièrement des frontières physiques qui pourraient limiter la libre circulation du capital, des marchandises et des hommes. Le baron Edmond de Rothschild l’a défini avec la plus grande clarté voilà plus de quarante ans : « L’obstacle qui doit disparaître, le verrou qui doit sauter, c’est la nation ». Voilà qui est net, et honnête. 
    Plus fondamentalement encore, agissant sur des marchés internationaux, les grandes firmes œuvrent en faveur de la disparition des frontières, entre les pays ou intérieures, psychologiques et matérielles, qui continuent d’exister entre des communautés d’origines et des cultures différentes. Tout ce qui permet l’enracinement est contraire aux intérêts des groupes multinationaux. La « discrimination positive » contribue à détruire les sociétés organiques au profit d’individus déracinés, soumis à leurs seules pulsions... satisfaites par toujours plus de consommation. 
    L’immigration est donc l’un des instruments les plus forts de la superclasse mondiale. D’abord elle pousse à la baisse les coûts de production, permet d’augmenter les marges, donc la rentabilité du capital, satisfaisant à la fois les actionnaires et les managers qui n’oublient pas de se rémunérer. Ensuite elle augmente les marchés solvables : un Africain installé en Europe consomme plus que celui qui reste en Afrique. 
    Et c’est, comme le souhaitait M. de Rothschild, un moyen efficace de détruire la nation. 
    Jean-Yves Le Gallou, Immigration, la catastrophe. Que faire ?

  • La presse aux ordres s'offusque que Donald Trump retweet les vidéos proposées par Jayda Fransen

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    Donald Trump a relayé aujourd'hui sur son compte Twitterune série de vidéos publiées par une responsable politique britannique d'extrême droite. Ces trois vidéos, tweetées par Jayda Fransen, vice-présidente du parti d'extrême droite Britain First, montrent des exactions commises par des musulmans.

    Plutôt que de s'indigner et d'enquêter sur les crimes commis sur les vidéos publiées, la presse internationale s'offusque que le Président américain ose révéler au monde entier ce que les médias omettent de faire par islamophilie pathologique.

    Source Thomas Joly cliquez ici et Le Figaro cliquez là

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    Jayda Fransen avec le Président Jean-Marie Le Pen dimanche 1er octobre dernier à Rungis (94) lors de la XIe Journée de Synthèse nationale cliquez ici

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  • Afrique : dénigrement contre la France

    Par Leslie Varenne, directrice de l’IVERIS et Yehia Ag Mohamed Ali, chercheur et spécialiste du Sahel 

    Le 16 septembre 2017, Ayman al-Zawahiri, le chef d’al-Qaeda, s’est adressé aux Africains et les a appelés à combattre la France qu’il accuse de revenir en Afrique. Dans son allocution, il s’est référé à Omar el-Mokhtar, héros de la lutte armée libyenne contre l’Italie coloniale. Ni cette accusation, ni le choix de cette figure légendaire ne sont dus au hasard. Si aucun dirigeant de l’Hexagone ne semble avoir pris la mesure du sérieux ressentiment anti-français qui prévaut actuellement dans tous les pays d’Afrique francophone, en revanche, le leader de l’organisation terroriste, lui, l’a bien compris. Plus qu’un véritable appel au djihad, cette déclaration est avant tout opportuniste.

    Il revendique, par anticipation, la paternité des effets que pourraient avoir les diatribes anti-françaises en cours sur le continent, d’une ampleur jamais égalée, y compris à l’époque des luttes pour l’indépendance. Pas un jour ne passe sans recevoir des fausses informations imputant à Paris de terribles méfaits. Ici des images de soldats français pillant de l’or à Kidal, dans le Nord du Mali, mais le montage photo mal réalisé laisse apparaître des arbres n’existant pas dans cette région. Là, des révélations dites explosives : La France arme Boko HaramLa France pille l’Afrique, derrière les titres accrocheurs ce ne sont que des manipulations, de vieilles informations sorties de leur contexte. Les réseaux sociaux s’enflamment. L’ancien état colonisateur est responsable de tous les maux, de toutes les souffrances, les peuples gardant, souvent à tort, l’image ancienne de la toute-puissance française.

