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international - Page 778

  • Pourquoi les multinationales achètent nos dirigeants ?

  • Le programme républicain: pro-charbon, anti-immigration et avortement

    Ultra-conservateur sur les questions de société, protectionniste, pro-charbon, pour un mur à la frontière mexicaine, le programme du parti républicain américain adopté à Cleveland semble résolument tourné vers le passé.
    Ce programme de 58 pages, adopté dans une quasi indifférence au début de la convention qui doit introniser Donald Trump, représente officiellement la position du parti pour les quatre années à venir.
    Fenêtre toujours intéressante sur sa psychologie, il n'est cependant pas contraignant pour le candidat du parti à l'élection présidentielle.
    "C'est le programme le plus conservateur de l'histoire moderne", s'est réjoui David Barton, militant de la droite religieuse, rejoint dans son analyse par de nombreux analystes politiques.
    Voici quelques points forts de ce programme:
    MARIAGE: contre le mariage homosexuel, veulent que la décision de la Cour suprême sur le mariage pour tous soit renversée.
    "Le mariage et la famille traditionnels, basé sur le mariage d'un homme et d'une femme, est la fondation d'une société libre (... ) Les enfants élevés dans une famille traditionnelle avec deux parents tendent à être en meilleure santé physique et émotionnelle, moins susceptibles de consommer des drogues et de l'alcool, d'être impliqués dans des actes criminels, et (pour les filles) d'être enceintes en dehors du mariage."
    AVORTEMENT: interdit sans exception
    "Nous affirmons l'aspect sacré de la vie humaine, et affirmons que l'enfant non né a un droit fondamental à la vie qui ne peut pas être enfreint."
    RELIGION: la prière à l'école 
    "Nous soutenons l'affichage public des dix commandements comme une réflexion de notre histoire et de notre héritage judéo-chrétien."
    Le programme affirme aussi le droit des élèves à prier à l'école publique.
    ENERGIE: pro-charbon, et pro gaz de schiste, et pour toutes les énergies "commercialisables sans subvention".
    "Le parti démocrate ne comprend pas que le charbon est une ressource énergétique locale propre, abondante, bon marché.
    Les mineurs doivent être protégés du programme radical anti-charbon du parti démocrate."
    IMMIGRATION: vive le mur Trump 
    "Nous sommes pour la construction d'un mur le long de toute la frontière sud (avec le Mexique) et pour protéger tous nos ports d'entrée. Le mur à la frontière doit couvrir l'intégralité de la frontière sud et doit suffir à stopper le traffic des véhicules et des piétons."
    Le programme évoque aussi une "procédure spéciale" pour les étrangers venant de "pays soutenant le terrorisme ou de régions associées au terrorisme islamique".
    Et se dit opposé à "toute forme d'amnistie" pour les clandestins.
    ARMES A FEU: peu importe les fusillades
    "Nous défendons le droit des personnes de posséder et porter des armes, droit naturel et inaliénable antérieur à la Constitution et assuré par le 2e amendement. (...) Un droit donné par Dieu à l'auto-défense."
    FINANCE: marche arrière
    "Nous soutenons le rétablissement de la loi Glass-Steagall de 1933, qui interdit aux banques commerciales de s'engager dans des investissements à haut risque" (cette loi a été révoquée en 1999).
    ACCORDS COMMERCIAUX: l'impact Trump 
    "Nous avons besoin d'accords commerciaux mieux négociés, qui privilégient l'Amérique. Quand ces accords ne protègent pas les intérêts américains de manière adéquate, ou la souveraineté américaine, ou quand ils sont violés en toute impunité, ils doivent être rejetés".
    PORNOGRAPHIE:
    "Une crise de santé publique qui détruit des millions de vies".
    Source : Le Parisien 

  • Qu'est-ce que ce serait s'ils n'étaient pas modérés

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "Depuis quelques jours circule sur les « réseaux sociaux » une vidéo où l’on verrait des « rebelles » syriens décapiter un enfant de 11 ans coupable de collaboration avec le gouvernement syrien.

    Hélas la vidéo est authentique. Et il faut ajouter que l’enfant a été torturé sur tout le corps avant d’être décapité. Et que ces rebelles sont garantis « modérés ».

