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international - Page 711

  • Un proche de Macron financé par Moscou ?

    Un proche de Macron financé par Moscou ?

    On découvre cela dans le Point :

    Un mois avant son limogeage, le gendarme de réserve a reçu sur son compte 294 000 euros de la part d’un oligarque russe, une somme qui fait tiquer Tracfin. Le salarié d’En marche !, mis en examen dans l’affaire Alexandre Benalla, est dans le collimateur. Vincent Crase, 45 ans, gendarme de réserve exclu depuis sa mise en cause le 19 juillet dans l’interpellation d’un manifestant place de la Contrescarpe, surveillait l’accès au palais de l’Élysée avec les policiers de la direction de l’ordre public et de la circulation et les gendarmes de la compagnie de sécurité de la présidence de la République. Mais l’ambitieux Vincent Crase ne se contente pas de son statut d’employé. Il a également créé Mars conseil, une PME de conciergerie de luxe chargée de fournir des prestations à des gens fortunés, comme un chauffeur ou du personnel de sécurité. Une société sans grande activité jusqu’à son limogeage de l’Élysée et d’En marche ! en juillet.

    Pourtant, un mois avant, Mars conseil signe un contrat de 294 000 euros avec Iskander Makhmudov pour la protection de l’oligarque russe et celle de ses enfants. Makhmudov est l’un des actionnaires de Kalashnikov, la célèbre marque de fusil-mitrailleur, et considéré comme un proche de Vladimir Poutine. Forbes le classe au 22e rang des fortunes russes. Des médias étrangers le présentent comme un mafieux bien qu’il n’ait fait l’objet d’aucune condamnation en Europe à ce jour. Virée en juin sur le compte en banque de Vincent Crase, la somme a fait tiquer Tracfin, l’organisme anti-blanchiment de capitaux du ministère de l’Économie et des Finances.

    https://www.lesalonbeige.fr/un-proche-de-macron-finance-par-moscou/

  • La propagande immigrationniste du pacte de Marrakech

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    Le pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières a été adopté par la France sans débat alors que, dans d’autres pays, ce pacte a provoqué des débats parlementaires intenses. Le principal argument des défenseurs de ce pacte est qu’il n’est pas contraignant. Il est, effectivement, précisé dans le texte qu’il est juridiquement non contraignant. Mais des gouvernements xénophiles peuvent se faire un devoir d’appliquer le pacte. Dans ce cas, il devient contraignant dans les pays concernés. C’est, bien évidement, le cas de la France.

    La doxa immigrationniste constitue la base idéologique du pacte. Il est écrit : « Les migrations ont toujours fait partie de l’expérience humaine depuis les débuts de l’Histoire, et nous reconnaissons qu’à l’heure de la mondialisation, elles sont facteurs de prospérité, d’innovation et de développement durable et qu’une meilleure gouvernance peut permettre d’optimiser ces effets positifs. » Toutefois, les peuples européens concernés par les vagues migratoires ont du mal à discerner les « effets positifs ». Les viols commis en Allemagne par des immigrés récemment arrivés sont-ils des effets positifs ?

    Le pacte définit les moyens à mettre en œuvre pour favoriser les migrations. Il est précisé : « Définir des objectifs politiques nationaux à court, moyen et long terme en vue de l’intégration des migrants dans la société, notamment en ce qui concerne le marché du travail, le regroupement familial, l’éducation, la non-discrimination et la santé. » L’ONU veut ainsi imposer aux nations une politique migratoire laxiste. Par exemple, les États n’auront plus le droit de refuser le regroupement familial ni de s’opposer aux migrations répétées. L’ONU s’immisce, en plus, dans la politique éducative et la santé publique. Un gouvernement mondial de bureaucrates non élus se met ainsi en place contre les peuples souverains.

    Les propagandistes favorables au pacte cachent le contenu du texte. Il est mentionné ce que doivent faire les gouvernants : « Inviter les migrants, les responsables politiques, religieux et locaux, ainsi que le personnel enseignant et les prestataires de service, à constater et prévenir les actes d’intolérance, de racisme, de xénophobie et de toute autre forme de discrimination contre les migrants et les diasporas, et appuyer les activités menées à l’échelon local pour promouvoir le respect mutuel, notamment lors des campagnes électorales. » L’ONU incite les gouvernements à pratiquer une répression à l’encontre des opposants à sa politique migratoire laxiste. L’ONU se permet même de définir les orientations des campagnes électorales à venir. Le texte du pacte précise que cette politique est mise en œuvre « dans le plein respect de la liberté de la presse ».