    Sur le terrain, l’agressivité contre les Français a commencé à se ressentir dès 2011 après les guerres contre la Côte d’Ivoire et la Libye et elle prend de plus en plus d’ampleur. Avec la bataille contre le franc CFA, portée par Kemi Seba, activiste français d’origine béninoise, le french bashing atteint des sommets.

    Curieusement, le militant pour le panafricanisme et contre l’impérialisme ne vise qu’une seule cible : la France. Ses soutiens demandent le retrait des bases militaires françaises sur le continent, mais restent étonnamment muets sur la présence de plus en plus importante de l’armée américaine dans tous les pays francophones. En effet, l’Hexagone ne cesse de perdre du terrain dans son ancienne zone d’influence. Ce qui était impensable il y a encore quelques années est devenu réalité, l’Africom, le commandement US en Afrique, a implanté une base au Sénégal, des avant-postes opérationnels ont été construits au Mali, Niger, Burkina Faso, Tchad, Gabon.

    De la même manière, et bien qu’absolument légitime, le débat sur la souveraineté monétaire est posé en termes irrationnels. Pour sortir le franc CFA du giron de la Banque de France, Kemi Seba propose une monnaie panafricaine qui reproduirait les mêmes erreurs que celle du Franc CFA actuel et souffrirait des mêmes maux que l’euro : une seule monnaie pour des États aux économies fort différentes, avec la Côte d’ivoire dans le rôle de l’Allemagne et le Mali dans celui de la Grèce. La seule issue étant la création de monnaies nationales, mais que vaudraient-elles sans tous les autres instruments de souveraineté, armées dignes de ce nom, industrialisation ?

    L’activiste ne répond pas à ces questions, preuve que ce débat est plus passionnel que politique. Il prospère sur le terreau d’une histoire d’amour/haine entre ex colonisateur/ex colonisés jamais vraiment résolue. La rancœur est si prégnante, qu’il suffit désormais à un chef d’État africain, même le plus impopulaire en son pays, de prononcer un seul mot contre Paris pour se refaire une santé sondagière. Idriss Deby, Président du Tchad depuis 27 ans, pourtant ami et allié de tous les Présidents français successifs, s’y est essayé avec un certain succès… Mais si la mayonnaise du french bashing prend aussi bien, ce n’est pas seulement à cause des erreurs du passé, c’est également et surtout en raison des fautes commises par les dirigeants français successifs en ce début de 21e siècle.

    Les bâtons pour se faire battre

    La première faute, magistrale, est celle de la guerre en Côte d’Ivoire, avec les bombardements sur la résidence de Laurent Gbagbo et son arrestation par l’armée française. Il ne fallait pas être grand clerc pour prévoir l’impact et les conséquences que pouvaient avoir sur les opinions publiques africaines ces images, dont celle d’un Président en tee-shirt, prisonnier dans une chambre d’hôtel, surveillé du coin de l’œil par les soldats de l’ancienne puissance coloniale.

    Que ce conflit ait été ourdi par Washington avec la participation active de l’Africom, que Nicolas Sarkozy n’ait pas œuvré au nom des intérêts de la nation qu’il dirigeait, mais en son nom propre et à celui de l’ami américain, ne change rien à l’affaire, pour la très grande majorité des Africains, la France est seule responsable. Les US n’ont pas adopté la stratégie de l’empreinte légère, qui consiste à laisser un autre pays diriger les opérations afin de ne point trop s’exposer, pour rien. La deuxième faute magistrale, est bien entendu, la guerre en Libye opérée selon le même modus operandi, le président français sur tous les fronts, les Américains en arrière, puis l’assassinat de Muammar Kadhafi et le chaos qui s’en suivit. Au passage, il est intéressant de noter que le guide de la Jamahiriya ne sortait jamais sans la photo de son héros, Omar el-Mokhtar, à la boutonnière de son uniforme !

