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international - Page 714

  • Fillon, Trump et le Pen face au coup d’État mondial

    Pour Trump, la trêve n’a pas duré 24 heures.

    Brave New World… Point n’est donc besoin de politique, ni d’hommes et de femmes d’État. Les Porochenko suffisent : en France… c’est Macron, en Allemagne… Merkel, et aux États-Unis… tout sauf Trump !

    Pour Trump, la trêve n’a pas duré 24 heures. Au lendemain de son remarquable discours du 28 février au Congrès, CNN dopait ses taux d’écoute et de clics avec une réunion-débat très publicisée qui mettait en vedette les sénateurs McCain et Graham. Ils y firent leur job, revalidant la sempiternelle idée de l’inconscience du président Trump face à la nocivité russe. Puis la journaliste Dana Bash leur « révéla » que le Washington Post publierait le soir même un article sur les « relations » (pendant la campagne) du ministre de la Justice Jeff Sessions avec l’ambassadeur de Russie…

    La Maison-Blanche réalisait ainsi que le départ du général Flynn avait galvanisé les hyènes, qui exigeaient maintenant la tête de Sessions. Donc, plus de détente avec la Russie, point de politique ferme sur l’immigration, fin de l’enquête sur les inscriptions frauduleuses des migrants sur les listes électorales. Bref, pour reprendre le livre d’Ann Coulter : ¡Adios, America!

    Sessions s’est expliqué tout de suite : il avait rencontré l’ambassadeur, comme moult sénateurs, dans le cadre de ses fonctions officielles, et chaque fois devant témoins. Il n’avait pas estimé important d’en parler lors de sa nomination.

    Reste qu’il va passer à la question sénatoriale le 6 mars afin de s’expliquer, risquant le parjure. Et puis il y a maintenant les courriels privés de Mike Pence : Adios, les valeurs chrétiennes… 

    Trump a conscience que ce méthodique « coup d’État rampant » ne cessera pas tant qu’il n’aura pas pris le taureau par les cornes. Il est déjà entouré de ministres « néocons » et doit diriger une fonction publique qui vote démocrate à 90 %. Tant qu’il n’aura pas fait admettre au public qu’il n’y a aucun mal à vouloir une détente avec la Russie (comme ce fut le cas avec l’ancienne URSS), il ne s’en sortira pas, dans la mesure où une partie des républicains jouent aussi contre lui.

    La vie est cependant pleine de surprises. Le Speaker de la Chambre, l’ancien #NeverTrump Paul Ryan, a publiquement confirmé, il y a 48 heures, que toutes les enquêtes en cours sur la campagne de Trump n’ont pu démontrer aucun comportement coupable. Confirmé par le président de la Chambre des représentants, le Californien (et anciennement hostile à Trump) Devin Nunes… Reste la commission d’enquête du Sénat animée par les Folamour McCain et Graham, lesquels apportent de l’eau au moulin de Nancy Pelosi, la responsable du groupe démocrate à la Chambre. C’est la puissante et riche Pelosi qui a, en effet, rencontré Soros à l’hôtel Mandarin le 13 novembre dernier à Washington, avec des financiers, afin de lancer la contre-attaque « pour reprendre le pouvoir »

    Et Obama ? On savait qu’il avait donné (avant son départ) accès aux fonctionnaires à un réservoir d’informations précédemment secrètes afin de « faciliter » les fuites. On commence à se rendre compte que c’est allé plus loin : Joel Pollack (Breitbart News) a révélé, vendredi, qu’Obama avait mis la Trump Tower sur écoute en octobre. Trump a lancé plusieurs tweets sur le sujet. Confirmée, une telle information pourrait-elle valoir la prison à Obama? Trump semble le penser… d’autant que le New York Times lui-même avait (il y a peu) commis un lapsus sur lesdites écoutes, les confirmant de facto.

    http://www.bvoltaire.fr/andrearchimbaud/fillon-trump-pen-face-coup-detat-mondial,317278

  • Jeanez Marre - La haine de l'establishment envers Donald Trump enfin expliquée

  • Comment le Nord décide de tuer les enfants du Sud

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "Il y a là quelques ministres (de la culture de mort), quelques représentants d’ONG (avortueuses) et l’assassin en chef, le directeur général de la Fédération internationale du planning familial.