    On atteint le summum de l’absurde et du mensonge. Cette politique ne peut pas être respectueuse de la liberté de la presse. Elle conforte, au contraire, la propagande institutionnalisée des médias cosmopolites et les actions liberticides contre la liberté d’expression sur Internet. Avec ce pacte signé à Marrakech, les Français peuvent constater que Big Brother ne se trouve pas à l’Élysée mais au siège de l’ONU. Il est, toutefois, évident que le locataire de l’Élysée va obtempérer aux injonctions de l’ONU contre la volonté d’une majorité de Français !

    Jean-Luc Tari

    http://www.bvoltaire.fr/la-propagande-immigrationniste-du-pacte-de-marrakech/

  • Remis à l’endroit, le pacte de Marrakech devient excellent

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    Le « pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières », appelé pacte de Marrakech, énumère une liste d’« obligations » non contraignantes auxquelles s’engagent les pays de destination des migrations pour aider les migrants qui fuient la misère. Quoi de plus noble que de vouloir aider les gens ayant eu le malheur de naître dans des pays invivables ?

    Là où la démarche semble dérailler, c’est lorsqu’elle se concentre exclusivement sur la meilleure façon d’organiser le flux et l’accueil : on voit mal comment cette solution règle le problème des Africains restant sur place. Et on voit encore moins comment l’Europe réussirait durablement à accueillir ce flux, si les conditions ne s’améliorent pas drastiquement en Afrique, vu que ce continent connaît une croissance démographique de quelque 40 millions de personnes chaque année.

    Or, le pacte de 41 pages ne consacre, semble-t-il, qu’une seule phrase sur cette question (§13) : « Nous devons œuvrer de concert pour créer des conditions qui permettent aux communautés et aux individus de vivre en sécurité et dans la dignité dans leur propre pays. »

    Il suffit donc de mettre cette résolution au centre du pacte pour lui redonner toute sa cohérence : oui, il faut aider nos frères africains. Mais au lieu d’étudier en détail le phénomène migratoire et les meilleurs moyens de gérer le flux, il est infiniment plus constructif de s’employer à créer dans les pays d’origine des conditions plus favorables.

    « Mais on a déjà tout essayé », me direz-vous. Certes, toutes les aides économico-sociales ont été essayées, et elles ont échoué car elles ne s’attaquaient pas à la racine du problème.

    À cet égard, on fait un grand pas en avant en déclarant ce que tout le monde sait depuis longtemps : les peuples africains fuient leur pays parce que la vie y est rendue insoutenable du fait de la corruption, qui désorganise les activités économiques, et de l’insécurité qui menace les vies mêmes. À l’origine de ces deux maux, une absence de consensus politique, génératrice de crises, et les guerres civiles, qui poussent les dirigeants à prendre toutes dispositions pour se maintenir au pouvoir, et les opposants à tout faire pour essayer de les éliminer.

    L’État, mis en coupe réglée pour la constitution de trésors de guerre et l’entretien de factions, ne peut pas financer les services publics ni payer les fonctionnaires. Ceux-ci se payent sur les citoyens, qui vivent d’expédients pour survivre, dans un climat où prévaut la force brute. Dans un contexte politique aussi dégradé, les aides économiques au développement sont, effectivement, vouées à l’échec.

    Les pays d’accueil des migrations devraient donc proposer aux pays africains une aide politique, visant à apaiser les tensions internes, à protéger les dirigeants africains élus, à organiser – et pas seulement observer – les élections, à organiser la transparence de la gestion, la rémunération des fonctionnaires et la mise en place d’un système efficace de lutte contre la petite corruption.

    Le pacte ainsi remis à l’endroit est conforme à l’esprit de mondialisation et de solidarité entre nations. Il ne vise nullement à se substituer aux élites locales mais, au contraire, à consolider leur pouvoir pour leur permettre de gérer la cité avec sérénité. Contrairement au texte d’origine, il tente d’aider vraiment les Africains. Et, en plus, il propose aux Européens un objectif commun ambitieux et exaltant.

    Si, malgré tous ces avantages, le pacte de Marrakech remis à l’endroit devait être refusé, alors on pourrait s’interroger sur cette mondialisation à sens unique qui accepte les ingérences dans les pays du Nord mais refuse toute action sérieuse dans l’autre sens.

    Didier Loiseau

    http://www.bvoltaire.fr/remis-a-lendroit-le-pacte-de-marrakech-devient-excellent/

  • J’ai décortiqué le pacte de Marrakech : c’est encore pire que prévu !