    Dès cette époque, sur le terrain, le ressentiment anti-français est palpable. En 2012, à son arrivée au pouvoir, François Hollande ne prend pas le pouls de l’Afrique francophone, ne tire pas les enseignements des guerres de 2011 et des inconséquences de son prédécesseur. Faute de vision, il poursuit la même politique faites d’errements, d’erreurs, de petits arrangements entre amis, de complicité avec des chefs d’États corrompus. Il se rend coupable d’aveuglements volontaires lors de consultations électorales frauduleuses et/ou contestables au Tchad, au Niger, au Gabon, au Congo, etc. Il ne mesure pas le désespoir et l’exaspération des peuples avides d’alternance et de changements. Il laisse des personnalités s’adonner à une diplomatie parallèle qui œuvrent pour leurs propres intérêts sonnants et trébuchants et non pour ceux de la nation ; il permet à son Premier ministre, Manuel Valls, d’entretenir des relations très particulières au Togo, en Côte d’Ivoire, au Congo, donnant ainsi crédit à l’abondante littérature sur, ce que d’aucuns appellent, la France-Afrique.

    L’ancien président français persévère dans l’indignation sélective, rappelant à l’excès les valeurs de la France : démocratie, droits de l’homme sans jamais les appliquer en Afrique ; toujours silencieux sur les prisonniers politiques en Côte d’Ivoire et ailleurs, muet sur les tueries aux Congo… Au Mali, la réussite de l’intervention militaire française tant vantée fut de courte durée, sur le long terme cette victoire s’est transformée en échec et ce pays est maintenant la proie d’attentats terroristes. L’ancien président français a ainsi contribué à entretenir les blessures de 2011, voire à retourner le couteau dans les plaies.

    De l’huile sur le feu

    À cette longue liste des raisons de la colère, il faut ajouter la Cour Pénale Internationale (CPI), cette Cour honnie des Africains où seuls les ressortissants de ce continent sont envoyés à la barre.

    Le procès ubuesque de Laurent Gbagbo, retransmis en direct, alimente quotidiennement le french bashing et pas seulement dans les pays francophones.

    De l’extrême nord à l’extrême sud du continent, l’ancien président ivoirien est devenu un symbole du panafricanisme. Âgé de 72 ans, il s’apprête à vivre le sixième anniversaire de son emprisonnement à la Haye, sans qu’à ce jour aucune preuve ne vienne étayer l’accusation. Sa douzième demande de liberté provisoire est en cours de traitement, peu importe qu’Emmanuel Macron puisse avoir ou non une influence sur cette décision. En l’état des opinions publiques, l’élargissement de Laurent Gbagbo sera porté au crédit du nouveau président français, son maintien en détention sur son compte débiteur. Et s’il arrivait malheur au martyr de l’impérialisme dans sa prison, les Français en Afrique seraient rhabillés pour de très nombreux et de très longs hivers…

    Ce paroxysme du ressentiment anti-français repose à la fois sur des bases solides et sur un mode émotionnel. Paradoxalement il culmine au moment où la France perd de plus en plus pied sur le continent. Mais est-ce aussi contradictoire ? Ce phénomène est une aubaine pour les Etats-Unis qui sous couvert de lutte anti-terroriste s’implantent durablement en Afrique francophone.

