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islamisme - Page 299

  • Banlieues, violences, racisme…parlons-en!

    Même les médias « bourgeois » des deux côtés du Rhin l’ont relayé, la mairesse, membre du parti social-démocrate( SPD), de Garmisch-Partenkirchen, vient de lancer un signal de détresse face à l’invasion migratoire. La célèbre station de ski bavaroise accueille aujourd’hui, après le  départ vers d’autres endroits de familles de migrants syriens,  250  immigrés économiques, majoritairement de jeunes  hommes africains logés dans le  centre d’hébergement communal (une ancienne caserne de l’armée américaine);  des  « demandeurs d’asile »  qui multiplient les violences, les actes de délinquance,  les agressions sexuelles. « La situation empire de plus en plus depuis plusieurs semaines » explique-t-elle, les migrants de sa ville  sont devenus « problématiques », les riverains,  qui ne sont pas des affreux d’extrême droite se sent elle obligée de préciser, se plaignent: « ils nous expriment leurs difficultés. Il y a de très graves problèmes avec les réfugiés à Garmisch-Partenkirchen. » Cette  élue qui voit ses certitudes s’écrouler en tirera-t-elle jusqu’au bout les conclusions qui s’imposent? En France ce sont les policiers qui expriment leur désarroi devant l’impunité des voyous et le peu de soutien dont ils bénéficient de la part des autorités. Nous évoquions hier la manifestation sans  précédent sur les Champs-Élysées, de centaines de policiers clamant leur ras-le-bol devant la violence  sauvage des bandes des cités plurielles. Ce mouvement est  désavoué par le gouvernement socialiste et le grand diseu mais (tout) petit faiseu Bernard Cazeneuve. Des manifestations de policiers, calmes et pacifiques, en  dehors des mots d’ordre syndicaux,   se sont déroulées  hier à Evry et à Marseille.

    Une violence  sexiste et raciste que les belles âmes traquent et découvrent un peu partout, sauf là où elle se trouve vraiment. Une polémique ridicule (mais révélatrice) a ainsi éclaté ces dernières heures suite à la  la publication de l‘alerte enlèvement de la petite Djenah à Grenoble. Échappant au conditionnement sémantique, à la programmation neurolinguistique (PNL) souvent à l’oeuvre dés l’école primaire, à cette police des mots, de la pensée, de l’arrière pensée propre au règne de Big Brother, à toutes les sociétés totalitaires, le rédacteur du ministère de la Justice qui a rédigé cette alerte enlèvement a lourdement fauté. Crime des crimes, il a employé le terme « individu de race noire », pour décrire Steeve Beni Y Saad, le présumé ravisseur et père de l’enfant. Avant de corriger cet avis en substituant au mot honni de « race », le terme « individu à la peau noire » puis dans une troisième mouture en écrivant « de couleur noire ». Dans quel pays vit-on?

    Un pays nous direz-vous, ou le quotidien de Patrick Drahi, Libération, publie la tribune au comique involontaire de deux militantes socialistes Elsa Di Meo Conseillère régionale de Provence-Alpes-Côte-d’Azur , Marie Le Vern, député de Seine-Maritime, pour annoncer un petit raout ce soir visant à  dénoncer » les menaces proférées par l’extrême droite », « la réalité quotidienne des militantes et citoyennes engagées pour défendre les valeurs de la République (à Fréjus), » où elles subiraient, peut-être à l’instar de la secrétaire de la (squelettique)  section socialiste de cette commune,  Insaf Rezagui, des « tweets ou posts de  réactionnaires cyberactifs » (sic). Les élus et candidats FN reçoivent régulièrement insultes et menaces de mort, certains ont même été sauvagement  agressés  physiquement, ils de ne sentent pas obligés  pour autant d’organiser une soirée sur ce thème. Faute de briller par son travail, quand on  a plus rien à proposer, toute diversion, certes est bonne à prendre…

    Front National également soupçonné de tout et son contraire et dernièrement de se faire embobiner par les Frères Musulmans que l’on retrouve à la manœuvre derrière l’Union des organisations islamiques de France (UOIF). Et ce, au motif  qu’un de ses collectifs, Banlieues patriotes,  animé par le conseiller régional francilien Jordan Bardella, a enregistré dimanche une émission internet  dont l’invité était Camel Bechikh.  Celui-ci est  porte-parole de la Manif pour tous, à l’origine de  l’association Fils de France, se revendiquant du patriotisme français et du souverainisme, prônant l’avènement d’un islam français et national. Vaste programme…

    Interrogé par l’Afp, Jordan Bardella a précisé que « les invités ( de ses émissions, NDLR)  sont pas forcément d’accord avec nous, ce qui se dit n’engage en rien le FN. Camel Bechikh m’a dit qu’il était adhérent de l’UOIF, sans y être impliqué. Il y a plusieurs lignes je crois. » Florian Philippot a indiqué pour sa part:  « Je pense que tout le monde, moi le premier, ignorait qu’il était à l’UOIF dont manifestement, il n’a en rien le discours, puisqu’il défend l’assimilation et la République contre l’islamisme. Pour le reste, il demeure un invité, et non un adhérent. »