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    Viviane Lamarlère Riposte laïque cliquez ici

    Plusieurs postulats de départ dans ce pacte qui ne reposent sur aucun fondement sérieux et scientifiquement éprouvé. En outre, un pacte qui s’appuie sur des conventions disparates et sans liens entre elles ne peut qu’inspirer de la suspicion, lire son préambule à la Prévert…

    En guise d’apéritif :

    1) L’alinéa 5 du préambule postule que ce pacte doit « rendre les migrations bénéfiques à tous », ce qui signifie qu’elles ne le sont pas actuellement.

    2) Le 10 propose de « démonter les discours trompeurs qui donnent une image négative des migrants. » Autrement dit, rincer les cerveaux et les empêcher de voir et de dire.

    3) Le 12 propose d’« atténuer les facteurs négatifs et structurels qui empêchent les individus de trouver et de conserver des moyens de subsistance durables dans leur pays d’origine et les forcent à rechercher un avenir ailleurs. »

    On aimerait des précisions sur les moyens donnés aux régions de départ. Aide internationale ? Éradication de la corruption de leurs dirigeants ? Éducation renforcée des femmes dans ces pays ? Contrôle accru des naissances qui empêchent par leur nombre les femmes de vivre et leurs enfants de construire leur existence ?

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  • GILETS JAUNES ACTE 4 - Ce que vous devez savoir !

  • Le premier objectif de l’ISSEP est atteint

    Le premier objectif de l’ISSEP est atteint

    Dans la lettre d’information de l’ISSEP, Marion Maréchal estime qu’une première étape a été franchie :

    […] Nous proposons un cursus pédagogique inédit en France dont nous savions qu’il souffrirait quelques caricatures à ses débuts. Malgré cela, nous avons rapidement réussi à associer de nombreuses personnalités, reconnues pour leurs compétences et leur expérience, tant au sein de l’équipe dirigeante, du conseil scientifique, du corps professoral que parmi les conférenciers.
    Nous mesurons l’exigence d’excellence qui nous incombe. La responsabilité dont nous héritons. L’ISSEP doit nous dépasser et nous survivre si nous souhaitons qu’il pèse durablement dans la vie politique, intellectuelle et économique de notre pays.

    Une soixantaine d’étudiants nous font déjà confiance ainsi qu’une quarantaine d’enseignants. Nous projetons le double pour l’année prochaine.

    L’ISSEP invite chaque mois des conférenciers extérieurs et publiera une revue semestrielle d’analyses. Notre club de partenaires (chefs d’entreprise et managers) continue de s’étoffer et favorise un lien permanent et diversifié entre l’école et le monde de l’entreprise.

    Actuellement, nous nous attelons à construire le réseau international de l’ISSEP, au travers de partenariats éducatifs avec d’autres établissements, prouvant ainsi que le patriotisme se combine aisément avec des relations internationales constructives.

    D’ores et déjà, le premier objectif est atteint : bousculer l’homogénéité et le conformisme idéologique qui sévissent dans une partie du monde universitaire et supérieur français, renouer avec un véritable pluralisme intellectuel sans sectarisme ni caricature, démontrer qu’une école revendiquant la formation de dirigeants libres et enracinés peut être moderne et plébiscitée.

    Beaucoup reste à faire, et nos projets sont nombreux pour que l’ISSEP s’impose comme un des hauts lieux culturels, éducatifs et intellectuels de la vie politique française. Nous avons mis le pied dans l’embrasure de la porte, reste dorénavant, avec votre aide, à l’ouvrir en grand.

    https://www.lesalonbeige.fr/

  • Les Idées à l’endroit : De Benoist sur les pas de Spengler

    Il y a tout juste un siècle, en 1918, le philosophe et historien allemand Oswald Spengler (1880-1936) publiait le premier volume de son maître-ouvrage « Le déclin de l’Occident ». Partisan d’une approche « morphologique » de l’histoire, Spengler décrivait les différentes cultures de l’humanité comme des organismes collectifs, passant toutes par les mêmes phases depuis leur naissance jusqu’à leur mort. La civilisation était à ses yeux la forme que prennent les cultures sur leur déclin. Ces thèses furent discutées passionnément dans le monde entier. Dans cette émission de la série « Les idées à l’endroit », Alain de Benoist s’entretient avec deux spécialistes de l’œuvre de Spengler : le Français Gilbert Merlio et le Belge David Engels. Un débat instructif.
     

