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international - Page 997

  • Jean-Marie Le Pen: «L’Union Européene est le Radeau de la Méduse»

  • Kobané, objet de tous les mensonges

    Le 1er novembre 2014, les télévisions atlantistes et du Golfe montraient un convoi de 155 pehsmergas (pro-Israéliens) —c’est-à-dire des policiers du Gouvernement régional du Kurdistan d’Irak— traversant la Turquie sous les applaudissements des Kurdes turcs. Ces médias affirmaient que le convoi était arrivé à Kobané (Syrie).
    Il n’en est rien.

    Les peshmergas sont actuellement stationnés au camp de réfugiés de Suruç (Turquie). Seule une délégation de dix d’entre eux est entrée dans la ville de Kobané, puis est repartie en Turquie.

    De même, les médias turcs annoncent que 700 combattants de l’Armée syrienne libre (pro-Français et anti-Syriens) —sur les 1 300 annoncés— sont arrivés à Kobané, mais cette information n’est pas confirmée par les Kurdes syriens et il est peu probable que l’ASL dispose encore d’une telle force.

    De son côté, le gouvernement syrien a dénoncé le projet d’entrée des peshmergas irakiens comme une violation de sa souveraineté.

    Sur place, les forces de la Coalition états-unienne anti-Daesh poursuivent quelques bombardements (3 hier, contre 15 les jours précédents), toujours sans aucun résultat visible. Tandis que, à une cinquantaine de kilomètres de là, l’Armée arabe syrienne tente d’ouvrir un passage dans la ligne de front en la bombardant massivement (en moyenne 150 bombardements par jour). On ignore le nombre de jihadistes de Daesh présents, on sait juste que les États-Unis leur ont largué des armes « par erreur ».

     

    Au moins 2 000 combattants du PYG défendent la ville syrienne de Kobané. La plupart sont d’anciens membres du PKK turc qui ont fui leur pays d’origine en raison de la répression et ont obtenu la citoyenneté syrienne au début de la guerre.

    À Paris, le président turc Recep Tayyip Erdoğan a dénoncé l’acharnement de la Coalition anti-Daesh à sauver Kobané qui, selon lui, n’abrite plus de civils mais uniquement des « terroristes » du PYG. Son hôte, le président français, François Hollande, a proposé de bombarder Alep, qui n’est pas occupée par Daesh ; la ville elle-même étant contrôlée par le gouvernement de Damas, sauf sa banlieue nord.

    Source

    http://www.contre-info.com/kobane-objet-de-tous-les-mensonges#more-35294

  • Persécutions religieuses : les pays musulmans largement responsables

    Un rapport de l'Aide à l'Eglise en détresse (AED), mis en ligne aujourd'hui sur le site internet www.liberte-religieuse.org, souligne que dans 81 des 196 pays examinés, soit 41% d'entre eux, la liberté religieuse est "entravée" ou "en déclin". "Lorsqu'il y a eu des changements en matière de liberté religieuse" depuis le dernier rapport, publié en octobre 2012, "il s'agit dans presque tous les cas de détérioration", note l'organisation, qui classe dans cette catégorie 55 pays, soit 28% du total.

    Quelques améliorations ont été constatées dans six pays seulement, dont quatre (Cuba, Emirats arabes unis, Iran et Qatar), au demeurant, restent classés dans les "lieux de haute ou moyenne persécution" religieuse.

    Dans la catégorie "haute intolérance" figurent 20 pays, dont 14 "vivent des situations de persécution religieuse liées à l'extrémisme musulman" : l'Afghanistan, la Centrafrique, l'Egypte, l'Iran, l'Irak, la Libye, les Maldives, le Nigeria, le Pakistan, l'Arabie saoudite, la Somalie, le Soudan, la Syrie et le Yémen. Dans six autres pays (Birmanie, Chine, Erythrée, Corée du Nord, Azerbaïdjan, et Ouzbékistan), les persécutions sont le fait de "régimes autoritaires", relève l'organisation.

