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islamisme - Page 270

  • Terres de Mission #31 : L’ Observatoire de la christianophobie TVLibertés TVLibertés

  • Terrorisme, insécurité, immigration : il n'y a que Marine Le Pen qui puisse nous sauver !

  • Camouflet pour le gouvernement Cazeneuve : La 17e Chambre relaxe Pierre Cassen

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    COMMUNIQUE DE RIPOSTE LAIQUE ET RESISTANCE REPUBLICAINE

    Pierre Cassen, fondateur de Riposte Laïque, vient d’être relaxé par la 17e Chambre. Le Parquet, sous les ordres du gouvernement socialiste, et 6 associations dites antiracistes, voulaient absolument démontrer que Pierre, qui, depuis octobre 2012, avait quitté la direction du site Riposte Laïque, demeurait le vrai responsable du site. Pour cela, le Parquet et ceux qui veulent interdire toute dénonciation de l’islamisation de la France n’ont reculé devant rien pour harceler le fondateur de RL : multiplication de convocations policières, de convocations judiciaires, accumulation de plaintes, venues de Bernard Cazeneuve, Anne Hidalgo, Pierre Bergé, le préfet Clavreul en charge de la Dilcrah, des associations dites antiracistes, d’associations islamistes, de préfets et de journalistes politisés. Le fondateur de Riposte laïque a été, d’autre part, mis trois fois en examen, et a subi une perquisition policière, avec confiscation de son ordinateur et de son téléphone portable. Il était manifestement l’homme à abattre pour un gouvernement qui avait donné trop de gages aux islamistes pour tolérer l’action militante qu’il menait depuis près de 15 ans, pour défendre une République laïque, sociale et identitaire, menacée par l’offensive des soldats d’Allah.

    Le 22 mars, Pierre Cassen, attaqué par le Parquet et Sos Racisme, la LDH, la Licra, le Mrap, J’accuse et l’UEJF, a répondu, cinq heures durant, aux questions du tribunal, présidé par Madame Siredey-Garnier, et de ses accusateurs. Maître Pichon, qui assurait la défense, a fourni un dossier complet, montrant la réalité du transfert de responsabilité en Suisse, et prouvant, suite à la condamnation du président suisse Alain Jean-Mairet, par la même 17e Chambre, que son client ne pouvait être le responsable du site. Pierre, avec calme, a répondu avec une grande clarté à toutes les questions qui lui étaient posées, et n’a jamais été mis en difficulté, même quand les avocats adverses essayaient de l’intimider avec agressivité.

    Le Parquet avait osé requérir 6 mois de prison avec sursis à l’encontre de Pierre Cassen, ne cachant même pas sa volonté de le faire taire par tous les moyens. Les associations dites antiracistes avaient demandé des dommages et intérêts de plus de 20.000 euros, ne masquant pas davantage leur volonté de réduire Riposte Laïque au silence, en frappant son fondateur au porte-monnaie.

    Il n’y avait pourtant dans le dossier instruit par l’accusation pas l’ombre d’une preuve contre notre fondateur, et le tribunal en a tiré la seule conclusion possible : la relaxe. Dans un contexte où nombre de patriotes se retrouvent condamnés, pour avoir osé dire la vérité sur l’islamisation de notre pays et la réalité d’une certaine immigration, les amoureux sincères de la parole libre permise par une justice rendue au nom du peuple français ne pourront que se réjouir de cette décision.

    Pour autant, ce même jour, Riposte Laïque a dû acquitter la somme exorbitante de plus de 9.000 euros de dommages et intérêts à deux caissières voilées d’H et M, suite à une décision ahurissante, au niveau juridique, du juge Caroline Kuhnmunch, ancienne collaboratrice de Christiane Taubira.

    Nous ne pouvons oublier, d’autre part, que Christine Tasin vient d’être condamnée par la même 17e Chambre pour avoir dit « Islam assassin » au lendemain de l’assassinat de deux policiers, à leur domicile, à Magnanville. De même, le maire de Béziers, Robert Ménard, vient-il d’être condamné pour avoir simplement exprimé la réalité de sa ville, avec des écoles comportant une grande majorité d’élèves musulmans. Et combien d’autres condamnations iniques ?

    Nous espérons (avec prudence) que ce jugement rendu par la 17e Chambre mettra fin au véritable harcèlement que subit Pierre Cassen, mais aussi nombre de patriotes, à qui nous exprimons toute notre solidarité, qui se retrouvent trop souvent au tribunal, traînés par des inquisiteurs qui préfèrent la judiciarisation du débat à la parole libre.