  • Les mensonges des médias pour protéger la signature du Pacte de Marrakech

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    Par André Posokhow, consultant ♦ Cela fait déjà plusieurs mois que Polémia publie divers articles de fond sur le Pacte pour les Migrations de l’ONU qui sera signé par de nombreux Etats et boudé par de plusieurs autres ce lundi 10 décembre à Marrakech.
    Depuis plusieurs jours, les médias français se saisissent enfin de cette actualité brûlante. Mais, alors qu’une très large majorité de Français s’oppose à l’immigration, les médias ont, pour beaucoup, décidé de défendre le texte ! Quitte à tromper leurs lecteurs, sciemment ou par omission… L’exemple des Décodeurs est à ce titre parlant.
    Polémia

    Liste des articles déjà publiés par Polémia sur ce texte catastrophique : 

    Les 10 et 11 décembre prochain à Marrakech, les États membres des Nations unies sont appelés à signer le « pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières » que Macron a l’intention de faire signer par Jean-Baptiste Lemoyne.

    Le processus d’approbation de ce pacte se télescope avec la révolte des Gilets Jaunes qui, visiblement, se sont emparé de ce thème. Il en résulte une surchauffe des réseaux sociaux pour s’opposer à cette signature par la France.
  • Les gilets jaunes devraient exiger la fin du mondialisme économique et migratoire

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    La crise actuelle est le fruit attendu de la politique injuste du Système. Décennie après décennie, l’oligarchie a en effet imposé aux Français une idéologie contraire à leurs aspirations qui les a progressivement appauvris, déracinés et marginalisés. Aussi, pour retrouver leur dignité de peuple, les gilets jaunes doivent-ils aujourd’hui mettre en cause la pensée unique et exiger la fin du mondialisme économique et migratoire. Pour qu’il débouche sur un grand changement, il est dès lors important que chacun comprenne clairement la portée réelle de ce mouvement et ne se trompe ni sur sa nature ni sur ses causes profondes.

    La France fragmentée

    S’agissant de l’origine des manifestants, les médias les rattachent à une France périphérique qui serait oubliée des pouvoirs publics. Cette analyse, au demeurant exacte est cependant largement incomplète car elle n’appréhende pas et de loin la totalité de la situation dans laquelle se trouve les Français d’aujourd’hui. Notre pays est en réalité fragmenté en trois entités : celle des métropoles, celle des banlieues et celle de la périphérie.

    Les minorités dominantes : l’oligarchie et les immigrés

    La France des métropoles est celle de l’oligarchie et de ses affidés. Il s’agit des membres du Système et des bobos qui partagent son idéologie politiquement correcte. Ceux-là ne sont pas pénalisés par le libre-échangisme ni par l’immigration et tous communient dans le projet mondialiste cher au cartel de Davos. Tournés vers l’étranger, axés sur le sauvetage de la planète, ils ne se préoccupent plus vraiment de la France si ce n’est pour l’adapter à la mondialisation et au changement climatique.

    À l’autre bout de l’échelle sociale, dans les banlieues, on trouve les immigrés ou les personnes originaires de l’immigration. Ils ne sont pas affectés non plus par la mondialisation puisqu’elle leur a permis de venir en France où ils vivent beaucoup mieux que dans leur pays d’origine. Et cela d’autant plus qu’ils sont soutenus par l’oligarchie qui leur donne la priorité sur les Français de souche aussi bien à travers son discours sur le vivre ensemble que par les aides financières massives qu’elle leur apporte. Désireuses de vivre chez nous comme elles vivent chez elles, ces populations n’éprouvent que peu d’intérêt pour la France.

    La majorité marginalisée : les Français des classes moyennes et populaires

    Enfin, dans la périphérie des métropoles, dans les villes moyennes et dans les zones rurales vivent les Français des classes moyennes et populaires. Ils sont oubliés du Système, ignorés de l’oligarchie, et, bien que majoritaires, marginalisés dans leur propre pays. Eux subissent de plein fouet les effets destructeurs de la mondialisation aussi bien à travers l’immigration avec laquelle ils sont en contact qu’en raison du libre-échangisme sauvage qui provoque un chômage massif dont ils sont les premières victimes. Pis, ce sont eux qui assurent par leur nombre l’essentiel des rentrées fiscales et sociales alors que beaucoup d’entre eux n’ont pas accès aux aides publiques, celles-ci étant pratiquement toutes attribuées sous condition de ressources. Ajoutons qu’ils sont, quant à eux, très attachés à la France et qu’ils constituent la réalité du peuple français.

