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international - Page 715

  • L’Europe en guerre contre l’islamisme

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    Saffie Rose Roussos, 8 ans, victime du terrorisme à Manchester

    Que pouvons-donc nous faire ? D’abord, commencer par arrêter l’immigration massive provenant de pays à majorité musulmane.

    L’islamisme livre une guerre au monde, à l’Europe et à la France. Pas une semaine sans qu’il ne frappe, semant sur son passage des cortèges de morts innocents, de blessés et de familles brisées. Ses séides visent volontairement les foules confinées dans des endroits de faible superficie, pour tuer le plus possible. Ils n’hésitent pas à viser des adolescents, et même des enfants, comme en témoigne le dernier attentat en Angleterre. À 22 h 23, le lundi 22 mai, une bombe a explosé lors d’un concert de la chanteuse Ariana Grande à la Manchester Arena, l’une des plus grandes salles de concerts du continent.

    L’État islamique a, depuis, revendiqué l’attaque, qui a causé la mort de plus d’une vingtaine de personnes, souvent très jeunes, et blessé plusieurs dizaines d’autres. Il s’agit de l’attentat le plus meurtrier commis sur le sol britannique depuis les attentats du métro de Londres du 7 juillet 2005. Le terroriste aurait utilisé un engin explosif improvisé et n’aurait pas eu de complices pendant le déroulement de l’opération. A-t-il bénéficié d’un réseau ou est-il un « loup solitaire » ? Actuel Premier ministre, Theresa May a indiqué que l’enquête pourrait prendre du temps. Pour l’heure, nous savons qu’il s’appelle Salman Abedi, qu’il est de nationalité britannique et originaire de Libye.

    Il faut bien mesurer les difficultés techniques que posent les terroristes islamistes. Le risque zéro absolu n’existe pas. 

    Nos services de renseignement, en France comme au Royaume-Uni, sont particulièrement performants mais ne peuvent pas surveiller l’intégralité des profils inquiétants, tant ils sont aujourd’hui nombreux. Dès qu’une communauté musulmane importante se trouve dans un pays majoritairement chrétien, bouddhiste ou bien encore hindouiste, elle enfante une marge violente. On le constate partout, y compris dans des pays dont les législations sont considérées comme bien plus dures que les nôtres, à l’image de la Chine ou de la Russie qui ne parviennent pas non plus à juguler le phénomène.

    Que pouvons-donc nous faire ? D’abord, commencer par arrêter l’immigration massive provenant de pays à majorité musulmane. Ensuite, s’attaquer aux prédicateurs musulmans qui propagent une vision guerrière, revancharde ou arriérée de cette religion. Les salafistes ne sont pas tous terroristes, mais leur idéologie religieuse est souvent un sas d’entrée pour les jeunes musulmans occidentaux, convertis ou reconvertis, vers un islam de haine, rigoriste et excluant. Nous avons l’impératif collectif de dire la vérité. Les terroristes ne sont pas des « kamikazes » mais des mudjahidins, des assassins. Enfin, donner encore plus de moyens à ceux qui s’activent sur le terrain, en France comme à l’étranger : nos soldats au Mali, nos forces spéciales en Libye et en Syrie, la DGSE, la DGSI, les Renseignements généraux, les gendarmes et les policiers. Ce combat se joue autant ici qu’au Moyen-Orient et en Afrique.

    Theresa May a promis de s’attaquer aux racines du mal, souhaitant notamment relever la taxe sur les entreprises qui emploient des non-Européens. De la sorte, elle supprimera une pompe aspirante. Elle est sur la bonne voie : celle que nous devrions suivre le plus rapidement possible.

    http://www.bvoltaire.fr/leurope-guerre-contre-lislamisme/

  • La politique pro-famille de Poutine porte ses fruits

    Après 70 ans de communisme, l'affaire n'est pas simple. De Sabine de Villeroché sur Boulevard Voltaire :

    "[...] depuis les années 2000, les élites russes font un tout autre choix pour redresser le pays menacé par une catastrophe démographique sans précédent. La mise en place de mesures natalistes fortes, la promotion d’un retour aux valeurs patriotiques et spirituelles et la mise en avant d’un modèle familial vertueux sont proposées aux Russes pour reconstruire le pays.