    Redisons-le, le FN est ouvert au dialogue et il est d’autant  plus intéressant quand vous échangez avec des personnes qui ne sont pas forcément exactement  sur la même ligne que vous. Rappelons aussi que M. Bechikh fut déjà invité en avril 2013 par Louis Aliot, à débattre lors  du colloque Islam et République, organisé par son club de réflexion Idée Nation. Nous nous étions fait aussi l’écho sur ce site de l’entretien accordé par Camel Bechikh à Nicolas Gauthier sur boulevard voltaire: « Les enfants et petits-enfants d’immigrés encore nombreux dans les quartiers pauvres, subissent frontalement le désastre d’une immigration toujours massive, malgré les conditions économiques limitant l’emploi, le logement, la performance inclusive qu’était l’école (…)« . Il existe  des musulmans « heureux de rencontrer une France qui s’aime, une France fière de son histoire, de sa langue, de ses valeurs catholiques, trop souvent oubliées par la République (…).  Les heures sombres de notre histoire  se déroulent sous nos yeux: perte de souveraineté, destruction des frontières, géographiques et morales ! Le temps presse, la France ne peut faire l’économie d’aucune bonne volonté, d’aucun citoyen, sans distinction d’origine, de religion, de classe sociale. En effet, comme l’écrivait Charles Maurras: Aucune origine n’est belle. La beauté véritable est au terme des choses. « 

    Certains accusent M. Bechikh, qui affirme que « la France est ontologiquement catholique », de dissimulation, de double-langage mais à notre connaissance, il n’a jamais tenu des propos qui seraient en contradiction avec le patriotisme qu’il affiche. Il est certes permis à certains de douter de l’optimisme qui est le sien sur la diffusion des idées nationales dans les banlieues quand il affirme que « le vote FN des Français de confession musulmane est bel et bien une réalité dont il faut se féliciter ». Ce vote FN des Français issus de l’immigration non européenne et/ou musulmane reste en fait très marginal.

    La tâche sera rude  expliquait implicitement Didier Beauregard sur le site Polemia, même si au sein des deux millions d’électeurs musulmans (pour un corps électoral d’un peu plus de 44 millions de personnes), « un ensemble d’éléments bien identifiés (mariage homo, théorie du genre, affaire Dieudonné, crise de Gaza, sans oublier l’échec social de la gauche…) pousse une fraction très minoritaire, mais grandissante, de l’électorat musulman vers un vote contestataire de droite, après l’avoir exprimé à gauche » . Le politologue Gilles Kepel  affirme lui aussi  que chez les musulmans « le tabou du FN a sauté. » 

    M. Beauregard citait aussi l’enquête de terrain « menée de manière approfondie, bureau de vote par bureau vote, par la Fondation Jean-Jaurès et l’Ifop, à Perpignan (à l’occasion des dernières élections municipales ou Louis Aliot menait la liste FN, NDLR), pour saisir au plus près la typologie du vote FN en fonction de la géographie urbaine. Le constat de l’étude est clair : il fait ressortir, dans le sud méditerranéen, l’existence d’un vote à forte composante communautaire, qui ne va pas dans le sens d’une lepénisation  du vote musulman (…) ».

    « Face à l’effondrement du Parti socialiste, les électeurs musulmans, pour faire obstacle au FN, auraient, dès le 1er tour, massivement voté pour la droite classique. Le réflexe communautaire percevrait donc toujours le parti de Marine Le Pen comme une menace (…).A contrario, le vote FN progresse fortement dans les zones d’habitation populaires ou bourgeoises qui jouxtent les zones d’habitats sociaux où se concentre l’essentiel des populations issues de l’immigration. C’est ce que les sociologues appellent  l’effet lisière  (…) ».

    Bref, le vote FN serait « un vote communautaire  blanc »,  « la motivation identitaire (l’emporterait) chez les électeurs du Front National sur les considérations socio-économiques. Selon un récent sondage Ifop, 88% des électeurs du Front national votent d’abord en raison des enjeux migratoires et sécuritaires, et les sujets économiques arrivent loin derrière ».

    Pour autant, « les musulmans, beaucoup d’entre eux certainement, veulent aussi de la sécurité dans leurs quartiers et une bonne éducation scolaire pour leurs enfants. C’est une base de compromis opérationnelle pour aborder l’électorat musulman, tout en restant ferme sur les principes fondamentaux de l’identité française » notait l’auteur de cet article. Bruno Gollnisch l’a dit, le FN, le syndicat des indigènes comme le décrivait Jean-Marie Le Pen, a aussi vocation à tendre la main à tous les Français, à fédérer tous les patriotes, et cette base de compromis (et non de compromission) décrite ici n’a certainement pas échappé aux responsables de Banlieues patriotes.  

    http://gollnisch.com/2016/10/19/banlieues-violences-racisme-parlons-en/

  • Zoom - Pierre-Emmanuel Barral : "Quel avenir pour la Syrie ?"