    Les gilets jaunes : le peuple français en colère

    On comprend dès lors pourquoi la France est oubliée : les seuls qui s’y intéressent encore, les Français des classes moyennes et populaires, sont étouffés et occultés. Avec les gilets jaunes, clairement issus de cette France périphérique, ce sont donc les Français qui se réveillent. C’est le peuple français en colère qui reproche à la classe dirigeante de l’ignorer et de le pénaliser au profit des minorités que sont les immigrés et, dans un autre registre, les membres de l’oligarchie.

    L’oligarchie impose le choix idéologique du mondialisme

    S’agissant par ailleurs des causes de la révolte, il y a là encore un manque flagrant de discernement. On nous explique en effet que le problème viendrait d’une insuffisance de pouvoir d’achat résultant d’une mauvaise gestion de l’économie. Ce n’est malheureusement pas la réalité. Si la situation ne cesse de se dégrader, ce n’est pas en raison des erreurs de gestion de nos dirigeants mais à cause de leurs choix idéologiques, des choix qui les conduisent contre toute raison à soumettre notre économie au mondialisme et notre société à l’immigration. C’est pourquoi les Français ne connaissent pas un simple problème de pouvoir d’achat mais un processus majeur d’appauvrissement. Le libre-échangisme sauvage que nous subissons depuis des décennies par la faute de nos dirigeants a en effet provoqué un transfert continu de richesse de la France vers les pays émergents. La concurrence sauvage et déloyale imposée à nos entreprises a engendré avec la désindustrialisation et le chômage de masse un appauvrissement général du pays. Un appauvrissement encore accentué par la charge financière considérable de l’immigration.

    Le Système organise l’appauvrissement du pays

    Pour traiter ce processus sans renoncer au mondialisme, la classe politique a d’abord cherché à le compenser par le recours à l’emprunt. Mais la dette se creusant, la Commission de Bruxelles se faisant plus pressante, cette politique de court terme n’était plus réellement possible.

    Dès lors, deux solutions se présentaient à nos dirigeants. Renoncer au mondialisme, stopper l’immigration, établir des écluses douanières aux frontières de l’Europe et réindustrialiser notre pays pour créer à nouveau de la richesse sur notre sol tout en allégeant le poids de l’immigration. Mais pour nos gouvernants totalement inféodés à la pensée unique, une telle option est évidemment idéologiquement impensable. Aussi ne leur reste-t-il que la seconde option qui consiste à accepter l’appauvrissement du pays et même à l’organiser. C’est ce choix purement idéologique que les dirigeants du Système ont fait au mépris des Français et c’est ce choix que Monsieur Macron et ses soutiens ont entrepris de mettre en œuvre. Dès lors tout s’enchaîne car, pour organiser l’appauvrissement, il faut en effet augmenter les prélèvements et diminuer les prestations ainsi que les services publics et donc réduire le niveau de vie des Français

    Les gilets jaunes : en finir avec le mondialisme

    Face à cette situation absurde qui voit le pouvoir œuvrer contre le peuple, il était logique que ce dernier se réveille et manifeste sa colère. Tel est le sens du mouvement des gilets jaunes : ils sont le peuple français victime du mondialisme économique et migratoire voulu par la classe politique. Aussi la réponse à leur colère réside-t-elle dans le rétablissement des frontières afin de stopper l’immigration et de mettre un terme à la concurrence sauvage qui appauvrissent notre pays. Bref, pour répondre aux gilets jaunes, il faut sortir de la pensée unique.

    https://lignedroite.club/les-gilets-jaunes-devraient-exiger-la-fin-du-mondialisme-economique-et-migratoire/

  • Un Pacte mondial pour l'invasion de l'Europe

    En pleine crise des gilets jaunes, Emmanuel Macron s'apprête à adhérer au nom de la France au « pacte mondial » de l'ONU ouvrant grand la voie à de nouvelles migrations. Les 10 et 11 décembre, à Marrakech, Emmanuel Macron entérinera au nom de la France - sans que les Français aient été consultés - le « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières » des Nations-Unies, qui accélérera considérablement le remplacement des peuples européens.

    De nombreux chefs d'État, conscients du danger que ce texte représente pour leurs pays, se sont dissociés de cette initiative onusienne. Outre les États-Unis, la Hongrie, la Pologne, la République tchèque, la Croatie, la Bulgarie, l'Autriche, la Suisse, la Belgique, l’Australie et Israël sont sortis de ce piège. En revanche, le couple Merkel-Macron persiste à appuyer le profile président "français" et la chancelière "allemande" restant les deux principaux promoteurs de la mondialisation en Europe.