    Ils sont très fiers d’eux parce qu’ils viennent de réunir 181 millions d’euros pour contrer le décret de Donald Trump interdisant le financement américain d’organisations internationales qui pratiquent l’avortement.

    C’est l’initiative « She decides » lancée par Lilianne Ploumen, ministre néerlandais du Commerce international, de la Coopération pour le Développement, pour défendre au niveau mondial les « droits sexuels et reproductifs ».

    « C’est le plus beau jour de ma vie », a déclaré la Danoise Ulla Tørnæs, ministre la Coopération pour le développement (la 2e à gauche sur la photo), ce 2 mars, à l’ouverture de la conférence, organisée par le gouvernement belge à Bruxelles et à laquelle ont participé « les représentants de 50 pays et d’une multitude d’organisations et ONG », selon Euractiv qui publie un article aussi bavard et creux qu’enthousiaste. Toutefois ils ne sont qu’une petite vingtaine sur la photo…

    La Finlande et la Suède ont promis 20 millions d’euros pour tuer les enfants dans le tiers monde, les Pays-Bas, la Belgique, le Danemark et la Norvège en ont promis 10. La représentante de la Commission européenne était très frustrée de ne pouvoir rien donner que ses encouragements, l’avortement n’étant pas de sa compétence. Je ne sais pas comment on arrive à 181, mais on peut constater à quel point est caricatural ce financement de pays tous du nord de l’Europe pour tuer des enfants de l’hémisphère sud. C’était tellement visible que le directeur général de la Fédération internationale du planning familial a cru bon de préciser, sous les applaudissements des participants : « Ce n’est pas une initiative du Nord [pour le Sud]. Quand il s’agit de l’avenir des jeunes, il n’y a ni Nord ni Sud »…

    Car bien sûr on parle de l’avenir des enfants, de l’égalité des chances, du droit à la « reproduction », selon le principe orwellien qui est au cœur de ce genre d’initiative (la guerre c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force).

    Euobserver croit pouvoir préciser qu’on aboutit à 181 millions en ajoutant les… 50 millions d’un « donateur américain anonyme », le concours du Canada, et de la… Fondation Bill et Melinda Gates.

    Euobserver précise également que la France et le Royaume Uni ont assisté à la conférence mais n’ont rien promis, et que « de nombreux grands pays, comme l’Allemagne, n’avaient pas envoyé de représentant »."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Émigrants – Immigrants : cherchez l’erreur !

    Bernard Plouvier

    On savait déjà que, depuis la fin des années 1980, des Juifs citoyens français quittaient le pays pour vivre en Israël. Cet exode s’est nettement accentué depuis le début des années 2010, ce qui se conçoit fort bien étant données la recrudescence des manifestations judéophobes de nos merveilleux immigrés mahométans et la multiplication des attentats et actes de vandalisme, dont quelques-uns ont visé des cibles juives.

    On sait que de plus en plus de jeunes diplômés ou de très brillants étudiants autochtones quittent un pays envahi et dangereux, où il ne fait plus bon vivre – du moins dans les villes saturées d’allogènes grossiers, vandales, racketteurs, violeurs, voire terroristes au nom d’une divinité moyen-orientale dépourvue d’intérêt pour un Européen de souche.

    On apprend plus confidentiellement qu’il existe une autre fuite : l’émigration des millionnaires en euros. En 2015-2016, ils ont été 22 000 beati possidentes à quitter le territoire national. Parallèlement, les USA se sont enrichis de 10 000 millionnaires étrangers (l’euro et le dollar sont assez proches en matière de pouvoir d’achat).

    Les réformes d’un certain Trump risquent d’accentuer encore le phénomène : la comparaison entre ce Président dynamique, opposé à la démagogie de son prédécesseur, et nos tristes sires plouto-démocrates vautrés devant les financiers cosmopolites n’est guère favorable à une inversion de tendance, bien au contraire.