    Pendant les deux mandats de Barack Obama, la stratégie US a consisté à déposséder la France de sa zone d’influence stratégique en Afrique de l’Ouest (En Afrique centrale, cette stratégie mise en place par Bill Clinton avait débuté dès les années 1990 dans la région des Grands Lacs). Après la Côte d’Ivoire, ce fut le tour du Sénégal, avec le financement du mouvement citoyen Y’en a marre qui permit à Macky Sall d’arriver au pouvoir. En octobre 2014, vint le tour du Burkina-Faso qui peut être considéré comme la première révolution de couleur sur le continent, avec aux commandes le Balai citoyen dans le rôle du mouvement sénégalais et l’ambassadeur US de choc, Tulinabo Mushingi. Dans cette zone, le smart power américain bat son plein comme le montre la réunion organisée par le World Movement for Democracy à Dakar les 12 et 14 mars 2015. Tout ce que l’Afrique compte d’organisations dites de sociétés civiles étaient présentes (cette réunion n’étant pas publique, il n’existe pas de document sur internet, l’IVERIS possède des documents, mentionnant les noms des participants, leur organisation et leur pays ainsi que tous les organisateurs/financeurs : National Endowment Democracy, Freedom House, NDI, Solidarity Center… À noter, la sur-représentation de la Gambie, avec quatre participants, c’est beaucoup pour un si petit pays…). Il n’est donc pas interdit de penser que des groupes de pressions américains et leurs relais français alimentent la campagne de french bashing. Dans un entretien sur une chaîne de télévision sénégalaise, Kemi Seba déclare être financé par l’Iran. Surprise. Quel serait donc l’intérêt de la République islamique d’œuvrer à la fin du Franc CFA ? Mystère. En outre, de nombreux Libanais chiites sont installés en Afrique de l’Ouest où ils ont réalisé d’importants investissements, ils participent à l’économie des États dans lesquels ils vivent mais également à celle du Sud Liban. En l’état de l’instabilité qui règne dans toute la zone, de la Côte d’Ivoire au Togo, la création d’une monnaie nationale les ruinerait. Mais qu’importe puisque la problématique du Franc CFA a été résolue par deux chercheurs travaillant pour des institutions financières d’Amérique du Nord : « Une autre approche serait de remplacer le CFA par une dollarisation de la région, ce qui favoriserait le développement du secteur financier, des taux d’intérêts plus raisonnables tout en conservant les avantages de la stabilité monétaire. »

    L’apaisement ?

    Emmanuel Macron hérite de cette situation et est décidé à faire de l’Afrique une de ses priorités, à juste titre, puisque l’heure est grave. Personne n’est encore capable de dire s’il poursuivra la politique de ses prédécesseurs ou s’il engagera l’incontournable virage à 180°. Chaque nomination, chaque signe est interprété dans l’espoir de percevoir les lignes de forces qui se dégagent. Pour l’instant les initiatives prises : création du Conseil Présidentiel pour l’Afrique, mise en place du G5 Sahel pour combattre le terrorisme dans la zone et instauration de hot spot au Niger et au Tchad pour enrayer le flux des migrants qui traversent la Méditerranée, ne sont pas de nature à apporter une réponse sensible à la crise aigüe que traverse les relations franco-africaines. La vapeur pourrait pourtant se renverser facilement : il suffirait seulement de prendre l’exact contre-pied de la politique mise en œuvre par Nicolas Sarkozy et François Hollande au cours des dix dernières années.

    Leslie Varenne et Yehia Ag Mohamed Ali 25/11/2017

    Source : iveris.eu

    https://www.polemia.com/afrique-denigrement-contre-la-france/

  • L’Afrique aux Africains, oui, mais l’Europe à qui?

    Hier en visite officielle à Ouagadougou (Burkina-Faso) où il est intervenu  devant plusieurs centaines d’étudiants, Emmanuel Macron a appelé les Africains à s’émanciper, à porter l’effort vers un meilleur accès à l’éducation des jeunes filles,  prôné un changement de nom  du franc CFA,  dénoncé « l’obscurantisme religieux », invité à une baisse-de-la-fécondité-obstacle-au-développement, célébré  « un patrimoine africain (qui)  ne peut pas être prisonnier de musées européens »… En écho à ses propos polémiques  prononcés en Algérie lors de la campagne présidentielle, M. Macron a réaffirmé que « les crimes de la colonisation européenne sont incontestables. » Pour autant, il a tenté  de minorer ce jugement  en s’abstenant de parler de « crimes contre l’humanité »  et  en  relevant  qu’il y avait eu aussi «  des grandes choses et des histoires heureuses » dans cette histoire commune. « Notre responsabilité n’est pas de nous y enferrer, de rester dans ce passé, mais de vivre l’aventure pleine et entière de cette génération ». « Ce n’est pas simplement un dialogue franco-africain que nous devons reconstruire ensemble, mais bien un projet entre nos deux continents, une relation nouvelle repensée à la bonne échelle» entre l’Afrique et l’Europe, a-t-il encore dit. « Je ne suis ni dans le déni, ni dans la repentance. »