  • Terrorisme, que proposent la Droite et le Centre ?

  • Allex [Drôme] et Hayange [Moselle] : cette révolte populaire qui monte « d'en bas »...

    En son temps, Raffarin avait eu un mot heureux en inventant l'expression « la France d'en-bas ». Aujourd'hui, la colère de  cette France d'en bas non seulement n'est pas retombée, mais elle ne cesse de s'amplifier, finissant par mettre le Système en contradiction avec ses prétendus fondamentaux démocratiques (le pouvoir viendrait du peuple...).

    Voici que deux maires, celui d'Hayange (Moselle, FN) et celui d'Allex (Drôme, LR) secouent le cocotier, et même assez fortement pour que toute la clique du politiquement correct, qui prétend remplacer - en y réussissant souvent... -  la souveraineté populaire s'insurge et monte au créneau pour clouer ces deux élus du peuple au pilori; et pour leur clouer le bec, tout court.

    Le premier en date, Fabien Engelmann, maire FN d'Hayange, a décidé que, puisque le Secours Populaire confondait allègrement charité envers les plus démunis et politique (communiste, et « anti-mairie »), il lui retirait le local prêté à titre gracieux. Le maire a évidemment raison : mais il fallait voir le journaliste inquisiteur d'I-Télé « interroger » ce maire pour comprendre à quel point nos médias sont - et ce depuis 1945 - une place forte inexpugnable de ceux qui confondent carte de journaliste et carte de parti.

    De quel droit quelqu'un censé informer les gens prend-il position, à ce point, dans une décision relevant de la seule responsabilité d'une mairie démocratiquement élue ?

    Maintenant, si vous lui posez la question, ce « journaliste-aux-ordres » du politiquement correct, idéologiquement pas très éloigné du commissaire du peuple ou du ré-éducateur genre garde rouge de Mao ou de Pol Pot ou d'Ho Chi Minh, vous jurera qu'il est bon républicain et bon démocrate...

    Le second maire a avoir défrayé la chronique n'est pas FN mais LR : c'est celui d'Allex, dans la Drôme. Sommé par l'Etat d'accueillir une cinquantaine de migrants dans sa petite commune (2.500 habitants), il a décidé de demander son avis au peuple souverain : et, donc, d'organiser un référendum. Horreur et damnation ! Un référendum ? Mais vous n'y pensez pas ! Demander leur avis aux bouseux ? Et puis quoi, encore ! Les bobos des salons parisiens, bien protégés dans leur bulles triple ou quintuple vitrage n'ont nul besoin de demander son avis au peuple : ils ont décidé, ils savent ce qui est bon pour le peuple et ce qu'il lui faut : au peuple d'obéir ! Non, mais... Le Préfet et le Tribunal administratif ont tôt fait de faire plier l'arrogant : ils ont invalidé la décision du conseil municipal ! « Déni de démocratie » et « dictature » ont lancé le maire et le président du Conseil départemental, Patrick Labaune, tous deux LR.

    Encore ne parle-t-on ici que de deux cas, mais une bonne dizaine d'oppositions résolues à l'arrivée de migrants ont eu lieu ces derniers jours, dans autant de communes de France, dont Béziers (le maire étant avec Zemmour l'une des cibles privilégiées des journaleux...).

    Tout ceci pose deux questions :

    • la première, où est la vraie démocratie, là-dedans ?

    • et, la seconde : pense-t-on vraiment, en haut lieu, que le Système pourra continuer longtemps comme cela, frontalement opposé aux volontés de la France d'en-bas ?

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Allemagne : des migrants ont pris le contrôle d’une petite ville

    La maire de Garmisch-Partenkirchen, une petite station de ski bavaroise, a demandé de l’aide à l’État de Bavière pour gérer une« situation explosive » créée par une recrudescence de criminalité de la part des migrants. Elle expose la situation de la ville dans une lettre qui a fuité dans la presse.

    En effet, la maire, issue du parti social-démocrate SPD, se plaint de « très graves problèmes » et écrit que « l’ordre public et la sécurité » sont mis en danger s’il n’y a pas d’action rapide. Dans la ville, le Centre Abrams, anciennement une caserne de l’armée américaine, héberge aujourd’hui environ 250 demandeurs d’asile. Si l’année dernière la plupart d’entre eux étaient des familles syriennes, aujourd’hui environ 150 sont d’origine africaine, et 80% sont des jeunes hommes seuls. « La situation s’empire de plus en plus depuis plusieurs semaines autour du centre d’enregistrement Abrams », écrit-elle. Les occupants actuels de l’installation sont devenus« problématiques » et posent des problèmes à « l’ordre public ».