    On reconnaît volontiers que le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande connaissent également un afflux de millionnaires étrangers, mais la Grande-Bretagne, elle aussi envahie, en est exportatrice. À quand l’émigration des millionnaires des pays scandinaves ? Stockholm vient de connaître une semaine d’émeutes raciales, comme on en rencontre tant dans ce qui fut la Douce France ou au royaume de Sa Gracieuse Majesté Elisabeth II.

    En contrepartie de ces départs, fort gênants pour l’avenir économique, social et scientifique de notre pays et de notre Nation, nous avons la joie, la « chance » d’accueillir des dizaines de milliers d’immigrés-« réfugiés politiques » (réels ou supposés)-envahisseurs, très souvent analphabètes ou dépourvus de la moindre qualification professionnelle, mais nantis d’une foi conquérante : l’islam dans sa forme originelle, strictement conforme au texte coranique, agressif, sectaire, intolérant.    

    Plutôt que de nous casser les pieds et de nous tympaniser avec des histoires d’emplois népotistes, de pseudo-désastres écologiques à venir, d’un soi-disant « péril fasciste » (d’où proviendrait-il en une Europe amollie, aveulie, émasculée ?), les candidats aux élections de ce millésime feraient bien de se prononcer sur les types d’immigration et d’émigration, toutes deux indésirables et grosses de périls à court, moyen et long termes.

    C’est à faire reprendre la natalité autochtone, à rendre vie à l’industrie française qu’il faut s’attacher, de façon parallèle à l’organisation du retour de la dizaine de millions d’immigrés extra-européens dans leurs continents d’origine et du nettoyage des deux milliers de cités de non-droit, qui ne sont probablement pas étrangères à l’émigration autochtone.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Donald Trump face à l'État profond

    Monde-et-Vie-Vanneste-Macron-251x350.jpgCe n’est pas le tout de gagner une élection. Il faut encore pouvoir se faire entendre. Donald Trump s’y emploie sans désemparer.

    Le 16 février, Donald Trump a donné une conférence de presse dans laquelle il a conservé ce style direct, où le président américain prend à témoin son peuple des difficultés qu'une certaine intelligentsia, qu'on nomme volontiers outre-Atlantique « l'État profond », lui fait pour avoir prétendu, pour avoir osé prétendre vouloir rendre le pouvoir aux Américains.

    Un simple indice sémantique de ce décalage. Un certain nombre de média note que ladite conférence de presse fut « improvisée ». Comme si le président des États-Unis ne pouvait s'exprimer comme bon lui semble, mais devait les avoir sans doute préalablement prévenus.

    On notera aussi que, dans son propos, Donald Trump n'a rien perdu du punch qu'il a manifesté pendant des mois tout au long de sa campagne, n'épargnant pas ceux qu'il désigne comme ses adversaires, comme les adversaires du peuple américain, et justifiant - malgré tous ces pouvoirs judiciaire, médiatique, et des agences, qui participent de l'État profond - les décisions prises depuis son investiture. Donald Trump continue ainsi le pari, jusqu'ici gagnant, du peuple contre l’oligarchie. « Je suis ici une nouvelle fois pour faire passer mon message directement au peuple », a-t-il lancé.

    Un président et son peuple

    Tout n'est pas cependant ni tout noir, ni tout blanc, dans cette lutte d'influence, et il faudrait sans doute modérer le propos en observant qu'une partie de cette oligarchie, et notamment dans le monde de l'argent, se trouve derrière Donald Trump. Et on peut comprendre ces gens pour qui l'économie est en quelque sorte une religion, comme le proclame le billet vert, puisque - critère essentiel pour eux - cela marche. Ainsi, malgré la tension qui se fait jour de plus en plus entre la Fed et la Maison Blanche, la bourse reprend-elle des couleurs. Et l'indice Standard & Poor's, qu'on ne peut raisonnablement accuser d'être à la botte de la Maison Blanche, s'en fait le reflet.

    Pour en revenir à la conférence de presse, à ce déballage, selon cette façon très directe qu'il a de s'exprimer, Donald Trump y a défendu son équipe, expliquant les affaires qui ont conduit à plusieurs démissions, déjà, au sein de ses proches, soit par des dossiers sans rapport avec son administration, antérieurs à son mandat, soit par des maladresses, notamment de communication.