    Bien évidemment, plus que jamais, et quel que soit le résultat du 2e tour des élections présidentielles, Riposte Laïque et Résistance républicaine continueront à se battre pour la liberté d’expression, et pour le droit à la libre critique de l’islamisation de notre pays, cancer qui menace tous les fondamentaux de la France et de notre civilisation.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Pourquoi les islamistes de l'UOIF appellent à voter MACRON

  • Emmanuel Macron, vecteur de l'islamisme et des frères musulmans ?

    Intéressante présentation par un franco-marocain des agitateurs musulmans très entristes qui entourent le candidat de l'oligarchie. L'un des risques majeurs, non présenté ici mais qui nous semble essentiel, et de nature à mobiliser ceux de notre entourage qui voudraient voter blanc, ou pire (si, si, il y en a, nous avons discuté avec l'un d'eux pas plus tard qu'hier, un ardent participant aux manifs de 2013!), est selon nous la probabilité non négligeable que le fils d'Hollande légifère sur le vote des émigrés dans les 5 ans, ce qui nous condamne alors à la défaite électorale permanente par putsch démographique.

    Il conclue par les considérations suivantes.

    Que faire le 7 mai ?

    J’entends depuis l’annonce des résultats du premier tour des injonctions par-ci, des insultes par-là. Je n’ai jamais vu une telle violence dans les propos, à la veille d’une élection majeure. Comme si le bien était d’un côté et le mal de l’autre. Une binarité simpliste qui n’augure rien de bon pour l’avenir du débat contradictoire et complexe dans une société, la nôtre, demeurant déboussolée par des crises économiques, sociales, identitaires doublées de menaces réelles de toutes ces violences islamistes qui surgissent, ici où là, causant la mort et condamnant la République à être en état d’urgence. Comme si, après une campagne électorale calamiteuse, Emmanuel Macron était de facto «le» candidat légitime pour présider la France, durant les cinq prochaines années.

    Ses électeurs, respectables et respectés, constatant son relatif modeste score au premier tour d’une élection qui n’a pas livré ses secrets -- le ferait-elle un jour ? --semblent être décidés, au nom de grands principes, à culpabiliser tous les autres humanistes, qui ne partagent pas leurs avis et qui ne veulent voter ni pour Macron, ni pour Le Pen. Pour ce faire, le vote «ni-ni» est considéré comme étant favorable à Marine Le Pen. Pourquoi ne serait-il pas favorable à Macron ? Mais cela n’est pas la vraie question.

    Pour culpabiliser ceux qui refusent les postures de «moutons» et de «castors», on sort l’argument de l’antisémitisme, du nazisme et l’autre argument relatif à la Russie de Poutine, entre autres. Comme si un antisémitisme constaté chez des proches de Marine Le Pen serait beaucoup plus dangereux qu’un antisémitisme structurel avéré, constaté chez des proches islamistes d’Emmanuel Macron. Où est la cohérence ? Où sont la justice et la justesse dans le jugement ? La haine du juif, parce qu’il est juif, ne mériterait pas la même condamnation ferme et inconditionnelle selon qu’elle soit exprimée par un proche de Le Pen ou par un proche de Macron ?

    Par ailleurs, l’islamisme, qui a détruit des pays et des civilisations millénaires au Proche-Orient comme en Afrique serait-il devenu, le temps des présidentielles, compatible avec les valeurs et les idéaux démocratiques et humanistes ? Quid des liens entre islamisme et nazisme ?

    Que dire de cet épouvantail nommé la Russie de Poutine ? Est-il plus (ou moins) nocif, pour la stabilité de la République, qu’une servitude volontaire à la Turquie d’Erdogan ou aux monarchies pétrodollars, l’Arabie-Saoudite et le Qatar, et à leur volonté affichée de contrôler l’islam et la communauté de foi musulmane en France, via leurs agents frérosalafistes, leurs ONG, à travers une stratégie Soft Power assumée et financée, devant laquelle la France de Sarkozy, la France de Hollande-Macron se sont prosternées ?

    Le combat contre l’islamisme est, pour beaucoup, un combat secondaire. Soit. Mais ce n’est pas mon avis, car là où l’islamisme s’implante, la paix devient un mirage. Un rêve fragile. Les violences se banalisent. Les libertés fondamentales et les droits humains reculent, petit-à-petit, mais reculent pour disparaître à jamais. Quand j’observe l’arrière-plan, derrière la candidature d’Emmanuel Macron, je vois certaines choses s’organiser. L’islamisme tente d’obtenir ici en France ce qu’il n’a pas pu atteindre dans bien d’autres pays. Ils sont là, derrière les rideaux de fumée, avec leur idéologie de conquête, leur antisémitisme décomplexé mais masqué, leur haine de l’autre, leur détestation de la laïcité, de la République, leur volonté d’asservir des esprits, des corps et des espaces, leurs structures de lobbying et d’entrisme. Ils sont venus de divers chemins pour rejoindre «En Marche !», en direction du Tamkine.