    Dix-sept ans après l’arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine, la dynamique porte ses fruits : le taux de fécondité des Russes est passé de 1,17 enfant par femme en 1999 à 1,89 (plus que dans l’Union européenne) et, depuis 2012, la population augmente de nouveau en continu.

    L’effort financier fourni par l’État a été exceptionnel : création d’un capital maternel (9.000 roubles pour la naissance du 2eenfant) et autres mesures incitatives fortes ont permis aux familles de voir leurs revenus multipliés par 2,2 en 10 ans.

    Parallèlement, Vladimir Poutine mène une intense campagne de communication patriotique à rebours de ses voisins. Et pour cause ! Il cerne parfaitement et dénonce les risques mortifères que prennent les démocraties modernes « en renonçant à leurs racines spirituelles, traditionnelles et même sexuelles ». (réunion du club de Valdaï, 19/9/2013).

    A contrario, pour les Russes, le modèle idéal de famille est composé de plusieurs générations vivant sous le même toit, avec un père, une mère et trois enfants nés au sein du mariage.

    L’homosexualité n’est guère encouragée dans le pays au grand dam des Occidentaux qui, dans le même temps légalisent le mariage pour les couples de même sexe. En interdisant la promotion de l’homosexualité auprès des mineurs, Vladimir Poutine envoie un message fort à ses concitoyens : les homosexuels russes ont les mêmes droits que leurs concitoyens mais l’État ne leur reconnaît aucun droit spécifique car ils ne produisent pas d’enfants – ce dont le pays a tant besoin. Avec l’appui du clergé orthodoxe, le gouvernement prend également des mesures pour limiter le nombre d’avortements, qui reste extrêmement élevé. En revanche, la législation russe est assez libérale vis-à-vis des techniques de médecines reproductives. La Russie demeure une destination privilégiée pour les clients de gestation pour autrui. Mal comprises par nos démocraties modernes, les grandes orientations russes en matière de politique familiale sont la démonstration que d’autres choix réalistes et efficaces sont possibles en ce XXIe siècle."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • T. de La Tocnaye : « Bien comprendre le fameux protectionnisme intelligent de Marine Le Pen ! » #13

  • Terres de Mission #31 : L’ Observatoire de la christianophobie TVLibertés TVLibertés

  • L’omniprésidence turque

    Georges Feltin-Tracol

    Le 16 avril dernier, les électeurs turcs étaient convoqués à un référendum crucial. Ils devaient se prononcer sur une grande révision de la constitution de 1982 rédigée par la junte militaire alors en place.

    Premier ministre omnipotent entre 2003 et 2014, Recep Tayyip Erdogan avait déjà réussi une première modification en 2007 en imposant l’élection au suffrage universel direct du président de la République de Turquie pour un mandat de cinq ans renouvelable une fois. Auparavant, le chef de l’État était élu par les parlementaires pour un mandat unique de sept ans et exerçait une fonction principalement honorifique.

    L’élection dès le premier tour d’Erdogan et son tempérament autoritaire provoquèrent l’éviction de son ancien conseiller diplomatique, le Premier ministre Ahmet Davotuglu, pour un chef de gouvernement plus malléable. Désormais, malgré une opposition qui soupçonne une vaste fraude électorale et une victoire plus courte que prévue (51,41 %), la nouvelle réforme fait de la Turquie non pas un régime présidentiel calqué sur le modèle étatsunien, mais plutôt un régime présidentialiste.

    En effet, toujours élu pour cinq ans, le président qui n’aura plus de premier ministre à partir de 2019, nommera et révoquera les membres de son gouvernement, dirigera tout l’exécutif et aura le droit de présider un parti politique. Chef suprême des forces armées, il supervisera les magistrats et pourra gouverner par décret. La concordance des élections présidentielles et législatives sera appliquée : les Turcs voteront le même jour pour le président et les députés. De fait, la dissolution de la Grande Assemblée nationale (impensable en système présidentiel) entraînera une élection présidentielle anticipée. Observons que cette simultanéité électorale fut défendue en France dans les années 1960 par le Club Jean-Moulin, proche des socialistes, puis par Jean-Pierre Chevènement dans Le temps des citoyens en 1993.