    La presse locale a rapporté des affrontements, des agressions contre les biens et les personnes, ainsi que des agressions sexuelles, notamment au sein du centre. Les plaintes des riverains se multiplient, et la maire précise qu’elles ne viennent pas de groupes d’extrême-droite. « Ils nous expriment leurs difficultés. Il y a de très graves problèmes avec les réfugiés à Garmisch-Partenkirchen. »

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Mensonge n°3 sur les attentats : "La majorité des musulmans sont modérés"

    Les Identitaires ont réalisé une série de 3 argumentaires synthétiques pour répondre aux mensonges diffusés par les médias encadrants au sujet des attentats islamistes en France. Voici le troisième (cliquez sur l'image) :

    Image2

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

    Voir le 1 

    voir le 2

  • Mensonge n°2 sur les attentats : "Les filières djihadistes ne recrutent et ne diffusent leur idéologie que sur internet"

    Les Identitaires ont réalisé une série de 3 argumentaires synthétiques pour répondre aux mensonges diffusés par les médias encadrants au sujet des attentats islamistes en France. Voici le deuxième (cliquez sur l'image) :

    Image1

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

    voir le n°1

  • Regard écologique sur l’islam et les Arabes

    Tant l’islam que la civilisation arabe dont elle est une des composantes, ou le type arabe, ne sont pas adaptés au climat européen. En revanche, la posture écologique de l’islam est à étudier avec toute l’attention qu’elle mérite.

    Introduction

    La question de la compatibilité de l’islam dans la République est au cœur du débat politique. Tout le monde répond affirmativement, du PC au FN. Effectivement, si la République garantit la liberté de conscience et de religion, la réponse s’impose. Dans le même esprit, alors, l’animisme des Papous est compatible avec la République. Mais, les Papous seraient-ils vraiment adaptés à nos modes de vie si on les déportait ici, comme les populations maghrébines, hier ? Formulée différemment, cette question n’engendre pas une réponse aussi catégorique. La question pourrait être alors : Des individus issus du monde arabe sont-ils compatibles avec l’Europe ? Ou, plus écologiquement, des individus issus d’ethnies adaptées à des climats arides sont-ils compatibles avec des sociétés bâties dans des climats tempérés ?

    Notons d’emblée que le morphotype européen est associé au christianisme romain ; le morphotype arabe est associé à l’islam. Certes, des Européens sont musulmans, généralement issus des Balkans, mais peu nombreux, et des Arabes sont chrétiens, mais pas nombreux, eux non plus. Initialement, d’ailleurs, le christianisme s’était développé au sud de la Méditerranée, mais fut éliminé par l’islam. La question alors est formulable ainsi : l’islam est-il meilleur que le christianisme ou bien simplement plus adapté aux conditions écosystémiques prévalant là où il a triomphé ?

    Porter un regard écologique sur cette question permettra de nourrir la discussion.

    La conclusion serait que le type arabe est inadapté au climat européen. En l’état, il amplifierait la crise environnementale s’il y prospérait. L’islam envisagé comme la religion dominante du monde arabe ne serait donc pas plus adapté aux territoires européens. En revanche, s’inspirer de l’islam serait peut-être une issue pour un territoire en pleine crise écologique, mais au même titre que de s’intéresser à d’autres religions allant du bouddhisme asiatique à l’animisme africain, ou le christianisme orthodoxe, aucune d’entre elles n’ayant promu le matérialisme et l’individualisme comme l’Eglise de Rome et ses ramifications l’aurait fait.

    L’Europe: une réalité écologique

    Élie Barnavi, historien de l’Occident à l’Université de Tel Aviv et directeur du comité scientifique du Musée de l’Europe à Bruxelles, proclamait que la civilisation européenne, en contraste avec les autres, se caractérisait par trois composantes : la cathédrale, l’université et la commune. Ces propos suscitèrent quelques réactions, notamment dans le monde orthodoxe. Il excluait l’Europe allant d’Athènes à Saint-Pétersbourg. Pour un écologiste, avant d’être le lieu où les humains blancs ont développé une civilisation particulière, l’Europe se caractérise avant tout par un climat ayant engendré des types d’écosystèmes particuliers. La faune y vivant est la même de sa limite nord à sa limite sud. On y trouve des ours, des loups et des renards, personnages centraux des fables européennes de l’Espagne jusqu’à la Russie. Les paysages naturels sont similaires du nord de l’Espagne jusqu’au-delà de Stockholm en Suède. Après, on entre dans les zones arctiques. Il n’y a personne. Au sud commencent les paysages désertiques dominant dans le nord de l’Afrique et l’ouest asiatique.

    Il est délicat de borner un espace, quel qu’il soit, par des frontières strictes, cependant cette réalité européenne s’impose, quelles que soient les classifications envisagées. Pour nous humains, c’est là que vivent des hommes à la peau blanche, car c’est une caractéristique vitale là où l’ensoleillement est réduit. Mais il y aurait une multitude d’autres facteurs à prendre en compte pour singulariser la population européenne d’un point de vue biologique.