    Aussi le président américain a-t-il accusé les média d'être « le parti de l'opposition » et de propager de « fausses informations ». « La presse est devenue si malhonnête, a-t-il ajouté, que, si nous n'en parlons pas, cela dessert énormément le peuple américain », précisant que ce niveau de malhonnêteté est « hors de contrôle ».

    Dans ce bras de fer médiatique, Donald Trump a une fois de plus joué la carte du peuple contre l'oligarchie, en dénonçant des journalistes au service « d'intérêts particuliers ».

    Et le président les a avertis que tout ce qu'ils pourraient écrire ou dire non seulement ne correspondrait pas à la vérité, mais en outre ne l'influencerait pas. Evoquant notamment, et pour donner un exemple qui, ces derniers temps, enflamme les esprits, la question de ses relations, ou de celles de certains de ses proches, avec la Russie, Donald Trump a lancé « Vous pouvez dire ce que vous voulez sur la Russie, ce sont de fausses informations fabriquées pour compenser la défaite des démocrates, et la presse joue le jeu. »

    « Quant à moi, a-t-il conclu après avoir pris la défense de certains de ses anciens collaborateurs obligés de démissionner à la suite de cette affaire, je ne possède rien en Russie. Je n'ai pas de prêts en Russie. Je n'ai aucun accord en Russie. Je n'ai rien à voir avec la Russie. »

    En s'exprimant devant le peuple américain, le président ne s'est pas contenté de mettre les points sur les i pour sa défense, et celle de ses collaborateurs, il a également réaffirmé sa volonté de poursuivre dans la ligne qui est la sienne.

    Dans sa conférence de presse, Donald Trump a ainsi confirmé sa volonté de détricoter rObamacare, la loi sur l'assurance-santé à laquelle son prédécesseur avait donné son nom, et qui facilitait la progression de la culture de mort par le biais, notamment, de la contraception et de l'euthanasie renforcées. « Nous nous occupons de l’Obamacare. Nous en sommes aux derniers stades. Nous la présenterons donc début ou mi-mars », a affirmé le président américain à propos de cette réforme.

    Barack Obama au front

    On comprend que son prédécesseur apparaisse donc désormais nettement comme le chef de file des opposants à son successeur - comme il l'avait d'ailleurs laissé entendre avant de quitter la Maison Blanche. « Il est normal de se sentir stressé, triste, découragé. Mais reprenez-vous ! Il faut aller de l'avant pour protéger ce que nous avons accompli. C'est le moment de s'organiser », avait lancé Barack Obama lors de Tune de ses dernières conférences de presse. Il semble bien, sur ce point, être suivi. Quant à lui, contrairement à la tradition, il paraît plus présent encore que lorsqu'il occupait le bureau ovale...

    Il y a plus, si l'on considère l'agitation médiatique opérée autour du décret anti-immigration pris par Donald Trump dans les premiers jours de sa présidence. Actuellement contesté par les magistrats fédéraux, le texte est suspendu et, plutôt que d'entrer dans une longue bataille judiciaire, Donald Trump a préféré l'abandonner, afin de présenter, avant la fin du mois, un nouveau texte, « très complet, pour protéger le pays » tout de suite, sans se perdre dans les arguties des arcanes juridiques.

    C'est d'ailleurs ce que ses avocats ont écrit dans un mémorandum adressé à la cour « Plutôt que de poursuivre ce litige en justice, le président a l'intention d'abroger son décret et de le remplacer par un nouveau décret, grandement révisé. » Ce qui n'empêche pas le requérant de camper sur ses positions, puisque ses avocats précisent que ce nouveau décret « éliminera ce que la cour a estimé, de façon erronée, soulever des questions constitutionnelles ».

    Reste à estimer la valeur de ces « revers » subis par Donald Trump. Pour l'heure, il ne donne pas signe d'être abattu, comme l'annoncent ses adversaires, puisque, aussi bien, il manifeste sa volonté de poursuivre, voire de rebondir.