    On entend d’abord un officier de l’Armée syrienne libre livrer la sentence de condamnation à mort. Il ajoute : « Ils n’ont plus d’hommes, maintenant ils envoient des enfants. » La sentence est exécutée par les soldats de Nour al-Din al-Zenki (c’est le nom de l’émir d’Alep au temps des croisades), un groupe membre de l’Armée syrienne libre. A la fin le bourreau montre la tête en scandant Allahou Akbar. Le tout se déroule devant des badauds souriants.

    Les dirigeants de Nour al-Din al-Zenki ont authentifié l’horreur en disant que ce n’était pas bien et qu’une « commission d’enquête » allait être créée… (Mais la sentence a été délivrée par leurs patrons de l’ASL…)

    Le groupe Nour al-Din al-Zenki a reçu des aides et des armes de l’Arabie saoudite, du Qatar, de la Turquie, et de la CIA (missiles anti-char).

    L’Armée syrienne libre est le chouchou de toutes les démocraties. Elle a reçu des dizaines de millions de dollars des Etats-Unis, et des armes de toute une série de pays dont la France (mitrailleuses, lance-roquettes, moyens de communication)."

    Michel Janva

  • La vraie matrice idéologique du djihadisme mondial, c’est l’islam

    De Jean-Claude Guillebaud dans La Vie :

    "Petit rappel : la vraie matrice idéologique du djihadisme mondial, c’est l’islam dans sa version wahhabite, c’est-à-dire l’Arabie saoudite. Jusqu’alors, on fermait assez lâchement les yeux. Après le massacre du 12 juin à Orlando, Hillary Clinton avait enfin osé évoquer le rôle ambigu de ce royaume, pourvoyeur de fonds destinés aux tueurs djihadistes. « Il est plus que temps,avait-elle dit, que les Saoudiens, les ­Qataris, les Koweïtiens et d’autres empêchent leurs ressortissants de financer des organisations extrémistes. » Enfin, avait-on pensé, les ­Américains – qui n’ont plus besoin du pétrole arabo-persique – ont le courage d’en finir avec leur complaisance pour les monarchies du Golfe. Hélas, d’autres informations ont immédiatement recadré cette prétendue audace. Elles tiennent en peu de mots : la Fondation Clinton, qui soutient, indirectement, la campagne d’Hillary, est largement financée par… l’Arabie saoudite. La confirmation est venue du prince saoudien lui-même, Mohammed ben Salman al-Saoud (vice-prince héritier). Il a déclaré que l’Arabie saoudite avait versé à ladite fondation « plus de 20% » du coût de la campagne de Madame Clinton. Et cela, « bien qu’il s’agisse d’une femme » (sic). On imagine le parti que les terroristes pourront tirer d’un tel double jeu de l’Occident qu’ils jugent « décadent ».

    Gardons-nous pourtant de donner des leçons aux Américains.Nous-mêmes, Français, sommes-nous très clairs dans nos rapports intéressés avec les bédouins multimilliardaires d’Arabie saoudite ? Ce sont nos « nouveaux » amis. Ils achètent nos armes, nos missiles et nos navires de guerre. Alors, nous aussi, nous fermons les yeux. Pour complaire aux Saoudiens, le 4 mars, notre Président a même décoré de la Légion d’honneur le prince héritier Mohammed ben Nayef al-Saoud. L’opposition de droite, soucieuse elle aussi de favoriser nos industries d’armement, n’aurait sans doute pas agi différemment. Et alors ? Réfléchissons d’abord à notre propre responsabilité de citoyen. Avons-nous protesté assez fort contre cette priorité indécente accordée aux gros sous ? Pas sûr. Gardons en mémoire la remarque sans appel du juge Marc Trévidic, ancien responsable du pôle antiterroriste de Paris, après les attentats du Bataclan :« Proclamer qu’on lutte contre l’islam radical tout en serrant la main au roi d’Arabie saoudite revient à dire que nous luttons contre le nazisme tout en invitant Hitler à notre table. »"

    Michel Janva

  • L’Arabie saoudite a-t-elle contribué aux attentats du 11 septembre 2001 ?

    Douze ans après la publication du rapport d’enquête du Congrès américain de 2004 sur les attaques terroristes du 11 septembre 2001, 29 pages provenant d’un rapport préliminaire datant de 2002 et concernant de possibles liens entre les terroristes et l’Etat saoudien ont été enfin rendues publiques le 15 juillet dernier. 