    Peu importe que, par le passé récent, ils ont infiltré des formations politiques de gauche, du centre ou de droite. Ils ont même tenté de placer des «frères» au Front National, à l’image d’un certain Camel Bechikh. Aujourd’hui, c’est cap sur Macron.

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    Paula Corbulon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Vincent Martigny : « Le combat identitaire ne fait que commencer »

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    Le-1-240x350.jpgMaître de conférences en science politique à l’Ecole polytechnique et chercheur associé au Cevipof, Vincent Martigny est un homme de gauche qui s’intéresse tout particulièrement au nationalisme et aux débats sur l’identité et co-anime, avec Thomas Wieder du journal Le Monde, L’Atelier du pouvoir sur France Culture. Sous le titre « Ces essayistes qui font monter Marine Le Pen », il signe cette semaine dans Le 1 un article engagé consacré à l’influence des thèses défendues par Patrick Buisson, Eric Zemmour et Philippe de Villiers. En voici la conclusion :

    « Quels que soient les résultats du second tour le 7 mai prochain, les trois essayistes [Eric Zemmour, Philippe de Villiers et Patrick Buisson, Ndlr] continueront de semer les graines de leur influence dans les rangs de la droite classique (notamment autour de Laurent Wauquiez), chez les catholiques conservateurs, dans la jeune génération des militants de la droite identitaire (à l’image des journalistes Eugénie Bastié et Geoffroy Lejeune) ou auprès de Marion Maréchal-Le Pen, qu’ils couvent d’attentions. »

    L’auteur de Dire La France – Culture(s) et identités nationales ajoute :

    « Quand Marine Le Pen oriente ses messages politiques de deuxième tour autour de l’opposition entre patriotes et mondialistes, on mesure l’influence des trois essayistes dans la pensée de la dirigeante frontiste, et au-delà. Dans ce contexte, et tandis que le clivage “France ouverte“ contre “France fermée“ semble appeler à structurer durablement la réorientation de la vie politique française, tout porte à croire que le combat identitaire ne fait que commencer. »

    https://fr.novopress.info/

  • Zoom - Toute la vérité sur les attentats des Champs-Elysées

  • De Châteaurenard à Bonifacio, les femmes voilées à l'école on n'en veut pas...

    Deux saines réactions à signaler, concernant le refus du voile à l'école (en notant toutefois que le refuser à l'école ne suffit pas : on ne doit le voir nulle part !) 

    Bernard Reynès, maire de Châteaurenard, ne veut pas - il a raison - qu'une mère d'élève accompagne, voilée, la classe de sa fille lors d'une sortie pédagogique. En face de lui se dresse le CCIF (Comité contre l'Islamophobie en France), à qui l'Inspection académique a scandaleusement donné raison.

    Mais, question : aurait-elle, cette Inspection académique, autorisé une crèche dans l'école dont il s'agit ? Poser la question c'est, évidemment, y répondre ; et c'est montrer la mauvaise foi, l'hypocrisie, la veulerie et la lâcheté de fonctionnaires douillettement installés dans leurs bureaux ; et qui capitulent devant l'Islam militant, croyant acheter ainsi la paix religieuse et/ou sociale : ce ne sont rien d'autre que des collabos...

    Il y a quelques semaines, à Bonifacio, cinq femmes voilées avaient été empêchées d'entrer dans une école maternelle de la ville par des parents - ils avaient raison - qui ne voyaient pas pourquoi - leurs propres enfants n'ayant pas le droit de porter des signes religieux distinctifs - elles pourraient, elles, entrer avec un voile ostensiblement « distinctif ».

    Le maire PS de la ville persiste à croire finaud de « dialoguer » avec l'Islam dans sa ville, et affirme être favorable à la construction d'une mosquée, pensant lui aussi, naïvement, que cela va calmer les prosélytes musulmans, et qu'il va « acheter la paix » en ouvrant toutes grandes les portes à une religion et une culture totalitaires de fait. 