    Généralement, les géographes considèrent que trois sous-types de climat dominent en Europe : le climat océanique, le climat méditerranéen, le climat continental ; mais tous trois sont réunis dans la catégorie du climat tempéré se caractérisant, entre autres, par le cycle des saisons et notamment l’hiver où tout entre en dormance. Ces espaces sont compris entre le 60e et le 40e parallèle. Au nord, on trouvera le climat polaire ; au sud, le climat aride. Dans le climat tempéré, chez nous, s’est développé le christianisme ; dans le climat aride, au sud, s’est développé l’islam. La superposition des cartes est éclairante. Se pose alors une question : Cette coïncidence est-elle fortuite ou bien manifeste-t-elle un déterminisme écologique ?

    Où est l’islam ? Où est le christianisme ?

    Le climat aride se caractérise par un ensoleillement important et une pluviosité faible. Au contraire, dans le climat tempéré, le flux solaire est réduit alors que la pluie ne l’est pas. Le cycle des saisons est lui aussi différent. Pourtant, la pointe sud de l’Europe coïncide avec l’extrémité nord de l’Afrique. Un climat dit méditerranéen, plus ou moins contrasté, s’impose alors sur les pourtours du Mare nostrum.

    Néanmoins, le clivage entre le sud et le nord de la Méditerranée est frappant. Certes, le climat méditerranéen construit un pont entre les deux, mais si on s’éloigne un peu vers le nord de l’Europe, et le sud de l’Afrique, il n’y a aucune similitude à envisager. Les manifestations de la vie y sont très différentes. D’un point de vue écologique, cela revient à s’interroger sur les chances de survie d’un dromadaire dans une forêt tempérée ou d’un cerf en climat aride. Ainsi posée, la réponse coule de source. Mais on répondra aussi que nos sociétés sont désormais très artificialisées. Le chauffage central et la climatisation, les forages dans les nappes phréatiques, etc., permettraient à tous de survivre en contravention avec les déterminismes écologiques locaux, notamment les climats ayant engendré les lignées. C’est vrai. Mais pour un écologiste, cette artificialisation est la cause de la crise environnementale et écologique caractérisant notre époque. La limiter à sa juste mesure est son ambition.

    Depuis, cette interrogation sur la viabilité d’une installation durable en dehors de l’écosystème ayant engendré des morphotypes spécifiques et les pratiques sociales associées s’imposent aux historiens s’intéressant aux fameuses invasions « arabes » du VIIe siècle.
    Controverse sur les invasions arabes

    Le discours cosmopolite s’appuie sur les invasions arabes pour justifier leur présence aujourd’hui en Europe. Ainsi, Carcassonne aurait été occupée de 725 à 759 apJC, soit 34 ans. Selon les sources sont utilisés les qualificatifs d’arabes, de maures, de musulmans ou de sarrasins pour désigner les occupants de cette période. Morin et Sarrazin sont des patronymes très répandus en France. Or, les historiens sont de plus en plus dubitatifs sur la réalité arabe. Ils préfèrent désormais penser que ce n’étaient pas des Arabes au sens ethnique du terme, mais des groupes venus de ce qui est devenu le monde arabe depuis (1). Ce monde nord-africain avait été successivement sous tutelle romaine ou wisigoth pendant plusieurs siècles, les Berbères, c’est-à-dire les Barbares, désignant les populations au-delà de la frontière. Or, des groupes berbères sont souvent envisagés d’origine européenne car blancs et parfois blonds, mais d’autres sont très noirs. L’Afrique du Nord a toujours été une zone de transition entre l’Europe blanche et l’Afrique noire. En Afrique du Nord coexistent des stations de ski et des oasis. Les contrastes climatiques y sont très forts et très stables ; ceci est à l’origine de populations aux types ethniques eux aussi très contrastés. La majorité de ces populations a été islamisée, mais postérieurement à la tutelle romaine ou wisigoth. Ainsi, les Kabyles revendiquent avoir été christianisés avant les Européens : saint Augustin, un des Pères de l’Eglise, y est considéré comme un des leurs. Beaucoup étaient juifs, aussi. Confrontés à l’islamisation portée par les Arabes, une manifestation de leur résistance fut l’athéisme.

    Aussi, des historiens envisagent désormais que ces populations issues d’Afrique du Nord lors des invasions « arabes » étaient issues de l’Europe, mais qu’elles l’ont rejointe sous la poussée arabo-africaine ayant apporté l’islam. Une forme de remigration de l’époque.

    Donc ce sont, a priori, des Blancs qui convergèrent vers l’Europe au VIIIe siècle. Il est en effet difficile d’envisager que des peuples engendrés par un climat de type désertique/semi-désertique ensoleillé puissent être efficaces militairement dans un climat tempéré où les nuages, l’eau et le froid dominent. Imagine-t-on un dromadaire combattre dans nos contrées ? Il mourrait tout de suite. Il en serait de même pour des humains.