    Emmanuel Macron a assuré également  qu’il n’y avait  « plus  de politique  africaine de la France », la  fameuse et  très décriée françafrique qui reste,  quoi qu’il en dise,  une réalité  qui consiste également  trop  souvent en une aide au développement… de la corruption, mais une politique de la France en Afrique… nuance.  Une affirmation qui fut déjà  énoncée par Nicolas Sarkozy en 2010  à l’occasion du 25ème  sommet Afrique-France à Nice. Un  sommet alors présenté par M. Sarkozy comme  celui  de la « rénovation » et de la rupture avec les anciens et traditionnels  réseaux  de la françafrique.  Dans les faits, il était alors plus prosaïquement acté du recul de l’influence  française  dans nos anciennes colonies qui s’expliquait déjà par la montée en puissance des  anglophones,  de la concurrence de plus en plus agressive de la Chine et de pays émergents.

    Ne pas être dans le déni a consisté aussi pour l’actuel  président de la république a affirmé sa volonté de frapper les réseaux de passeurs  qui déversent  des  flux massifs d’immigrés clandestins -rebaptisés migrants ou réfugiés en novlangue –  vers l’Europe. Tout n’est pas faux dans ce qu’a affirmé Emmanuel Macron,  tant il est vrai que c’est par une collaboration commune que les Etats africains et la France notamment devront résoudre le problème crucial de l’immigration massive. Une donnée essentielle  prise en compte depuis très longtemps par le Front National  qui a toujours plaidé,  dans ses différents programmes de gouvernement,  pour une vraie et saine  politique de codéveloppement, condition  sine qua non pour fixer les populations dans leur pays d’origine. Et il est d’autant plus urgent  de la mettre en place quand on sait que la  population du continent africain va doubler d’ici 2050 et que sa jeunesse rêve massivement de partir vers une Europe fantasmée, vue comme  une terre de Cocagne.

    Autant dire que  comme le relève  le site Euractiv, l’immigration sera certainement le thème central de la rencontre aujourd’hui et demain à Abidjan (Côte d’Ivoire) entre les dirigeants des 28 États de l’Union européenne et leurs 27 homologues de l’Union africaine  qui « discuteront de l’avenir des relations entre les deux blocs, et en particulier des investissements à consentir pour la jeunesse. »

    Certes est-il précisé, « l’UE insiste cependant sur le fait que le sommet n’est pas dédié à l’immigration, mais au partenariat et à l’aide au développement.  Je voudrais souligner qu’il ne s’agit pas d’un sommet sur l’immigration, mais sur le partenariat entre l’Union africaine et l’UE , a répété Federica Mogherini, (responsable  de la diplomatie européenne).  Cela dépasse de loin les questions migratoires, mais pourrait bien sûr nous donner l’occasion de lancer des actions communes sur la situation des migrants en Libye, et pas seulement aujourd’hui, parce que cette situation dure depuis des années. »

    Il est aussi justement rappelé que  « l’UE finance des programmes et initiatives de développement en faveur de nombreux pays africains. La majeure partie du financement provient du Fonds européen de développement (FED), qui dispose d’un budget de 30,5 milliards d’euros pour la période 2014-2020. Le 23 novembre, la Commission européenne a défini des domaines d’investissement concrets pour son plan d’investissement extérieur. Le nouveau plan mobilisera 44 milliards d’euros d’investissements durables pour l’Afrique et les pays voisins de l’UE. »

    Reste qu’aussi conséquente que soit cette aide ou qu’elle puisse l’être dans le futur,  au regard des efforts financiers que nous pourrons consentir, le défi migratoire reste énorme et problématique à très court terme constate Bruno Gollnisch. Nous en subissons déjà de plein fouet les conséquences.  Il  s’agirait d’agir concrètement, rapidement contre l’immigration massive. Ce qui passe, ici et maintenant,  par une vraie politique de coercition, par une défense de nos frontières que l’Europe bruxelloise défend très mal, paralysée par son idéologie mondialiste, droit-de-l’hommiste et cosmopolite.