    Les chrétiens restent la minorité religieuse la plus persécutée, mais les musulmans subissent également un niveau sérieux de persécution et de discrimination, imputable soit à d'autres musulmans, soit à des régimes autoritaires.

    Le rapport n'épargne pas l'Europe occidentale, en particulier la France,classée parmi les pays d'"intolérance préoccupante", notamment en raison de la loi Taubira ayant dénaturé le mariage :

    "la liberté religieuse est menacée par l'augmentation de nouvelles formes sociétales qui heurtent la sphère religieuse".

    A noter que, dans ses sources, l'AED cite Le Salon Beige.

    Michel Janva

  • Ukraine : l’Europe à la remorque des Américains

    Le comportement chaotique et ambigu de la diplomatie des membres de l’Union européenne traduit l’absence totale de vision géopolitique de celle-ci.   

    Le conflit qui se déroule depuis plusieurs mois en Ukraine est une parfaite illustration d’une constante de la géopolitique anglo-saxonne : s’opposer par tous les moyens à la constitution d’un bloc continental euro-russe.

    Cette stratégie très ancienne – elle remonte, en effet, au XVIIIe siècle, a été théorisée dès 1904 par H.J. Mackinder et complétée, beaucoup plus tard, par N. Spykman – s’est manifestée dans la politique de « containment » (« endiguement »), définie pendant la guerre froide par John Foster Dulles et appliquée sans interruption depuis lors. Elle est sous-jacente dans la pensée de Zbigniew Brzeziński telle qu’elle est exprimée dans Le Grand Échiquier. C’est elle qui inspire également le récent article de George Soros publié dans la presse européenne le 24 octobre dernier et qui présente l’Union européenne, selon ses propres termes, comme « de facto en guerre ». L’arrimage de l’Ukraine à l’Occident, son intégration dans l’OTAN et dans l’Union européenne sont alors conçus comme des moyens de déstabilisation et, à terme, de dislocation de la Russie.

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  • L’Afrique Réelle N°59 - Novembre 2014

    Sommaire :

    Actualité :

    - L’Algérie est-elle au bord du précipice ?

    - Mozambique : la coupure nord-sud s’accentue

    Livres :

    Afrique : la guerre en cartes

    Rwanda :

    Le TPIR confirme sa jurisprudence : le génocide n’était pas programmé.

    Préhistoire :

    L’Afrique n’est pas le berceau de toute l’humanité

    Editorial de Bernard Lugan :

    A en croire les médias, l’Afrique serait sur le point de « démarrer » puisque son taux moyen de PIB est supérieur à celui du reste du monde. Or, il ne s’agit là, hélas, que d’une illusion fondée sur des chiffres qui ne tiennent aucun compte des tensions, des problèmes politico-ethniques, des héritages et des divers blocages que connaît le continent.

    En dépit des effets d’annonce, et à l’exception d’enclaves dévolues à l’exportation de ressources minières confiées à des sociétés transnationales sans lien avec l’économie locale, la situation africaine est en réalité apocalyptique :

    - la « bonne gouvernance » n’y a pas mis fin aux conflits,

    - la démocratie n’y a résolu aucun problème,

    - les crises alimentaires sont de plus en plus fréquentes,

    - les infrastructures de santé ont disparu,

    - l’insécurité y est généralisée,

    - la pauvreté y atteint des niveaux sidérants. En 15 ans, le nombre de pauvres est ainsi passé de 376 millions à 670 millions ; il a donc doublé.

    Nous voilà loin de la « méthode Coué_ ». Quatre grandes raisons expliquent ces échecs :

    1) La priorité donnée à l’économie. Dans tous les modèles proposés ou imposés à l’Afrique sud saharienne, l’économie est toujours mise en avant. Or les vrais problèmes du continent ne sont pas fondamentalement économiques, mais politiques, institutionnels, ethniques et sociologiques.