    Pour ceux avançant l’argument des éléphants d’Hannibal traversant les Alpes dans la neige, les historiens répondent que, d’une part, ces éléphants étaient d’une variété d’Afrique du Nord disparue depuis, différente de celles connues à ce jour ; d’autre part, peu survécurent à ces périples. Une grande part de mythologie alimenterait cette vision des Guerres puniques car impossible à réaliser concrètement. L’hiver, les animaux de nos zoos provenant d’Afrique sont abrités dans des locaux chauffés. Sinon, ils meurent. Par pudeur, on n’évoquera pas l’hécatombe que subirent les troupes coloniales issues de l’empire français pendant les hivers de la Première Guerre mondiale en Europe, alors même que le front était calme.

    Ce monde compris entre le 30e et le 40e parallèle est une zone de transition ethnique. Au Nord, entre le 40e et le 60e est le monde blanc. Le christianisme y a prospéré, animé à l’origine par une conception ethnique du chrétien portée par l’Eglise de Rome. L’Europe, le territoire des Blancs, a longtemps été appelée la chrétienté. Au sud, après le désert, c’est le monde noir. Le monde de l’islam prospérant entre le 30e et le 40e parallèle est l’endroit où se côtoient le monde blanc européen et le monde noir africain ; d’où une grande diversité raciale à ces latitudes, unie par une religion d’essence cosmopolite. Israël aussi s’envisage comme un Etat multiethnique : des blonds aux yeux bleus septentrionaux côtoient des très très bruns aux yeux noirs issus d’Afrique, tous unis par le judaïsme. Le monde arabo-perso-turc, lui, a uni des types ethniques divers au nom de l’islam, y compris des Asiatiques à l’Est. En outre, comme les conditions climatiques sont difficiles et les écosystèmes peu productifs, peu d’humains peuvent vivre à ces latitudes, comparativement aux masses européennes d’hier ou aux masses d’Afrique noire d’aujourd’hui. Rappelons que la population algérienne lors de la conquête française était estimée à moins de un million d’habitants, en quasi-voie de disparition, pour un territoire équivalant à quatre fois la superficie de la France européenne. En outre, la remontée vers le Nord de populations à la peau sombre risque à terme de chasser les derniers occupants purement blancs du nord de l’Afrique. Les conflits au sud du Sahara sont emblématiques de ce clivage.

    Islam et écologie

    L’islam s’est développé sur des territoires arides et par conséquent doit être envisagé comme une réponse adaptative à ces spécificités territoriales. Là est le cœur de la pensée écologiste. Conformations et pratiques sociales sont la conséquence d’adaptations aux écosystèmes naturels. En Europe, l’eau ne manque pas. En revanche, le froid de l’hiver tue. Il n’y a rien à manger. Aussi les Européens ont-ils artificialisé leur milieu sans doute jusqu’à l’excès, alors que les Arabes modérèrent cette artificialisation à sa juste mesure. Ainsi, l’islam n’est pas une religion matérialiste. Les arts y sont moins développés que dans la chrétienté. Une conséquence pratique est que les Arabes ne maîtrisent pas la guerre industrielle. Les suprématistes européens ont qualifié cela de retard de développement, alors qu’un regard écologiste y verrait au contraire de la sagesse. L’islam, tout en soulignant la singularité de l’humain dans le cosmos, ne l’en dissocie pas comme ont pu le faire les religions antérieures du Livre. Ainsi, prise au hasard cette courte explication :

    « Le Coran a pour but d’éveiller le respect de la nature créée pour être le lieu de séjour temporaire des êtres humains. Le discours coranique et le prophétique exigent le respect de l’ordre naturel, notamment les animaux, l’eau, les arbres et les plantes. C’est une invitation à la culture écologique, afin de s’imprégner des signes de la Création. Le Coran a permis l’éclosion de la civilisation islamique, de par le fait qu’il ordonne l’harmonie avec le cosmos et les autres êtres vivants et naturels (2). »

    Une des manifestations de cet esprit sont les campagnes de réintroduction d’espèces animales comme l’Oryx d’Arabie ou le lion de l’Atlas décimés par les Tartarin de Tarascon d’hier et d’ailleurs.

    Cet éclairage sur le Coran est à comparer avec cet extrait de la genèse de l’Ancien Testament :

    « Dieu les bénit, et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l’assujettissez ; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre. »

    Beaucoup de primo-écologistes virent dans ces lignes le fondement du découplage de l’Homme et de la Nature dans les sociétés revendiquant un judéo-quelque chose. La crise écologique en est la conséquence à laquelle se surajoute désormais la crise identitaire. Or, un pieux musulman ne peut envisager sa place que sur le territoire ayant engendré sa lignée. En agissant différemment, il contrarie l’ordre naturel voulu par Allah. Ainsi, le Front islamique du salut (FIS) en Algérie appelait au retour de la diaspora maghrébine sur ses terres natales. Mais depuis il a été éradiqué par les autorités laïques algériennes avec la complicité des autorités françaises, donc sous tutelle US. L’été, aux Etats-Unis, quand on a froid à cause de la climatisation dans une tour sans fenêtre, on allume un chauffage individuel (véridique). Faire pire écologiquement est difficile.