    Désireux d’éclipser la figure fondatrice d’Atatürk, Erdogan s’est offert des institutions hyper-présidentielles qui lui assurent la plénitude du pouvoir. La Turquie retrouve ainsi avec lui sa puissance régionale d’avant au risque de déstabiliser une nouvelle fois tout le bassin méditerranéen, les Balkans, le Caucase et, on l’a vu récemment avec l’implantation de fortes communautés immigrées turques, l’Europe occidentale.

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 31, diffusée sur Radio-Libertés, le 28 avril 2017.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le plan occulte des ONG pour que l’Europe soit envahie

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    Sur leur site internet, les ONG humanitaristes le disent clairement :

    « Nous voulons des voies légales pour faire arriver les migrants. »

    Et puisque pour l’instant l’UE ne le peut ou ne le veut, elles y pensent elles à les faire venir !

    Le refrain est toujours le même : puisque l’Europe se refuse à favoriser par des lois appropriées la venue de tous les migrants chez elle, les ONG organisent l’invasion et font de « pont » entre l’Afrique et le Vieux continent.

    Avec l’excuse des sauvetages en mer, elles combattent une bataille idéologique pour contraindre les nations européennes à se transformer en port hospitalier pour tout individu étranger qui débarque à la recherche de l’Eldorado.

    Si sauver quelqu’un en mer n’est pas un crime, tout autre est d’inciter des milliers de personnes à traverser, sur des embarcations de fortune, la Méditerranée pour atteindre les côtes européennes et débarquer clandestinement en Italie ou ailleurs. Ainsi que le soupçonnent les parquets de Catane et Palerme, en Sicile, de Cagliari en Sardaigne, et de Reggio Calabria dans le sud de l’Italie, diverses ONG présentes en mer se rendent responsables de différentes manières d‘un tel délit.

    Ces ONG, Médecins sans frontières, Save the Children, Moas, Sea-Eye et toutes les autres, agissent ainsi par idéologie immigrationniste : elles ne partagent pas les politiques européennes restrictives et veulent la création de « canaux légaux » pour tous ! Tant que ces « canaux » n’existeront pas elles les remplaceront, tout simplement, en continuant à se positionner à quelques milles des côtes libyennes et à intercepter les bateaux de migrants. Et elles ne s’en cachent même pas :

    « En considérant l’absence d’opérations de recherche et de secours engagées sur une vaste échelle, nous avons décidé de nous activer en première ligne »écrit MSF sur son site internet. « Nous sommes conscients que les opérations de recherche et de secours ne constituent pas une solution : seulement l’institution de voies légales et sûres pour rejoindre l’Europe pourraient réduire ou empêcher les morts en mer. »

    Save the children écrit pareillement sur le web :

    «Parmi les recommandations présentées à l’UE et aux États membres nous demandons d’activer et de garantir des voies sûres et légales à travers lesquelles les migrants, et en particulier les enfants, puissent rejoindre l’Europe en évitant ainsi de se confier aux trafiquants d’êtres humains. »

    Life Boat en vient même à accuser l’Europe d’avoir des politiques de « verrouillage » de la Méditerranée !

    Le combat de ces ONG va donc bien plus loin que celui de sauver des vies en mer. Elles veulent imposer aux nations européennes l’accueil total ainsi que la légalisation de tous les étrangers qui arrivent. Sous couvert de mettre un terme aux mafias de passeurs, elles incitent par ailleurs à une immigration de masse. Elles veulent contraindre les états à accueillir indistinctement quiconque veut venir et à leur donner une nouvelle citoyenneté. C’est le constat du procureur de la République italienne,Carmelo Zuccaro, qui s’est demandé durant son audition devant les commissions parlementaires s’il est normal que soit « consenti à des organisations privées de se substituer aux forces politiques et aux volontés des nations. »

    Deux faits sont clairs cependant : en 2016 sur les 91 000 demandes d’asile uniquement 17 000 ont abouti positivement. Peu sont donc de vrais « réfugiés ». Mais depuis que les ONG humanitaristes patrouillent en mer pour sauver, comme elles disent, des réfugiés en mer, depuis qu’ont commencé les opérations SAR (recherche et sauvetage), étonnement, le nombre de morts en Méditerranée a augmenté. Quelque chose ne tourne donc pas rond… il semblerait que l’engagement humanitariste et idéologique de ces ONG soit mortifère…

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/le-plan-occulte-des-ong-pour-que-leurope-soit-envahie/73142/