    2) Le refus d’admettre la différence car les Africains ne sont pas des Européens pauvres à la peau noire. Comme le dit le proverbe congolais : « l’arbre qui pousse sur les bords du marigot ne deviendra jamais crocodile ».[...]

    La suite sur le blog officiel de Bernard Lugan

    Pour vous abonner à L’Afrique Réelle, une seul adresse

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-Afrique-Reelle-No59-Novembre

  • "BHL, dégage" !

    Après l'échec de sa pièce, BHL subit un comité d'accueil musclé à l'aéroport de Tunis. Serait-il sur une pente descendante ? Peut-être serait-il temps pour lui de prendre sa retraite...

     

    Marie Bethanie

  • -Télé censure Bernard Lugan pour ne pas dévoiler les mensonges sur l’Afrique

    En décembre 2011, dans le cadre de son émission quotidienne Ménard sans interdit, Robert Ménard enregistre un entretien avec l’africaniste Bernard Lugan à l’occasion de la parution de son essai Décolonisez l’Afrique. Au dernier moment, l’émission est déprogrammée à la demande d’Albert Ripamonti, directeur d’i-Télé. Ici, la censure se fait brutale et sans gants. Il est en effet aujourd’hui interdit de dire sur une télévision française que « les Africains ne sont pas des Européens pauvres à la peau noire », que « la repentance européenne, plus la victimisation africaine, débouchent sur une Afrique immobile », que « l’ingérence humanitaire est un impérialisme hypocrite » ou que « le Printemps arabe fut un miroir aux alouettes ». Il est vrai que dans le bêlement généralisé consécutif au « Printemps arabe », Bernard Lugan fut l’un des rares analystes à avoir douté que les soulèvements donneraient naissance à des démocraties à l’anglaise... Crime impardonnable ! Et tant pis si, dès l’été, les islamistes s’installaient partout au pouvoir... 

         Il y a de la pensée magique dans la doxa politiquement correcte. Un spécialiste a beau avoir des idées et des arguments en béton, s’il ne cadre pas avec la « réalité » telle qu’on veut la voir dans les rédactions, tant pis pour lui. Et tant pis pour le spectateur ! 

    Jean-Yves Le Gallou, La tyrannie médiatique

    http://www.oragesdacier.info/

  • Offensive LGBT dans les entreprises françaises

    Quelques extraits d'un article du blog Le Rouge et le Noir :

    "Alors que le coming-out du PDG d’Apple qui déclare être « Fier d’être gay » semble enchanter la presse, il est opportun de revenir sur l’offensive actuelle, y compris en France, du lobby LGBT pour introduire son idéologie dans le monde du travail.

    « En Europe, les entreprises veulent montrer leur ouverture en se positionnant en faveur des droits des homosexuels »   déclare Le Monde. « Neuf entreprises françaises (Accenture, Alcatel-Lucent, Casino, Eau de Paris, IBM, Orange, Randstad, l’agence régionale de santé d’Ile-de-France et Veolia Eau) ont ainsi signé une charte d’engagement pour lutter contre les discriminations envers les lesbiennes, gays, bisexuels ou transgenres (LGBT). »[...]

    [...] Le militantisme LGBT semble passer à la vitesse supérieure depuis plusieurs mois. On apprenait ainsi début octobre que BNP Paribas se classe au troisième rang mondial des entreprises les plus inclusives pour les LGBT. Ce classement des entreprises a été établi « à partir de la politique de communication et d’inclusion, sur la présence d’un réseau de collaborateurs/trices LGBT, sur leur soutien et leur engagement auprès de leurs employé.e.s LGBT ainsi que sur leur façon de recueillir des données à ce sujet sur le lieu de travail. » BNP Paribas s’est ainsi illustrée pour avoir remis à chaque salarié, avec sa fiche de paie, une brochure faisant explicitement mention des discriminations en raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre."[...]

    [Lire l'article complet ici]

    Marie Bethanie