    Ce qui n'empêche pas la clique internationale de ses opposants d'annoncer pour demain, pour bientôt en tout cas, la fin de Donald Trump. Même si « l'impeachment », évoqué ici où là, ne semble pas sérieusement envisagé.

    En France, on a pu néanmoins entendre sur les ondes des raccourcis ravageurs, mais privés de tout réalisme. De « l'Amérique défile contre Trump » à « le monde entier contre les États-Unis », nous avons fait le plein de déclarations insanes dans lesquelles se répandent certains de nos confrères lorsqu'ils confondent leur métier avec celui des juges, ou même des commissaires politiques.

    Pour l'heure, les chiens aboient, la caravane passe.

    Hugues Dalric monde&vie 23 février 2017

  • LES GRAINS DE SABLE DANS LE MONDIALISME

    Décidément, les chastes cerveaux du mondialisme n’en reviennent pas : le 45e président des États-Unis ne respecte pas les us et coutumes du nouvel ordre mondial qu’ils s’appliquent à édifier depuis des décennies. En moins de deux semaines de présidence, cet homme qui a été élu pour l’essentiel sur ses fonds propres contre l’oligarchie en place depuis un siècle et n’est tenu par personne, a multiplié des décrets qui sont autant de grains de sable jetés dans une mécanique bien réglée pour la mise en place d’une gouvernance mondiale aux ordres des forces de l’anti humanité que sont les cercles mondialistes et leur bras armé financier.  

    Et ils s’effraient : voilà que Trump interdit l’accès des États-Unis aux ressortissants de sept États, tous musulmans, la plupart étant des territoires en guerre. A entendre nos rosières médiatiques, c’est presque la fin du monde – entendez, de la déesse démocratie. Les Chinois, les Séoudiens peuvent bien filtrer les étrangers, interdire les églises, cela ne les gêne pas. Mais que les États-Unis, autrement dit un État blanc, veuille prendre des mesures protectrices, cela relève du crime de lèse droit de l’hommisme. Il en est de même pour la fermeture de la frontière avec le Mexique. Certes, les murailles sont des signes de faiblesse de ceux qui les construisent ; elles n’ont jamais arrêté les invasions si les peuples ainsi menacés ne savent pas prendre les mesures de redressement moral et spirituel qui s’imposent. Mais, surtout, les actes de Trump sonnent comme un coup d’arrêt à la submersion ethnique, raciale et civilisationnelle que les sicaires de la superclasse mondiale veulent faire subir au Monde Blanc, ainsi que nous le voyons en Europe avec la révolution migratoire dont Merkel s’est faite la cheville ouvrière.

    Ce n’est pas tout : Trump menace la mondialisation libérale, celle visant à créer un marché planétaire unique dans lequel les biens matériels s’échangent sans entrave, de même que les êtres humains, considérés comme des unités marchandes interchangeables et échangeables selon le prix du marché quasi divinisé. Trump a déchiré le traité transpacifique et le traité transatlantique subira le même sort s’il peut mener à bien ses vastes projets. En réalité, ce qui est en cause, c’est le multilatéralisme économique. Trump a compris qu’il était contraire au bien être des peuples, à commencer par celui des États-Unis. Son objectif est d’établir un bilatéralisme économique, la conclusion d’accords d’État à État, comme cela existait auparavant.

    Les économistes patentés et autorisés nous expliquent que Trump menace ainsi le développement de l’humanité, en remettant en cause le libre-échange présenté comme la clef du développement de la planète. Pourtant, ne nous laissons pas leurrer. Le libre-échange, est moins une théorie économique qu’une théorie politique, soutenue d’abord par Adam Smith parce qu’il favorisait l’économie britannique en plein développement. 

    La mondialisation a été soutenue par les Américains parce qu’ils pensaient en être les principaux bénéficiaires. En réalité ce sont des firmes transnationales, des financiers apatrides qui en retirent les plus grands profits tandis que les peuples Blancs en sont les victimes. A partir du moment où cela dessert le peuple états-unien, il est normal, inévitable que cette forme de mondialisation soit remise en cause par un puissant courant populaire. Et, dans le même temps, c’est sans surprise que l’on voit la Chine, État pas vraiment démocratique selon les critères occidentaux, se faire le chantre du libéralisme économique planétaire à Davos car elle doit écouler ses produits. 