    La publication de ces pages confirme que le royaume wahhabite a été fortement soupçonné d’être impliqué, et pas seulement parce que quinze des dix-neuf terroristes étaient des citoyens de ce pays. En réalité, la plupart des informations de ce document étaient déjà connues, grâce aux informations distillées par le président de la commission parlementaire américaine et par les gens qui avaient eu accès au document. Ce rapport de la commission conjointe du Congrès américain précise que « ce n’était pas le rôle de cette enquête conjointe de conduire les investigations poussées nécessaires pour déterminer la signification exacte des liens allégués avec le gouvernement saoudien ».

    En d’autres termes, les parlementaires ont publié une liste de pistes possibles qu’ils ont transmise aux personnes et services intéressés. Par exemple, ce rapport évoque une assistance substantielle apportée aux futurs terroristes par des individus soupçonnés d’être des agents saoudiens, qui pourraient avoir été en lien avec l’ambassade et des membres du gouvernement. Toutefois, dans le rapport rendu en 2004 par la Commission du 11 septembre, il était dit qu’il n’y avait pas de preuve d’une aide volontaire et consciente du gouvernement saoudien aux terroristes d’Al-Qaïda.

    Donc, soit les pistes soulevées dans le rapport préliminaire de 2002 se sont avérées sans objet, soit elles n’ont tout simplement pas été exploitées, par exemple, pour des raisons d’ordre géopolitique ou du fait des liens d’affaires entre la famille Bush et la famille royale saoudienne, et la publication de ces 29 pages jusqu’ici gardées secrètes n’apporte en réalité aucune nouvelle réponse.

    Toutefois, le sénateur Bob Graham, qui présidait la commission de 2002 et qui demandait depuis longtemps que ces 29 pages (et non 28, comme on l’a dit dans les médias) soient déclassifiées, est convaincu de la culpabilité de personnes haut placées au sein du royaume saoudien et considère que c’est l’impunité dont les Saoudiens ont bénéficié après les attentats du 11 septembre qui les a encouragés à continuer de distiller leur islam wahhabite violent dans le monde et à jouer un rôle déterminant dans la création de l’Etat islamique. Graham était contre l’invasion de l’Irak décidée par le président Bush.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 21 juillet 2016

    http://fr.novopress.info/

  • L’Arabie saoudite a-t-elle contribué aux attentats du 11 septembre 2001 ?

    Douze ans après la publication du rapport d’enquête du Congrès américain de 2004 sur les attaques terroristes du 11 septembre 2001, 29 pages provenant d’un rapport préliminaire datant de 2002 et concernant de possibles liens entre les terroristes et l’Etat saoudien ont été enfin rendues publiques le 15 juillet dernier. 

    La publication de ces pages confirme que le royaume wahhabite a été fortement soupçonné d’être impliqué, et pas seulement parce que quinze des dix-neuf terroristes étaient des citoyens de ce pays. En réalité, la plupart des informations de ce document étaient déjà connues, grâce aux informations distillées par le président de la commission parlementaire américaine et par les gens qui avaient eu accès au document. Ce rapport de la commission conjointe du Congrès américain précise que « ce n’était pas le rôle de cette enquête conjointe de conduire les investigations poussées nécessaires pour déterminer la signification exacte des liens allégués avec le gouvernement saoudien ».

    En d’autres termes, les parlementaires ont publié une liste de pistes possibles qu’ils ont transmise aux personnes et services intéressés. Par exemple, ce rapport évoque une assistance substantielle apportée aux futurs terroristes par des individus soupçonnés d’être des agents saoudiens, qui pourraient avoir été en lien avec l’ambassade et des membres du gouvernement. Toutefois, dans le rapport rendu en 2004 par la Commission du 11 septembre, il était dit qu’il n’y avait pas de preuve d’une aide volontaire et consciente du gouvernement saoudien aux terroristes d’Al-Qaïda.

    Donc, soit les pistes soulevées dans le rapport préliminaire de 2002 se sont avérées sans objet, soit elles n’ont tout simplement pas été exploitées, par exemple, pour des raisons d’ordre géopolitique ou du fait des liens d’affaires entre la famille Bush et la famille royale saoudienne, et la publication de ces 29 pages jusqu’ici gardées secrètes n’apporte en réalité aucune nouvelle réponse.