    En fin de semaine, à l’instar des xénomaniaques bruxellois  et des lobbies immigrationnistes , le pape François déclarait que  « ceux qui fomentent la peur des migrants, parfois à des fins politiques, au lieu de construire la paix sèment la violence, la discrimination raciale et la xénophobie, sources de grande préoccupation pour tous ceux qui ont à cœur la protection de chaque être humain. »  Un avis qui s’inscrit dans la  ligne de son message du 15 août dernier, annonçant la Journée mondiale du migrant et du réfugié prévue  le 14 janvier 2018,  ou il appelait  à l’accueil prodigue des immigrés clandestins par les européens. Et bien nous, nous pensons exactement l’inverse!  Ce n’est pas en tiers-mondisant l’Europe que l’on aidera l’Afrique et les Africains qui peuvent, qui doivent, qui espèrent  se construire un avenir sur la terre de leurs ancêtres.

    En réalité, ceux qui fomentent la peur de ce qu’ils appellent le repli sur soi, le plus souvent à des fins politiques, qui discriminent les défenseurs de nos identités, qui criminalisent notre droit à rester nous-mêmes, qui encouragent le grand remplacement,  refusent en fait  de construire la paix,   préparent, même à leur corps défendant,  la guerre de tous contre tous et sèment une  violence  et un racisme constitutifs des sociétés multiculturelles.

    https://gollnisch.com/2017/11/29/lafrique-aux-africains-oui-leurope-a/

  • Mensonges sur le chômage aux Etats-Unis : vers une crise économique mondiale pire qu’en 1929

    1760687294.jpgLe jeudi 24 octobre 1929 (jeudi noir), c’est le krach à Wall Street. Tout le monde veut vendre ses titres et personne n’achète. À midi, l’indice Dow Jones a perdu 22,6 %. La baisse se poursuit pendant trois ans ; les cours chutent de 87 % et les banques font faillite. La production industrielle baisse de moitié de 1929 à 1932 et le taux de chômage passe de 3,1 % à 24 %.

    La prochaine crise économique, monétaire et financière qui nous attend sera pire que celle de 1929 ; elle sera apocalyptique et conduira à l’écroulement du Système. Pourquoi ? Parce qu’on nous ment, parce que le taux de chômage réel aux États-Unis est déjà de 20 % et non pas de 4,7 %, parce que le Système public et privé dans le monde entier est déjà bien plus endetté qu’en 1929, parce que l’économie moderne très fragile offre beaucoup de biens et services non indispensables, moins primaires et essentiels qu’en 1929, parce que partout dans le monde libre-échangiste dangereusement interconnecté (Europe, États-Unis, Japon, Chine), on a déjà eu recours à une politique monétaire hyper-laxiste, avant même que le krach boursier ne se soit produit.

    Dès le krach boursier, la création monétaire de la Réserve fédérale et de la BCE s’amplifiera et le monde connaîtra une situation hyperinflationniste semblable à celle de l’Allemagne en 1923. L’euro, excellente chose, ne pourra alors malheureusement qu’exploser face au chaos économique et à l’inévitable chacun pour soi national dans des situations aussi graves.

    Nous vivons, en fait déjà depuis 2008, une grande dépression larvée et masquée par une bulle folle spéculative sur les actions, l’hyper-endettement, les taux bas d’intérêt, la politique monétaire laxiste, les mensonges des gouvernements et des médias. Le taux de chômage réel des États-Unis est particulièrement élevé dans la réalité ; il remet donc en cause tout le cinéma médiatique anglo-saxon sur la prospérité états-unienne. Ce n’est pas pour rien que Donald Trump a été élu.

    Officiellement, les États-Unis comptent 8 millions de chômeurs déclarés, mais en réalité, il convient d’ajouter à ce chiffre 94 millions d’Américains en âge de travailler sans emploi. Si vous êtes désespéré d’être au chômage aux États-Unis et que vous avez cessé de chercher un emploi au cours des quatre dernières semaines, le département du travail ne vous comptera plus comme chômeur.

    Si vous effectuez une heure de travail aux États-Unis et que vous êtes payé au moins 20 dollars pour avoir tondu une pelouse, ou si vous avez travaillé dix heures à temps partiel, vous ne serez pas officiellement enregistré comme chômeur.