    Le gouvernement hongrois considère que « ce pacte incitera des millions de personnes à prendre la route ». Loin de le nier, les défenseurs du texte font valoir, comme le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, qu'il constitue « un pas sans précédent pour accroître la coopération internationale » et que « les migrants [à ne pas confondre avec les réfugiés, ndlr] sont un moteur extraordinaire de croissance. »

    Le texte lui-même vise à mettre en place une « approche globale pour optimiser les avantages de la migration » dont les Français font les frais tous les jours… L'exposé de ses « ambitions et principes directeurs » affirme d'entrée de jeu : « Par le présent Pacte mondial, nous nous engageons objectivement à améliorer la coopération en matière de migration internationale. Les migrations ont toujours fait partie de l'expérience humaine depuis les débuts de l'Histoire, et nous reconnaissons qu'à l'heure de la mondialisation, elles sont facteurs de prospérité, d'innovation et de développement durable et qu'une meilleure gouvernance peut permettre d'optimiser ces effets positifs. »

    Les migrations, « partie intégrante de la mondialisation »

    Cette belle collection de poncifs de contre-vérités a le mérite d'indiquer clairement la finalité du texte. Il s’agit de favoriser l'immigration de masse en la présentant sous un aspect édénique. Au chapitre de la « vision commune », on apprend que « les migrations font partie intégrante de la mondialisation, reliant entre elles les sociétés d'une même région et d'une région à l'autre et faisant de nous tous des pays d'origine, de transit et de destination. » Il s'agit donc bien d'effacer les frontières et les appartenances nationales.

    Une large place est également accordée au « développement durable » auquel les migrants; contribuent « aux niveaux local, national, régional et mondial » tout en enrichissant nos sociétés « grâce à leurs capacités humaines, économiques et sociales ». Le texte insiste aussi sur la nécessité d'informer les nouveaux arrivants sur leurs « droits, obligations et possibilités », tout en délivrant aux citoyens des pays d'accueil « des informations objectives, claires et fondées sur des données factuelles au sujet des avantages et des difficultés que présentent les migrations, en vue de démonter les discours trompeurs qui donnent une image négative des migrants » Les États sont ainsi invités à assurer la propagande de l'immigration, et à censurer, ce qui pourrait l'entraver, notamment « en cessant d'allouer des fonds publics ou d'apporter un soutien matériel aux médias qui propagent systématiquement l’intolérance, la xénophobie, le racisme et les autres formes de discrimination envers les migrants, dans le plein respect de la liberté de la presse »… Ça va sans dire.

    Cerise sur le loukoum, le Pacte prévoit de « promouvoir le respect mutuel des cultures, des traditions et des coutumes entre les communautés d'accueil et les migrants grâce à l’échange et à la mise en œuvre de pratiques optimales en matière de politiques, programmes et activités d'intégration, y compris en ce qui concerne les moyens de promouvoir l'acceptation de la diversité et de faciliter la cohésion sociale et l'inclusion. » Il ne s agit donc pas de favoriser l’assimilation, mais d'ouvrir les intelligences des populations indigènes, un peu trop engoncées dans leurs coutumes et traditions nationales, aux beautés du multiculturalisme.

    Nous en avons eu une illustration récente, avec l’acquittement, le 21 novembre, d'un immigré bangladais auteur d'un viol sur une adolescente de 15 ans, par ailleurs condamné à deux ans de prison avec sursis pour une agression sexuelle commise sur une autre jeune fille. Son avocate avait fait valoir à l'audience qu'il n'avait pas les « codes culturels » qui lui auraient permis de mesurer la gravité de son acte. Au Bangladesh, les violeurs encourent pourtant la prison à perpétuité. Cet immigré sera tout de même inscrit au fichier des délinquants sexuels voilà qui rassurera sans doute les jeunes Françaises. On n'a guère entendu Marlène Schiappa, ni les militantes féministes, s’exprimer sur cette affaire. Cette décision de justice rappelle l'affaire du réseau de migrants indo-pakistanais qui, en Grande-Bretagne, a pu impunément réduire pendant des années des centaines de jeunes anglaises à l'état d'esclaves sexuelles, sans être empêchés dé nuire par des autorités terrorisées à l'idée d'être accusées de racisme. Faut-il y voir l'un des « avantages de la migration »?

    Alain Hasso monde&vie 6 décembre 2018