    Les administrés du Maire de Bonifacio sont plus sensés que lui : aux femmes voilées, qui se « regroupaient » - comme elles disent - outrées, les habitants ont déclaré : « Si vous voulez mettre un foulard ou vous habiller long, pourquoi n'allez-vous pas au Maroc ? »

    Vox populi...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Feu vert à l'islam en entreprise

    À la mi-mars, la Cour de justice européenne a rendu un arrêt s'imposant - à notre pays - lequel, rappelons-le, n'est plus véritablement indépendant juridiquement depuis sept décennies, les abandons de  souveraineté ayant débuté avec le Pacte Charbon-Acier sous la IVe République. L'ingérence des eurocrates s'est étendue à tous les domaines, y compris les plus intimes. Arrêtons-nous à la vie en entreprise, objet de l'arrêt du 14 mars, produit de deux affaires d'ingérence de l'islamisme dans la vie sociale, dans un cas belge, dans  l'autre  français. Les cours de cassations de ces deux pays s'étaient débarrassées de leurs responsabilités sur Bruxelles. Les conséquences vont peser très lourdement dans un avenir proche sur les rapports entre salariés entre eux, et avec leurs employeurs, car les juristes du mondialisme ont choisi la pire des options. Laquelle a été saluée avec une tranquillité inconsciente par la presse des deux États en cause. En apparence, il s'agit d'un geste de confiance dans la démocratie de base. Pour les exhibitions de signes religieux sur les lieux de travail, ce sera aux employeurs de s'en sortir tout seuls, comme des grands, en organisant une consultation du personnel par un vote sur l'opportunité du port du foulard islamique par des membres du personnel féminin, ou la modification des horaires de travail en fonction du départ de tel ou tel vers une mosquée le vendredi après-midi. Il y a, on s'en doute, une quantité infinie d'autres   revendications religieuses de l'Islam possibles, et d'ailleurs pratiquées largement depuis fort longtemps. Ainsi les cantines où le porc est interdit, des lieux avec tapis de prière réservés aux adorateurs d'Allah, etc.

    Une victoire sans coup férir

    Du coup, les gouvernements sont débarrassés d'un gros problème qu'en fait, ils étaient seuls à pouvoir maîtriser, avec leurs fonctionnaires spécialisés, leurs tribunaux et le cas échéant, leur police. Les cas de figure auxquels les employeurs seront bientôt exposés revêtent une grande simplicité. Ou bien le personnel de religion musulmane se trouve majoritaire dans une société donnée, et le résultat du vote interne ne fait aucun doute. Des originaires du Maghreb, d'Afrique noire islamisée ou du Proche-Orient, ou leurs descendants, sauront automatiquement ce qu'ils auront à faire, à moins d'être candidats au suicide. Et le tour sera joué. Ou bien il se produira, en cas de rejet par une majorité de votants, une cassure ethno-religieuse dans la communauté de travail. On sait qu'il faut beaucoup moins qu'une telle situation pour créer une atmosphère difficile à supporter. Les commentaires des spécialistes sociaux français ont omis de s'intéresser aux acteurs syndicaux, présents pourtant dans de nombreux lieux de travail, des multinationales aux PME/PMI. Pour ne pas perdre d'adhérents, ou du moins d'électeurs aux scrutins du social (prudhommes, etc.), ils hurleront avec les loups de l'islamisme, d'autant plus servilement que des branches professionnelles entières sont islamisées (sécurité, bûcherons de l’O.N.F., nettoyage, etc.). On objectera que la CGT ou FO sont des organisations marxistes ou anarcho-marxistes d'essence. Cela ne changera rien à leur soif de cotisants et d'influence. Ces syndicats n'hésiteront pas à encourager le vote pro-Islam de leurs sympathisants libres penseurs ou chrétiens.

    Mais il y a encore, objectera-t-on, un autre acteur : le client, présumé roi, qui pourrait se refuser à solliciter telle vendeuse largement voilée. Des problèmes ont déjà surgi à ce propos. Encore faudra-t-il que, dans de nombreux "quartiers", l'acheteur ait le choix, car le « Grand Remplacement » ne relève pas de la fiction, mais se constate sur des points du territoire de plus en plus nombreux. Et de plus, les entreprises possédées, grandes, moyennes ou petites, par des musulmans, se multiplient. Afin d'éviter une soumission progressive, rapide et générale aux islamistes du monde du travail français, il fallait la puissance de l’État. Celle-ci est aux abonnés absents, et il ne faut pas douter qu'on le savait à Bruxelles avant le rendu d'un arrêt "démocratique". À noter que dans la fameuse loi El Khomri figure un passage autorisant les directions d'entreprise à inscrire un principe de neutralité dans les règlements intérieurs. Voici cette disposition devenue inutile, la responsabilité se trouvant diluée dans le personnel. Au total, un concours de lâcheté, rendu possible par le système européo-mondialiste.

    Nicolas TANDLER Rivarol du 30 mars 2017