    Conclusion

    Aborder la question migratoire en se focalisant sur une religion n’a aucun sens. Une religion, on en change. En revanche, changer de génome, fruit de milliers d’années d’adaptation à un climat, est impossible. Ces zones climatiques sont la conséquence du mouvement et de l’orientation de la terre par rapport au soleil. Il s’agit d’une temporalité incommensurable à nos sens. Les généticiens estiment qu’une dizaine de générations sont nécessaires pour pérenniser la présence d’un seul gène dans une population (ensemble d’individus semblables). Donc pour les humains, environ deux siècles sont nécessaires pour singulariser un gène spécifique. Or, une population se caractérise par une homogénéité génétique faisant que, à la diversité endogène près, les individus jeunes ressemblent à leurs parents. Force est d’admettre que le type « arabe » est différent du type « européen ». Ce type « arabe » est très diversifié. Vous pouvez rencontrer des individus à la peau plutôt claire et d’autres foncée. Compte tenu des contrastes climatiques des territoires maghrébins ou makréchiens, il s’agit là d’une réponse adaptative spécifique. La conséquence est que l’islam ne s’envisage pas comme une religion ethnique. Donc la question est de savoir si ce qui relève du monde arabe a sa place en Europe, sachant que l’islam est la religion du monde arabe. Rappelons qu’un type humain découplé de son écosystème d’origine a des exigences d’artificialisation supérieures à celles des indigènes, donc plus impactantes environnementalement. Un Africain noir a besoin de plus de chauffage en hiver à nos latitudes qu’un Européen blanc.

    La conclusion est alors que le type arabe, étant envisagé comme le géno-morpho-type adapté à des climats arides, n’a pas sa place dans une Europe au climat tempéré ; au même titre que le type européen issu d’un climat tempéré n’a pas sa place dans un espace dominé par le climat désertique/semi-désertique. En revanche, s’intéresser à l’islam comme une source de jouvence serait salutaire pour nos sociétés matérialistes dont les idéologies dominantes ont abouti aux crises écologiques et identitaires que nous vivons aujourd’hui. Trouver les solutions en nous est notre seule issue, sinon, l’islam et la civilisation arabe pourraient s’imposer sur notre sol, même s’ils n’y sont pas foncièrement adaptés. Mais comme ils sont potentiellement porteurs d’une société éco-vertueuse, cela serait une réponse socio-écosystémique à la crise écologique que notre civilisation engendre et qui menace l’écosphère dans sa globalité. Bordant la Méditerranée, Européens et Arabes ont une lutte commune à mener pour aboutir à l’écosociété. Ces derniers auraient beaucoup à nous apporter si on les envisageait autrement qu’à travers la doxa de notre société en crise identitaire et écologique, l’une et l’autre étant liées.

    Frédéric Villaret

    PS : Personnellement, j’ai beaucoup appris au contact de musulmans ultra-pratiquants, ou en animant les soutenances d’étudiants maghrébins faisant leurs études en France.

    Notes :

    (1) Guerres & Histoire, n°29, p. 47.
    (2) L’Islam et l’écologie : http://lamosquedethouars.e-monsite.com/pages/l.html

    http://www.polemia.com/regard-ecologique-sur-lislam-et-les-arabes/

  • Pierre Cassen mis en examen pour avoir publié deux dessins sur les tenants du pouvoir

    Pierre Cassen Riposte laïque cliquez ici

    J’ai donc été entendu, ce vendredi, à 14 heures, par le juge d’instruction Aline Batoz. J’étais accompagné par mon avocat, Maître Pichon.

    L’entretien a duré une heure. Le juge, à qui le Procureur de Paris a demandé d’instruire quatre plaintes, m’a confirmé son intention de me mettre en examen, pour mon rôle présumé de directeur de publication dans la mise en ligne de deux dessins jugés outrageants d’Hidalgo et Cazeneuve.

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    Concernant la première affaire, celle des dessins du maire de Paris (publiés lors de la commémoration du ramadan à la mairie de Paris par Anne Hidalgo), parus dans trois articles, qui ont donc occasionné trois plaintes, le juge m’a demandé si je comptais répondre à ses questions, ou faire une déclaration.

    En accord avec mon avocat, j’ai fait une simple déclaration, où j’ai fait savoir mon étonnement devant le titre qui m’était donné.