    Aux États-Unis, 251 millions de personnes sont en âge de travailler, mais seulement 157 millions (soit 62 %) travaillent ou cherchent un travail. Dans les 38 % restants, soit 94 millions de personnes, 54 millions ne travaillent pas suite à l’explosion des maladies, du diabète, de la drogue, des invalidités, et 40 millions sont sans emploi, qui tentent de survivre comme elles peuvent, ayant renoncé à chercher un travail. Ce n’est pas un hasard si le nombre de bénéficiaires en paupérisation accélérée des bons alimentaires du programme « SNAP » explose.

    Comme en France, le taux de chômage réel aux États-Unis est plutôt de l’ordre de 20 %. Après le krach boursier à venir, le chiffre du chômage ne serait plus de 24 %, comme en 1932 aux États-Unis, mais il pourrait bien alors atteindre le chiffre réel apocalyptique et révolutionnaire de 30 à 40 % ! Macron ne serait manifestement plus l’homme de la situation.  

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    Économiste

    Ancien haut dirigeant d'entreprise

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2017/11/27/mensonges-sur-le-chomage-aux-etats-unis-vers-une-crise-econo-6003358.html

  • Un livre sur le vrai « Russia-gate » aux Etats-Unis : Obama, pas Trump !

    livre vrai Russia gate Etats Unis Obama Trump
    Pour les anglophones, The New American signale la parution d’un livre sur les vrais liens de la Russie avec la politique américaine. Alors que Donald Trump est accusé de quasi collusion avec Poutine – ce qui en ferait un traître à son pays – huit auteurs ont mis leurs connaissances en commun pour faire la lumière : Comrade Obama Unmasked : Marxist Mole in the White House.
    C’est une étude en profondeur du véritable marxisme de Barack Obama, et en particulier de ses liens étroits avec un communiste avoué, Frank Marshall Davis, par ailleurs soupçonné d’espionnage pour le compte de la Russie.
    Un engagement révolutionnaire détaillé par le menu qui n’est certes pas celui de Donald Trump…

    http://reinformation.tv/livre-vrai-russia-gate-etats-unis-obama-trump-vite-77684-2/

  • 4 MAGHRÉBINS DE ROUBAIX À PAPIERS FRANÇAIS, REJUGÉS EN TURQUIE POUR VIOL SUR MINEURE

    Turquie_5_roubaisiens_violeurs.jpgQuatre « zissus de la diversité », des Maghrébins possédant des papiers français et colonisant les quartiers de Roubaix, en villégiature en Turquie , ont tentés de faire découvrir leur conception du « vivre-ensemble » à une jeune fille mineure dans un hôtel de Bodrum à l’été 2016.

    Mal leur en a pris : ils sont actuellement détenus là-bas, très justement condamnés à 13 ans de prison pour avoir violé collectivement la jeune victime anglo-américaine d’origine marocaine.

    En effet, les quatre envahisseurs (Fayçal, Belkacem, Malik, Rabah) avaient profité d’une soirée, dans une chambre de l’hôtel de Bodrum, pour avoir des relations sexuelles, tour à tour, avec la jeune fille dont la famille était en vacance au même endroit.

    Selon la version peu crédible des agresseurs, la victime auraient eu des relations sexuelles avec chacun d’entre eux de façon consentie alors qu’ils ne savaient pas qu’elle était mineure… C’est en sortant de la chambre qu’elle aurait été surprise par son grand frère qui a alerté ses parents qui auraient appelé la police.

    Le 8 juin dernier, les quatre colons avaient donc été condamnés à 13 ans de prison pour viol. Mais leur avocat, Me Ahmet Kiraz, a fait appel, et le mois dernier le jugement a été cassé. Un nouveau procès aura donc lieu.

    Ils seront rejugés le 14 décembre prochain et en attendant, ils restent en détention près de Bodrum, où ils avaient passé leurs vacances en août 2016.

    Message aux Turcs : gardez-les et faites en ce que vous voulez.

    https://www.jeune-nation.com/actualite/actu-france/4-maghrebins-de-roubaix-a-papiers-francais-rejuges-en-turquie-pour-viol-sur-mineure.html