    Toutefois, le sénateur Bob Graham, qui présidait la commission de 2002 et qui demandait depuis longtemps que ces 29 pages (et non 28, comme on l’a dit dans les médias) soient déclassifiées, est convaincu de la culpabilité de personnes haut placées au sein du royaume saoudien et considère que c’est l’impunité dont les Saoudiens ont bénéficié après les attentats du 11 septembre qui les a encouragés à continuer de distiller leur islam wahhabite violent dans le monde et à jouer un rôle déterminant dans la création de l’Etat islamique. Graham était contre l’invasion de l’Irak décidée par le président Bush.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 21 juillet 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Jean-François Colosimo : « La Turquie a fait un pas de plus vers la dictature islamiste »

    Il manquait, nous semble-t-il, une analyse de fond de la crise turque.Jean-François Colosimo la donne dans cet entretien paru sur Figarovox[18.07] : Erdogan n'a pas hésité à lancer la foule contre les tanks pour empêcher un coup d'Etat militaire dont l'échec renforce aujourd'hui encore davantage la mainmise du président turc sur un pays islamisé, mais fragile, selon Jean-François Colosimo.  LFAR 

     Le président turc Erdogan a maté une tentative de coup d'Etat militaire. Que s'est-il passé ? Cela a-t-il un lien avec l'attentat d'Istanbul, il y a un quinzaine de jours ?

    La Turquie d'Erdogan est un pays a la dérive qui voit resurgir les fantômes de son passé irrésolu, refuse de faire face à sa faille constitutive et pratique la fuite en avant quant à son ancrage définitif entre l'Europe sécularisée et l'Orient islamisé. Trois mesures de temps sont nécessaires pour appréhender ce coup d'état avorté. Le premier, de long terme, tient à l'affrontement constant sous l'Empire ottoman entre le sabre et le turban, l'armée et le clergé, dont la fin des janissaires est exemplaire: cette puissante élite militaire et administative issue de chrétiens convertis de force et demeurée religieusement minoritaire puisque liée aux Bektachis, Alévis et autres confréries soufies, est exterminée en 1826 à l'occasion d'un déchaînement populaire fomenté par le Sultan Mahmoud II au nom de Mahomet et relayé par les oulémas sunnites ; déjà il s'agit d'éradiquer un “État dans l'État ” jugé de surcroît hétérodoxe. Second moment, de moyen terme, le mouvement se reproduit tout en s'inversant avec les Jeunes-Turcs puis Mustapha Kemal et les chefs militaires de la guerre de révolution nationale qui, au nom cette fois de la laïcité, briment l'islam institutionnel non sans précisément tolérer les Bektachis pour des raisons de convergence idéologique quant à l'impératif de la modernisation: l'armée, qui se veut garante de ce républicanisme émancipateur, interrompt ce qu'elle conçoit comme des “dérives démocratiques” en 1960, 1971 et 1980 en instaurant la dictature et en considérant le putsch comme un moindre mal au regard de forces considérées là encore comme centrifuges et destructrices d'une impossible unité hors la violence étatique. Le troisième moment, auquel nous assistons, relève d'une sorte de volonté de synthèse en forme d'impasse. Au nom du califat, cette expression suprême et politico-religieuse du sunnisme orthodoxe qui serait hypothétiquement restauré en sa propre personne dès lors qu'il réussirait à imposer une présidence dotée des pleins pouvoirs, Erdogan se bat sur les deux fronts: d'un côté, ce qu'il reste de l'armée kémaliste, laïciste et anti-religieuse ; d'autre part, la puissante confrérie de Fettulah Gulen issue du mouvement religieux et revivaliste nordjou, lequel ambitionne d'unir fondamentalisme et modernisme à travers le maillage de la société et la pénétration de l'appareil d'État (Éducation, Justice, Police, Armée, etc.). Les gulenistes ont été décisifs comme levier dans la conquête du pouvoir menée par Ergogan à la tête de l'AKP, le parti “islamo-conservateur”. Mais l'alliance est rompue depuis 2013 et la dénonciation par Gulen, qui vit aux États Unis, de la corruption organisée par les cercles gouvernementaux et plus encore par les proches et parents de l'actuel président. Erdogan, qui avait jusque là mené une traque sourde à l'encontre des kémalistes a alors systématisé la chasse aux gulenistes. Il veut incarner à la fois le sabre et le turban, quitte à devoir lutter contre ceux qui traditionnellement les représentent. Que les mutins appartiennent à l'une ou l'autre tendance importe peu au regard de la logique de purge qui préside à l'ensemble de sa quête autocratique. Or c'est par cette logique, jusqu'ici réversible, désormais totale, que la Turquie n'a cessé de se survivre afin d'échapper à son vide fondateur ainsi qu'à sa construction artificielle reposant sur l' élimination des minorités et des dissidences, ou plus largement de toute différence, au profit d'une identité imaginaire. Ainsi, plus Ergogan entend fusionner les pouvoirs, plus menace l'implosion dont ce putsch n'est jamais que l'un des nombreux signes.