    J’ai rappelé le verdict du TGI de Versailles de mars 2013, qui avait débouté la plainte d’un machiniste musulman contre Riposte Laïque, parce qu’il s’était trompé d’interlocuteur, le site étant sous responsabilité suisse. J’ai d’autre part rappelé au juge que la 17e Chambre avait condamné récemment Alain Jean-Mairet, alors président de Riposte Laïque Suisse (RLS) comme directeur de publication de RL, pour un article écrit dans les mêmes dates que ceux pour lesquels nous étions poursuivis.

    Le juge ignorait ce fait, mais est resté à sa décision initiale, bien que notre avocat ait demandé un statut de témoin assisté me concernant.

    Cazeneuvelechebabouche.jpg

    Concernant l’autre dossier, le dessin de Cazeneuve (publié après les capitulations laïques du ministre de l’Intérieur devant les dignitaires musulmans, le 15 juin 2015), le juge a réitéré son intention de me mettre en examen, et j’ai fait exactement les mêmes réponses, contestant le titre qui m’était donné. Comme j’étais également accusé d’avoir écrit le titre de l’article « Cazeneuve champion du monde des lèche-babouches », et les bulles, j’ai fait savoir que cela était le fruit d’un travail collectif.

    Rappelons que notre ministre de l’Intérieur, débouté de sa plainte une première fois, est revenu à la charge, avec constitution de partie civile, et que, n’ayant pas voulu révéler ses revenus, il a dû déposer une caution de 4.500 euros, ce qui montre son sens des priorités. Quelques semaines plus tard, la France était à nouveau endeuillée par les attentats du Bataclan…

    Nous ferons probablement appel de cette mise en examen, après un nouvel entretien avec mon avocat.

    D’autre part, il y aura une nouvelle convocation, où le juge, qui affirme, après la perquisition de mon ordinateur et de mon téléphone, disposer d’élément solides prouvant ses accusations, me posera des questions auxquelles je répondrai, en ayant eu connaissance du dossier, ce qui n’est pas le cas à l’heure actuelle.

    Les lecteurs de Riposte Laïque seront donc ravis d’apprendre que dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve-Hidalgo, un homme qui n’est plus responsable de publication du site depuis quatre ans peut être poursuivi pour la publication de deux caricatures, dix-huit mois après les belles envolées de « Je suis Charlie ».

    Ils seront ravis d’apprendre que dans cette France, Riposte Laïque est le seul site au monde où la justice poursuit deux directeurs de publication en même temps !

    Ils seront ravis d’apprendre que dans cette France, nous avons passé, Christine Tasin et moi, cette semaine, pour six interrogatoires policiers et une convocation chez un juge, une vingtaine d’heures, déplacements compris.

    Il seront ravis d’apprendre que dans cette France, Eric Zemmour devra répondre du crime d’apologie de terrorisme, quand Philippe Vardon est condamné à 6 mois de prison pour s’être défendu, devant sa femme et ses enfants, contre une agression de multi-récidivistes.

    Ils seront ravis d’apprendre que dans cette France qui vit sous la terreur de prochains attentats islamistes, nous avons des policiers et des juges qui consacrent des milliers d’heures de travail à traquer des Français coupables de trop aimer leur pays.

    Ils seront ravis d’apprendre que la stratégie des socialistes, et de leurs obligés, consiste à multiplier les plaintes, même les plus grotesques, contre des sites lanceurs d’alerte sur l’islam, pour leur imposer des procédures judiciaires ruineuses et chronophages.

    Les policiers, envoyés au massacre par un ministre de l’Intérieur qui ose qualifier de « sauvageons » de véritables assassins, vont-ils se faire plus longtemps les complices de ce pouvoir qui les méprise ?

    Les juges, qualifiés de « lâches » par un président de la République qui fait honte à la France, vont-ils cautionner cette mascarade judiciaire plus longtemps ?

    Juste un rappel : l’islam a tué 250 personnes en France en 18 mois, et 30.000 dans le monde depuis le 11 septembre 2001. Et ce n’est qu’un début…

    J’espère ne pas tomber sous le coup de la loi si je conclus ce texte par cette phrase de Charles de Foucauld…

    « Des musulmans peuvent-ils être vraiment Français ? D’une manière générale, non. Dans cette foi, le musulman regarde l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non-musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s’il est soumis à une nation non-musulmane, c’est une épreuve passagère ; sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l’engage à subir avec calme son épreuve. »

    Si Charles de Foucauld vivait aujourd’hui, il aurait été victime de « signalement » d’associations dites antiracistes, puis d’une plainte du procureur de la République. Des policiers et des juges l’auraient longuement interrogé. Il aurait dû ensuite s’expliquer devant un tribunal, se serait vu qualifié de raciste par des commissaires politiques en mission. Il aurait été lourdement condamné, et se verrait systématiquement classé à l’extrême droite, dès que son nom serait évoqué, par la presse aux ordres.

    Jusqu’à quand cette mascarade va-t-elle continuer ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Intervention de Philippe Conrad au colloque de l’IGP sur l’islamisation de la France.