    Mais, si la Chine est dans cette situation, c’est justement à cause de cette mondialisation fondée sur la théorie des avantages comparatifs, à savoir qu’il vaut mieux que chaque pays produise ce dont il est le plus capable, le commerce international permettant de procéder alors aux échanges de biens dans des conditions optimales. Or cela n’est valable qu’à la condition que les niveaux de salaires soit comparables, ce qui n’est pas le cas avec l’actuelle mondialisation où les écarts inter salariaux vont de 1 à 10, voire bien plus. Si la Chine doit exporter ce qu’elle produit, c’est que son marché intérieur n’est pas assez solvable, assez développé pour absorber cette production.

    La mondialisation est inévitable, celle des communications étant irréversible à vue d’homme et les caravaniers de la Route de la Soie en étaient les premiers acteurs. Mais elle peut et doit connaître une autre forme : elle doit être au service des peuples et non pas à celui de quelques acteurs privés, notamment financiers et apatrides. Elle consiste à permettre aux peuples de produire chez eux l’essentiel de leurs biens, créant ainsi la demande solvable indispensable à leur écoulement, le commerce international ne servant qu’aux échanges indispensables, ce qui constituera une activité considérable. Cette « mondialisation involutive » peut même être mise en œuvre par les firmes trans nationales elles-mêmes si elles s’aperçoivent que l’allongement des chaînes logistiques, la qualité défectueuse des produits fabriqués dessert leurs intérêts. Pour les peuples européens et assimilés, la robotisation à venir peut leur permettre de retrouver une compétitivité inattendue par la baisse considérable des coûts de production. En outre, les relations économiques doivent être pensées en termes de blocs de civilisation.

    Bien sûr, ce détricotage de l’actuelle mondialisation n’ira pas sans heurts, sans à coup sociaux. Mais le choix est simple : assurer l’avenir des peuples et des nations, à commencer par les peuples Blancs ou les laisser périr, asphyxiés, envahis, suicidés par l’avortement subventionné. Évidemment, un sursaut spirituel doit aller de pair.

    Nous n’attendons rien de Trump mais son élection est une bonne chose. Elle peut aider au démantèlement de l’U.E., amorcé avec le Brexit et offrir la possibilité d’abattre les obstacles que les mondialistes installent entre les Europes carolingienne et centrale et la Russie. Au sein de l’Europe, les relations économiques bilatérales sont depuis toujours préconisées par les nationalistes, avec des ententes industrielles dirigées par les États qui, dans un secteur donné, ont le savoir-faire qui les place comme des chefs de file naturels et efficaces. Dans le même temps, la France, aujourd’hui enchaînée par l’U.E. et par l’euro qui est de fait la monnaie de l’Allemagne et donc au service de cette dernière, retrouvera une féconde liberté d’action, pour peu que les Français révoquent la classe politique actuelle, faillie, inculte, nuisible et engluée en permanence dans ses affaires sordides.

    Nous ne pouvons préjuger de ce que va faire et pourra faire Trump, étant donné les résistances qu’il va rencontrer. Néanmoins, une faille s’est ouverte dans le glacis du mondialisme. D’autres suivront tant celui-ci est fragile, parce que fondé sur de fausses abstractions philosophiques, parce contraire à l’ordre naturel, parce que fondé sur l’amoralité, la spéculation, la spoliation des peuples. Le travail des nationalistes consiste à se préparer pour l’échéance décisive qui ne manquera pas de se produire, peut-être plus vite que nous le pensons.

    MILITANT

    5€ le n°  à : Militant –  BP  154  –  75463 Paris cedex 10

    ou bien abonnement en ligne ici

    http://www.jeune-nation.com/natio-france/les-grains-de-sable-dans-le-mondialisme.html

  • Revue de presse Elections / Macron / Trump / Union européenne 3/3

  • Revue de presse Elections / Macron / Trump / Union européenne 2/3