    Le gouvernement « islamo-conservateur » semblait être réconcilié avec l'armée ? Comment expliquez-vous ce revirement ? Lors des précédents putschs en Turquie, l'armée était unie. Est-ce toujours le cas aujourd'hui ?

    En recourant dans un premier temps , afin d'asseoir sa conquête du pouvoir, à un processus de démocratisation qui faisait la part belle aux autres communautés brimées par le kémalisme - et ce, pour d'autant mieux instituer le retour sinon inassimilable de l'islam politique -, Erdogan a neutralisé le rôle traditionnel de l'armée comme gardienne d'un républicanisme intransigeant.

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  • Action AntiDaesh - Action Française Île-de-France

  • Syrie : des rebelles anti-Assad décapitent un enfant avec un couteau

    Dans le nord du pays, non loin d’Alep, un enfant a été décapité avec un petit couteau par des rebelles opposés au régime de Bachar al-Assad. Ils ont filmé la scène et l’ont publiée sur les réseaux sociaux. Le groupe rebelle a regretté une "erreur individuelle" du bourreau.

    "Nous ne laisserons personne à Handarat !". Dans le nord de la Syrie, l’avertissement est lancé par un combattant d’un groupe rebelle opposé au régime de Bachar al-Assad. Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, ces rebelles montrent un enfant, capturé quelques instants plus tôt, allongé à l’arrière d’un camion. Ils le soupçonnent d’être un enfant-soldat, combattant pour les brigades Al-Qods, un groupe palestinien pro-régime.

    L’un des combattants se saisit alors de l’enfant et commence à le décapiter à l’aide d’un petit couteau. Un acte barbare souvent dénoncé par des ONG, notamment Amnesty International. En juillet, l’organisation évoquait dans un rapport les rebelles et djihadistes syriens responsables "d’une effrayante vague d’enlèvements, de tortures et d’exécutions sommaires". Dans le viseur, notamment, le groupe islamiste Noureddine Zinki.[...]

    La suite sur Valeurs Actuelles

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Syrie-des-rebelles-anti-Assad

  • Trois militaires français tués en Libye (Add.)

    RIP

    Plus d'infos à suivre.

    Selon 20 minutes

    "L’infomation n’a pas été confirmée par le gouvernement. Deux soldats français auraient été tués alors qu’ils se trouvaient à bord d’un hélicoptère abattu dimanche par une milice djihadiste en Libye, selon l’agence de presse AP, citée par le New York Times (...) 

    L’attaque a été revendiquée par une milice qui se fait appeler « la brigade de défense de Benghazi (...)

    le ministère de la Défense a refusé de commenter les faits, les informations sur les forces spéciales étant normalement classées secret défense".

    Selon le Figaro

    "Cette annonce de la mort de trois sous-officiers intervient alors que le porte-parole du gouvernement français avait confirmé ce matin sur France Info la présence de forces spéciales françaises en Libye pour lutter contre les djihadistes." 

    Le communiqué de presse du ministre de la défense

    "Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, déplore la perte de trois sous-officiers français décédés en service commandé en Libye.

    Il salue le courage et le dévouement de ces militaires engagés au service de la France qui accomplissent, tous les jours, des missions dangereuses contre le terrorisme.

    Le ministre adresse à leurs familles et à tous leurs proches l’expression de ses condoléances, de sa tristesse et de tout son soutien. Il les assure de la reconnaissance de la Nation".

    Lahire